Partenariat entre deux incubateurs d’entreprises à but non-lucratifs, opérants dans deux écosystèmes différents - Quel cadre théorique choisir? - Cas du Québec et de la Tunisie

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Les incubateurs d’entreprises à but non lucratif
Exemple du Québec (QC) et de la Tunisie (TUN)
Écosystèmes au Québec VS Tunisie
Rôle communautaire, socio-économique et sans
mission lucrative
Objectifs:
o Création d’Entreprises/start-ups
o Amélioration du climat entrepreneurial
o Construction ou l'accélération de la croissance
o Diversification des économies locales
Fait appel à plusieurs parties prenantes
Pertinence du choix du modèle SMART pour expliquer la
performance des incubateurs à BNL
Délimiter le champ du cadre théorique le plus approprié pour
l’évaluation de la mesure de rendement dans ce type de structure
Pertinence du choix du modèle SMART
Partenariat entre incubateurs d’entreprises à but non lucratifs
opérants dans deux écosystèmes différents
Le modèle SMART ne peut pas expliquer à lui seul la
performance dans la création d’entreprises/Start-ups.
D’autres facteurs peuvent influencer le rendement, dont
notamment:
 L’intervention des parties prenantes
QC: État à 30% ― TUN: État à 100%
 Les ressources disponibles: QC >>> TUN
 La vision et les objectifs des incubateurs a BNL
QC plus qualitatif ― TUN plus quantitatif
Cadre théorique le plus approprié
À travers le modèle SMART, il sera possible de mesurer la:
 Qualité des objectifs et des indicateurs (échelle de Likert)
 Démarcation d’un objectif et d’un indicateur SMART par
rapport à un autre. Notre démarcation était faite comme suit :
SMART = 4 ≤ moyenne < 5 et Pas SMART = 1 ≤ moyenne < 4
 Adéquation entre Objectifs et indicateurs (Corrélation de Pearson)
 Définition de la problématique et questions de recherche
 Lecture et collecte de données administratives
 Choix de méthode d’enquête et élaboration questionnaire
 Contact téléphonique
 Envoi du questionnaire
 Rappel
 Entrevue semi-directive avec 2 dirigeants d’incubateurs
 Traitement des données par SPSS et Excel
 Analyse et conclusions
Méthodologie de recherche
Les objectifs élaborés au QC sont SMART et
ne le sont pas en TUN
Qualité des objectifs et indicateurs
 72% des incubateurs québécois mesurent leur
rendement de l’extrant étudié (création d’entreprises)
 83% des incubateurs tunisiens mesurent leur
rendement de l’extrant étudié (création d’entreprises)
Pratiques de mesure de rendementCaractéristiques des incubateurs
Méthodologie et Cadre théorique
Étude d’évaluabilité
Conclusions
Mise en contexte Recommandations
Gestion axée sur les résultats
La mesure de rendement préconise
que pour être performant, les
résultats réalisés par l’organisation
doivent être cohérents avec ses
objectifs et sa mission. Ces même
résultats sont aussi un moyen de
perfectionnement continu à travers
le rôle de l’évaluation.
 Quelles caractéristiques des incubateurs au QC
et en Tun?
 Les objectifs fixés par les incubateurs sont-ils
SMART?
 Les indicateurs de mesure de rendement sont-ils
SMART?
 Fréquence de mesure de rendement dans les
incubateurs à but non lucratifs?
Questions d’ évaluation
Hypothèses
 La création d’entreprises/start-ups est le principal extrant
pour les Inc. BNL au Québec et en Tunisie
 SMART est l’indice managérial de pratique de mesure de
rendement le plus approprié pour le Québec et la Tunisie.
Modèle logique classique
Théorie de programme
Incub. BNL - TUN
Les indicateurs élaborés au QC et en TUN
Ne sont pas SMART
Objectifs
QC: Focus sur la qualité dans le processus d’incubation avec
une intervention plus accrue de différentes parties prenantes
Cadre théorique d’évaluation
Incub. BNL - QC
Cette étude avait comme objectif principal de vérifier la
compatibilité des résultats et des pratiques
managériales entre des structures ayant le même statut
(BNL) mais deux écosystèmes totalement différents.
La théorie du programme qui a été adoptée permet une
compréhension du fonctionnement à travers une logique
mécaniste et de cause à effet directs, tandis que le
rendement dépend du contexte et de plusieurs facteurs
et intervenants de différents horizons.
La théorie du changement semble plus approprié dans cet
environnement multipartite afin d’identifier les possibilités de
partenariat envisageables entre les Inc. BNL des 2 pays.
Un tel modèle, permet d’adapter les opérations et les
stratégies en fonction des changements organisationnels et
environnementales. Ça sera aussi un outil intéressant pour
les leaders tunisiens pour mettre à jour leur modèle qui n’a
jamais été révisé depuis sa mise en place fin des années 90
TUN: Incubation de courte durée, moins technologique et
majeure participation de l’ État avec focus sur la quantité