2. Il reste pendant 20 ans au côté de Platon dans son Académie.
3. La direction de l’Académie lui échappe, il quitte donc Athènes pour des années de voyages notamment en Macédoine qui forment la pensée aristotélicienne.
5. Inventeur de la logique avec l’usage des syllogismes
6. Il influence la philosophie occidentale avec Heidegger ou Saint Thomas d’Aquin et, des économistes comme Marx avec sa théorie de la valeur.
7. Il s’est intéressé à de nombreux domaines comme les arts, la métaphysique, la politique, l’économie, la vertu ou encore la psychologie ou l’éthique.
8.
9. Tout d’abord, il observe que le bonheur est le souverain bien. Il est voulu pour lui-même, c’est une fin en soi.
10. Pour trouver ce qu’est le bonheur, Aristote passe en revue les différentes conceptions du bonheur. Il s’interroge sur la fonction propre de l’homme. Selon lui, « le bonheur est une activité de l’âme conforme à la vertu. » On connait donc le bonheur suprême dans la connaissance désintéressé, la théoria.
11. Le bonheur est donc accessible mais pour Aristote, il n’y a qu’une manière pour y arriver : la praxis. Ce sont les actions qui résultent d’un choix délibérés, les vertus morales. C’est à ce niveau qu’apparait la distinction entre vertu et vice.
12. Bonheur dépend de nous dans la mesure où il réside dans une activité volontaire mais il y a aussi des conditions externes comme les conditions politiques, économiques ou biologiques.
19. la justice est la seule vertu considérée comme un bien étranger car elle est faite par rapport à autrui
20. cette forme de justice est considérée comme la vertu tout entière d’injustice est considérée comme le vice tout entier
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23. De cette justice particulière, Aristote la divise en 2 parties : justice corrective justice distributive distributions richesses transactions privées transactions privées involontaires et avantages volontaires clandestines violentes ventes, achats, prêts (vol, adultère) (meurtres)
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25.
26. la justice dans la distribution doit se baser sur le mérite qui peut être la condition libre, la richesse, dans la noblesse de naissance ou encore la vertu par exemple.
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29. La loi ne regarde que le caractère distinctif du tort causé. Elle traite les parties sur un seuil d’égalité.
30. Il y a ici la notion de perte et de gain. Le juge, grâce à un châtiment, va pouvoir enlever le gain obtenu par le voleur ou l’agresseur par exemple et au contraire essayer d’atténuer la perte de la victime.
31. Comme le dit Aristote, « le juste rectificatif sera le moyen entre une perte et un gain. ». Pour que la justice soit faite l’auteur du dommage doit payer une indemnité égale à la moyenne entre la perte et le gain.
32.
33. l’équitable est à la fois supérieure à une certaine justice mais en même temps il est juste. Mais il n’est pas juste selon la loi, il corrige la justice légale.
34. L’équitable n’intervient que pour corriger là où la loi s’est trompé ou a manqué de statuer à cause de sa généralité. L’équitable n’est en aucun cas supérieur au juste absolu.
35. Il peut arriver qu’il ait des cas d’espèces pour lesquelles il est impossible de faire une loi. A ce moment-là, un décret devient indispensable.