1. Nôtre Château Mondralac a été construit de pierre et d'or pur.
Il y avait aussi un jardin de 1100m² et trois-cents Roses Blanches, deux-cents-quatre-vingt-dix-huit
tulipes de toutes les couleurs ainsi que trois-cents Socolas, la fleur la plus rare de la région.
Pour entretenir la végétation nous avions besoin plus de cent-huit jardiniers qui travaillaient jour et
nuit, sauf à la période d'Hiver. Le château était situé au bort d'un Lac nommé le 'Lac Pavin', pour y
accéder, il faudra tout d'abord traverser le Pont-Levis contrôlé par des gardiens.
Nous possédons aussi des écuries pour nos chevaux et deux jeunes forgerons ainsi qu'un
Médecin de garde qui soigne les blessés et personnes malades.
Il demeurait dans nôtre Château pour être là quand nous avions besoin de lui d'urgence.
Nous sommes deux chevalières faisant partie d'une armée de plus de trois cents soldats ,mais
malheureusement nous avions perdu cent-trente chevaliers lors d'une guerre récente, il en reste plus
que cents-soixante dix.
Chaque chevalier a sa chambre avec des meubles en or blanc, des draps en soie et en dentelle pure.
Nous avions deux chefs cuisiner, le premier pour les personnes ayant un haut rang, et le deuxième
pour nos employés. Nous avions aussi un roi bien évidement, il était connu pour sa gentillesse, son
humour. Nous donnerions notre vie pour lui.
Un soir, lors d'une fête magnifique organisée par un Château voisin qui se situait à l'autre
bout du lac Pavin, au moment du dîner, une noble refusa le plat donné par le serviteur car elle le
trouvai trop épicé. Le serviteur s’excusa en reprenant le plat pour rapporter au cuisinier nommé
Hugo.
Hugo, était à ce moment là mécontent, car il ne trouvait ça pas juste de refaire un autre plat
simplement parce qu'il est trop épicé et refusa.
Le serviteur, alors, repartit voir la noble en s'excusant et lui dit les mots que Hugo lui avais dit.
La noble ne s'en rendait point compte, et disait à voix haute :
« -Comment un misérable chef cuisinier, peut-il refuser avec un tel culot de refaire avec gentillesse
un plat moins épicé?!!!! »
Nous, en tant que chevalières, allons suivre la Dame. Car nous craignions le pire.
La noble descendait les escaliers gras,et crasseux, remplis de petites souris. Pour rejoindre le Chef
Cuisinier qui était à la cuisine.
Nous nous sommes cachées derrière des poubelles qui sentaient le rat mort, au bout d'un quart
d'heures nous l'entendions dire :
«-Pauvre de toi, tu m'as désobéi et je ne supporte cela, donc tu seras tué tôt ou tard je ferais croire
au Roi que tu seras brûlé vif lors d'un accident de cuisine.»
Après ses derniers mots pour Hugo, elle partit élégamment comme une 'Princesse. Nous courons
voir Hugo, pleurant toutes ses larmes de son corps.
Une d’entre nous, nommée Morgane Dit la sagesse, intervenait en disant :
« -Eh ! Nous avions entendue votre conversations, nous l'avions vue te menacer. Est-ce la première
fois ?!! »
Hugo répondit que ce n'était point la première fois, et qu'il a déjà évité la mort de très proche.
Morgane le rassura, puis elle dit à Hugo :
« -Hugo, venez avec nous, nous allions prévenir le Roi de cela, on ne va pas laisser cette affreuse
2. Dame s'en sortir comme ça, il faudra que la liberté des droits de l'Homme s'applique à tous, même
aux gens non importants. »
Il refusa à son tour car d'après lui le Roi refuserait des telles choses et serait tué.
Nous lui coupons la parole en disant que nous sommes là et qu'il craindra rien, mais il refusa de
nous écouter et nous dit :
«-Rentrez dans vôtre Château, il est tard, ne vous inquiétiez pas pour moi et mon avenir.. Si je
meurs je partirai dans un monde meilleur, je penserai à vous avec le Seigneur. J'en remercie de
m'avoir proposé vôtres aides.»
Nous le remercions à notre tour de son plat qui a été succulent et très bon.
Le lendemain matin,dans nôtre Château, je me réveillais pas bien, je m'habillais et déjeunais
de millet écrasé avec du lait et un peu de fruits, puis je vis Morgane me rejoindre à table qui me
chuchota :
« -Je n'ai pas très bien dormi.. Après ce qu'il c'était passé hier, j'ai de la pitié pour ce Chef Cuisinier
très gentil et aimable. » Et je lui confiait :
« -Tu as totalement raison, normalement il devrait y avoir des liberté de l’Homme ayant un rang
non important, certes ils devront avoir des limites, mais ils auront un peu d'autorité , si je pouvais, je
partirais en quête , pour la liberté des droits de l'Homme. »
Je n'ai même pas pu finir ma phrase qu'elle me coupa la parole en me faisant un grand sourire qui
monta jusqu'au yeux !
« -Oui! Ceci est une très bonne idée Alix, une très bonne ! Allions demander à notre aimable Roi, je
suis sûre qu'il dira oui et que il dira à son tour que ceci est une bonne idée!!! »
Nous nous préparons pour partir à l'aube, après l'accord du roi
Morgane ne voulait point manger, elle prépara sa jument et ses vêtements pour partir, quant ta moi,
comme chaque matin je ne suis pas vraiment dans mon assiette, je pense a mon avenir, a l'avenir de
ce château et ceux des gens qui y vivent.
A l'heure de partir, le roi ainsi que les habitants, nous voulaient nous dire un au-revoir, j'ai été très
émue, nous montions sur nos chevaux et partons.
Après des heures de route, nous arrivions auprès d'un village, les villageois étaient étonnés de nous
voir ici avec des beaux chevaux et une belle armure, ils étaient inquièts ils pensaient que nous
allions les attaqués.. j'avais compris, que ils pouvaient eux même nous piéger ils étaient très
nombreux, et Morgane me faisait un regard en disant de partir, je ne voulais pas et décida de sortir
un petit tissu blanc qui signifie que c'est un signe de paix et non d'attaque, ils étaient rassurés sa ce
voyait, et j'adressai la parole aux Hommes pauvres :
« - Sentez vous bien auprès des nobles, est-ce qu'ils vous menacent de vous tuer parfois ?
Une dame cria, que son mari à été tué par un noble, et qu'elle l'avais rapporter au roi, mais qu'il ne
l'avait pas cru et la mise en cachot pour deux jours sans manger.
J'ai trouver sa terriblement horrible, de la part du roi, il défend que ses nobles et n'a
aucun autorité pour ses pauvres gens..
J’expliquai à la pauvre dame en pleurs, que nous allions l'aider en faisant nôtre possible, mais avant
sa il faudra qu'ils signent en mettant leurs noms sur la pétition, malheureusement la plupart d'entre
eux ne savent pas écrire. J'ai donc demander à Morgane de signez a leurs places…
3. Des heures passent…
Nous avions récolté plus de deux-cents signatures, Nous les remercions de leurs participations, à ce
moment là nous allions partir au couché du soleil pour continuer notre quête, mais une vieille dame
s'interposa en disant :
« - Ne partiez pas! » cria la vieille dame.
Nous avions eu un air étonnés, nous descendons de nos jument, puis nous apercevons dans
la foule de paysans une dame avec une canne, portant des habits troués, le teint pâle,rider, le menton
rond la bouche fine, une mâchoire carrée et des cheveux fins… Tout une allure d'une dame de son
âge.
Elle nous dit de ne pas partir a cette heures, et nous proposa de se réfugier chez elle pour une nuit,
elle a l'air de confiance, nous acceptions, on entrèrent chez elle, une petite maison en bois et en
paille, a l'intérieure il y a des peu de meubles, trois lits, un chevet et une petite table en bois, la
question que je me posais à ce moment là, pourquoi trois lits ? Coïncidence après tout, je lui posa la
question si elle avait des enfants, elle me répondit toute ému que oui qu'elle avais deux beaux et
jeunes garçons qui sont morts de fatigues, et de travaux, elle continua avec
«- à cause des ces nobles qui les faisaient travaillaient jours et nuits sans manger presque..»
Et me dit avec ses larmes qui coulent une par une , qu'elle a perdu tout ses biens aimés et ses bien
êtres,maintenant il lui reste plus que une petite chèvre pour le lait, et cette maison pour y vivre.
Nous allons chacune dormir dans un lit, en espérant que le lendemain sera une bonne journée.
Au levé du soleil, nous voyions la vieille dame déjà debout en préparant le petit déjeuner.
Je me leva, m'habilla et allais à mon tour réveiller Morgane, Elle se leva à son tour de très bonne
humeur, Puis quelque minutes plus tard, nous allions rejoindre la petite dame à table et s’excusa de
ne pas nous avoir donner un déjeuner que nous avions l'habitude de manger au château.
Je lui dit que non, au contraire ça nous rappelait les déjeuner que nous mangions à l'époque.
«- c'est l'heure de partir!!!» Se leva Morgane toute excitée.
La dame nous remercie en donnant de la nourriture pour le chemin, je trouvais sa tellement
aimable que j’acceptai avec grand plaisir.
Soudain quand, a l'heure du départ, un jeune paysan au cheveux brun et yeux vert voulait partir avec
nous, puis quand ses deux autres amis entendirent la nouvelle voulaient aussi nous accompagner
pour cette quête, je descendis alors de mon cheval, et je leurs chuchotai :
«-Êtes-vous si sûres?»
Ils me faisaient un signe de tête, j’acceptai avec joie leurs aides qui me seras sûrement utile,
j’annonçai alors au paysans que ses jeunes garçons allaient partir avec nous, leurs mères en pleurant
ne voulaient point qu'ils partent, mes leurs fils les expliqua que c’était pour la liberté, si ils meurent
ils auront fait bien. Ils prirent chacun leurs cheval et on partit, Les habitants crièrent
«- Vaiûsse!Gaîus!Loic !» Les trois noms des futures chevalier
Je leurs dit que nous devions retourner au Château, car le roi nous attendait pour savoir ou nous y
sommes, ils nous font un sourire coquin, et là je crie à Morgane en jetant de mon cheval
- « Attention ! »
Puis je vit un des hommes tirer à l'arc sur Morgane, elle n'avait pas eu le temps de réagir, et tomba
4. brusquement de sa jument avec la flèche traversant son buste, Nos chevaux partirent au milieu de la
forêt ténébreux par peur, je partais voir Morgane à terre et je la serras fort dans mes bras en disant
de ne pas me laissez, elle me regardais avec ses yeux en pleure de douleurs, et baigna dans son bain
de sang, puis un des hommes descendait de son cheval, il prenait un morceaux de bois lourd, et le
leva en l'air, je savais que j'allais recevoir ce coup sur ma tête, je n'ai pas eu le temps de réagir pour
nous défendre qu'il m’assomma.
Je me réveillai mal de tète je ne trouvais pas Mogane a coté de moi je voyai juste son sang
de sa blessure il y avait un chemin ; je suivis le chemin ; et là le sang s’arrêtait devant des
ronceuses, buisson, je coupe les buisson avec mon épée et je vis un Château immense, et des
villageois, avec des chevalier qui s’entraînent, puis je vis un paysan se faire taper par des fouets de
piques, j'entendis une personne, qui doit être sûrement leurs Roi, il disait:
«- Pauvre de toi, tu as donner ton avis que j'en avais strictement rien à faire, et tu ma parlais avec un
ton qui me semble très fort pour un rien comme toi. Tu mérite d'être tué par des fouets! »
Les larmes au yeux de pouvoir rien faire, mais je me dit que je sauverais cette liberté et Morgane
avant tout, coûte que coûte, je partis par peur de me faire remarquer, je cours, le plus loin et je
tombe par fatigue, c'est une certitude, morgane est coincer dans ce château.
Je ne peut pas y retourner seule, si j'y retourne c'est comme si j'allais droit vers la mort.
La seule solution, c'est d'aller dans mon château est en parler au Roi.
Je me releva, et comme à marcher, des heures passes, j'ai l’impression que je tourne en rond, puis je
vit un jeune homme avec un bel étalon noir, je n'arrivais à peine à marcher et j'étais déshydrater,
Il s'arrêta et me dit :
«-Jeune chevalière! Je vous connais, vous viviez au Château Mondralac si je ne m'y trompe pas ? »
Avec un ton étonnant
J'étais ravie de voir une connaissance, quand je regardait son visage ! Oui, la mémoire me revient, c'est un
forgerons et il m'a aider a préparer nos chevaux pour partir à la quête. J'intervins en disant :
«- Oui, vous avez raison, je n'ai pas le temps de raconter se que je vis à l'instant, je vous demande une
faveur pouvez-vous me raccompagnez au château ? Je doit voir impérativement le Roi. »
Il me dit à sont tour qu'il ne pouvait point, car le roi lui a demander de cueillir des Fleurs qui se trouve à
coter du château voisin, pour des invité qui tardera pas a venir au Château, Je cris non, ne va pas cueillir
ces fleurs, je t'expliquera et si il faut tu dira au roi que je t'ai dit de ne pas y aller. Il était très étonner, et il
me fit un signe de monter , je monta et on galope jusqu'au château.
On arriva, je descendais brusquement, tout les paysans étaient choqués de me voir dans un état sale, mes
vêtements déchirés, je vit le roi, il me fixa et alla vers moi en se précipitant il me regarda et il me disa
avec un regard très inquiet et étonnant en me voyant seule sans Morgane,
«- Qu'aviez vous, ou est Morgane? Vous avez réussi votre quête? Avec un ton inquiétant.
-Sire, je n'ai rien que des blessures que je fais avec, Morgane est coincé au château voisin ou nous avions
fait la fête jadis, c'est des traîtres Sire, veuillez avoir pitié de mes paroles, j'avais vue leurs roi qui
demandais la mort d'un pauvre paysans, car il l'avait parler 'D'un ton hilarant' d'après lui. »
Il avait hésiter un bon moment avant de me répondre et reprit avec
« - Hum, je vois, je te crois, Alix, tu est la personne auquel j'ai confiance je te connais depuis que tu as tes
8 ans, je n’accepte pas ce qu'il fait leurs Roi, d'ailleurs c'est mon invité, je parlerais avec lui de ceci, et je
sauverais ses villageois de ses griffes comme dirais mon Grand-père, si il refuse de m'écoutez je déclarais
5. la guerre. » me dit il,
Deux ans passèrent , la guerre avait été déclaré et nous avions gagné, notre royaume s'est agrandit,
leurs roi est mort dans la guerre. Morgane avait été délivrer et elle avait couru vers moi, j'avais laissée
quelques larmes coulaient en la voyant, je l'ai serrée fort dans mes bras, je la considère comme ma petite
sœur.
Le grand jours est arrivé, je me suis vêtue d'une robe en or blanc, de la dentelle, Morgane avait mit
une robe en diamant très jolie, Je me précipita et je appelai Morgane qui n'avait pas finis de mettre ses
chaussures, le roi allait faire un discours, tout l'assemblé, les paysans, villageois, sont réunis pour assister
au parole du roi, Le soleil brilla à l’apparition du Roi, il dit a voix haute
«- Aujourd'hui est un grand jour, c'est la liberté qui a gagné et non nous, Notre deux jeunes
chevalière Morgane et Alix ont sacrifiés leurs vies pour sa.»
Il nous fit un signe et un sourire en disant de venir, je vins en compagnie de Morgane qui rougit,
ainsi que moi, notre roi continuèrent avec
« - Je suis tellement heureux de vous voir heureux, de voir qu'il y a des égalités entre nous, je
souhaite une longue vie à la liberté, une longue vie au château ! Longue vie a nous ! »
Des trompettes ont sonné la fête commence ! Tout le monde applaudit, cris notre nom, puis nous
vîmes le cuisinier que nous avions vue au Chateau voisin jadis, il allas vers nous en nous disant
« -souveniez-vous de moi ? Mesdames.. avec un ton triste
-Bien sûr que je me souviens de vous..
-Merci, pour tout. » il commença à pleurer
Morgane le serra fort, et lui dit qu'il ne faut pas que vous vous inquiétez
6. la guerre. » me dit il,
Deux ans passèrent , la guerre avait été déclaré et nous avions gagné, notre royaume s'est agrandit,
leurs roi est mort dans la guerre. Morgane avait été délivrer et elle avait couru vers moi, j'avais laissée
quelques larmes coulaient en la voyant, je l'ai serrée fort dans mes bras, je la considère comme ma petite
sœur.
Le grand jours est arrivé, je me suis vêtue d'une robe en or blanc, de la dentelle, Morgane avait mit
une robe en diamant très jolie, Je me précipita et je appelai Morgane qui n'avait pas finis de mettre ses
chaussures, le roi allait faire un discours, tout l'assemblé, les paysans, villageois, sont réunis pour assister
au parole du roi, Le soleil brilla à l’apparition du Roi, il dit a voix haute
«- Aujourd'hui est un grand jour, c'est la liberté qui a gagné et non nous, Notre deux jeunes
chevalière Morgane et Alix ont sacrifiés leurs vies pour sa.»
Il nous fit un signe et un sourire en disant de venir, je vins en compagnie de Morgane qui rougit,
ainsi que moi, notre roi continuèrent avec
« - Je suis tellement heureux de vous voir heureux, de voir qu'il y a des égalités entre nous, je
souhaite une longue vie à la liberté, une longue vie au château ! Longue vie a nous ! »
Des trompettes ont sonné la fête commence ! Tout le monde applaudit, cris notre nom, puis nous
vîmes le cuisinier que nous avions vue au Chateau voisin jadis, il allas vers nous en nous disant
« -souveniez-vous de moi ? Mesdames.. avec un ton triste
-Bien sûr que je me souviens de vous..
-Merci, pour tout. » il commença à pleurer
Morgane le serra fort, et lui dit qu'il ne faut pas que vous vous inquiétez