[Fr] Les mastères spécialisés - une touche de glamour
[Fr] 7 idées reçues sur la transformation digitale
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@ygourven7 idées reçues sur la
transformation digitale
19 juin 2014
ESG Paris
http://www.social-media-awards.fr
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une agence du groupe
Contactez-nous
Visionary Marketing
80 rue Taitbout
75009 Paris
01 40 18 54 04
contact@visionarymarketing.com
@vismktg
@ygourven
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social media awards
la face cachée
de la
transformation
digitale
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social media awards
la face cachée
de la
transformation
digitale
http://visionarymarketing.com/transfo
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un concept valise un peu fourre-tout
• « webification » ?
• mobile partout ?
• tout numérique ?
• utilisation par l’entreprise ?
• gain de productivité interne ?
• transformation du métier ?
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témoignage : Tanguy Moillard
le eCRM chez Bouygues Télécom
http://bit.ly/tanguym
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Quelques enseignements
eCRM ou CRM
• pas un « autre » CRM
• relation + directe
• digital = juste un moyen
• 50 etp + 1 communauté interne
• chacun sur son domaine
d’expertise
• pas de dérapages
• formation
les signaux faibles
• s’améliorer
• les râleurs sont une occasion de
s’améliorer
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Mettre en œuvre le changement
Le vocabulaire des inventeurs, des créateurs et de
leaders repose essentiellement sur des mots comme
“problème”, “expérimentation”, “résoudre”, “explorer”,
“changement”, “risque” et “prototype”.
Et par dessus tout, ils passent moins de temps à
paraître innovants qu’à mettre en œuvre des choses
concrètes.
>> why innovation is overrated, HBR blogs, Scott Berkun
“
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idée reçue n°1
la transformation digitale c’est
nouveau
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nouveau ou
renouveau ?
les années pionnières
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idée reçue n°2
la transformation digitale c’est
de la comm
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idée reçue n°7 …
pour réussir il faut tout changer
d’un seul coup et commencer
par les sujets les plus difficiles
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comparaison
Metro (2004) Leroy Merlin (2013)
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Hinweis der Redaktion
NOTRE LIVRE BLANC “LA FACE CACHEE DE LA TRASNFORMATION DIGITALE EST DISPONIBLE A L’ADRESSE :
HTTP://VISIONARYMARKETING.COM/TRANSFO
UN CONCEPT VALISE UN PEU FOURRE-TOUT
La transformation digitale, ou transformation numérique, selon les usages, on peut déjà discuter de cela, est un concept en vogue mais aussi un peu fourre-tout qui sert à invoquer des choses aussi diverses que parfois incompatibles. On peut évoquer pour commencer la possibilité de la webification des applications, notamment dans le cadre des sociétés qui recourent beaucoup au digital pour les réservations, les commandes (ex : mc Donald’s) et de plus en plus omnicanal. Également pour toutes les sociétés qui tendent à webifier des applications existantes et à les mettre sur le Web. C'est un sujet que je connais bien pour l'avoir pratiqué pendant trois ans.
Le sujet du mobile est également omniprésent, du fait de la transformation du commerce, et la transformation vers la mobilité est certainement un des sujets phares du commerce aujourd'hui et de la consommation digitale en général.
D'autres sociétés vont tous azimuts et chercha perdu numérique absolument partout jusque dans les ascenseurs. Est-ce là la martingale, je n'en sais rien ? !
On voit également des interprétations diverses autour de l'utilisation par les employés de l'entreprise, avec une explication, parfois spécieuse, comme quoi si on l'utilise en interne, on sera plus performant en extérieur. Cela n'est pas toujours prouvé. Notamment, si l'usage du numérique finit par masquer le contact avec le client, celui-ci finit par certainement devenir anti productif
Le gain de productivité interne justement est un cas intéressant, car l'utilisation du digital a toujours été comprise, si on inclut dans cette acception des choses aussi anciennes que l’introduction du mail, des réseaux sociaux d'entreprise et de la collaboration, comme un moyen d'augmenter la productivité des employés. C'est notamment le cas dans le cadre de la mobilité et de télétravail. On peut aussi entendre la digitalisation et la sommation digitale en ce sens.
Enfin, et pour moi c'est seulement ce point que je retiendrai, il y a la transformation du métier, qui consiste à utiliser les technologies digitales pour améliorer voir rendre les métiers plus efficaces ou plus performant. Dans tous les cas, ce que je note, c'est que la transformation digitale est avant toute une question de transformation et non de digital c'est un élément qui le retenir pour réussir cette fameuse transformation aussi tentait qu'il faille garder ce terme.
Je prendrai dans le domaine des médias sociaux juste un exemple : celui de Tanguy Moillard de Bouygues Télécom qui y a mis en place le eCRM.
C'est à mon avis une véritable meilleure pratique du domaine dans la mesure où, s'est expliqué très clairement dans la vidéo dont le lien est indiqué ici, (http://bit.ly/tanguym) Tanguy a mis plus en place une nouvelle forme de CRM que eCRM : c'est surtout cela qu'il faut retenir.
Il a utilisé le digital et notamment les techno et les médias sociaux pour améliorer son business et surtout de façon proactive, améliorer ses produits.
Ceci ne sera peut-être pas suffisant pour sauver Bouygues Télécom mais mérite d'être retenu comme une véritable bonne pratique.
some rights reserved - CC 2009 - visionarymarketing.com - Yann A. Gourvennec
Alors voyons maintenant 7 idées reçues de la consommation digitale et la réalité derrière ces idées reçues.
Commençons par l'idée reçue numéro un : la transformation digitale c’est nouveau. Mes lecteurs connaissent ma propension à fustiger l'idée de nouveauté. En innovation, surtout XXIe siècle, cette notion est tellement galvaudée, qu'elle mérite de d'être démystifier dès le départ.
Pour démontrer cela, je remonterai un peu dans le passé, car en fait si je regarde mon travail des 20 dernières années, dès le départ, en 1996, ce sujet de la transformation digitale est arrivé au premier plan. Et même d’une certaine manière, il était le seul qui intéressait les clients de cette époque-là et notamment mon client de l’époque Abbey National, désormais racheté par Santander, une des dernières banques mutualistes britannique de l’époque (celle de la démutualisation) avec 20 millions de clients.
Les questions qui se posaient à l'époque étaient très claires : faut-il créer une nouvelle marque ? Faut-il vendre le même produit ou service au même prix ? Faut-il créer une spin off ? Bref ! Que les questions stratégiques qui montraient bien que l'Internet venait créer une rupture business dans les modèles économiques classiques.
Hélas, les années qui ont suivi, et notamment l'éclatement de la bulle Internet ont eu tendance à cantonner le rôle du digital et de ses responsables dans des rôles techniques d'expertise, qui n'avait rien à voir avec la réalité.
Ce n’est qu’aujourd’hui qu’on voit resurgir ces questions. Ce qu’on prend pour du nouveau n’est donc, à mon humble avis, que du renouveau.
2ème idée reçue : il suffit de faire un numéro de claquettes pour présenter sa transformation digitale
Et hop ! on avale la bonne pratique tout cru ... en fait si on fait ça, on se laisse souvent berner par de faux bons exemples, enjolivés par des responsables projets trop prompts à faire leur auto-promotion. C’est un piège.
J’en veux pour preuve cet exemple souvent cité outre Manche, ce qui m’évitera de me faire des ennemis ici même …
3ème idée reçue, celle que la techno n’a aucune importance et que l’on peut donc confier n’importe quel projet à n’importe qui ... de préférence qui ne connaît rien au digital.
Or, il faut connaître beaucoup un sujet pour le maîtriser parfaitement afin d’en oublier la technique et de se concentrer sur son usage.