Support pour la webschool de Lons le Saunier, le 28 février 2011.
Par Pascal Minguet, TMHC
Pascal Minguet, Consultant en communication, expert en numérique, fondateur de www.tmhc.info animera cette session de rentrée.
Dans le domaine privé, le web social a littéralement explosé : blogs, Facebook, Twitter, myspace, forum d’échange et d’entraide…
3 millions de mails sont envoyés chaque seconde dans le monde, 5 milliards de minutes par jour sont passées sur facebook, 85 millions de requêtes par jour en France sont faites sur les moteurs de recherche et 100 millions de vidéos sont vues chaque jour sur You Tube …
Et dans le domaine professionnel ? comment être visible sur ces plateformes, que dire et sur quel outil ?
Repérer de nouveaux contacts, améliorer sa visibilité, optimiser son référencement, faire part de son expérience, de son expertise, dynamiser son image, écouter, détecter les centres d’intérêt et les besoins du marché…
1. Les réseaux sociaux visibilité – communication professionnelle business en entreprise, e-réputation Pascal Minguet [email_address] http://tmhc.info WebSchool du Jura – CCI du Jura WebSchool CCI du Jura - Lons le Saunier
18. Web 2.0 – Quelques succès mondiaux et rapides Web 2.0 my Space.com facebook skyblog wikipédia + 7 millions d’articles 450 000 contributeurs +10 millions visiteurs/mois 200 langues + 150 millions blogs + 2,8 millions de visiteurs / jour + 600 millions de comptes +500 millions visiteurs/mois Youtube 1,5 milliard de vidéo vue par jour
59. Merci à tous twitter : /pminguet facebook : facebook.com/pminguet [email_address] www.tmhc.info Tout est numérique
Hinweis der Redaktion
Difficile de donner une réelle définition d’un concept marketing au départ. Mais … à mon avis : le Web 2.0 c’est Internet qui « marche » vraiment et qui arrive à un age mature et grand public.
Le chiffre du jour : les ventes d'iPhone ont explosé de 626% en un an CommentCaMarche le mercredi 22 juillet 2009 à 10:45:00 (Paris - Relax news) - Apple a écoulé 5,2 millions d'iPhone dans le monde entre fin mars et fin juin, soit une hausse de 626% par rapport à la même période en 2008, a annoncé mardi soir le fabricant californien lors de la publication des résultats de son troisième trimestre fiscal 2009. Cette explosion des ventes d'iPhone est en partie liée à la sortie, le 18 juin dernier, de la nouvelle version du smartphone, l'iPhone 3G S, mais aussi de la commercialisation de l'iPhone 3G, dès l'été 2008, dans plus de 70 pays. A la même époque l'année dernière, l'iPhone n'était vendu que dans quelques pays, dont les Etats-Unis, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni. "Nous fabriquons les produits les plus innovants de notre histoire et nos clients nous suivent", a déclaré Steve Jobs, PDG d'Apple, à l'occasion de la publication de ces chiffres record. "Nous sommes enthousiastes à l'idée d'avoir vendu plus de 5,2 millions d'iPhone au cours du trimestre et pour sa première année, leurs utilisateurs ont téléchargé plus de 1,5 milliard d'applications à partir de notre App Store", s'est-il réjoui. En revanche, les ventes du baladeur iPod, autre produit phare d'Apple, ont diminué de 7% sur la période par rapport au même trimestre en 2008. Au total, Apple a écoulé 10,2 millions d'iPod de la fin mars à la fin juin. Côté informatique, les ventes d'ordinateurs Mac ont progressé de 4% par rapport au même trimestre l'année dernière, à 2,6 millions d'unités. Ces ventes ont permis à la société américaine d'enregistrer un bénéfice net de 1,23 milliards de dollars, contre 1,07 milliards lors de son troisième trimestre fiscal 2008.
Né Arpanet à la fin des années 60 autour d'un projet militaire, Internet doit sa démocratisation à l'arrivée du Web dans les années 90. L'histoire d'Internet commence par un échec. Le 29 octobre 1969, lorsque des étudiants de l'université de Californie Los Angeles (UCLA) tente de se connecter à un ordinateur de l'Institut de Recherche de Stanford en tapant « login », seuls les deux premiers caractères, « lo », sont transmis. La deuxième tentative sera la bonne. Elle valide une précédente expérience, locale cette fois dans les locaux de l'UCLA, qui avait permis de relier deux « calculateurs » (les ordinateurs personnels étaient encore de la science fiction). Fin novembre, la connexion entre les machines de l'UCLA et Stanford devient permanente et le 5 décembre 1969, des machines des universités de Santa Barbara et de l’Utah viennent s'y greffer pour former Arpanet, l'ancêtre d'Internet. Arpanet était financé par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), une agence du ministère de la Défense américaine chargée de développement de nouvelles technologies militaires. Le projet, supervisé par le professeur Leonard Kleinrock de l'Ucla, visait à construire un réseau de communications informatique décentralisé et économique afin de maintenir la liaison des principaux commandements du pays. Le mythe voudrait que ce réseau puisse résister à une éventuelle attaque massive des centres de communication du pays par l'URSS, la guerre froide entretenant la peur des attaques nucléaires. Arpanet permettait l'envoi des données de manière fragmentée en « paquets » recombinés à leur arrivée, lesquels pouvaient emprunter des chemins différents pour atteindre leur destination finale via le contrôle des routeurs, les « nœuds » du réseau. Ainsi, à partir d'un maillage assez large, même si une partie du réseau physique était indisponible, les communications entre deux terminaux étaient « re-routées » assurant ainsi la communication. L'Internet de nos jour ne fonctionne pas autrement. Si Arpanet avait des velléités militaires, les universitaires s'emparent vite du réseau et de nombreuses machines s'y ajoutent. Pour des raisons d'uniformisation du réseau, Arpanet est abandonnés au profit du protocole TCP/IP mis au point en 1974 par l'équipe de Vinton G. Cerf aujourd'hui considéré comme le « père » d'Internet. Le TCP/IP est en effet le protocole toujours employé aujourd'hui. Mais, si au milieu des années 1980, un millier de machine sont reliées entre elles, c'est le web, ou plus exactement le « world wide web » qui, en proposant une interface basée sur le lien hypertexte, va simplifier la liaison des documents (les « pages » web) entre eux et leur consultation via un principe de navigation dynamique. Le Web est mis au point en 1991 par Tim Berners-Lee et ses équipes du CERN de Genève. S'ensuivra l'apparition du premier navigateur graphique stable, NCA Mosaïc en 1993 développé sous la responsabilité de Marc Andreessen qui commercialisera ses développements avec Netscape Navigator en 1995. Suivront Internet Explorer, Opera, Firefox (né de la chute de Netscape), Safari... Entre temps, Internet s'organise autour des serveurs de noms de domaines (DNS) qui permettent de traduire une adresse numérique en adresse alphabétique plus simple à mémoriser (62.128.130.61 en Silicon.fr, par exemple). La micro-informatique se démocratisant dans les foyers, les développements de services en ligne n'ont cessé de se multiplier. Aujourd'hui, les Facebook, Twitter, MySpace, Yahoo, Google, Ebay, Wikipedia, le P2P, les blogs, la messagerie instantanée, l'e-mail, etc., animent aujourd'hui le web auprès d'1,6 milliard d'internautes dans le monde. Et ce n'est qu'un (bon) début. Selon les propos de Leonard Kleinrock recueillis par l'AFP, «la prochaine étape, c'est de faire entrer [Internet] dans la vraie vie».
Évidemment le Web 2.0 c’est avant tout des succès grand-public incontestables. C’est peut être d’ailleurs ce qui déroute les professionnels. Il faut dire aussi que certains professionnels, qui ont peut être la tête dans le guidon ont peur que les utilisateurs deviennent acteurs, producteurs…Dans tous les cas le succès du Web 2.0 va créer des générations d’utilisateurs totalement différents, demandeurs et critiques. La génération Nintendo arrive à la fois en entreprise mais aussi du côté des consommateurs. Va falloir agir et vite.
Après la génération Nintendo, les Geeks, ont voit la génération des des millenials. Ils maîtrisent leur blog, my-space, facebook, utilisent Msn sur leur téléphone portable, zappent, taguent, publient…Connaissent tout des derniers Wigdgets ou gadget Google et sont déjà en train de visiter le ciel avec Google Sky ou universe Ils ont 2.0 Ils sont exigeants, ne comprennent pas qu’il ne peuvent pas avoir accès aux informations, aussi facilement et simplement qu’avec le Web. Là va falloir faire vite. Après ont a toute la génération très proches des early adoptors
Côté entreprise il y a des constats qui font mal et qui tranchent avec les possibilités et l’ergonomie du Web 2.0 (entre nous à l’arrivée des PC et des premiers tableurs on a vécu à peu près les mêmes choses, en moins rapide et moins fulgurant). L’entreprise a mis sont informatique et son système d’information au service de sa production, de son développement. Elle continue à améliorer et optimiser les processus pour plus de flexibilité, d’agilité… (aussi parce que sur le marché l’entreprise qui ne s’adapte pas meurt) Évidemment que l’entreprise (hors TPE et une partie des PME) a mis en place des messageries, des groupware, des outils collaboratif de première génération Internet. Les changement au niveau technique, utilisateurs sont « acquis ». Les gains en terme de productivité sont au centre des préoccupation et au main des directions métier… L’information structurée est gérée, partagée… Mais 80 % de l’information tacite (process, savoir-faire, connaissance client, métier…) sont encore dans la tête des gens, voir d’une ou deux personne.. Le départ à la retraite / papy boom, l’a démontré et le démontre dans des métiers même très tertiaire comme la banque ou l’assurance mais encore plus dans l’industrie…. Ce sont les informations tacites. Elles sont vitales et capitales pour l’entreprise.
Le marketing viral se définit comme une action menée par une entreprise afin de se faire connaître, d'améliorer ou de repositionner son image ou celle de ses produits auprès d'un public cible. La spécificité de ce type de marketing est que les consommateurs deviennent les principaux vecteurs de la communication de la marque. Par intérêt, curiosité ou amusement, ils diffusent l'information à leur réseau de connaissances. Cette technique présente trois avantages principaux. D'une part, son coût est bien plus faible que celui du marketing direct ; d'autre part, l'intensité et la rapidité de diffusion du message peuvent être très importantes, avec un « auto positionnement » sur le public ciblé. Enfin, le message bénéficie d'une connotation positive liée à sa prescription par le biais d'une connaissance. D'un point de vue terminologique, la Commission de Terminologie en donne la définition suivante : « Technique mercatique reposant sur la transmission de proche en proche, par voie électronique, de messages commerciaux ». Elle proscrit les termes de marketing viral et de marketing de propagation, et préconise l'usage de bouche à oreille électronique. Le E-marketing est un domaine du marketing basé sur l’accomplissement d’objectifs par l’utilisation de technologies de communication électronique telles que l'Internet, le courriel, le Livre électronique, les bases de données, et le téléphone portable. C'est un terme plus général que celui de cybermarketing ou de webmarketing qui sont limités techniquement à l’emploi d’Internet (dont le Marketing 2.0).
La communication, via Intranet, les outils collaboratifs (encore que pour la communication interne…) ont été mis en place mais cette communication reste encore de Haut en bas pour ne pas dire Top Bottom
Dans l’entreprise 2.0, on est moins hiérarchique (même si certaines entreprises ont déjà amorcé cette mutation, le « gap » a franchir est encore important. C’est là que l’on parle de groupe, de communauté, de réseaux de compétences ou sociaux…. Ce qui s’amorce fortement sur Internet grand-public et au delà. (6nergies, facebvook, viadéo…) Le partage et le partage de connaissance via les Wiki…
Selon Médiamétrie, la France comptait 37,5 millions d'internautes en juillet 2010, soit une hausse de 13 % par rapport à juillet 2009. Cela représente encore 70 % des Français. Le taux de pénétration du haut-débit à domicile atteint 96,9 % de la population internaute, en hausse de 18 % sur un an. 44% des foyers européens connectés Commentaire 44 % des foyers de l'Union Européenne ont accès à Internet, selon une étude menée en décembre 2006 par la Commission Européenne auprès de 27.000 ménages. En tête du classement figurent les Pays-Bas avec un taux de 80 % des ménages, suivis du Danemark (77 %), puis de la Suède (69 %). Avec 44 % de ménages, la France figure en 12 ème position.
Le profil des internautes français se rapproche petit à petit du profil de la population française de manière générale. Ainsi, la répartition hommes / femmes qui atteignait 60 % d'hommes en 2001 est désormais à 51,4 % d'hommes au 4ème trimestre 2009. De même, le nombre de CSP+ qui était de 48 % en 1999 est passé à 32 %, se rapprochant de la moyenne française (27 %). Enfin, l'âge reste la différence majeure entre la population Internet la population française. Plus de 26 % des internautes ont moins de 25 ans contre 20 % des Français. Et 26,7 % des internautes ont 50 ans et plus contre 41 % des Français.
Selon une étude d'Ipsos MediaCT, 34 % des internautes informent leurs proches des bons plans trouvés sur Internet concernant les marques. Ils sont 30 % à laisser une évaluation de la prestation après un achat en ligne quand cela leur est possible. Un peu moins, 26 %, laissent un avis dans la même situation. Enfin, seulement 16 % donnent l'adresse e-mail de proches pour qu'ils reçoivent des informations sur les nouveautés d'une marque et 9 % transmettent des publicités vidéos à leurs amis.
Lors de la seconde édition de leur Indice d'influence du numérique, Fleishman-Hillard et Harris Interactive ont mesuré en France une hausse de 15 points pour Internet en l'espace de deux ans. L'indice d'influence du média atteint 53 % cette année. Au contraire, l'indice d'influence de la télévision sur les internautes n'est que de 27 % en 2010, soit un recul de 8 point en deux ans. Malgré le développement de l'Internet mobile, le trafic de SMS continue de croître à un rythme soutenu en France notamment grâce à l'abondance des offres illimitées. Plus de 24 milliards de SMS ont été envoyés au cours du deuxième trimestre 2010, contre 15 milliards un an auparavant, et en hausse de 8,8% par rapport au trimestre précédent. Cela qui représente un envoi de 134,5 textos par client actif.
57 % des consommateurs consultent les avis d'internautes avant achat Selon une étude menée par le Credoc pour le compte d'eBay, 45 % des consommateurs pensent qu'Internet leur permet d'acheter mieux et moins cher. Comment ? Par la consultation des avis des internautes que 57 % des répondants pratiquent, notamment sur les blogs. Ils sont autant à comparer les prix grâce à la Toile. Une démarche qui permettrait à 77 % des personnes de faire des économies.
La thalassothérapie serait plus développée sur Internet en France que le thermalisme. En effet, selon une étude réalisée par Precepta, 77 % des sites de thalassothérapie observés offrent la possibilité de réserver directement en ligne contre seulement 35 % des sites de thermalisme.
La Fevad a recensé 16 000 sites marchands actifs supplémentaires en France en un an, soit une hausse de 29%. Le montant des paiements en ligne, à 12,7 milliards d'euros, a augmenté de 31% au cours du premier semestre 2010. Le nombre de transactions est en hausse de 26%, à 136,9 millions. Et le montant moyen d'une transaction a augmenté de 4%, à 93 euros contre 89 euros en décembre 2009. La croissance des ventes de l'e-commerce en France retrouve au cours du premier semestre 2010 le niveau de 2008, dans un contexte global de retour de la croissance pour le commerce de détail, en hausse de 2% selon la Banque de France, contre une baisse de 1,4% en 2009. Selon la Fevad, le chiffre d'affaires global est de 14,5 milliards d'euros. Le chiffre d'affaires 2010 devrait avoisiner 30 milliards d'euros.
Après 19 % de croissance en 2008, le marché de l'e-commerce BtoB a stagné en 2009. Cependant, selon les chiffres enregistrés par le panel ICE de la Fevad, le premier trimestre 2010 présente une reprise conséquente puisque le marché affiche une croissance de 14 % par rapport au premier trimestre de l'année précédente. Ce dernier avait connu pour sa part une perte de 2 % par rapport à la même période en 2008.
Au moment de préparer leurs voyages, 77 % des Français - en tout cas ceux connectés à Internet - se tournent vers le Web, selon une étude réalisée en ligne en janvier 2009 par le cabinet Protourisme. Une domination écrasante puisque le deuxième canal d'information, le bouche à oreille, n'est cité que part un tiers des répondants, devant les offices de tourisme (27 %), les guides et agences de voyages (21 % chacun).