3. PRODUIRE LA WEB-INFORMATION
Quelles sont les armes à notre
disposition ?
L’écriture
La photo
Le son
La vidéo
Le live
Les data
L’infographie
4. ÉCRIRE POUR LE WEB
Premier « cliché » : la longueur des papiers
IL PARAIT qu’il faut écrire court sur le Web. Plus court qu’ailleurs en tout cas.
L’information se consommerait plus rapidement : il faut donc des contenus
courts, stéréotypés selon quelques règles simples…
>>> Ce n’est pas totalement faux.
La lecture sur écran fatiguerait l’œil 25% plus vite que sur tout autre support
selon l’ergonome Jacob Nielsen
L’œil est d’autant plus sollicité que le personnel et le professionnel se
mélangent allègrement, le « personal stuff » et le « serious business »
cohabitent – lire « Le Monde », Facebook, un mail d’une copine, checker le
Tweetdeck, le pop-up Google Agenda du rendez-vous de 15h…
La surabondance d’information conduit (ou conduirait) à faire concis pour être
compris
5. ÉCRIRE POUR LE WEB
Certains média cherchent effectivement à faire du court pour le court.
En France, Atlantico se vantait à ses débuts de ne jamais faire plus de 3 000 signes
(hors chroniques extérieures qui elles, pour le coup, peuvent atteindre jusqu’à 20
000), calibrage des commentaires (400 signes), « link journalism » (Slate en fait
aussi)
Drudge Report : l’ancêtre du « link journalism »
D’autres font délibérément le choix inverse
Le New York Times n’hésite pas à écrire du 20 000 signes SUR LE NET (quitte à
découper leurs articles en plusieurs pages)
ProPublica ne fait QUE ça : du long sur le Web. Et de l’investigation. Modèle
assumé de Mediapart.
6. ÉCRIRE POUR LE WEB
Ou on s’en tire avec plus de long que de court au final (pour l’instant ?)
Slate, par exemple, fait du « link journalism » mais pond souvent des papiers
d’au moins 6 000 signes (Atlantico, au fond, fait de même)
OWNI avait pour habitude de faire dans la longueur
Hors dépêches, les médias généralistes excèdent régulièrement les 3 feuillets
Et il y a une raison simple à cela : la notion de calibrage est dépassée, le
Web a un stockage (quasi) infini !
Info courte vs. Info longue : privilégier la quantité (logique de flux) ou celle de
qualité (logiques d’investigation mais aussi de curation) ?
(Mais pensez au lecteur quand même, veut-il vraiment s’infliger 9 000 signes ?
Une infographie ne ferait-elle pas mieux ?)
7. ÉCRIRE POUR LE WEB
Comment organiser un papier Web ?
Quelques petites règles de base (il y en
a quelques-unes, mais fort peu)…
Pas de révolution : les « 5W » (what, who,
where, when, why) doivent arriver vite, de
préférence dans la première partie du papier
si celui-ci est long
Corps de l’article : informations importantes
plutôt au début, le secondaire à la fin.
Un paragraphe, une idée – quitte à ce qu’ils
soient de taille inégale
Bref, la « pyramide inversée » est encore
plus importante sur le Web que sur un
support papier !
Et ceci est d’autant plus important que
c’est…
qui dirige (presque) tout
8. ÉCRIRE POUR LE WEB
Second cliché : « Sans référencement, je suis impuissant »
En pratique >>> Il est important d’y songer après l’écriture d’un article – au
niveau du secrétariat de rédaction notamment – car un article bien fichu
mais mal référencé a toujours moins de chances d’être lu qu’un mauvais
feuillet avec un SEO bien réfléchi
… bref, faire plaisir au « Googlebot » !
Deux éléments au niveau de la rédaction :
Importance des liens sortants : faire référence à d’autres papiers dans
votre papier. Et espérer obtenir la réciproque. Un papier bien linké est
considéré par le Googlebot comme mieux « rempli » qu’un texte sans URL
externe
Répéter certains mots-clés fondamentaux de votre papier… mais pas trop,
sans quoi votre article serait illisible. Bref, si vous pouvez être le papier de
référence (ce que Google aime bien aussi)
Deux autres points au niveau de la « mise en page » :
Mettre les principaux termes en gras. Importance du chapô et des « sous-
titres » : le Googlebot lit en priorité les 1 000 premiers signes d’un papier
Réfléchir à une URL optimisée SEO (Slate.fr est le roi de l’URL
tarabiscotée mais efficace)
9. ÉCRIRE POUR LE WEB
Ceci étant…
Vous n’êtes PAS les esclaves de Google !
Les critères « réclamés » sont en soi légers – le gras aide même au
confort du lecteur – et chaque « Google guru » aura ses « trucs et
astuces » bien à lui
Il n’interdit EN RIEN les textes longs – bien au contraire :
Plus de possibilités de placer des occurrences pertinentes (et ainsi
d’éviter de placer 6 fois le même mot dans un feuillet comme on
pourrait le croire)
Plus de possibilités d’insérer des liens (enfin, pas trop, il ne s’agirait pas
de noyer le lecteur non plus…)
Vous pouvez écrire des sujets sérieux !
En lisant les histoires du « Découvrir » de Twitter, on pourrait croire que
les sujets « sérieux », « lourds » ne marchent pas sur le Web. Dans
Google News, il y a déjà (un peu) plus matière à se réjouir. Mais surtout…
> Un sujet complexe traité avec un format pertinent (infographie,
mapping… bref tout ce qu’on va voir dans les prochains slides)
SERA LU par le lecteur car CELA L’INTERESSE
10. LA PHOTO
Plusieurs possibilités de se « fournir » en photos :
Les faire soi-même (pas toujours possible…)
Ceci étant, les smartphones peuvent fournir des contenus photo de qualité
suffisante pour le Web
Au cas où, rajouter un filtre Instagram (juste pour le côté
social)/PixlrOmatic/PiMagic
Voir chez les agences (payant, évidemment)
Explorer le monde du gratuit : les licences Creative Commons.
Deux sources principales : Flickr et Wikimedia Commons
Coexistence de contenus libres de droits et d’autres réservés !
Mention obligatoire de la source (la base, tout de même…)
Et, bien entendu, A NE PAS FAIRE : reprendre une image pêchée sur Google sans
autorisation car, justement, grâce à Google (et aussi grâce aux données EXIF de la
photo) il est aisé de savoir qui s’accapare des contenus photographiques sans en
avoir eu le droit !
Exemple de #Fail : la photo de l’affiche de campagne « La France Forte » de
Nicolas Sarkozy identifiée comme celle d’une mer de Grèce grâce aux EXIF
11. LA PHOTO
Creative Commons : késako ?
« Creative Commons est une organisation à but non lucratif qui a pour dessein
de faciliter la diffusion et le partage des œuvres tout en accompagnant les
nouvelles pratiques de création à l’ère numérique. »
Plusieurs licences permettent pour l’utilisateur de contrôler ce qui peut être
réutilisé/remixé de son site, de ses œuvres, … et dans quelles conditions.
Cela concerne donc un champ de contenus beaucoup plus large que celui des
photos : sons, contenus textuels…
Plusieurs moyens de se procurer ces contenus réutilisables…
12. LA PHOTO
Via Google : la « Recherche Avancée » permet de sélectionner uniquement
des images en Creative Commons, choisir un type de licence
particulier…
http://support.google.com/websearch/bin/answer.py?hl=fr&answer=295
08
Via Wikimedia Commons : http://commons.wikimedia.org/wiki/Main_Page
Et sinon, pour coordonner tout ceci, une seule adresse (et pas que pour les
photos d’ailleurs) :
http://search.creativecommons.org
Ceci étant, si vous êtes en rédac, vous parlerez plutôt en photos
AFP/Reuters/AP (mais individuellement on va plutôt s’en tenir à du gratuit
pour l’instant)
13. LA PHOTO
Réaliser des slideshows photos : simple et souple
Galerie Flickr : pour regrouper des photos, les organiser en album… Un usage
« à la base » personnel mais qui peut tout à fait être professionnel – tout
dépend du mode de partage des contenus choisi.
Exemples d’utilisation
Les slideshows du groupe CCM Benchmark (L’Internaute, Journal du Net…)
: http://www.journaldunet.com/management/emploi-cadres/entreprises-qui-
recrutent/
France TV Info : http://www.francetv.fr/info/un-oeil-sur-l-actu_69151.html
A noter : comment connaître l’origine d’une photo ?
Tineye : http://www.tineye.com
En retirer son EXIF : Jeffery’s Exif Viewer - http://regex.info/exif.cgi
(Comme ça, si quelqu’un vole une photo, c’est TROP FACILE de le choper)
14. LA PHOTO
Editer une photo : En faire une photo interaactive Voir même un GIF : Picasion !
- GIMP :
- Photoshop - Thinglink (annotation)
- Pixlr - Stipple (annotation sociale)
- Social Media - Dermandar (panorama)
Image Maker
15. LE SON
Plusieurs possibilités de se « fournir » en son :
Bases de données audio
Gratuites : Freesound, Archive.org
A noter : Jamendo (Creative Commons)
Plateformes spécialisées
Mixcloud : peu de contenus média – et non téléchargeables – mais peut
constituer une base de sources
Soundcloud : plus souple que Mixcloud, les média y arrivent tranquillement…
Et, bien entendu, les faire vous-même (mais ça coule de source…)
16. LE SON
Que faire du « produit sonore » créé ?
Mixcloud
Utilisé surtout par les DJ, il est une plateforme rêvée pour les podcasts
Pas de limite dans la taille des uploads
Possibilité d’étiqueter des épisodes (« timecode »)
Impossibilité de télécharger (question de droits d’auteur) mais embeddable
Encore assez méconnu par les média, en dehors de Newsweek et la NPR
(National Public Radio, USA)
17. LE SON
Que faire du « produit sonore » créé ?
Soundcloud
Plateforme audio beaucoup plus « connue » que Mixcloud
Limite dans la taille des uploads en mode gratuit (2 heures de son sur un
compte)
Possibilité de paramétrer le partage et le téléchargement des fichiers
(Un peu) plus facile de l’utiliser via un mobile que Mixcloud
Média qui l’utilisent : France 24, RFI, ESPN (sport), Radio Campus France (si si)
et quelques journalistes indépendants
(D’ailleurs, je parle de celui de Radio Campus Grenoble ou pas ?)
18. LE SON
Que faire du « produit sonore » créé ?
Audioboo
Une utilisation plus axée sur le smartphone que Mixcloud et Soundcloud
Possibilité d’ajouter des photos de votre téléphone à votre son (« boo ») pour
faire un diaporama sonore basique à partir de votre seul mobile
Alternative moins commode (mais illimitée en temps d’upload) : Minch
Via lecteur intégré au site : dépend de la plateforme/CMS utilisée.
Conseil d’ami : si le site est paramétré en Real Player, gifler le webmaster et
demander autre chose.
19. IMAGE + SON = DIAPORAMA SONORE
• Moins lourd à réaliser qu’une vidéo, un diaporama sonore peut tout à
fait convenir comme produit journalistique si le besoin d’ « animation »
n’est pas primordial.
• A retenir : un diaporama sonore peut tout à fait être considéré comme une
vidéo quand vous aurez besoin de le mettre sur une plateforme comme
Youtube.
Principal logiciel de
création de
diaporamas sonores :
Soundslides (version
gratuite limitée,
version de base
à $40)
Alternative à
Soundslides :
VUVOX.
20. IMAGE + SON = DIAPORAMA SONORE
• Moins lourd à réaliser qu’une vidéo, un diaporama sonore peut tout à
fait convenir comme produit journalistique si le besoin d’ « animation »
n’est pas primordial.
• Exemple d’utilisation simple d’un diaporama Soundslides : ICI
• Tous les échantillons de diaporamas sonores du Guardian : ICI
• Site spécialisé dans les diaporamas sonores : le « Diasporamas » de
Morgane Tual
21. LA VIDÉO
Plusieurs possibilités de se « fournir » en vidéos :
Les faire soi-même (pas toujours possible…)
Soit en plateau
Soit avec une caméra de télévision « normale »
Soit avec des outils type Smartphone : la qualité est souvent suffisante pour les
standards de la publication vidéo en ligne.
Quid de Vine, déjà utilisé par Euronews ?
Youtube Capture, sur le même modèle
Tout, entre Vine et réseau social people
Soit avec des outils en ligne : Skype, Twitcam, Livestream, Ustream, Google+
Hangout…
22. LA VIDÉO
Plusieurs possibilités de se « fournir » en vidéos (2)
Voir chez les agences (payant, évidemment)
Embedder des contenus existants
Vidéos Youtube, Dailymotion, Vimeo, Wat, LiveLeak, Metacafe…
Vidéos de média sur leurs propres sites
Deux limitations à noter : les vidéos sont à prendre tel quel… Et tous les média
et/ou posteurs de vidéo n’autorisent pas forcément l’embed ! (genre l’AFP)
23. LA VIDÉO
Que faire du « produit vidéo » créé ? Deux grands champs de possibilité :
L’héberger soi-même
Contrairement aux documents et sons (et encore, ceci est tout relatif), les
fichiers vidéo sont beaucoup plus lourds en termes de taille
Nécessité d’avoir un FTP résistant et un gros stockage
Passer par l’upload chez Youtube, Dailymotion, Vimeo…
Création d’une chaîne spécialisée pour vous ou votre média
Beaucoup plus facile à partager
Que ce soit sur les réseaux sociaux…
… que de fixer les modalités de ce partage, justement !
(et si vous n’avez pas de vrai serveur dédié, à vrai dire, vous n’aurez pas le
choix)
24. LE LIVE
Faire du live via le Web peut se faire de plusieurs manières :
En vidéo :
Dailymotion autorise le live. Une télé dans votre ordinateur pour les programmes
qui acceptent d’être « streamés » !
Exemple : « Des clics et des claques » d’Europe 1
Aussi sur Youtube, avec le « Vinvinteur » de France 5
Les outils de stream : Livestream, Ustream, Twitcam
25. LE LIVE
Faire du live via le Web peut se faire de
plusieurs manières :
En textuel :
Outils de live : le principal a longtemps été
CoverItLive
« Le Monde » utilise une solution maison
qui en est très proche (et développée par
CIL)
ScribbleLive est la meilleure alternative
Storify (que l’on développera plus tard) est
un outil intéressant de « live différé »
26. LE LIVE
Faire du live via le Web peut se faire de
plusieurs manières :
En textuel :
Pas forcément besoin de passer par un
outil spécifique… si on pense à Google
Beaucoup de sites gardent le format
textuel brut qu’ils alimentent au fur et à
mesure…
… en modifiant la date de « publication »
du contenu…
… pour que Google croit que c’est un
nouveau papier…
… et qu’il le remonte sur Google News !
27. LES DATA
Puisque Word ne suffit pas (plus)…
Il va falloir passer à Excel !
Le « data journalism », ou « journalisme de données », rend les data – sur
le papier si barbantes – plus intéressantes… et graphiquement
parlantes.
Il existe une multitude d’outils permettant, sur la base de ces données, de
réaliser de jolies choses :
Mapping :
Google Maps : http://maps.google.com/maps?hl=fr&tab=Xl
Open Heart Map : http://www.openheatmap.com/gallery.html
CommunityMap (technologie Google) : http://www.communitywalk.com/
CartoDB, ZeeMaps, MapTales, MapBox (cartes dans le « cloud »)…
Data-visualisation : Google Fusion Tables, Tableau Public…
28. LES DATA : MAPPING
Mapping sorti le 6 mars 2012 :
étude cartographique de la
pauvreté en Angleterre
(Guardian)
Différents niveaux de lecture :
risque de pauvreté, risque
de maladies pulmonaires,
de déscolarisation…
Sous la forme d’un « rank » de
1 à 280 (280 comtés en
Angleterre)
29. LES DATA : MAPPING
Mapping perso réalisé pour feu Pigemag sur les élections cantonales en Isère :
résultats en temps réel par localisation.
30. LES DATA : CE QUE GOOGLE PROPOSE
Google Chart Tools (pour faire des
graphiques simples) :
http://code.google.com/apis/cha
rt/image/docs/making_charts.ht
ml
Google Fusion Tables :
http://www.google.com/fusionta
bles/public/tour/index.html
Plus complexe : Google Refine
Exemple d’utilisation de Fusion
Tables
31. LES DATA : DATA-VISUALISATION
Tableau Public :
http://www.tableausoftware.co
m/public/training
Many Eyes (IBM) : http://www-
958.ibm.com/software/data/cog
nos/manyeyes/page/Data_Form
at.html
Vidi : http://www.dataviz.org/
32. L’INFOGRAPHIE
Infogr.am permet, à partir d’un ensemble de modèles
préétablis, de réaliser sa propre infographie
interactive.
Comme ici sur ce blog de la « Monde
Académie ».
Service gratuit et simple, encore en version bêta.
Très fort potentiel de développement.
33. L’INFOGRAPHIE
Plus poussé que Infogr.am, Visual.ly sert de
« communauté » des data-visualisations.
Catalogue d’outils plus confidentiels mais
servant pour des besoins précis : la boîte à
outils de l’Expoviz !
Et l’indispensable DataBlog du Guardian
35. L’INFOGRAPHIE : STORIFY
Le principe : agréger des contenus pluriels pour en faire une
histoire complète.
Photos : Flickr, Instagram
Twitter : recherche par hashtag, par utilisateur…
Facebook : statuts
Liens URL
Google : résultats de recherche, images, vidéos (+ Youtube)
Autres Storify
Et on peut aussi ajouter du texte à l’intérieur de la Storify (en
plus du titre et du chapô)
C’est donc à la fois un outil de live et de curation – « séparer
le bon grain de l’ivraie » est une expression qui lui
correspond particulièrement bien…
La « machine à écrire » du XXIème siècle ?
36. L’INFOGRAPHIE : STORIFY
Exemple du volet d’édition d’une Storify… Et le résultat >>
Storify de la manifestation
anti-ACTA du 25 février 2012
37. L’INFOGRAPHIE : STORIFY
Quand utiliser une Storify ? Cet outil – à la base – de curation est
particulièrement adapté à certains types d’utilisation :
Evènements en live. La simplicité de l’interface et sa connexion en temps réel
aux différents réseaux sociaux imbriqués (Twitter, Facebook, Flickr) lui permet
une très grande instantanéité
Manifestations
Conférences
Cérémonies (Oscars)
Comptes rendus d’activité sur les réseaux sociaux. Storify permet en quelques
clics de resituer des débats/discussions qui ont eu lieu sur les réseaux, que ce
soit en matière politique, économique ou plus généraliste
38. L’INFOGRAPHIE : STORIFY
L’outil Storify s’adapte automatiquement au CMS Wordpress.
Une Storify peut ainsi constituer en 2 CLICS maximum un article comme un autre
sur un site d’information fonctionnant sous ce CMS
Encore peu utilisé en France (hors « Le Lab » d’Europe 1 et des sites liveurs
comme Europe 1 ou Atlantico qui fort du Storify-like) mais à l’international
plusieurs s’y sont déjà mis :
Le LA Times ou encore le Washington Post l’utilisent (genre, pour rendre compte
des Grammy Awards http://storify.com/washingtonpost/grammy-awards-2012)
BBC pour rendre compte… du Marathon de Londres !
http://storify.com/bbclondonnews/your-story-of-marathon-2011
Breaking News (qui a écrit l’une des Storify les plus vues avec ce compte-rendu en
images d’une série de tempêtes dans le sud des Etats-Unis
http://storify.com/breakingnews/storms-in-the-south)
La Storify automatique ? http://storify.com/sxsw
39. L’INFOGRAPHIE : LES CHRONOLOGIES
Comment organiser un ensemble de dates, d’évènements, sous forme de
frise chronologique ?
- Dipity, l’ancêtre
- TimelineJS
Niveau ultime de la chronologie interactive (pour l’instant
> les dix ans de Last.fm (basée sur une architecture JS)
40. L’INFOGRAPHIE : PREZI
> A la base, Prezi est un outil de présentation alternatif à PowerPoint.
Très joli, qui bouge tout le temps mais avec des possibilités de
personnalisation encore limitées (à moins d’y mettre un peu le prix)
Applications :
Un CV Prezi, c’est rigolo http://prezi.com/nw3u4c18mk9o/web-cv/
Une utilisation média de Prezi, c’est encore rare http://www.francetv.fr/info/la-
galaxie-sarkozy_63135.html