Présentation effectuée par Regina Reynolds, directeur du Centre ISSN US (Bibliothèque du Congrès), à l'occasion d'une série de conférences sur la norme de catalogage RDA tenues à la Bibliothèque nationale de France.
Cette présentation concerne le catalogage des publications en série, la norme RDA, la diffusion en linked open data et le format Bibframe.
L'introduction est assurée par Clément Oury (centre ISSN International).
RDA : le nouveau paradigme du catalogage (5). Bonus : un travail de veille au...ADBS
Resource Description and Access (RDA) est le code de catalogage qui remplace les règles de catalogage anglo-américaines. En 2011, la France doit décider de l'adoption de ces nouvelles règles de description. L'objectif de RDA est d'inscrire les catalogues de bibliothèques dans l'univers du web. Ces nouvelles règles s'appuient sur les modèles de données FRBR. Elles modifient profondément l'approche de la description documentaire. Les SIGB doivent s'y adapter, les professionnels aussi !
Support 1 de la journée d'études du 9 déc. 2013 sur l'évolution des catalogues organisée par le CRFCB de Marseille et le groupe technique sur l'adoption de RDA en France.
Programme des Rencontres Nationales des Bibliothécaires Musicaux | 16 & 17 mars 2015 | Metz | « La médiation » - Table ronde n°2 « Métadonnées musicales et web sémantique, le Big Data au secours de la recommandation ? » - Intervention de Nicolas Andry – Responsable Documentation et Qualité chez Archimed, ex-Responsable informatique à la Médiathèque d’Antony, blogueur (Informatheque).
RDA : le nouveau paradigme du catalogage (4). Adopter RDA en France ?ADBS
Resource Description and Access (RDA) est le code de catalogage qui remplace les règles de catalogage anglo-américaines. En 2011, la France doit décider de l'adoption de ces nouvelles règles de description. L'objectif de RDA est d'inscrire les catalogues de bibliothèques dans l'univers du web. Ces nouvelles règles s'appuient sur les modèles de données FRBR. Elles modifient profondément l'approche de la description documentaire. Les SIGB doivent s'y adapter, les professionnels aussi !
Présentation effectuée par Regina Reynolds, directeur du Centre ISSN US (Bibliothèque du Congrès), à l'occasion d'une série de conférences sur la norme de catalogage RDA tenues à la Bibliothèque nationale de France.
Cette présentation concerne le catalogage des publications en série, la norme RDA, la diffusion en linked open data et le format Bibframe.
L'introduction est assurée par Clément Oury (centre ISSN International).
RDA : le nouveau paradigme du catalogage (5). Bonus : un travail de veille au...ADBS
Resource Description and Access (RDA) est le code de catalogage qui remplace les règles de catalogage anglo-américaines. En 2011, la France doit décider de l'adoption de ces nouvelles règles de description. L'objectif de RDA est d'inscrire les catalogues de bibliothèques dans l'univers du web. Ces nouvelles règles s'appuient sur les modèles de données FRBR. Elles modifient profondément l'approche de la description documentaire. Les SIGB doivent s'y adapter, les professionnels aussi !
Support 1 de la journée d'études du 9 déc. 2013 sur l'évolution des catalogues organisée par le CRFCB de Marseille et le groupe technique sur l'adoption de RDA en France.
Programme des Rencontres Nationales des Bibliothécaires Musicaux | 16 & 17 mars 2015 | Metz | « La médiation » - Table ronde n°2 « Métadonnées musicales et web sémantique, le Big Data au secours de la recommandation ? » - Intervention de Nicolas Andry – Responsable Documentation et Qualité chez Archimed, ex-Responsable informatique à la Médiathèque d’Antony, blogueur (Informatheque).
RDA : le nouveau paradigme du catalogage (4). Adopter RDA en France ?ADBS
Resource Description and Access (RDA) est le code de catalogage qui remplace les règles de catalogage anglo-américaines. En 2011, la France doit décider de l'adoption de ces nouvelles règles de description. L'objectif de RDA est d'inscrire les catalogues de bibliothèques dans l'univers du web. Ces nouvelles règles s'appuient sur les modèles de données FRBR. Elles modifient profondément l'approche de la description documentaire. Les SIGB doivent s'y adapter, les professionnels aussi !
Conférence de la Bibliothèque de l'Université de Genève et de la BCU Lausanne, mardi 4 novembre 2014 à Genève, mercredi 5 novembre 2014 à Lausanne, Suisse
Humanités numériques, numérisations, portails... Les usages numériques se multiplient et se diversifient dans le
domaine patrimonial.
Dans un paysage en évolution (futur schéma EAD3, accroissement des usages de la TEI et développements menés par l’Equipex Biblissima, refonte de BnF
Archives et Manuscrits), des réflexions concomitantes ont été engagées à la fois par la BnF et l’Enseignement supérieur sur l’avenir de leurs outils de signalements
d’archives et de manuscrits, et se sont prolongées dans le cadre d’un groupe de travail interministériel en vue d’un dispositif national de production de données en EAD.
Cette session reviendra sur les différentes facettes des réflexions en cours : périmètres documentaires et institutionnels, base d’autorités nationale, insertion des outils de production et de publication dans des chaînes de traitement documentaires plus globales, interopérabilité des données EAD.
Après une 1re journée organisée le 29 mars, l'ABF Midi-Pyrénées et le CRFCB Midi Pyrénées Languedoc Roussillon ont proposé une 2e journée sur les enjeux organisationnels de l'arrivée de la norme RDA dans les bibliothèques, le 27 mai à Toulouse.
Support 2 de la journée d'études du 09 déc. 2013 sur l'évolution des catalogues et du catalogage organisée par le CRFCB de Marseille et les formateurs du groupe technique RDA en France.
Informatique documentaire - Cours Licence pro bib 2013Sylvain Machefert
Première journée d'une série de deux sur l'informatique documentaire, médiation numérique ...
Dans cette première journée : formats, outils, rappels méthode projet
Prenez le train de la Transition bibliographique - Journée Systèmes & Données...ABES
Prenez le train de la Transition bibliographique
Des données à FRBRiser : destinations et correspondances
Intervention conjointe lors de la journée Systèmes & Données du 06 novembre 2018
Etienne Cavalié (BnF)
François Pichenot (Médiathèque et archives de Roubaix)
Marianne Giloux (Abes)
Des données en transition - Table ronde Abes / BnF du 06/11/2018ABES
Des données en transition
Présentation conjointe de Sébastien Peyrard (BnF) et Héloïse Lecomte (Abes) lors de la table ronde du 6 novembre 2018 autour de l'implémentation de RDA-FR dans l'UNIMARC.
L'ABES a pour métier la gestion des métadonnées bibliographiques de l'enseignement supérieur français. Soit elle les récupère auprès de fournisseurs (autres catalogues, éditeurs), soit elle coordonne leur production par le réseau des bibliothèques universitaires.
Depuis 2008 et surtout 2010, l'ABES mise sur le web sémantique. Comme d'autres, elle a d'abord décidé de partager et de lier ses métadonnées sur le web de données. Cela concerne tous ses catalogues : le catalogue général Sudoc, le catalogue des archives et des manuscrits Calames, le catalogue theses.fr et sa base-référentiel de personnes, collectivités, concepts... IdRef. Ce travail d'ouverture est toujours en cours, car le principal format natif à traduire en RDF, appelé MARC, est très riche, et même touffu. Pour l'instant, l'exposition en RDF se fait à la volée, à partir d'une base XML qui stocke du MARC en XML. Passer à un triplestore semble tentant, mais on résiste... tout en cherchant une solution pour devenir interrogeable en SPARQL.
A partir de 2013, l'ABES a commencé à utiliser RDF comme pivot pour agréger et traiter des métadonnées fournies par des des tiers sous des formes très variées. Il s'agit donc de commencer à travailler en RDF, et plus seulement de l'utiliser en sortie.
Aujourd'hui, on commence à réfléchir à l'avenir des outils de production de métadonnées du réseau Sudoc. Là encore, faut-il aller vers du RDF natif ? Tout en retraçant ce cheminement qui touche tous les aspects de nos expertises et applications métier, nous tenterons d'expliciter les contraintes et les principes directeurs qui déterminent nos actions et nos interrogations.
Support 5 de la journée d'études du 09 déc. 2013 sur l'évolution des catalogues et du catalogage organisée par le CRFCB de Marseille avec les formateurs du groupe technique sur l'adoption de RDA en France.
Une présentation sur les questions relatives aux bibliothèques numériques : formats de fichiers, gestion de l'authentification, question des liseuses ...
Jabes 2021 - Session "Repenser le SI de l'Abes en période de transition(s)"ABES
Session coordonnée par Marianne Giloux (Abes).
Cette session aborde les points suivants :
- Un renouvellement conceptuel international
- Un renouvellement technologique nécessaire
- La transition bibliographique de l’Abes : l’expérimentation SudocFRBR, le FNE, le projet Sudoc21 et lme projet "Vers la LRMisation des données"
Conférence de la Bibliothèque de l'Université de Genève et de la BCU Lausanne, mardi 4 novembre 2014 à Genève, mercredi 5 novembre 2014 à Lausanne, Suisse
Humanités numériques, numérisations, portails... Les usages numériques se multiplient et se diversifient dans le
domaine patrimonial.
Dans un paysage en évolution (futur schéma EAD3, accroissement des usages de la TEI et développements menés par l’Equipex Biblissima, refonte de BnF
Archives et Manuscrits), des réflexions concomitantes ont été engagées à la fois par la BnF et l’Enseignement supérieur sur l’avenir de leurs outils de signalements
d’archives et de manuscrits, et se sont prolongées dans le cadre d’un groupe de travail interministériel en vue d’un dispositif national de production de données en EAD.
Cette session reviendra sur les différentes facettes des réflexions en cours : périmètres documentaires et institutionnels, base d’autorités nationale, insertion des outils de production et de publication dans des chaînes de traitement documentaires plus globales, interopérabilité des données EAD.
Après une 1re journée organisée le 29 mars, l'ABF Midi-Pyrénées et le CRFCB Midi Pyrénées Languedoc Roussillon ont proposé une 2e journée sur les enjeux organisationnels de l'arrivée de la norme RDA dans les bibliothèques, le 27 mai à Toulouse.
Support 2 de la journée d'études du 09 déc. 2013 sur l'évolution des catalogues et du catalogage organisée par le CRFCB de Marseille et les formateurs du groupe technique RDA en France.
Informatique documentaire - Cours Licence pro bib 2013Sylvain Machefert
Première journée d'une série de deux sur l'informatique documentaire, médiation numérique ...
Dans cette première journée : formats, outils, rappels méthode projet
Prenez le train de la Transition bibliographique - Journée Systèmes & Données...ABES
Prenez le train de la Transition bibliographique
Des données à FRBRiser : destinations et correspondances
Intervention conjointe lors de la journée Systèmes & Données du 06 novembre 2018
Etienne Cavalié (BnF)
François Pichenot (Médiathèque et archives de Roubaix)
Marianne Giloux (Abes)
Des données en transition - Table ronde Abes / BnF du 06/11/2018ABES
Des données en transition
Présentation conjointe de Sébastien Peyrard (BnF) et Héloïse Lecomte (Abes) lors de la table ronde du 6 novembre 2018 autour de l'implémentation de RDA-FR dans l'UNIMARC.
L'ABES a pour métier la gestion des métadonnées bibliographiques de l'enseignement supérieur français. Soit elle les récupère auprès de fournisseurs (autres catalogues, éditeurs), soit elle coordonne leur production par le réseau des bibliothèques universitaires.
Depuis 2008 et surtout 2010, l'ABES mise sur le web sémantique. Comme d'autres, elle a d'abord décidé de partager et de lier ses métadonnées sur le web de données. Cela concerne tous ses catalogues : le catalogue général Sudoc, le catalogue des archives et des manuscrits Calames, le catalogue theses.fr et sa base-référentiel de personnes, collectivités, concepts... IdRef. Ce travail d'ouverture est toujours en cours, car le principal format natif à traduire en RDF, appelé MARC, est très riche, et même touffu. Pour l'instant, l'exposition en RDF se fait à la volée, à partir d'une base XML qui stocke du MARC en XML. Passer à un triplestore semble tentant, mais on résiste... tout en cherchant une solution pour devenir interrogeable en SPARQL.
A partir de 2013, l'ABES a commencé à utiliser RDF comme pivot pour agréger et traiter des métadonnées fournies par des des tiers sous des formes très variées. Il s'agit donc de commencer à travailler en RDF, et plus seulement de l'utiliser en sortie.
Aujourd'hui, on commence à réfléchir à l'avenir des outils de production de métadonnées du réseau Sudoc. Là encore, faut-il aller vers du RDF natif ? Tout en retraçant ce cheminement qui touche tous les aspects de nos expertises et applications métier, nous tenterons d'expliciter les contraintes et les principes directeurs qui déterminent nos actions et nos interrogations.
Support 5 de la journée d'études du 09 déc. 2013 sur l'évolution des catalogues et du catalogage organisée par le CRFCB de Marseille avec les formateurs du groupe technique sur l'adoption de RDA en France.
Une présentation sur les questions relatives aux bibliothèques numériques : formats de fichiers, gestion de l'authentification, question des liseuses ...
Jabes 2021 - Session "Repenser le SI de l'Abes en période de transition(s)"ABES
Session coordonnée par Marianne Giloux (Abes).
Cette session aborde les points suivants :
- Un renouvellement conceptuel international
- Un renouvellement technologique nécessaire
- La transition bibliographique de l’Abes : l’expérimentation SudocFRBR, le FNE, le projet Sudoc21 et lme projet "Vers la LRMisation des données"
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
Sondage ELABE pour Les Echos et l'Institut Montaigne -Les Français et la guer...
La vie quotidienne d’unimarc
1. LAVIE QUOTIDIENNE
D’UNIMARC
Au temps de laTransition bibliographique
Philippe Le Pape
Abes ● CfU ● PUC
Paris — BNF
14 novembre 2017
Journée du groupe
Systèmes & données
3. 2002 : « MARC must die* »
• Contexte
• Les FRBR ont 4 ans
• Ni PIC, ni FRAD, ni FRSAD, ni FRBRoo, ni RDA ne sont parus
* RoyTennant, MARC must die, dans Library Journal, October 15 2002. http://lj.libraryjournal.com/2002/10/ljarchives/marc-must-die/#_
4. Pourquoi en vouloir à Marc ?
• limites du format Marc lui-même :
• Manque de granularité
• Peu de recours à des vocabulaires contrôlés
• Relations entre notices : se font de manière « intellectuelle », mais
pas sur identifiants
• Impossibilité d’enregistrer plusieurs niveaux d’imbrication
• Format « propriétaire » / pas « machine readable » au sens du web
5. Pourquoi en vouloir à Marc ?
• l’utilisation qui est faite du format Marc
• Par exemple : le non emploi des codes de fonction dans les points
d’accès aux responsables intellectuels / artistiques (zones 7XX)
6. Pourquoi en vouloir à Marc ?
• Les règles de catalogage
• leur conception même
• Exemple : la différence qui est faite entre la forme d’une mention de
responsabilité transcrite et la forme du point d’accès correspondant
• Il faut de nouvelles règles, prenant en compte FRBR
7. 2010 :Tout change ?
• 2010 : publication de RDA
• un code de catalogage « entièrement nouveau »
• fondé sur FRBR (FRAD, FRSAD)
• 2012 : la LC annonce le lancement du programme Bibliographic
Transition Initiative (Bibframe). Plus de données fournies en Marc
dans 10 ans.
8. Oui… enfin si on veut
• RDA est resté très proche dans sa conception des règles de
catalogage précédentes
• RDA applique une interprétation « prudente » des FRBR
• Ne sait pas très bien que faire de l’expression
• La grande nouveauté de RDA, c’est la notion de mise en relation
d’une notice avec une autre
9. Marc21, Unimarc : pas le même combat
• Marc21 :
• Aménagements dictés par les évolutions normatives (AACR2 RDA).
• Type de contenu, type de médiation, type de support
• Restructuration de la zone de l’adresse
• Particularités du fichier numérique
• …
10. Marc21, Unimarc : pas le même combat
• Unimarc (à l’initiative de la France)
• évolutions plus structurelles, fondées sur FRBR
• dès 2011
Notice d’œuvre (extrait) | Unimarc/A
101 ## $a fre
154 ## $a xa
241 #1 $t Qu'est-ce que la philosophie ?
500 #1 $3 FRBNF11899332 $5 xxxxa $a Deleuze $b Gilles $d 1925-1995 $4 070
501 #1 $3 FRBNF12141967 $5 xxxxa $a Guattari $b Félix $d 1930-1992 $4 070
606 ## $3 FRBNF12082253 $a Philosophie $x Fondements $2 rameau
606 ## $3 FRBNF11938038 $a Concept $2 rameau
Type d'entité : œuvre
241 :Titre privilégié de l’œuvre
500 : Créateur de l’œuvre
501 : Créateur de l’œuvre
606 : Sujets
11. Unimarc et RDA
• Aménagements dictés par les évolutions normatives
• Type de contenu (181), type de médiation (182), type de support (183)
• Restructuration de la zone de l’adresse (projet de 214)
• Particularités du fichier numérique (231)
• A l’initiative de la France
12. Évolution d’Unimarc : le PUC
• Le PUC (Permanent Unimarc Committee) est l’organe qui décide
des évolutions des formats Unimarc
• La France y est représentée par le CfU (Comité français Unimarc)
• Composé de représentants de pays majoritairement de tradition
ISBD (non AACR)
• Peu intéressés par RDA
• Toutes les propositions d’évolution liées à FRBR, puis RDA, sont le
fait de la France
13. Que faire d’Unimarc ?
• Faut-il continuer à le faire évoluer ?
• Pour l’instant oui, on en a besoin
• Ne faire remonter au PUC que des demandes d’évolution
compatibles avec RDA (international)
• Utiliser des zones / sous-zones nationales pour les règles
spécifiques à RDA-FR
14. Unimarc et LRM ?
• Garder Unimarc comme format de travail, les données étant
enregistrées autrement (par exemple : RDF) ?
• Avantage : les producteurs de métadonnées restent dans un
environnement familier
• Nécessiterait une évolution de grande ampleur
15. Unimarc standard en ligne (site IFLA) :
Unimarc/B :
https://www.ifla.org/publications/unimarc-bibliographic--3rd-edition--updates-2012-and-updates-2016
Unimarc/A :
https://www.ifla.org/publications/unimarc-authorities--3rd-edition--updates?og=33
CfU (siteTransition bibliographique) :
https://www.transition-bibliographique.fr/systemes-et-donnees/comite-francais-unimarc/
Unimarc standard en ligne, en français (site BnF) :
Unimarc/B :
http://www.bnf.fr/fr/professionnels/anx_formats/a.unimarc_manuel_format_bibliographique.html
Unimarc/A :
http://www.bnf.fr/documents/UnimarcA.pdf
16. Merci
Peintures :
Caravage. Judith décapitant Holopherne (vers 1598). Rome, Gallerie nazionali d'arte antica
Caravage. Salomé avec la tête de saint Jean-Baptiste (vers 1607). Londres, National Gallery
plp@abes.fr
Hinweis der Redaktion
« MARC must die » est le titre d’un article déjà ancien (2002 : les FRBR ont 4 ans, le long travail sur la mise à jour des « Principes de Paris » n’est pas encore engagé). Tennant y dresse un réquisitoire dont la plupart des griefs porte sur des particularités du MARC21 (pour un Anglo-Saxon, MARC veut dire MARC21) — et sur les règles de catalogage alors en vigueur (il ne parle que des AACR2 , mais sa critique pourrait s’étendre aux standards analogues). Il confond d’ailleurs parfois les unes et les autres, tant il est pressé d’en arriver au verdict déjà énoncé dans le titre.
La partie utile de sa critique est en grande partie invalidée par la méconnaissance qu’il montre du principe du catalogage normalisé, c'est-à-dire la différence qui est faite entre d’une part les données décrivant une ressource, en particulier les données transcrites de cette ressource et qui ont pour objectif de montrer comment elle se présente elle-même, et celles, ajoutées à cette description, qui ont pour but d’en faciliter la découverte dans une interface de recherche. Il confond en outre ce qui est optionnel dans les formats MARC et l’usage — ou plutôt l’absence d’usage — qui peut être fait de ces éléments facultatifs. Il pointe par ailleurs la piètre granularité du MARC en prenant pour exemple les zones 70X qui n’ont pas de séparateur entre les différentes parties d’un nom de personne. L’argument vaut pour MARC21, non pour l’Unimarc. Il passe sous silence, simplement parce qu’aux États-Unis elles sont très peu utilisées, les innombrables possibilités de mise en relation d’une notice avec une ou plusieurs autres, et cela à l’aide d’identifiants et non sur simples chaînes de caractères.
« MARC must die » est le titre d’un article déjà ancien (2002 : les FRBR ont 4 ans, le long travail sur la mise à jour des « Principes de Paris » n’est pas encore engagé). Tennant y dresse un réquisitoire dont la plupart des griefs porte sur des particularités du MARC21 (pour un Anglo-Saxon, MARC veut dire MARC21) — et sur les règles de catalogage alors en vigueur (il ne parle que des AACR2 , mais sa critique pourrait s’étendre aux standards analogues). Il confond d’ailleurs parfois les unes et les autres, tant il est pressé d’en arriver au verdict déjà énoncé dans le titre.
La partie utile de sa critique est en grande partie invalidée par la méconnaissance qu’il montre du principe du catalogage normalisé, c'est-à-dire la différence qui est faite entre d’une part les données décrivant une ressource, en particulier les données transcrites de cette ressource et qui ont pour objectif de montrer comment elle se présente elle-même, et celles, ajoutées à cette description, qui ont pour but d’en faciliter la découverte dans une interface de recherche. Il confond en outre ce qui est optionnel dans les formats MARC et l’usage — ou plutôt l’absence d’usage — qui peut être fait de ces éléments facultatifs. Il pointe par ailleurs la piètre granularité du MARC en prenant pour exemple les zones 70X qui n’ont pas de séparateur entre les différentes parties d’un nom de personne. L’argument vaut pour MARC21, non pour l’Unimarc. Il passe sous silence, simplement parce qu’aux États-Unis elles sont très peu utilisées, les innombrables possibilités de mise en relation d’une notice avec une ou plusieurs autres, et cela à l’aide d’identifiants et non sur simples chaînes de caractères.