1. Febelfin, un pont vers un monde financier durable et vital Filip Dierckx, Président Michel Vermaerke, Administrateur délégué Febelfin, 13 février 2012
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3. ORDRE DU JOUR Febelfin | 13 février 2012 Chapitre I Le secteur s'adapte et soutient l'économie réelle Chapitre II Continuer, dans un contexte difficile, à exercer l’activité de base Chapitre III Vers un modèle financier durable et vital grâce à la concertation Vers un monde financier durable et vital
4. Le secteur s'adapte et soutient l'économie réelle Chapitre I Febelfin | 13 février 2012
5. Le secteur s'adapte et soutient l'économie réelle - Le secteur bancaire est en pleine transformation - Le secteur bancaire exerce ses activités de base : - Dépôts d’épargne réglementés - Octroi de crédit à des conditions concurrentielles - Octroi de crédit aux entreprises - Octroi de crédit aux particuliers - Ratio “Loan to deposit” le plus faible d’Europe - Paiements efficaces - Incitation aux paiements électroniques - Paiements sûrs - Coûts peu élevés grâce à la concurrence - Evolution dans le contexte SEPA : la Belgique dans le peloton de tête - La banque par internet : grand succès et reste sûre - Le secteur est un important employeur Febelfin | 13 février 2012
6. I. Le secteur bancaire est en pleine transformation La Belgique en tête en matière de “deleveraging” Febelfin | 13 février 2012 Source : calculs Febelfin sur la base de données BNB (base consolidée) La Belgique est un bon élève sur le plan du "deleveraging" Source : BCE Total du passif du secteur bancaire belge (en mia EUR) Total des fonds propres du secteur bancaire belge (en mia EUR) Leverage (en unités) Fin juin 2007 1.595,2 48,5 31,9 Fin septembre 2011 1.184,7 55,8 20,2 Evolution en % -25,7% +15,0% -36,7%
7. II.Le niveau des dépôts d’épargne réglementés demeure élevé La confiance dans le secteur bancaire belge se maintient Febelfin | 13 février 2012 183,405 210,877 218,707 Source : BNB 217,869 Graphique, De Tijd,17 janvier 2012 Au cours du 3 ème trimestre , le taux d'épargne des ménages belges est passé de 15,8% à 17,2% Volume des dépôts d’épargne réglementés (en mia EUR) Taux d’épargne (en% du revenu)
8. III. Octroi de crédit aux entreprises Niveau élevé de l’octroi de crédit aux PME Febelfin | 13 février 2012 Febelfin (encours des crédits aux sociétés utilisés, y compris les crédits d'engagement et les crédits aux indépendants) Observatoire (encours des crédits aux sociétés utilisés); * Chiffre provisoire de l’Observatoire. De fin 2007 à fin 2011 : croissance de 18,4 mia EUR Fin déc 2010 Fin nov 2011 (taux d’intérêt moyen pondéré : 3,34%) Croissance Total encours 112,6 mia EUR 115,5 mia EUR + 2,9 mia EUR (+ 2,5%) Crédits à long terme 77,2 mia EUR 79,0 mia EUR + 1,8 mia EUR (+2,3%) Crédits aux PME 65,7 mia EUR 72,6 mia EUR + 6,9 mia EUR (+10,4%)
9. Octroi de crédit aux entreprises Crédits aux entreprises en Belgique à des taux très concurrentiels Febelfin | 13 février 2012 -1 mio +1 mio Taux d’intérêt des différents types de crédits aux entreprises Comparaison entre la Belgique et la Zone euro (en %, nov 2011, source BNB) Légende : - a: < 0,25 mio EUR, taux variable, fixation taux initial jusqu’à 3 mois -b: < 0,25 mio EUR, fixation taux initial 3 mois à 1 an -c: 0,25 à 1 mio EUR, taux variable, fixation taux initial jusqu’à 3 mois -d: 0,25 à 1 mio EUR, fixation taux initial 3 mois à 1 an -e: > 1 mio EUR, taux variable, fixation taux initial jusqu’à 3 mois -f: > 1 mio EUR, fixation taux initial 3 mois à 1 an -g: < 1 mio EUR, taux variable et fixation taux initial jusqu’à 1 an -h: > 1 mio EUR, taux variable et fixation taux initial jusqu’à 1 an
10. Febelfin | 13 février 2012 Octroi de crédit aux entreprises Crédits aux entreprises en Belgique à des taux très concurrentiels Taux d’intérêt des différents types de crédits d’entreprise Comparaison entre la Belgique et les Pays-Bas ( en %, nov 2011, source BNB et DNB) Légende : - a: < 1 mio EUR, fixation taux initial jusqu’à 1 an - b: < 1 mio EUR, f ixation taux initial entre 1 et 5 ans - c: < 1 mio EUR, fixation taux initial plus de 5 ans - d: > 1 mio EUR, fixation taux initial jusqu’à 1 an
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12. Octroi de crédit aux particuliers Des crédits hypothécaires en Belgique à des taux concurrentiels Febelfin | 13 février 2012 Taux d’intérêt des différents types de crédits hypothécaires Comparaison entre la Belgique et les Pays-Bas (en %, nov 2011, source BNB) Légende : -a: Durée initiale à taux d'intérêt fixe < 1 an -b: Durée initiale à taux d’intérêt fixe de 1 à 5 ans -c: Durée initiale à taux d’intérêt fixe de de 5 à 10 ans -d: Durée initiale à taux d'intérêt fixe > 10 ans
13. Octroi de crédit aux particuliers Importance de la capacité de remboursement Febelfin | 13 février 2012 Dans 99% du total des contrats, on ne note aucun défaut de paiement. La prudence reste de mise. Evolution du crédit hypothécaire (Source : BNB et Centrale des Crédits aux Particuliers) A fin 2010 A fin 2011 Contrats de crédit hypothécaire en cours (en nombre) (1) 2.501.787 2.689.587 Contrats de crédit hypothécaire non régularisés (en nombre) (2) 27.678 28.974 Part des contrats de crédit hypothécaire non régularisés par rapport au total des contrats hypothécaires (2)/(1) 1,11 % 1,08 %
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15. Rôle de transformation des banques La Belgique a le meilleur ratio “loan to deposit” d’Europe Febelfin | 13 février 2012 Loan to deposit ratio (en %, 2009) Source : Calculs Febelfin sur la base de données BCE. (Il s’agit de l’encours total des crédits du secteur bancaire aux secteurs non bancaires et du volume total des dépôts des secteurs non bancaires auprès de l’ensemble des établissements de crédit. UE 15 = moyenne pondérée des 15 “anciens” Etats membres de l’UE.)
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18. Paiements : sûrs et efficaces Le client retail belge bénéficie de services de paiement à moindres coûts Febelfin | 13 février 2012 Bain & Company a développé le rapport Kuneva (2009) en établissant une différentiation selon les usages bancaires par pays et en fonction du niveau de vie la Belgique reste sous la moyenne de ses voisins.
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22. 2012 … Continuer, dans un contexte difficile, à exercer l’activité de base Chapitre II Febelfin | 13 février 2012
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24. Activité de base du secteur bancaire : convertir l’épargne en octroi de crédit Febelfin | 13 février 2012 TRANSFORMATION Evolution du volume des comptes d’épargne réglementés et des crédits en 2011 Fin 2007 Fin 2010 Fin 2011 Croissance période fin 2007 – fin 2011 Dépôts d’épargne réglementés 148,8 mia EUR 214,8 mia EUR 217,9 mia EUR (Fin nov) + 69,1 mia EUR (+ 46,4%) Crédits aux entreprises 97,1 mia EUR 112,7 mia EUR 115,5 mia EUR (Fin nov) + 18,4 mia EUR (+ 18,9%) Crédits hypothécaires 126,4 mia EUR 161,7 mia EUR 174,4 mia EUR (Fin déc) + 48 mia EUR (+ 38,0%) Crédits aux pouvoirs publics 69,7 mia EUR 77,4 mia EUR 88,7 mia EUR (Fin oct) + 19 mia EUR (+ 27,3%)
25. Le secteur bancaire pourra-t-il continuer à jouer ce rôle ? Febelfin | 13 février 2012 TRANSFORMATION ?
27. Nouveau régime Loi 28 décembre 2011 Contribution bancaire belge - FSC (Evolution 2007 – 2014) Febelfin | 13 février 2012 Taux (en points de base) 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 Pas d’appl Pas d’appl Pas d’appl Pas d’appl Pas d’appl 3,5 3,5 3,5 Produit (en mio EUR) 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 Pas d’appl Pas d’appl Pas d’appl Pas d’appl Pas d’appl 249 (e) 249 (e) 249 (e)
28. Contribution bancaire belge - DGS (Evolution 2007 – 2014) PLAIDOYER DU SECTEUR POUR REGIME MULTIDIMENSIONNEL ET LIE AUX RISQUES (*) 3,1 points de base à partir du 17 novembre 2008 Nouveau régime Loi 28 décembre 2011 Febelfin | 13 février 2012 Taux (en points de base) 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 1,75 1,75 + 3,1 (*) 1,75 + 3,1 3,1 + 10 15 10 + 14,5 10 + 5 10 Produit (en mio EUR) 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 41,1 43,8 + 2,3 45,3 + 80,2 91,6 + 313,4 470,2 337 (e) + 476 (e) 337 (e) + 159 (e) 337 (e)
29. Implémentation Contribution bancaire belge en chiffres Vue d’ensemble DGS & FSC (Evolution 2007 – 2014, en mio EUR) Nieuwe regeling wet 28 december 2011 ¹Calcul sur la base du nombre de travailleurs dans les banques membres de Febelfin (CP 310, 309, 308 e.a.) qui, selon les estimations, est de 60.072 unités à fin 2011. ²Compensation “ La contribution bancaire en 2012 est de 17.678 EUR par travailleur” ¹ Febelfin | 13 février 2012 476² 159² 337 337 41,1 46,1 125,5 405 470,2 1.062 745 586
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31. 2012 … Vers un modèle financier durable et vital grâce à la concertation Chapitre III Febelfin | 13 février 2012
32. 2012 … Vers un modèle financier durable et vital grâce à la concertation Dialogue dans une perspective d’équilibre : - Soutien maximal de l’économie - Rôle responsable dans le soutien des pouvoirs publics - Conditions pour un secteur financier plus robuste et viable Febelfin | 13 février 2012
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34. Ce qui est essentiel dans la recherche d’un monde financier durable et vital “ Le chemin de l’espoir passe par la croissance” Febelfin | 13 février 2012
35. Febelfin | 13 février 2012 Ce qui est essentiel dans la recherche d’un monde financier durable et vital “Le chemin de l’espoir passe par la croissance”
I. Voir note détaillée de Dirk sur les dépôts d’épargne (avec notamment la répartition entre grandes et petites : - baisse de la part de marché des grandes banques entre novembre 10 et novembre 11 de 64 à 62,6 ; -les autres banques de droit belge ont connu une croissance de leur part de marché sur la même période de 36 à 37,4) II.Graphique relatif aux comptes d’épargne sur transparent : Le graphique rend les mouvements de nov 09 – 10 – 11 La raison de l’indication de mai 2011 tient au fait qu’il s’agit un pic III. Commentaire du sous-titre : dans les pays les plus faibles d’Europe, l’épargne se comprime, contrairement à ce qui se passe en Belgique ! IV. Le taux d’épargne a progressé au troisième trimestre de 15,8 à 17,2 % - Il s’agit du niveau le plus élevé depuis le quatrième trimestre de 2009 ! La Belgique compte parmi les meilleurs de la classe en Europe V. Pour information : volume des dépôts d’épargne réglementés à fin juin 2011 = 218.479,81 mia euro
I.Croissance de 18,4 mia EUR Début 2008, 97,1 mia EUR à 115,5 mia EUR fin 2011. II.Définitions entreprises : Petite entreprise : entreprise qui a déposé un schéma de comptes annuels abrégé (société dotée de la personnalité morale qui ne dépasse pas plus d’un des critères suivants : moyenne annuelle de l’effectif : 50; chiffres d’affaires annuel : 7,3 millions EUR; total du bilan 3,65 millions EUR, à moins que la moyenne annuelle de l’effectif ne dépasse 100). Moyenne entreprise : entreprise qui a déposé un schéma complet et qui a un chiffre d’affaires de moins de 37,2 millions EUR. Grande entreprise : entreprise qui a déposé un schéma complet et qui a un chiffre d’affaires de plus de 37,2 millions EUR. Calcul croissance : janvier 08 (100,799 mia EUR) – novembre 11 (115,773 mia EUR) = pas tout à fait 15 mia EUR
Croissance de 48 mia EUR : volume de 126,4 mia (début 2008) à 174,4 mia (fin 2011) Croissance du marché du crédit hypothécaire : Le marché du crédit hypothécaire a le vent en poupe depuis l’été 2009 Principales raisons du mouvement ascendant : taux d’intérêt attrayants, politique des pouvoirs publics visant à stimuler les investissements verts (cf. crédits verts – période 2009 à 2011 compris, pour plus de 3,5 mia EUR de crédits verts) Chiffres clés 2011 (cf. communiqué de presse de Febelfin du 7 février 2012) : Au total, ce sont 325.000 contrats (+18%) qui ont été passés pour un montant total de 27 mia EUR (+4,1%) Ce, essentiellement sous l’impulsion des crédits de rénovation (133.000 contrats) Le montant moyen emprunté se situe autour de 133.000 EUR pour un crédit hypothécaire pour l’achat d’un logement 9 crédits sur 10 sont assortis d’un taux d’intérêt fixe ! Tendance en 2012 (baromètre du crédit hypothécaire janvier 2012) (Pour pouvoir suivre plus rapidement l’évolution du crédit hypothécaire, l’Union professionnelle du crédit (UPC) établit depuis début 2009 un baromètre du crédit hypothécaire . Ce baromètre indique au début de chaque mois l’évolution du nombre et du volume des crédits hypothécaires nouvellement octroyés et demandés du mois précédent, par rapport au même mois de l’année précédente . Les pourcentages indiqués portent sur environ 80% du marché des crédits hypothécaires.) En janvier 2012, on a enregistré par rapport à janvier 2011 : moins de demandes de crédit : - 19% pour une baisse du montant sous-jacent d’un peu moins de 5%. Moins d’octroi de crédit : - 34% pour une baisse du montant sous-jacent de 27,5%. Cette tendance à la baisse peut notamment s’expliquer par l’arrivée à échéance de la mesure prévue pour les crédits verts.
Pour information : selon le communiqué de presse que Febelfin/UPC ont publié le 8 février au quatrième trimestre de 2011 9 crédits hypothécaires sur 10 étaient assortis d’un taux fixe .
Eventuellement ajouter oralement : faible taux d’endettement des ménages belges (en fait presque 55%). Si l’on compare avec les Pays-Bas, nous enregistrons de très bons résultats : à savoir, aux Pays-Bas, le taux d’endettement fluctue autours des 130% (commentaire de Peter De Keyzer sur la différence avec les Pays-Bas : 1. Aux Pays-Bas, il y a une déductibilité illimitée; 2. Le marché de la location est extrêmement réglementé aux Pays-Bas, ce qui a pour effet que pour les personnes qui déménagent, il est souvent plus facile d’acheter que de louer; 3. la quotité est aussi beaucoup plus élevée aux Pays-Bas).
Il n’y a pas encore de chiffres disponibles au niveau de Febelfin pour 2011. Selon Atos, le nombre d’opérations (POS) en 2011 aurait été de 1.249 mia: Dont cartes de débit 1.037.619.129 Dont cartes de crédit 148.379.925 Dont Proton 62.557.662 Le coût sociétal des espèces englobe e.a. la sécurité, le transport, ….
Skimming: En cas de skimming, un appareil est placé sur l’ATM qui permet au fraudeur de copier les données se trouvant sur la piste magnétique (bande noire) de la carte pour ensuite confectionner une fausse carte (pour information : la puce ne peut actuellement pas encore être copiée). Dès lors que les transactions en Europe sont essentiellement traitées sur la base de la puce (qui ne peut pour l’instant pas encore être copiée), le fraudeur doit se déplacer dans un pays extra-européen afin d’y utiliser la carte. D’où la mesure prise par une vingtaine de banques de bloquer la fonction Maestro en dehors de l’Europe. Cette mesure a indéniablement un effet dissuasif auprès des fraudeurs : seuls 70 cas de skimming ont été notés en 2011 , contre 1425 un an auparavant ! Shouldersurfing : Dans les cas de shouldersurfing, un fraudeur regarde par-dessus l’épaule du titulaire de carte, afin de prendre connaissance de son code. Il utilise ensuite une ruse pour s’emparer de cette carte. Cette scène peut se passer dans les banques en serf-service, mais aussi aux terminaux de paiement, dans les magasins comme aux stations-service. Conjointement avec la police judiciaire fédérale, Febelfin a accordé sa collaboration à VTM, Telefacts crime (et publié un communiqué de presse), afin d’attirer l’attention du public sur les modus operandi et de l’inciter à faire preuve de la vigilance qui s’impose .
En septembre 2009, la Commissaire européenne Kuneva, qui a été en son temps compétente pour les questions de consommation a publié un rapport dont il ressort que la Belgique est le troisième pays le moins cher après les Pays-Bas et la Bulgarie. L’étude de Bain & Company est fondée sur l’étude dite Kuneva.
Le SEPA (Single Euro Payments Area) vise la création d’un espace de paiement européen. Ce graphique donne un aperçu de l’ utilisation du virement européen par rapport au nombre total de virements en Belgique d’une part et à la moyenne dans la zone euro d’autre part. Il en ressort que la Belgique se trouve dans le peloton de tête et réalise un score largement supérieur à celui de la moyenne de la zone euro: en Belgique, on utilise déjà le format européen pour 47,7% de tous les virements. Le virement européen a été introduit il y a 4 ans, en janvier 2008 , sur le marché belge, à côté du virement belge. Le formulaire de virement européen permet d’effectuer des virements en euros pour des bénéficiaires situés en Belgique et dans les autres pays du SEPA , à savoir les 27 Etats membres de l’Union européenne, ainsi que l’Islande, le Liechtenstein, Monaco, la Norvège et la Suisse. Les codes IBAN ET BIC doivent être mentionnés sur les formulaires de virement européens. Le code IBAN (International Bank Account Number) est utilisé pour l’identification du compte. En Belgique, le code IBAN compte 16 caractères présentant la structure suivante : BE, suivi de 2 chiffres, puis des 12 chiffres du numéro de compte bancaire. Le code IBAN de votre compte bancaire belge est indiqué sur vos extraits de compte. Le code BIC est nécessaire pour identifier la banque du bénéficiaire. Le code BIC de la banque du bénéficiaire se compose de 8 ou 11 caractères.
La banque par Internet en Belgique est sûre, il suffit de comparer avec des pays voisins : Il existe bien des chiffres pour les Pays-Bas : pour la première moitié de 2011, pas moins de 11,2 mio EUR de fraude. Des chiffres sont également disponibles pour la Grande-Bretagne : pour toute l’année 2010, pas moins de 46 mio de livres de fraude. La question de la sécurité de la banque par internet en Belgique est couverte par une concertation unique entre banques, Febelfin, l’autorité de contrôle (BNB) et la Federal Computer Crime Unit de la police judiciaire. Le 1er décembre 2011, Febelfin a lancé un site internet, www.safeinternetbanking.be , qui présente un lexique, des statistiques récentes sur la banque par internet mais aussi les trois rubriques suivantes : “ Le criminel à l’oeuvre”. Commentaire des techniques de fraude les plus utilisées comme le phising, l’ingéniérie sociale, les logiciels malveillants (malware), etc. “ Sécurité, l’affaire de ma banque” qui propose un aperçu des mesures prises par les banques pour assurer la sécurité de la banque par internet. “ Sécurité, aussi mon affaire ?” qui donne au consommateur toute une série de conseils de sécurité. La récente hausse, en 2011, du nombre de cas de fraudes est liée à la propagation de logiciels malveillants : des virus malveillants s’installent sur l’ordinateur de l’utilisateur car cet ordinateur n’est pas suffisamment protégé. Montant moyen de la fraude : 2006 (5.701 EUR) , 2007 (11.448 EUR) , 2008 (4.650 EUR) , 2009 (8.703 EUR), 2010 (0 EUR), 2011 (1.865 EUR)
Le secteur est un important employeur : les membres de Febelfin emploient plus de 100.000 collaborateurs. Baisse structurelle : Depuis 2000, le secteur connaît une baisse structurelle du nombre de travailleurs de 2% par an en moyenne (la baisse a été un peu plus forte en 2009, soit de – 4,75% du fait de la crise). Les raisons, entre autres : consolidation, rationalisation. Sur la base des premières constatations pour 2011 (pas encore de chiffres définitifs disponibles), les chiffres semblent avoir renoué avec cette moyenne et une diminution de -2% est attendue. Engagements : Le secteur est caractérisé par une réalité démographique : 30% des travailleurs ont plus de 51 ans et se rapprochent donc de l’âge de la pension. La moyenne d’âge élevée POURRAIT avoir un impact positif sur le nombre d’engagements. En 2010, on dénombre 4.288 engagements; nous ne disposons pas encore de chiffres pour 2011 ( estimation provisoire 2.845 – chiffre provisoire qui couvre 74,4%)
Pour information : l’encours des crédits bancaires aux pouvoirs publics belges (en certificats de trésorerie, OLO et crédits directs pris conjointement).
‘ La contribution bancaire en 2012 est de 17.678 eur par travailleur’ Nombre de travailleurs dans le cadre des CP 310, 309, 308 et autres (=banques membres de Febelfin) à fin 2010 : 61.297. Y appliquer la baisse estimée de 2% (soit – 1225) : ce qui donne 60.072 collaborateurs à fin 2011. Ensuite, si on divise le montant en 2012 (1.062 mia) par le nombre d’employés, on obtient : 17.678 euros par employé Une autre possibilité est la suivante : Pour 2012: taxe d’abonnement (estimée à 173 mio euro) + DGS (813 mio) + FSC (249 mio) = 1.235 mia Si on compare cette somme aux actifs (environ 1100 mio) = 11 pb Si on compare cette somme aux dépôts (339 ) = 35 pb