Workshop on Operationalizing the Regional Collaborative Platform to Address ‘Water Consumption, Water Productivity and Drought Management’ in Agriculture, 27 - 29 October 2015, Cairo, Egypt
3. 3
PLAN
• INTRODUCTION
• LES ETAPES DE LA GESTION DE LA SECHERESSE
• LE SYSTÈME DE GESTION DE LA SECHERESSE
• LES PRINCIPAUX INDICATEURS DE LA SÉCHERESSE
• PLAN D’ACTION DE LA SECHERSSE
• LA GESTION POST SÉCHERESSE
• COMMENT AUGMENTER l’EFFICACITE DES ACTIONS
RELATIVES A LA GESTION DE LA SECHERESSE
4. INTRODUCTION :
• Pour réduire les effets négatifs de la
sécheresse en Tunisie, qui se manifeste deux
ou trois fois tous les dix ans, un système pour
le déclenchement du mécanisme de gestion
de la sécheresse a été développé et utilisé à
plusieurs reprises. Ce système a montré ses
capacités à limiter les dégâts occasionnées
par les sécheresses
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5. 1. La phase de préparation de la sécheresse
2. La phase de gestion de la sécheresse
3.La phase post sécheresse
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Les étapes de la gestion de la sécheresse
6. La phase de préparation de la sécheresse
• Cette phase consiste à avoir un système
permettant d’identifier les réserves d’eau et
les stocks en semences et en aliments pour
bétail ainsi que les programmes
d’intervention en cas de déclaration de la
sécheresse
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8. SYSTÈME DE GESTION DE LA SECHERESSE
• Le système comprend trois phase successives:
1. La déclaration de la sécheresse par une note de
conjoncture établie par les services agricoles,
économiques et hydrologiques du Ministère de
l’Agriculture
2. cette alerte est transmise au Ministre de
l’Agriculture qui propose un plan d’opérations à la
COMMISSION NATIONALE qui est composée de
décideurs et bénéficiaires
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9. 3. Cette commission supervise tous les plans
d’actions et d’exécution durant toute la
période de sécheresse avec la participation
étroite des comités sectoriels et régionaux :
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10. Comités sectoriels:
• Le comité de gestion des ressources en eau
• Le comité de sauvegarde du cheptel
• Le comité de gestion du secteur céréalier
• Le comité de gestion du secteur agricole
Comités Régionales:
Les représentants des différents CRDA
Les représentants des directions régionales des autres ministères
Les autorités régionales et locales et l’UTAP
Elle supervise en plus les préparatifs relatifs au
démarrage des travaux des agriculteurs une fois la
sécheresse dépassée.
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11. LES PRINCIPAUX INDICATEURS DE LA SÉCHERESSE
• La pluviométrie du mois de septembre et
octobre constitue les premiers indices d’une
sécheresse probable
• La température élevée (30°C et 35°C) au
cours de la même période avec dominance
des vents du sud Ouest
• Le déficit pluviométrique durant la même
période aura comme conséquence
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12. LES PRINCIPAUX INDICATEURS DE LA SÉCHERESSE
• le manque de pâturage,
• l’augmentation des prix des aliments pour le
bétail,
• le desséchement des oliviers,
• le report des travaux des premiers labour,
• l’absence des grands crues d’automne,
• la diminution des stocks dans les barrages.
Tous ces éléments constituent les principaux
indicateurs de l’acuité de sécheresse
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13. • Tous ces indicateurs font l’objet d’une note de
conjoncture établie par les services du ministère de
l’agriculture.
• Cette note est préparée d’une façon périodique
• La note est adressée au Ministre de l’Agriculture
pour décider des instructions relatives au
déclenchement de la préparation d’un plan d’action
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14. PLAN D’ACTION DE LA SECHERSSE
• Le plan d’action est préparé en étroite
collaboration par :
• la commission nationale,
• les comités régionaux et les comités
sectoriels.
Une fois ce plan est approuvé par tous les
intervenants, il est transmis aux différents
opérateurs à l’échelle nationale, régionale et
locale pour exécution.
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15. • Si la sécheresse se poursuit au cours de la
deuxième année, le plan d’actions est reconduit,
mais sous des conditions plus sévères étant
donné que les réserves ne sont pas reconstitués
et deviennent limitées.
• La gestion de la deuxième année exige de la
commission nationale une vigilance concernant
essentiellement
• la gestion des stocks de semences,
• la mise à disposition des aliments pour le
cheptel
• la gestion des ressources hydrauliques
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16. • Quand la sécheresse s’achève et que les
conditions hydrométéorologiques du début
de l’automne sont prometteuses, un plan
d’actions pour le démarrage de la période
post sécheresse supervisé par la commission
nationale est conduit afin de permettre aux
agriculteurs de valoriser ces conditions
favorables par des mesures spécifique
assurant la réussite de la campagne et
favorisant la reconstitution des réserves en
semences et en eau.
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17. • Cette phase nécessite des moyens financiers
important afin de permettre aux agriculteurs de
surmonter les difficultés engendrées par la
sécheresse subie.
• Dans ce même cadre une attention particulière est
donnée aux petits agriculteurs qui n’ont plus les
moyens de financer le démarrage de la campagne
agricole;
• Après la sécheresse, un bilan d’évaluation est à
élaborer afin de dégager le points forts et les
points faibles du plan de gestion qui a été adopté
pour gérer la sécheresse et par conséquent
d’enrichir la méthodologie pour mieux maitriser
les prochaines sécheresses
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19. LA PHASE DE GESTION DE LA SÉCHERESSE
• CINQ SCÉNARIOS:
SCÉNARIO 1 AUTOMNE SEC:
Si l’automne est sec il y a une probabilité de 78% d’avoir
une année sèche dans le nord et de 90% dans le centre
et le sud où la pluviométrie de cette période représente
environ 40% de la moyenne annuelle.(d’après une
étude climatologique sur la sécheresse)
• La sécheresse affecte en premier lieu les superficies des
céréales emblavées dans le centre et le sud
• Les superficies fourragères dans le nord ainsi que l'état des
parcours.
Cette situation nécessite des mesures préventives pour toute
éventualité de prolongement des conditions climatiques
défavorables à savoir
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20. • Identification des zones affectées par la sécheresse.
• Renforcement du programme des céréales en
irrigué dans le centre du pays.
• Evaluation des stocks d’aliments pour le bétail et
des importations éventuelles par l’établissement
d’un programme d’importation vers le mi-
novembre
• Approvisionnement des zones sinistrées par l'orge
et le son.
• Préparation des schémas d'exploitation des
barrages selon l'évolution des conditions
climatiques.
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22. SCÉNARIO 2 HIVER SEC:
la pluviométrie hivernale est la plus importante au
nord du pays où elle contribue avec environ 41% de
la moyenne annuelle. Elle a un impact très
significatif sur la production des céréales et sur les
apports au niveau des retenues et des nappes
souterraines.
Par conséquent tout déficit pluviométrique
enregistrée au cours de cette saison provoquera une
baisse sensible aussi bien au niveau de la production
céréalière que des réserves hydrauliques disponibles.
En cas de sécheresse hivernale, un ensemble de
mesures sont à prendre afin de faire face à cette
situation ;
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23. • Identification des zones touchées par la
sécheresse afin de cibler un programme
d'intervention.
• Evaluation des stocks d'eau dans les barrages
afin de choisir le scénario spécifique
d'exploitation des barrages .
• Incitation à l’irrigation d’appoint des céréales et
surtout au niveau des parcelles réservés à la
production des semences
• Prévision d'importation de produits de première
nécessité selon les différents scénarios de
production liée à l'évolution des conditions
climatiques.
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25. • SCÉNARIO 3 PRINTEMPS SEC
La pluviométrie printanière intervient essentiellement
sur les niveaux de production des céréales, de
l’arboriculture , de l’oliveraie, sur l’état des parcours
et sur les stocks des barrages
Les mesures à prendre sont:
• Renforcement du programme d'irrigation d'appoint
des céréales afin d'assurer un minimum de
production tel qu'identifié dans la stratégie.
• Evaluation de l'état des parcours afin de cibler un
programme d'intervention dans l'objectif de combler
le déficit par une distribution d'aliments de bétail.
• Evaluation de la production céréalière afin d'arrêter
un programme d'importation
• Evaluation des stocks d'eau et des allocations pour les
différents usages.
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27. • SCÉNARIO 4 : PREMIERE ANNÉE SÈCHE
• une année est considérée sèche lorsque le déficit
pluviométrique est supérieur à 40% par rapport à la
moyenne, la probabilité d'avoir une année sèche
varie de 7 à 23% dans le nord du pays et de 25 à 30%
dans le centre et le sud
• Cette situation implique une réduction substantielle
des ressources en eau disponibles,
• une chute de la production agricole et des parcours,
• des problèmes d'alimentation en eau potable dans
certaines zones sensibles à la sécheresse et la
propagation des maladies au niveau du cheptel.
Pour atténuer l'effet de la sécheresse, un ensemble de
mesures doit être arrêté et appliqué selon l'acuité de
ce phénomène :
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28. • Afin de préserver le cheptel il y a lieu d'identifier les
stocks d'aliments disponibles et le déficit à combler par
d'éventuelles importations.
• Prévoir des campagnes de vaccination du cheptel contre
les maladies spécifiques aux périodes de sécheresse.
• Afin de satisfaire les demandes en eau potable urbaines et
rurales, il y a lieu d'exploiter les forages et les points d'eau
de secours, d'intensifier l'exploitation en eau souterraine
et minimiser l'utilisation des eaux de surface, mobiliser les
moyens de distribution des eaux pour les zones rurales.
• Arrêter des schémas d'exploitation des eaux des barrages
selon l'évolution des conditions climatiques et
essentiellement l'éventualité d'avoir une deuxième année
sèche.
• Intensifier les préparatifs de la campagne agricole de
l’année suivante(les crédits de campagne, les travaux du
sol, distribution des semences….)
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30. Scénario 5 : Deuxième année consécutive de sécheresse
• La probabilité d'avoir une deuxième année sèche est peu
fréquente pour le Nord du pays ( de l'ordre de 3% ), alors que pour
le Centre et le Sud du pays elle est plus fréquente ( de l'ordre de
10% ).
• Cette situation bien qu’elle n’est pas très fréquente en général,
pose beaucoup de contraintes au niveau de la gestion de l'eau, de
la production agricole, des importations des produits de première
nécessité.
• Cette deuxième année de sécheresse génère une déstabilisation
du système de production et menace essentiellement la durabilité
des structures fragiles du système.
• Elle a par conséquent un impact très défavorable sur les revenus
des agricultures qui se traduit par un état psychologique
contraignant touchant tous les intervenants du secteur par la
migration de la population rurale vers les villes à la recherche d'un
emploi et par la perte du capital cheptel. 30
31. • Au cours de cette période, le pays se trouve à la
limite de ses réserves en ressource naturelle ce
qui nécessite des mesures plus diversifiées que
celles prises au cours de la première année.
• Afin de se protéger contre les effets négatifs sur
le secteur agricole et les autres secteurs
économique et social, le pays doit être équipé
d'une infrastructure hydraulique et adopter une
approche de gestion de ces ressources
permettant de répondre aux besoins minimum
en période de sécheresse.
• En conséquence, le pays doit disposer de
structures et de programmes d'intervention
dans les secteurs économique, technique et
social
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32. • Au cours de cette période les réserves d'eau
étaient à leur niveau minimum, une gestion
prudente des ressources établissant les
priorités et arrêtant les allocations selon les
réserves disponibles est nécessaire
• Renforcer l'exploitation des nappes d'eau
souterraine afin de soulager la demande en
eau des retenues de barrages
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33. • Renforcer les mesures entreprises au cours
de la première année relative à l'eau potable
rurale essentiellement dans les zones les plus
vulnérables
• Limiter les superficies agricoles irriguées aux
cultures stratégiques d'une part et les
cultures à faible consommation d'eau
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34. • Encourager l'exploitation optimale des eaux
usées en agriculture afin d'augmenter la
production fourragère
• Intensifier la sensibilisation à l'économie
d'eau au niveau de tous les secteurs en
utilisant tous les moyens moderne de
communications tels que , les spots
audiovisuelle, les affiches et les contacts
directs avec les grands consommateurs
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35. • Importer les produits destinés à l'alimentation du cheptel
et les distribuer au éleveurs à des prix subventionner.
Cette subvention sera couverte par des taxes imposés sur
l'importation des viandes.
• Intensifier la couverture sanitaire afin de protéger le
capital cheptel des maladies spécifiques à la sécheresse
• Organiser et contrôler rigoureusement les circuits de
distribution des produits sujets à la spéculation tels que
les aliments pour bétail. Les opérateurs concernés sont :
l'OEP, les CRDA, l'UTAP, les autorités régionales, le
Ministère du commerce.
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37. GESTION POST SÉCHERESSE
• Les principales mesures à entreprendre sont:
Intensifier !a campagne de sensibilisation
auprès des agriculteurs afin de les inciter à
préparer toutes les terres à vocation
céréalière et de profiter au maximum de
l'année pluvieuse post sécheresse. Les
intervenants sont : l'AVFA, l'UTAP, les CRDA
et la DGPA
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38. • Arrêter les grandes lignes d'un programme
de rééchelonnement des crédits en
identifiants les types de crédits, les
agriculteurs et les zones cibles de ce
programme afin de leurs faciliter l'accès aux
crédits de campagne post sécheresse. Les
différents intervenants sont ; Les CRDA, les
banques, l'UTAP, Les autorités régionales et
locales, la DGFE, la DGPDIA, la DGPA
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39. • Mettre en œuvre un programme de
distribution des semences des céréales et des
fourrages suivant l'état du stock disponible
en semences sélectionnées et ordinaires chez
les entreprises étatiques et les agriculteurs.
Les intervenants chargés de l'élaboration et
de la mise en œuvre de ce programme sont :
TOC, l'OEP, les CRDA, la DGPDIA, la DGPA,
l'UTAPE, la CCGC, La Cocéblé et la COSEM.
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40. • Evaluation des stocks d'eau dans les barrages et dans
les nappes d'eau souterraines. Les intervenants sont
la DG/ETH, la DG/RE et les CRDA.
• Reconstitution des réserves en eau souterraine par la
recharge artificielle et le soulagement des nappes
surexploitées pendant la sécheresse telles que les
nappes sollicitées pour l'alimentation en eau potable.
Les intervenants sont : la DGRE, la DGETH, la
SECADENORD, la SONEDE et les CRDA
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41. • Evaluation de l'impact des différents
programmes relatifs à la gestion de la
sécheresse qui consiste à estimer le coût de la
sécheresse, la perfection du programme adopté
et d'identifier ses défaillances. Cette évaluation
touche les aspects économiques, commerciaux,
sociaux, hydrauliques et agronomiques et
nécessite l'intervention de toutes les directions
centrales et régionales et les entreprises
publiques du Ministère de l'Agriculture ainsi que
les Ministères du Développement Economique,
des Finances et de l'Environnement.
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42. • Implication des instituts de recherche et des
universités à développer des programmes de
recherche spécifique tels que l'amélioration
des semences, du cheptel et de
l'arboriculture résistant à la sécheresse tout
en profitant de l'expérience vécue.
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43. COMMENT AUGMENTER L’EFFICACITE DES ACTIONS RELATIVES
A LA GESTION DE LA SECHERESSE
• Sécheresse et assurance agricole
• Sécheresse et banque
• Législation et sécheresse
• Relation entre les acteurs
• Incendies des forêts et sécheresse
• Pollution et sécheresse
• Comportement des projets pendant les
périodes de sécheresse
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44. • Equipements adaptés à la sécheresse
• Formation à la sécheresse
• Ouvrages hydrauliques et aménagements
(surélévation des barrages, installation de la
recharge des nappes, CES et sécheresse)
• Campagne de sensibilisions pour la
population et sécheresse
• Programme de recherche pour améliorer la
maîtrise de la sécheresse
• Gestion de la sécheresse et structure
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