2. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
3. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
4. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
5. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
6. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
7. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
8. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
9. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
10. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
11. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
12. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
13. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
14. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
15. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
16. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
17. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur
18. La pluie Le crachin m’attriste et me rend muet Tout l'horizon n'est qu'un blême volet Sans clocher ni sujet, un jour de brume Les gouttes frappent sans fin le bitume Le long de ma vitre ennuyeuse, pleure Un ciel sans but que chagrinent les heures La pluie tambourine dans ma mémoire Retraçant toujours cette vieille histoire Sous les averses, des branches courbées La dernière feuille morte est tombée Aux arbres se balancent quelques gouttes Qui dans l’eau finissent par chuter toutes Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … La pluie continue à tout nettoyer Le ciel gris, le village et le passé Elle noie mes efforts et tous mes propos Ses flots inondent le ciel et mon dos Pourquoi mon Dieu déverser autant d’eau Puisque demain le temps se fera beau ? Pourquoi bruiner encore ciel obtus ? La femme que j’aime ne te voit plus Et ses larmes ne sèchent que depuis Que je la réconforte jour et nuit De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur Tombe, tombe, tombe la pluie… Elle s’affale enrivières Inonde les chaumières Déborde les gouttières Il pleut des journées entières, Entières … De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur De tendresse fervente et de bonheur Car elle écoute mes contes et mon cœur