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Plafonnage n bi2fr07 hdefforweb3
1.
Fonds de Formation
professionnelle de la Construction Pl.i.2 - En.ex.2 - Pl.sec.2 - Ca.pl.2 LECTURE DE PLANS ET MĂTRĂ MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
2.
2 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© Ces derniĂšres annĂ©es, le Fonds de Formation professionnelle de la Construction (FFC) a Ă©tĂ© confrontĂ© Ă une demande soutenue dâĂ©diter un ouvrage de rĂ©fĂ©rence pour le plafonneur. En Belgique, il existe trĂšs peu de littĂ©rature relative tant au mĂ©tier de plafonneur en gĂ©nĂ©ral quâĂ lâexercice mĂȘme de ce mĂ©tier. Câest la raison pour laquelle cet ouvrage a Ă©tĂ© conçu dans une double optique: permettre dâune part, de dispenser une formation de qualitĂ©, Ă lâĂ©cole comme en centre de formation, et dâautre part, de rĂ©pondre au besoin croissant de perfectionnement ressenti par les professionnels actifs dans ce mĂ©tier. ParallĂšlement, ce « Manuel modulaire Plafonnage » devra servir de guide pratique selon la maxime qui veut que lâon travaille âdans les rĂšgles de lâartâ, rĂšgles qui ne sont consignĂ©es nulle part⊠Pour faciliter la tĂąche du public visĂ© (simple lecteur, formateur, apprenant, plafonneur conïŹrmĂ©, expert), ce âmanuel modulaireâ a Ă©tĂ© scindĂ© en quatre domaines: - Plafonnage intĂ©rieur (Pl. i.) - Enduit extĂ©rieur (En. ex.) - Plafonnage Ă sec (Pl. sec.) - Carreaux de plĂątre (Ca. pl.) Chacun de ces domaines est traitĂ© dans un certain nombre de fascicules Ă©laborĂ©s selon le canevas: - GĂ©nĂ©ralitĂ©s - PrĂ©parer - Appliquer - Finir Au niveau de la composition du groupe de travail, nous avons rĂ©uni des collaborateurs issus de lâenseignement, du monde professionnel (hommes de mĂ©tiers et fabricants) et des organisations professionnelles. Câest ainsi que nous avons pu jeter un pont entre les formateurs et la rĂ©alitĂ© des chantiers de mise en Ćuvre. Le prĂ©sent fascicule « Lecture de plans et mĂ©tré» qui est Ă classer dans la catĂ©gorie âGĂ©nĂ©ralitĂ©sâ sâapplique Ă chacun des 4 domaines citĂ©s ci-avant. Les lecteurs seront informĂ©s de la parution des fascicules suivants par la revue trimestrielle Ă©ditĂ©e par NaVAP-UNEP et par les autres associations professionnelles du secteur. Nous souhaitons Ă chacun une lecture enrichissante et plein de succĂšs Ă pied dâĆuvre. Stefaan Vanthourenhout, PrĂ©sident du FFC.
3.
3MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© RĂ©dacteur en chef: Theo Smulders (â ) RĂ©dacteur : Jef Vangeel ComitĂ© de rĂ©daction : Jan Beyens Ferdinand Debasse Patrick Floru Joris Messiaen Guido Roels Lieven Tack Dessins et illustrations : Jef Vangeel Terminologie : LĂ©on Du Four ComitĂ© de lecture : Franz Armand Ferdinand Debasse GĂ©rard Mostenne Joseph Trefois Lay-out et illustrations : www.peri-ray.be
4.
4 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7 1.1 Les rĂšgles du jeu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 1.1.1 Les traits 1.1.2 Symboles et reprĂ©sentations graphiques 1.2 La cotation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 1.2.1 ReprĂ©sentation et emplacement dâune cote 1.2.2 Types de cotes 1.2.3 Cotes de niveau 1.2.4 Cotation des pentes 1.3 Les Ă©chelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 1.3.1 Comment reprĂ©senter une Ă©chelle? 1.3.2 Exemple 1.4 Analyse dâun projet de construction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 1.4.1 Introduction 1.4.2 Le cahier des charges 1.4.3 Que trouve-t-on sur un plan? 1.4.4 Les mĂ©thodes de projection . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .43 2.1 Notions de base. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 2.1.1 Introduction 2.1.2 Composition et reprĂ©sentation dâun nombre 2.1.3 Signes ou symboles de calcul et de mesure 2.1.4 La rĂšgle de trois 2.1.5 Calcul dâun pourcentage 2.1.6 Les mesures de longueur 2.1.7 Les mesures de surface 2.1.8 Masse (M) 2.1.9 Poids (P) 2.1.10 Volume - CapacitĂ© 2.1.11 TempĂ©rature (T) 2.1.12 Temps (t) 2.1.13 Angles 2.1.14 PĂ©rimĂštre - Surface - Volume - CapacitĂ© 2.1.15 Comment calculer?
5.
5MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2.2 Notions de gĂ©omĂ©trie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 2.2.1 Les perpendiculaires 2.2.2 Les lignes parallĂšles 2.2.3 Les angles 2.2.4 Comment diviser une droite en n parties Ă©gales 2.2.5 Les tangentes 2.2.6 Les polygones rĂ©guliers 2.2.7 Les formes dâarc 2.2.8 Les moulures et les proïŹls 2.3 Notions dâĂ©lectricitĂ©. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 2.3.1 Introduction 2.3.2 Explication simple 2.3.3 Loi dâOhm 2.3.4 Puissance (watt) . .79 3.1 Informations gĂ©nĂ©rales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79 3.1.1 Le cartouche 3.1.2 Le plan de situation 3.1.3 Le plan dâimplantation 3.2 Les vues en plan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82 3.2.1 Le plan des fondations 3.2.2 Le plan du rez-de-chaussĂ©e 3.2.3 Le plan de lâĂ©tage 3.2.4 Le plan du grenier 3.3 Les coupes en Ă©lĂ©vation (ou coupes verticales). . . . . . . . . 86 3.3.1 Coupe A-A 3.3.2 Coupe B-B 3.4 Les vues. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88 3.4.1 Vue de face 3.4.2 Vue arriĂšre 3.4.3 Vue latĂ©rale gauche 3.4.4 Vue latĂ©rale droite 3.5 Les vues en plan avec identiïŹcation des murs. . . . . . . . . . 92 3.5.1 Plan du rez-de-chaussĂ©e 3.5.2 Plan de lâĂ©tage
6.
6 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© La communication entre les personnes a de tous temps Ă©tĂ© extrĂȘmement importante. Et dans la sociĂ©tĂ© actuelle, il est inconcevable de ne pas en tenir compte. On parle, on lit et on Ă©crit pour Ă©changer des idĂ©es, des rĂ©ïŹexions et des impressions. Le langage est un outil qui permet dâoptimiser cette communication. Dans le domaine technique, le langage parlĂ© nâest pas assez universel ni vraiment sufïŹsant pour communiquer des idĂ©es et des modalitĂ©s dâexĂ©cution. Câest pour cette raison que nous devons apprendre Ă lire des dessins, Ă rĂ©aliser des dessins et/ou des croquis pour exercer correctement notre mĂ©tier. Dans le secteur de la construction, ces dessins portent le nom de plans. Ils constituent le mode de communication par excellence entre lâarchitecte, les pouvoirs publics, le maĂźtre de lâouvrage, lâindustriel et lâentrepreneur ou lâexĂ©cutant. Le langage dont il est question ici sâappelle: lecture de plans. Pour bien maĂźtriser la lecture de plans, nous devons connaĂźtre beaucoup de choses dans les domaines suivants: les normes et directives, les symboles et les reprĂ©sentations. Ces Ă©lĂ©ments sont les rĂšgles du jeu de la lecture de plans; comme en sport, il faut les connaĂźtre Ă fond, si lâon veut comprendre le travail Ă rĂ©aliser et lâexĂ©cuter correctement. Pour lire des plans, nous devons essentiellement effectuer deux opĂ©rations distinctes: â comprendre les symboles et les lignes reportĂ©s sur un plan bidimensionnel, (L x l) ainsi que la relation entre tous ces Ă©lĂ©ments dans le projet global; â pouvoir transposer ces plans en deux dimensions en une reprĂ©sentation dans lâespace en trois dimensions (L x l x h). Comme les architectes et auteurs de projets ont suivi une formation artistique, il arrive rĂ©guliĂšrement que les normes et directives sâestompent et laissent la place Ă une vision esthĂ©tique. Le rĂ©sultat en est que la normalisation et lâuniformitĂ© des dessins laissent assez souvent Ă dĂ©sirer. Câest pour cette raison que nous allons exposer ci-aprĂšs les normes et directives qui, selon nous, doivent ĂȘtre observĂ©es et appliquĂ©es. Pour apprendre Ă lire des plans, vous devrez Ă©videmment connaĂźtre les rĂšgles Ă fond et⊠beaucoup vous exercer. Nous allons donc nous y mettre tout de suite. ts ont suivi uneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee offofffoffoffooffooffffffofofofofofofooofoffffoffffffoffofofoffofofofooffofofofofofofoffofofofoffffofofoofofffofoofofofofoooffffofofofffoofofofoofooffoffffofoffofoooffffffofffofooofoofofffffffooooooooooooofofffoffoooofoooooooofooofofffoffffffofofofooooooofofofooffoffofffffooooooofoooofofffffffffofooofooooooofoofofffffffffffoooooooffffffffoooooooooofofofofffooooooooooooofffffffoooofoooooooffffffffofoooooooofffffffffoooooooooooffffffoofoooooofffffffooooooooooooffffffffoooooooooooofoffffffffffffooooooooofffffofoooooooooooooffooooorrmrrrrrrrrr ation artistique, il arrive
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GENERALITES Lecture de plans et métré 7 1.1.1 Les traits 1.1 Les rÚgles du jeu
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans La norme belge NBN E 04-006* dĂ©crit les diffĂ©rents types de traits. Nous avons rĂ©sumĂ© ci-avant les traits les plus utilisĂ©s dans la construction. Vous allez voir ci-dessous quelques exemples de leur utilisation, de leur emplacement et de leur application. Le Bureau belge de normalisation (NBN) a une missioon dâuniformisation en Belgique. Les textes publiĂ©s par la NBN imposent ccette uniformitĂ©.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans 1.1.2 Symboles et reprĂ©sentations graphiques LĂ©gende La lĂ©gende dâun plan indique Ă quel matĂ©riau correspond un motif donnĂ© de traits. On lâutilise uniquement dans les dessins de dĂ©tail et dans les coupes horizontales et/ou en Ă©lĂ©vation. Un trop grand Ă©ventail de lĂ©gendes complique la lecture du plan. Dâailleurs, un plan sâaccompagne toujours dâun cahier des charges qui dĂ©crit les matĂ©riaux Ă utiliser. Comme nous le voyons ci-dessous, le lĂ©gende du cartouche reprend les diffĂ©rents motifs. Cela permet dâĂ©viter les malentendus Ă propos du matĂ©riau Ă utiliser.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Quelques lĂ©gendes trĂšs courantes NumĂ©rotation des matĂ©riaux La signiïŹcation des numĂ©ros ïŹgure dans le cartouche. Les numĂ©ros indiquent le type de matĂ©riau. On les utilise surtout dans les vues de face (voir ci-dessous).
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans AbrĂ©viations Vous pouvez voir ci-contre quelques abrĂ©viations qui reviennent rĂ©guliĂšrement sur les plans. On trouve presque toujours lâexplication des abrĂ©viations dans le cartouche. Voici quelques-unes des abrĂ©viations les plus courantes: dn- : diamĂštre nominal des matiĂšres thermoplastiques* (diamĂštre extĂ©rieur) DN- : diamĂštre nominal des autres matiĂšres (diamĂštre intĂ©rieur) EP.- (ou ep.): eaux pluviales F.S.- : fosse septique C.E.P.- citerne dâeau de pluie Ch.- (ou CH.): chambre V.V.- : vide ventilĂ© C.V.:- chambre de visite Lâexemple ci-dessous identiïŹe les murs et les pans de mur. Cette identiïŹcation est indispensable pour retrouver rapidement et sans se tromper la composition des murs ou leur surface thermoplastiqueUn une matiĂšreest ramollit sousqui tion de la chaleur,lâact contraire dâunau c rmodurcissablether reste rigide mĂȘmequi s lâaction de lasou leur.cha principauxLes rmoplastiquesther t:sont - polychlorurele e vinylede - polypropylĂšne,le - polyĂ©thylĂšne,le - s acryliques, etc.le
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans - Codes dâidentiïŹcation des murs: Me1, Me2⊠: code des murs extĂ©rieurs, Mi1, Mi2⊠: code des murs intĂ©rieurs. - Codes dâidentiïŹcation des murs pour travaux de plafonnage et de peinture: A, BâŠ: pan de mur A dâune piĂšce donnĂ©e. Par ex. Hall-A, Hall-B, etc. Fondations Sur la vue en plan, les fondations sont indiquĂ©es par deux traits interrompus parallĂšles. On utilise ce genre de traits parce que la semelle de fondation est masquĂ©e (voir tableau des types de traits). Sur la coupe verticale, les fondations sont reprĂ©sentĂ©es par des hachures dans le type de matĂ©riau qui les compose. Le mur de fondation est sĂ©parĂ© de lâensemble par une ligne de coupe en zigzag; cela veut dire que les fondations doivent ĂȘtre posĂ©es sur le sol non remaniĂ© et au moins Ă une profondeur hors gel (60 Ă 80 cm). Murs Murs pleins Le dessin de gauche reprĂ©sente un mur plein en briques, de 29 cm dâĂ©paisseur. Le dessin de droite reprĂ©sente un mur en blocs de bĂ©ton, de 29 cm dâĂ©paisseur Ă©galement. Murs pleins
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Lâillustration ci-dessous montre comment ces deux murs seront reprĂ©sentĂ©s sur le plan: deux traits latĂ©raux forts remplis avec les hachures correspondant au matĂ©riau du mur. Murs creux Les murs creux comprennent gĂ©nĂ©ralement: - un parement extĂ©rieur qui sert Ă la fois dâĂ©cran contre lâhumiditĂ© et dâĂ©lĂ©ment esthĂ©tique; â une coulisse, pour Ă©viter le contact direct avec lâextĂ©rieur; â un isolant, pour garder la chaleur Ă lâintĂ©rieur ou Ă lâextĂ©rieur; â un mur portant, qui a une fonction structurelle. Sur le plan, ce mur creux sera reprĂ©sentĂ© comme ci-dessous: Murs intĂ©rieurs On peut Ă©tablir une distinction entre: Ces murs sont gĂ©nĂ©ralement construits dans un matĂ©riau lĂ©ger, comme: blocs de terre cuite, bĂ©ton cellulaire, blocs silico-calcaires, blocs de plĂątre. LâĂ©paisseur du mur est gĂ©nĂ©ralement infĂ©rieure Ă 10 cm. Murs creux Murs intĂ©rieurs
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Dans un bĂątiment en maçonnerie portante, câest la maçonnerie qui constitue la structure porteuse du bĂątiment. LâĂ©paisseur du mur est gĂ©nĂ©ralement supĂ©rieure Ă 10 cm. La maniĂšre dont ces murs sont reprĂ©sentĂ©s sur le plan est illustrĂ©e ci-dessous. Cloisons lĂ©gĂšres Elles se composent gĂ©nĂ©ralement dâun cadre mĂ©tallique sur lequel sont posĂ©es des plaques de plĂątre. Ces cloisons sont reprĂ©sentĂ©es sur les plans comme sur la ïŹgure ci-dessous. Ăgouts Le sens dâĂ©coulement est indiquĂ© par un trait moyen mixte Ă deux tirets. Ă titre dâinformation, on ajoute une ïŹĂšche qui indique le sens de lâĂ©vacuation, accompagnĂ©e de toutes les informations nĂ©cessaires sur le tuyau proprement dit.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Les tuyaux en Pvc sont les plus utilisĂ©s en construction rĂ©sidentielle. On les trouve en longueurs standard de 1 - 2 - 3 - 5 et 10 m. Les magasins offrent toute une gamme dâaccessoires en stock. DiamĂštre extĂ©rieur ou diamĂštre nominal en mm Epaisseur de la paroi en mm DiamĂštre intĂ©rieur en mm 110 3,0 104 125 3,1 118,8 160 4,0 152 200 4,9 190,2 250 6,2 237,6 Mobilier Le mot âmobilierâ couvre tous les meubles transportables, ïŹxes et mĂȘme les appareils sanitaires. Le mobilier est reproduit aussi ïŹdĂšlement que possible en trait ïŹn Ă la mĂȘme Ă©chelle que le plan. Le lecteur peut ainsi se faire une meilleure idĂ©e de la structure et de lâoccupation de lâespace. plastiques sontLes p dĂ©signĂ©s par untous e.sigle oici quelquesEn v mples:exem â Pvc (polychlorureP de vinyle),d â PE (polyĂ©thylĂšne),P â PP (polypropylĂšne,P â PTFE: tĂ©ïŹon.P
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Escaliers Lâescalier est sectionnĂ© de biais; cela veut dire quâĂ cet endroit, il est dessinĂ© en vue en plan. Cette section se situe en gĂ©nĂ©ral Ă peu prĂšs Ă 150 cm au-dessus du plancher. Les Ă©lĂ©ments apparents sont dessinĂ©s en trait plein sous la section. Les Ă©lĂ©ments situĂ©s au-dessus de la ligne de section ne sont pas dessinĂ©s ou le sont par un trait moyen mixte Ă deux tirets. On dessine aussi une ïŹĂšche qui indique le sens de la marche en montĂ©e. Les marches sont parfois numĂ©rotĂ©es. Portes intĂ©rieures Ci-contre, nous voyons la maniĂšre de dessiner une porte intĂ©rieure en vue de face et en coupe. Le sens de rotation est indiquĂ© clairement. Les dimensions indiquĂ©es sont celles du gros Ćuvre. Si la porte possĂšde une rĂ©sistance Ă lâincendie de 1 h, on inscrira le texte âRf 60â* dans la baie de porte. La largeur rĂ©servĂ©e dans le gros Ćuvre pour une porte intĂ©rieure standard Ă encadrement bois est de 70, 80, 90, 100, 110 ou 120 cm. Ces baies de porte accueillent respectivement un panneau de porte de 63, 73, 83, 93, 103 ou 113 cm. Rf est lâabrĂ©viationn de rĂ©sistance au feu. Rf 60 veut dire quee la porte est capable de rĂ©sister au feu pendant 60 min ouu 1 h. Portes extĂ©rieures Le sens dâouverture des portes pivotantes est indiquĂ© dans les coupes horizontales, de telle maniĂšre que lâon puisse Ă©valuer lâespace Ă rĂ©server Ă chaque porte. Le dessin ci-contre reprĂ©sente une porte extĂ©rieure droite en coupe horizontale et en vue de face.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Ă! Attention! Dâautres dimensions sâappliquent aux cadres des portes mĂ©talliques. Vous pouvez voir ci-contre la reprĂ©sentation dâune porte intĂ©rieure double. Remarquez quâun des vantaux est dessinĂ© en trait continu et lâautre en trait interrompu. Cela veut dire que câest le vantail dessinĂ© en trait continu qui sâouvre le premier et le vantail en trait interrompu qui sâouvre ensuite. FenĂȘtres Le seuil et la tablette de fenĂȘtre sont dessinĂ©s sur les plans. Le mode dâouverture est indiquĂ© sur les vues de face. Les fenĂȘtres reprĂ©sentĂ©es ici sâouvrent de deux façons. Les deux battants pivotent, mais le battant de gauche (ou celui de droite dans la fenĂȘtre de droite) peut aussi basculer. Poutres en acier Les traits mixtes ïŹns Ă deux tirets indiquent lâemplacement de la poutre en acier. Cette poutre se situe au-dessus de la coupe. On peut voir clairement de quel type de poutre il sâagit et quelles sont ses dimensions.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Indication du nord La ïŹĂšche qui indique le nord nâa de lâimportance que sur le plan dâimplantation et/ou de situation. On dessine rarement une rose des vents complĂšte. La reprĂ©sentation de cette ïŹĂšche sur les plans diffĂšre dâun architecte Ă lâautre. Ce qui est important, câest de savoir que la ïŹĂšche est pointĂ©e vers le nord. Par consĂ©quent, le vent du nord soufïŹe dans le sens opposĂ© de la ïŹĂšche. La ïŹĂšche indiquant le nord est importante pour dĂ©terminer la rĂ©partition des diffĂ©rentes piĂšces dans le bĂątiment et pour dĂ©terminer lâemplacement des fenĂȘtres et des portes. On appelle parfois les façades dâaprĂšs lâaire de vent vers laquelle elles sont orientĂ©es. Dans le cas prĂ©sent: - la façade avant est la façade nord, - la façade arriĂšre est la façade sud, - la façade latĂ©rale gauche est la façade est, - la façade latĂ©rale droite est la façade ouest. La ïŹĂšche ïŹgurant sur le dessin ci-dessus est dessinĂ©e selon ISO* 7519:1991. ISO (International Organization for Standardization) esst le plus gros dĂ©velopppeur de normes au monnde. On a choisi ISO poour Ă©viter de traduire le nom diffĂ©remmentt dans chaque languue. ISO vient du grec isos, qui veut dire Ă©gal. ISO est un rĂ©seau constituĂ© de 156 instituts nationauxx de normalisation, ayaant son secrĂ©tariat cenntral Ă GenĂšve, et qui coordonne et gĂšre le systĂšme.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Direction de portĂ©e et caractĂ©ristiques des planchers portants Les planchers portants prĂ©fabriquĂ©s sont indiquĂ©s comme ci-dessous (ISO 7519:1991). Les caractĂ©ristiques indiquĂ©es sont gĂ©nĂ©ralement les suivantes: - le nombre de piĂšces, - la longueur et la largeur de lâĂ©lĂ©ment. La longueur exprimĂ©e est Ă©gale Ă : portĂ©e + (2 x appui). - sâil sâagit dâun plancher portant Ă face infĂ©rieure lisse, on lâindique Ă©galement. Sâil sâagit dâun gĂźtage en bois, on le reprĂ©sente gĂ©nĂ©ralement comme sur la ïŹgure.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans 1.2 La cotation 1.2.1 ReprĂ©sentation et emplacement dâune cote - Les lignes de cote doivent ĂȘtre parallĂšles Ă lâĂ©lĂ©ment de construction et en ĂȘtre Ă©loignĂ©es de 7 mm. - Une ligne de cote consiste en un trait droit qui traverse tout le dessin. - LâunitĂ© de mesure est gĂ©nĂ©ralement le cm. - La cote doit ĂȘtre positionnĂ©e de maniĂšre Ă ĂȘtre facile Ă lire depuis la droite et depuis le bas. 1.2.2 Types de cotes
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Les cotes reprises sur les plans de construction sont de 4 types. 1. les cotes en chaĂźne ou cotes de dĂ©tails indiquent les dimensions des divers Ă©lĂ©ments de construction; 2. les cotes partielles donnent la somme des dimensions de diffĂ©rentes cotes de dĂ©tails ainsi que les dimensions dâun espace ou dâune piĂšce; 3. la cote gĂ©nĂ©rale donne la dimension globale dâun Ă©lĂ©ment de construction. Elle doit toujours ĂȘtre Ă©gale Ă la somme des cotes de dĂ©tails ou Ă la somme des cotes partielles. 4. la cote composĂ©e donne les diffĂ©rentes cotes dâun Ă©lĂ©ment de construction, p. ex. les cotes dâun mur creux. 1.2.3 Cotes de niveau Une cote de niveau part toujours dâun niveau de rĂ©fĂ©rence, Ă©galement appelĂ© niveau 0. Toutes les cotes situĂ©es au-dessus de ce niveau de rĂ©fĂ©rence sont des valeurs positives et les cotes situĂ©es en dessous du niveau de rĂ©fĂ©rence sont nĂ©gatives. On prend gĂ©nĂ©ralement le niveau du plancher ïŹni du rez-de-chaussĂ©e comme niveau de rĂ©fĂ©rence. Le niveau de rĂ©fĂ©rence peut Ă©galement ĂȘtre celui dâun Ă©lĂ©ment dĂ©jĂ prĂ©sent, comme la hauteur du milieu de la rue, une plaque dâĂ©gout ou un point particulier dans lâenvironnement du terrain Ă bĂątir. Ce niveau zĂ©ro doit ĂȘtre indiquĂ© clairement sur le plan dâimplantation. On lâindique comme sur lâexemple ci-dessous.
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22 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Calculs de niveau Les deux niveaux sont positifs. Si les signes sont positifs, ils sont exprimĂ©s sans signe + ajoutĂ©. Pour calculer la diffĂ©rence de niveau, on fait une soustraction entre les niveaux de mĂȘme signe. Les signes des niveaux sont diffĂ©rents. Si un signe est positif et lâautre nĂ©gatif, il faut additionner les niveaux. Les deux niveaux sont nĂ©gatifs. Si le niveau Ă©tait de zĂ©ro, le point le plus profond serait Ă 250 cm. Mais le premier niveau se situe ici 15 cm plus bas, donc la diffĂ©rence de niveau est de 235 cm. Quelques combinaisons de cotes de niveau Les deux niveaux sont positifs. Les signes des niveaux sont diffĂ©rents. gg Les deux niveaux sont nĂ©gatifs.
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23MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans 1.2.4 Cotation des pentes Un angle de pente est indiquĂ© en degrĂ©s (°) ou en pour-cent (%). La ïŹĂšche est orientĂ©e vers le point le plus haut. Cette reprĂ©sentation sâapplique aux toitures Ă versants, aux plans inclinĂ©s, aux talus et aux escaliers. Ă! Attention! Quand il sâagit de toitures plates et de systĂšmes dâĂ©gout, la ïŹĂšche indique le sens dâĂ©coulement des eaux. Le pourcentage de pente est beaucoup plus pratique que les degrĂ©s pour les dessins de construction, parce quâil nous permet de dĂ©terminer la hauteur verticale ou la base horizontale. Vous voyez directement, sur le tableau ci-dessous, quel angle correspond au pourcentage de pente. % ° % ° % ° % ° 1 0°34â 17,6 10° 60 30°57â 115 48°59â 2 1°09â 20 11°10â 65 33° 120 50°11â 3 1°43â 25 14° 70 35° 130 52°26â 4 2°18â 26,8 15° 75 36°52â 140 54°27â 5 2°52â 30 16°42â 80 38°40â 150 56°18â 6 3°26â 35 19°17â 83,9 40° 160 58° 7 4° 36,4 20° 85 40°22â 170 59°32â 8 4°34â 40 21°48â 90 42° 173,2 60° 8,75 5° 45 24°13â 95 43°30â 180 43°30â 9 5°08â 50 26°33â 100 45° 185 61°36â 10 5°43â 55 28°48â 105 46°23â 190 62°14â 15 8°32â 57,7 30° 110 47°43â 200 63°26â
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Formule de calcul Exemple Distance horizontale (Dh) = 10 m Pourcentage de pente (Pp) = 90 % Question: quelle est la distance verticale ou Dv? Dv = (Pp) x (Dh) Dv = (90 /100) x ( 10) = 0,9 x 10 = 9 m 1.3 Les Ă©chelles Lorsquâun objet est dessinĂ© plus petit ou plus grand que sa taille rĂ©elle, on parle de dessin Ă lâĂ©chelle. Les Ă©chelles sont normalisĂ©es dans la norme NBN 509:1952. Cette norme belge est conforme Ă la norme internationale ISO 5455:1979. LâĂ©chelle est le rapport entre la longueur dessinĂ©e et la longueur rĂ©elle.
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25 Lecture de plans
et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE Dans la fourchette comprise entre 100:1 et 1:1000, on utilise uniquement les Ă©chelles suivantes. Type Ăchelle OĂč lâutiliser? RĂ©ductions 1:1000 Plans de situation et dâimplantation1:500 1:200 1:100 Dessins dâavant-projet 1:50 Dessins de projet 1:20 Dessins de dĂ©tail dâun bĂątiment 1:10 1:5 1:2 Grandeur rĂ©elle 1:1 Dessins de travail ou dâexĂ©cution Agrandissements 2:1 Dessins de petits objets 5:1 10:1 20:1 50:1 100:1 1.3.1 Comment reprĂ©senter une Ă©chelle? Par un rapport - Agrandissement: n:1 Par exemple: 5:1 veut dire que lâobjet est dessinĂ© 5 fois plus grand que nature. - Grandeur rĂ©elle: 1:1 Lâobjet est dessinĂ© avec ses dimensions rĂ©elles. - RĂ©duction: 1:n Par exemple: 1:5 veut dire que lâobjet est dessinĂ© 5 fois plus petit que nature. Par une Ă©chelle linĂ©aire On lâutilise surtout si lâon mesure sur le dessin pour calculer des distances. Si lâon prend une copie rĂ©duite ou agrandie, lâĂ©chelle linĂ©aire sera rĂ©duite ou agrandie dans la mĂȘme proportion. Si lâon exprime cette Ă©chelle par un rapport, on obtient ce qui suit: il sâagit dâune Ă©chelle rĂ©duite, car 1 cm = 10 km ou 1 000 000 cm. Donc, le rapport dâĂ©chelle = 1:1000000. 25
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans 1.3.2 Exemple Nous pouvons calculer lâĂ©chelle, la longueur rĂ©elle, la longueur sur plan Ă lâaide de la formule suivante: 1.4 Analyse dâun projet de construction 1.4.1 Introduction En Belgique, il est obligatoire de choisir un architecte lorsquâon veut construire. Lâarchitecte ne se contente pas de dessiner le plan de construction, il prend aussi en charge, entre autres: - lâavant-projet, - le projet dĂ©ïŹnitif,
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27MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans - le cahier des charges, - les plans de construction, - les dessins de travail et/ou de dĂ©tail, - la demande de permis de bĂątir, - le suivi des travaux, - le contrĂŽle Ă©ventuel de la sĂ©curitĂ©, - les tracasseries administratives 1.4.2 Le cahier des charges Le cahier des charges est une description minutieuse des charges et conditions liĂ©es Ă la construction du projet. Câest dâaprĂšs ce document que les entrepreneurs Ă©tablissent leur devis. Un cahier des charges de construction normal comprend: - Le cahier gĂ©nĂ©ral des charges Câest lĂ que ïŹgurent les clauses administratives. Entre autres: contrat dâentreprise, dĂ©lai, paiements, etc. - Le cahier spĂ©cial des charges Partie descriptive Câest ici que lâarchitecte commente et explique les constructions et les objets dessinĂ©s sur les plans. Il sâagit gĂ©nĂ©ralement de lâinventaire des matĂ©riaux et des divers Ă©lĂ©ments de construction avec la description de leur mise en Ćuvre et de leurs qualitĂ©s. Partie quantitative Cette partie du cahier des charges sâappelle le mĂ©trĂ©. Ce sont des tableaux qui reprennent les matĂ©riaux et les Ă©lĂ©ments des diffĂ©rents postes, avec indication des quantitĂ©s prĂ©sumĂ©es ou forfaitaires. Lâarchitecte suit ici la mĂ©thode de mesurage standard. Attention: les quantitĂ©s sont toujours donnĂ©es Ă titre informatif, ce qui veut dire que lâentrepreneur est obligĂ© de les recalculer. Partie estimative Il sâagit dâun rĂ©capitulatif des deux parties ci-dessus, avec estimation des prix et des coĂ»ts. 1.4.3 Que trouve-t-on sur un plan? 1.4.3.1 Les informations gĂ©nĂ©rales Le cartouche En gĂ©nĂ©ral, un plan est dessinĂ© sur plusieurs feuilles de papier. Ă lâheure actuelle, grĂące aux ordinateurs, on utilise souvent les formats A3 ou A4. Ces feuilles sont assemblĂ©es en une liasse dont lâensemble des diffĂ©rentes pages forme le plan de construction. Le cartouche
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28 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Le plan de situation Outre lâadresse Ă©crite du chantier, on y reproduit aussi sous une forme graphique la situation de la parcelle. Le plan de situation O t
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29MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Le plan dâimplantation Le plan dâimplantation a pour but dâimplanter correctement un bĂątiment au bon endroit. Le plan dâimplantation
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30 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et métré 1. La lecture de plans 1.4.3.2 Les coupes horizontales CompositionComposition
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Plan des fondations en planimĂ©trie Nous trouvons ci-dessous une projection planimĂ©trique du plan des fondations. Ce plan est aussi appelĂ© plan terrier ou plan des caves. La vue en plan se situe juste sous le plancher du rez-de-chaussĂ©e. Ce qui est cachĂ© par la terre se voit en traits discontinus. Plan du rez-de-chaussĂ©e en planimĂ©trie Le niveau de ce plan est choisi de maniĂšre Ă couper toutes les fenĂȘtres, les portes et les baies. Normalement, le plan de coupe horizontale se situe Ă 150 cm au-dessus du plancher du rez-de-chaussĂ©e. Plan des fondations en planimĂ©trie Plan du rez-de-chaussĂ©e en planimĂ©trie
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Plan de lâĂ©tage en planimĂ©trie Plan de lâĂ©tage en planimĂ©trie g
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Plan du grenier en planimĂ©trie On lâappelle aussi plan de toiture. Le plan de coupe horizontale est situĂ©, si possible, Ă 150 cm au-dessus du plancher. Plan du grenier en planimĂ©trie
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans 1.4.3.3 Les coupes verticales Une coupe verticale peut sâeffectuer aussi bien en longueur quâen largeur. En effet, ce sont les principaux dĂ©tails qui y sont rendus clairement. Lâendroit oĂč se situe le plan de coupe est indiquĂ© sur la coupe horizontale. Dans notre exemple, on peut observer un basculement axial. La coupe est identiïŹĂ©e par une lettre capitale: la coupe transversale est appelĂ©e âCoupe A-Aâ et la coupe longitudinale est appelĂ©e âCoupe B-Bâ. Le point de vue est indiquĂ© par la ïŹĂšche.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Tous les Ă©lĂ©ments traversĂ©s par le plan de coupe sont projetĂ©s sur ce plan de coupe. Câest ainsi quâon obtient les coupes A-A et B-B telles que nous pouvons les voir sur les plans de construction repris en pages 86 et 87.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Ces mĂ©thodes de projection sont basĂ©es sur la norme internationale ISO 5456-1, 2 et 3: 1996. Les vues sont dessinĂ©es suivant une mĂ©thode de projection normalisĂ©e, dite projection orthogonale*. Cette mĂ©thode permet de reprĂ©senter des images bidimensionnelles, ou vues, dâun objet donnĂ© en reportant chaque point perpendiculairement sur le plan de projection ou la feuille de papier Ă dessin. Une vue est un plan sans Ă©paisseur ni profondeur, mais qui reprend les bonnes proportions largeur/hauteur. Pour reprĂ©senter un objet en entier, on a parfois besoin des six vues dans les directions a, b, c, d, e et f, par ordre dâimportance (voir ïŹgure). 1.4.3.5 DĂ©tails Pour reprĂ©senter plus clairement certaines parties dâune construction, lâarchitecte les dessine Ă une Ă©chelle adaptĂ©e, comme: 1:2, 1:5, 1:10, 1:20. Un dĂ©tail nâest pas nĂ©cessairement une coupe; ce peut aussi ĂȘtre une vue, une vue Ă©clatĂ©e ou un dessin de travail. Orthogonal: ce mot se composee de deux mots greccs: ORTHOS = droit, GONOS = angle.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans 1.4.3.6 Maquette Une maquette, ou modĂšle rĂ©duit, donne une image dâune habitation assez simpliste, mais trĂšs comprĂ©hensible et en trois dimensions. La nature, la division et lâagencement de lâhabitation peuvent alors ĂȘtre reprĂ©sentĂ©s de maniĂšre trĂšs claire et comprĂ©hensible mĂȘme pour un non-initiĂ©. On rĂ©alise gĂ©nĂ©ralement les maquettes en carton spĂ©cial, vendu en diffĂ©rentes Ă©paisseurs. On ne joint pas systĂ©matiquement une maquette au plan de construction. 1.4.4 Les mĂ©thodes de projection Le dessin ci-contre est une projection isomĂ©trique dâun objet. On choisit gĂ©nĂ©ralement la vue la plus reprĂ©sentative de lâobjet comme vue principale (vue de face). Dans ce cas-ci, câest la vue a. Dans la pratique, toutes les vues (de a Ă f) ne sont pas nĂ©cessaires.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Si des vues (ou des coupes) autres que la vue de face sont indispensables, câest elles quâil faut choisir pour: - rĂ©duire le nombre de vues et de coupes au minimum sufïŹsant pour donner une reprĂ©sentation complĂšte et sans contradictions de lâobjet; - Ă©viter la rĂ©pĂ©tition inutile de dĂ©tails. La position des vues dĂ©pend de la mĂ©thode de projection choisie. En dessin technique, on utilise quatre mĂ©thodes de projection. MĂ©thode de projection du premier angle diĂšdre Cette mĂ©thode portait autrefois le nom de âmĂ©thode de projection europĂ©enneâ. En Belgique, on applique cette mĂ©thode dans lâindustrie mĂ©tallurgique et dans la plupart des autres secteurs.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans MĂ©thode de projection du troisiĂšme angle diĂšdre Cette mĂ©thode portait autrefois le nom de âmĂ©thode de projection amĂ©ricaineâ. On applique cette mĂ©thode aux Pays-Bas et aux Ătats-Unis dâAmĂ©rique. MĂ©thode de projection pour dessins de construction Dans la construction, on utilise un mĂ©lange de ces deux mĂ©thodes de projection. On parle ici de projections et de dessins de construction. On ne tient pas compte de lâemplacement des vues. Le lecteur doit pouvoir comprendre de quelles vues il sâagit par comparaison avec dâautres vues. Dessins axonomĂ©triques Les reprĂ©sentations axonomĂ©triques sont des images simples et vivantes; on les obtient en projetant lâobjet sur la feuille de papier Ă dessin Ă lâaide de lignes parallĂšles. Ce type de perspective parallĂšle possĂšde des propriĂ©tĂ©s tridimensionnelles et donne une approche satisfaisante pour les vues de loin.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Il existe de nombreuses axonomĂ©tries, mais seuls quelques types sont recommandĂ©s pour les dessins de construction: La projection isomĂ©trique La projection isomĂ©trique est lâune des mĂ©thodes les plus appliquĂ©es en dessin. Elle donne la mĂȘme importance visuelle aux trois plans. Câest pourquoi elle convient Ă merveille pour donner une image bien concrĂšte de lâobjet. Lâaxe Y et lâaxe X forment un angle de 30° avec lâaxe horizontal. La projection dimĂ©trique Lâaccent est mis sur la vue de face. Cette illustration donne une reprĂ©sentation trĂšs ïŹdĂšle de lâobjet. Lâaxe Y forme un angle de 7° avec lâaxe horizontal et lâaxe X forme un angle de 42° avec ce mĂȘme axe horizontal. Toutes les lignes latĂ©rales situĂ©es sur lâaxe X sont raccourcies aux 2/3 de leur longueur. La projection oblique Dans cette projection, le plan de projection est parallĂšle Ă un plan de coordonnĂ©es et Ă lâĂ©lĂ©vation principale de lâobjet Ă reprĂ©senter. Deux des axes de coordonnĂ©es sont orthogonaux et le troisiĂšme est arbitraire. Les projections obliques les plus courantes sont: la projection cavaliĂšre Quatre projections cavaliĂšres possibles sont reprĂ©sentĂ©es ci-contre. Deux axes forment un angle droit et le troisiĂšme forme un angle de 45°. La projection isomĂ©trique La projection dimĂ©trique La projection oblique D
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 1. La lecture de plans Toutes les dimensions sont raccourcies sur le dessin. Cette projection est facile Ă dessiner, mais elle perturbe sĂ©rieusement les proportions sur le troisiĂšme axe de coordonnĂ©es. la projection cabinet La projection cabinet est identique Ă la projection cavaliĂšre, Ă lâexception des dimensions sur lâaxe Y, qui sont rĂ©duites de moitiĂ©. Cela produit une image meilleure et plus rĂ©aliste de lâobjet reprĂ©sentĂ©. la projection planimĂ©trique Dans le temps, on appelait aussi ce mode de dessin la projection militaire. Elle est identique aux deux mĂ©thodes prĂ©cĂ©dentes, Ă quelques dĂ©tails prĂšs: lâangle formĂ© par les axes X et Y doit toujours ĂȘtre de 90°. Les axes X-Y peuvent pivoter arbitrairement autour de lâaxe Z. Si lâon veut reproduire toutes les informations nĂ©cessaires, on ne peut pas utiliser les angles de 0°, 90° ou 180° (ceux-ci sont exprimĂ©s par des traits discontinus). Ce type de projection oblique convient particuliĂšrement pour les reprĂ©sentations urbanistiques et architecturales.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et métré 1. La lecture de plans 42 FOONNNNAGAGGEEEE GENERALITES Lecture de plans et métré 1. La lecture de plans
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 43 2.1 Notions de base 2.1.1 Introduction Ce chapitre Ă©tudiera en profondeur le calcul et la prĂ©paration des mĂ©trĂ©s. On trouvera ci-aprĂšs des notions de base et des choses utiles Ă savoir dans le domaine du mesurage et du calcul. La plupart dâentre vous trouveront dans ces notions de quoi rafraĂźchir leurs connaissances. Chacun y trouvera une matiĂšre indispensable pour apprĂ©hender facilement les autres fascicules. 2.1.2 Composition et reprĂ©sentation dâun nombre Les chiffres arabes Le sĂ©parateur de milliers sâutilise pour faciliter la lecture du nombre. En Belgique, on utilise le point et lâespace. Le Bureau de Normalisation (NBN, anciennement IBN) donne la prĂ©fĂ©rence Ă lâespace. Comme les normes NBN ont un caractĂšre lĂ©gal, nous reprendrons Ă©videmment les conventions et les normes quâelles Ă©tablissent. Pour Ă©viter toute confusion, on nâutilise pas de sĂ©parateur de milliers pour les annĂ©es, les codes postaux et les Ă©chelles. Attention! Certains pays, comme les USA, utilisent le point comme sĂ©parateur dĂ©cimal et la virgule comme sĂ©parateur de milliers.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Les chiffres romains On utilise trĂšs souvent les chiffres romains pour numĂ©roter les chapitres. Les chiffres romains reprĂ©sentĂ©s ci-dessous permettent de former nâimporte quel nombre. 1 5 10 50 100 500 1 000 I V X L C D M Notez bien quâil nây a pas ici de sĂ©parateurs de dĂ©cimales ni de milliers. RĂšgles de composition dâun nombre en chiffres romains (voir tableau) - Pour augmenter un nombre de base On augmente un nombre de base en plaçant aprĂšs ce nombre un ou plusieurs nombres de valeur Ă©gale ou infĂ©rieure. - Pour diminuer un nombre de base On diminue un nombre de base en plaçant devant ce nombre un nombre plus petit. Composition des chiffres romains Chiffres arabes Milliers Centaines Dizaines UnitĂ© Chiffres romains M + Chiffres - M D C + Chiffres - C L + Chiffres - V I + Chiffres 34 0 0 XXX 30 I V 4 XXXIV 49 0 0 X L 40 I X 9 XLIX 285 0 CC 200 LXXX 80 V 5 CCLXXXV 763 0 DCC 700 L X 60 III 3 DCCLXIII 1 555 M 1 000 D 500 L 50 V 5 MDLV 1 997 M 1 000 C M 900 X C 90 V II 7 MCMXCVII 2 008 MM 2 000 0 0 V III 8 MMVIII 2.1.3 Signes ou symboles de calcul et de mesure Symbole SigniïŹcation Symbole SigniïŹcation Symbole SigniïŹcation = est Ă©gal Ă h heure // parallĂšle Ă â nâest pas Ă©gal Ă min minute â„ perpendiculaire Ă â environ s seconde â angle < plus petit que % pour-cent α grandeur angulaire †plus petit ou Ă©gal Ă â° pour-mille r rayon > plus grand que + plus Ï pi â„ plus grand ou Ă©gal Ă â moins â diamĂštre â inïŹni / ou : divisĂ© ° degrĂ© ± plus ou moins Ă ou * multipliĂ© ' minute (angle) â la somme de racine carrĂ©e " seconde (angle)
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.1.4 La rĂšgle de trois 1. Ăcrivez les donnĂ©es et ensuite ce que vous cherchez. 2. Vous commencez toujours par 1. 3. La question ⊠la solution. Exemple: directement proportionnel 3 fĂ»ts contiennent 225 l dâhuile. Combien dâhuile y a-t-il dans 7 fĂ»ts? 3 fĂ»ts contiennent: 225 l § : 3 1 fĂ»t contient: 75 l § x 7 7 fĂ»ts contiennent: 525 l Cette relation est directement proportionnelle, c.-Ă -d. que plus il y a de fĂ»ts, plus il y aura dâhuile, et moins il y a de fĂ»ts, moins il y aura dâhuile. Exemple: inversement proportionnel Deux ouvriers ont besoin de 4h30 pour enduire un mur. Combien de temps faudra-t-il Ă 3 ouvriers pour exĂ©cuter le mĂȘme travail? 2 ouvriers ont besoin de 4h30 § x 2 1 ouvrier a besoin de 9h § : 3 3 ouvriers ont besoin de 3h Cette relation est inversement proportionnelle, c.-Ă -d. que moins il y a dâouvriers, plus il faudra de temps; inversement, plus il y a dâouvriers, moins il faudra de temps. 2.1.5 Calcul dâun pourcentage Ce calcul revient souvent dans une entreprise. Il sufïŹt de penser aux tarifs de TVA, aux rĂ©ductions et aux commissions. Hors TVA Il faut encore ajouter la TVA TVA comprise La TVA est dĂ©jĂ incluse dans le montant Exemple Prix hors TVA: 35 023 ⏠Taux de TVA: 6 % 35 023 x 6 100 TVA = 2 101,38 ⏠Prix TVAC: 37 124,38 ⏠Taux de TVA: 6 % 37 124,38 x 6 100 + 6 TVA = 2 101,38 âŹ
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.1.6 Les mesures de longueur La dĂ©ïŹnition du mĂštre a Ă©tĂ© Ă©tablie au niveau international dans le cadre du systĂšme SI (SystĂšme international dâunitĂ©s*). En Belgique, lâapplication du systĂšme mĂ©trique est obligatoire pour lâĂ©tablissement de documents dans une entreprise, ou pour lâexercice dâune profession ou dâun commerce. Le mĂštre (m) sâutilise pour exprimer une longueur, une distance ou un pĂ©rimĂštre. Ordre dâimportance et dĂ©nomination dâune mesure de longueur kilomĂštre km hectomĂštre hm dĂ©camĂštre dam mĂštre m SĂ©parateur dĂ©cimal dĂ©cimĂštre dm centimĂštre cm millimĂštre mm 0 0 0 5 , 1 0 5 Exemple Tableau de correspondance des unitĂ©s de longueur anglaises UnitĂ© Pouce Pied Yard Toise Furlong En unitĂ© SI Pouce 25,4 mm Pied 12 30,48 cm Yard 36 3 91,44 cm Toise 72 6 2 1,828 8 m Furlong 7 920 660 220 110 201,168 m Mile anglais 63 360 5 280 1 760 880 8 1,609 344 km Le systĂšme international dâunitĂ©s a Ă©tĂ© inventĂ© en France. Câest en 1790 quee lâAssemblĂ©e Nationnale française a chargĂ© lâAcadĂ©mie des Sciences de concevvoir un nouveau systĂšmme standard applicable dans le monde enttier.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.1.7 Les mesures de surface Câest avec les mesures de surfaces que le plafonneur sera le plus confrontĂ©. Il est donc indispensable de connaĂźtre Ă fond cette matiĂšre. Le mÂČ (mĂštre carrĂ©) est lâunitĂ© standard, car toutes les quantitĂ©s doivent ĂȘtre exprimĂ©es dans cette unitĂ© et les prix sont calculĂ©s sur base de cette unitĂ©. La conversion des unitĂ©s de surface sâeffectue en reculant de 2 positions vers la gauche ou vers la droite. Ordre dâimportance et dĂ©nomination dâune surface kilomĂštre carrĂ© kmÂČ hectomĂštrecarrĂ© hmÂČ dĂ©camĂštrecarrĂ© damÂČ mĂštrecarrĂ© mÂČ SĂ©parateurdĂ©cimal dĂ©cimĂštrecarrĂ© dmÂČ centimĂštrecarrĂ© cmÂČ millimĂštrecarrĂ© mmÂČ 00 00 01 02 , 30 43 50 ha a ca Mesures agraires correspondantes Exemple Les mesures agraires sont aussi des mesures de surface et correspondent Ă : - un hectare ha [ hmÂČ - un are a [ damÂČ - un centiare ca [ mÂČ 2.1.8 Masse (M) La lettre capitale M est le symbole de la masse. LâunitĂ© de masse est le kilogramme (kg). La valeur de 1 kilogramme est donnĂ©e par un cylindre dâalliage platine-iridium placĂ© dans un environnement bien dĂ©terminĂ© (voir photo). LâĂ©talon est conservĂ© au B.I.P.M. Ă SĂšvres. Ătalon dâun kg Photo : Bureau International des Poids et Mesures
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Ordre dâimportance et dĂ©nominations dâune masse tonne t quintal kilogramme kg SĂ©parateur dĂ©cimal hectogramme hg dĂ©cagramme dag gramme g 1 2 0 7 , 6 7 8 Exemple Vous trouverez ci-dessous quelques valeurs moyennes de matĂ©riaux de construction. DĂ©nomination Masse / volume Sable de riviĂšre Ă l'Ă©tat sec 1 650 kg/mÂł Sable de riviĂšre Ă l'Ă©tat humide 1 750 kg/mÂł Sable de riviĂšre Ă l'Ă©tat saturĂ© 2 000 kg/mÂł Argile et limon Ă l'Ă©tat sec 1 650 kg/mÂł Argile et limon Ă l'Ă©tat humide 2 000 kg/mÂł Gravier 1 650 kg/mÂł Plaques de plĂątre 800-1 400 kg/mÂł Enduit de plĂątre 1 300 kg/mÂł Enduit de ciment 1 900 kg/mÂł Maçonnerie en blocs de terre cuite 1 300 kg/mÂł Maçonnerie de parement 1 700 kg/mÂł Brut - Net - Tare GĂ©nĂ©ralitĂ©s Hors du secteur des transports Dans le secteur des transports Brut Net + Tare Produit + emballage Poids total du vĂ©hicule chargĂ© Net Brut - Tare Produit sans emballage Poids total du chargement Tare Brut - Net Poids de l'emballage Poids du vĂ©hicule Ă vide 2.1.9 Poids (P) Poids = Masse x accĂ©lĂ©ration due Ă la pesanteur FORMULE: P = M x g Masse M kg (kilogramme) Poids G N (newton) AccĂ©lĂ©ration due Ă la pesanteur g m/sÂČ (mĂštre par seconde au carrĂ©) Pour nous, g = 9,81 m/sÂČ. Dans le domaine technique, on arrondit gĂ©nĂ©ralement Ă 10. On peut en conclure que 1 kg = 9,81 N â 10 N en arrondi.
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.1.10 Volume - CapacitĂ© Le plafonneur doit continuellement calculer des volumes. Il est donc indispensable de connaĂźtre Ă fond cette matiĂšre. Le mÂł (mĂštre cube) est lâunitĂ© standard de volume, le l (litre) est lâunitĂ© standard de capacitĂ©. Tous les volumes doivent ĂȘtre exprimĂ©s dans ces unitĂ©s de mesure. Dans ce cas, pour effectuer une conversion, nous devons reculer de 3 positions vers la gauche ou vers la droite pour le volume, mais de 1 seule position pour la capacitĂ©. Volume mĂštre cube mÂł dĂ©cimĂštre cube dmÂł centimĂštre cube cmÂł millimĂštre cube mmÂł 0 0 3 1 2 3 1 2 3 1 2 3 hectolitre hl dĂ©calitre dal litre l dĂ©cilitre dl centilitre cl millilitre mlCapacitĂ© Exemple 2.1.11 TempĂ©rature (T) On utilise diffĂ©rentes Ă©chelles pour indiquer une tempĂ©rature: - Celsius (°C): sâapplique surtout dans les pays europĂ©ens. Le point zĂ©ro de lâĂ©chelle Celsius correspond au point de fusion de lâeau. Le point dâĂ©bullition de lâeau Ă une pression dâair de 1 bar correspond Ă 100 °C. Cela permet de contrĂŽler lâĂ©chelle de maniĂšre assez prĂ©cise dans la pratique. - Fahrenheit (°F): aux Ătats-Unis dâAmĂ©rique et Ă la JamaĂŻque, on exprime la tempĂ©rature en degrĂ©s Fahrenheit. Ă lâorigine, le point zĂ©ro de lâĂ©chelle Fahrenheit se situait entre la tempĂ©rature la plus basse mesurable Ă lâĂ©poque (lâeau de mer gelĂ©e) et 100 °F (tempĂ©rature moyenne du corps humain). Par consĂ©quent, le point de fusion de la glace correspond Ă 32 °F et le point dâĂ©bullition de lâeau pure correspond Ă 212 °F.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© - Kelvin (K): cette Ă©chelle de tempĂ©rature est prĂ©fĂ©rĂ©e Ă toutes les autres dans le systĂšme dâunitĂ©s SI et en physique. Les degrĂ©s ont la mĂȘme taille que dans lâĂ©chelle Celsius, mais le point zĂ©ro est dĂ©placĂ© au zĂ©ro absolu (-273,15 °C). Cela veut dire quâune tempĂ©rature exprimĂ©e en Kelvin ne peut pas ĂȘtre nĂ©gative. Contrairement aux anciennes Ă©chelles Fahrenheit et Celsius, lâunitĂ© sâappelle âKelvinâ (K) et non âdegrĂ© Kelvinâ (°K). 2.1.12 Temps (t) Le symbole de temps est t. LâunitĂ© de base est la seconde, symbolisĂ©e par s. Nous avons besoin dâune mesure de temps pour dĂ©terminer les salaires horaires et les prix de revient. Ă! Attention! Conversion des minutes en Ă©quivalents dĂ©cimaux Nombre de minutes 15 20 30 40 45 Nombre d'heures 1/4 1/3 1/2 2/3 3/4 Ăquivalent dĂ©cimal 0,25 0,33⊠0,5 0,66⊠0,75 Mais vous devez ĂȘtre particuliĂšrement attentifs Ă la maniĂšre de calculer, comme indiquĂ© ci-dessous. 3h45â x 12,5 âŹ/h â 3,75 x 12,5 = 46,875 âŹ
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.1.13 Angles Terminologie UnitĂ©s - LâunitĂ© SI dans laquelle on mesure un angle est le radiant (rad). 1 rad = 57° 17â 45â = 63,6620 grades. Une circonfĂ©rence = 2 x Ï x rad. - Dans lâusage courant, lâunitĂ© de mesure est le degrĂ© (°). On divise alors la circonfĂ©rence en 360°. Le degrĂ© est subdivisĂ© en 60 minutes (â) et en 60 x 60 ou 3 600 secondes (ââ). - En gĂ©odĂ©sie et en arpentage, on utilise de plus en plus lâunitĂ© grade. On divise alors la circonfĂ©rence en 400 grades. 1 grade = 0° 54â; 1° = 1,1111 grade. - Dans la circulation, on indique un angle de pente en pour-cent (%) (voir illustration).
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Orientation et grandeur + - Un angle orientĂ© dans le sens inverse des aiguilles d'une montre est positif. Un angle orientĂ© dans le sens des aiguilles d'une montre est nĂ©gatif. Un angle orientĂ© est un angle de vecteurs; une ïŹĂšche va du vecteur de dĂ©part vers le vecteur dâarrivĂ©e. Quelques exemples ThĂ©orĂšme de Pythagore Dans la pratique, on appelle souvent ce thĂ©orĂšme lâĂ©querre 3-4-5. Il sâapplique uniquement aux triangles rectangles. Cette mĂ©thode sâutilise surtout dans la construction, parce quâelle procure un moyen facile de contrĂŽler ou de tracer un angle droit Ă lâaide du mĂštre. Dans un triangle rectangle, le carrĂ© de lâhypotĂ©nuse est Ă©gal Ă la somme des carrĂ©s des cĂŽtĂ©s de lâangle droit.
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53MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Voici quelques exemples de dimensions de cĂŽtĂ©s de triangles qui produisent automatiquement un triangle rectangle. HypotĂ©nuse a distance x 5 CĂŽtĂ© de lâangle droit b distance x 4 CĂŽtĂ© de lâangle droit c distance x 3 1 m x 5 = 5 m 1 m x 4 = 4 m 1 m x 3 = 3 m 2,5 m 2 m 1,5 m 1 m 80 cm 60 cm 1,5 m 1,2 m 0,90 m 2 m 1,6 m 1,2 m 55 cm 44 cm 33 cm 1,65 m 1,32 m 99 cm 3,25 m 2,6 m 195 cm 2.1.14 PĂ©rimĂštre - Surface - Volume - CapacitĂ© PĂ©rimĂštre Le pĂ©rimĂštre est dĂ©terminĂ© par une seule dimension. Câest la somme de tous les cĂŽtĂ©s et elle sâexprime de prĂ©fĂ©rence en mĂštre courant ou m. Le dessin ci-contre permet de visualiser comment il faut interprĂ©ter un pĂ©rimĂštre.
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54 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Surface La surface est dĂ©terminĂ©e par 2 dimensions. Câest pourquoi le produit sâexprime de prĂ©fĂ©rence en mÂČ (mĂštre carrĂ©). Surf. = L x l Surf. = 5 x 4 = 20 mÂČ Volume - CapacitĂ© Le volume a toujours 3 dimensions. Câest pourquoi il sâexprime de prĂ©fĂ©rence en mÂł (mĂštre cube). Volume = L x l x h 5 x 4 x 1 = 20 mÂł La ïŹgure ci-contre donne une capacitĂ© de: 0,5 m x 0,2 m x 0,3 m = 0,03 mÂł ou 5 dm x 2 dm x 3 dm = 30 dmÂł Or, nous savons que 1 dmÂł = 1 l. La capacitĂ© est donc de 30 l.
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55MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et métré 2. Le métré 2.1.15 Comment calculer? Le carré Le rectangle
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56 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et métré 2. Le métré Le losange Le parallélogramme
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57MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et métré 2. Le métré Le trapÚze Le triangle
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58 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et métré 2. Le métré Le cercle Le secteur angulaire
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Lecture de plans
et métré 2. Le métré Le segment MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE GENERALITES 59NUEL MODULU AAIREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE PPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPLALLALALALALALALALALALALALALALALALAALAAAAAALLALALALALAALALAAALAALLALALAALALLALALALAAALALLALALAAALALALAALLALALALAAALLALALLAALALALAALLLALAAALAALLALAAALALAAAALALALAALAAAAAALAAAAAALALLALLLLAAFOFOFOFOFFOFOFOFOFOFOFOOOOOOOOOOOOOOOOFOOOOFOFOFOFOFOFOFOFOFOOOOOOOOFOFOFFFOFFOOOOOOOOOFOFFOFOFOFOFOFOOOOOOOOOFFOFOFOFOOOOOOOOOOOOOOFOFOOOOOOOOOOOOOOFOFOOOOOOOOOOFFFOFOOOOOOOOOOFOOFOOOOOFFOOOOOOOOOOOOFOOOOOOOOFOFFOFOOOOOOFFFOOOOOOFFFOOOOOOOOFFOOOOOOFOOOOOOOOFOFOOFFOOOOOFFFFFFFOOOOOOOFFOFOOOOOOOFFFOOOOFOFOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGAGGAGAGAGAGAGAGGAGAAGAGAGAGAGAGAGGAGAGAGAGGAGAGAGAAGAAGAGAAAGGAGAGAGAGAAGAGAAGAGGAGAAAGGAAAAAGAGAAAGGAAGGAAGAAGAAGAGGGAAAAAGAGGGAAGGAGGAAAGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
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60 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.2 Notions de gĂ©omĂ©trie 2.2.1 Les perpendiculaires Ă gauche, abaisser la mĂ©diatrice de AB et, Ă droite, abaisser une perpendiculaire Ă partir de P Ălever une perpendiculaire Ă lâextrĂ©mitĂ© dâun segment de droite AB 2.2.2 Les lignes parallĂšles Deux mĂ©thodes pour tracer une parallĂšle Ă la droite a en un point quelconque
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.2.3 Les angles Reproduire un angle Construire une bissectrice: partager un angle donnĂ© en deux angles Ă©gaux Construire des angles dâune taille dĂ©terminĂ©e 2.2.4 Comment diviser une droite en n parties Ă©gales Diviser le segment de droite AB en 7 parties Ă©gales
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62 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.2.5 Les tangentes Tangentes Ă un cercle passant par un point donnĂ© P Relier deux droites parallĂšles par un demi-cercle Arrondir des angles Ă lâaide dâun arc de dimension donnĂ©e
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63MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.2.6 Les polygones rĂ©guliers Le triangle et le quadrilatĂšre rĂ©guliers Le pentagone et lâhexagone rĂ©guliers Lâheptagone et lâoctogone rĂ©guliers
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64 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© LâennĂ©agone et le dĂ©cagone rĂ©guliers LâhendĂ©cagone et le dodĂ©cagone rĂ©guliers Le tĂ©tradĂ©cagone et le pentadĂ©cagone rĂ©guliers
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65MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© MĂ©thode universelle de construction dâun polygone rĂ©gulier Ă n cĂŽtĂ©s Exemple pour un tridĂ©cagone rĂ©gulier Construire un octogone rĂ©gulier dans un carrĂ© DonnĂ©e: un carrĂ© de dimensions prĂ©cises
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66 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Construire un octogone rĂ©gulier dont le cĂŽtĂ© est donnĂ© 2.2.7 Les formes dâarc GĂ©nĂ©ralitĂ©s Les arcs sont des constructions qui avaient autrefois comme fonction principale dâenjamber des espaces en supportant une charge; ils ont donnĂ© leur caractĂšre spĂ©ciïŹque Ă diffĂ©rents styles architecturaux. Depuis que lâon utilise lâarc comme structure portante, il est possible de construire dâĂ©normes bĂątiments, des ponts et des aqueducs. Depuis lâinvention du bĂ©ton armĂ© et prĂ©contraint, lâarc ne sert pratiquement plus dâĂ©lĂ©ment portant. Actuellement, les arcs sont plutĂŽt considĂ©rĂ©s comme des Ă©lĂ©ments esthĂ©tiques. Il existe diffĂ©rents types dâarcs, chacun ayant ses caractĂ©ristiques et ses modes de reprĂ©sentation que nous allons Ă©tudier de plus prĂšs. Les arcs en plein cintre Le plein cintre est pratiquement la forme la plus simple de lâarc. Les Romains lâutilisaient dĂ©jĂ systĂ©matiquement. La ïŹgure ci- contre en illustre la terminologie. Voici maintenant une sĂ©rie de variantes Ă lâarc en plein cintre.
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67MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Le plein cintre dâaspect nĂ©oclassique Arc avec partie centrale horizontale Lâarc en fer Ă cheval Cet arc se compose dâune partie de cercle. Il est appliquĂ© dans lâarchitecture islamique. Le plein cintre dâaspect nĂ©oclassique Arc avec partie centrale horizontale pp Lâarc en fer Ă cheval Arc Florentin Dans lâarc ïŹorentin, lâextrados est de forme ogivale tandis que lâintrados est en plein cintre. Arc Florentin
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68 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Les arcs segmentaires On connaĂźt la portĂ©e, mais pas la flĂšche: On connaĂźt la portĂ©e et la flĂšche. Cette mĂ©thode peut aussi sâutiliser pour rechercher le point de courbure de maniĂšre graphique. On peut aussi trouver la longueur du rayon par un calcul. Le dessin ci-contre en donne un exemple. Exemple de calcul du rayon On connaĂźt la portĂ©e, mais pas la flĂšche: On connaĂźt la portĂ©e et la flĂšche. Exemple de calcul du rayon
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69MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Les ogives Cette forme dâarc est caractĂ©ristique du style gothique. Lâogive ou arc ogival prend 3 formes principales: â lâogive surbaissĂ©e (Ă gauche), â lâogive normale (au centre), â lâogive surhaussĂ©e ou ogive en lancette (Ă droite). Vous remarquerez que, dans lâogive surbaissĂ©e, les points de courbure sont situĂ©s Ă lâintĂ©rieur de la portĂ©e. Cet arc est caractĂ©ristique de la pĂ©riode bas gothique. Dans lâogive normale, les points de courbure se situent dans les naissances de lâarc et, dans lâogive surhaussĂ©e ou lancette, ces points se situent Ă lâextĂ©rieur de la portĂ©e. Les ogives surhaussĂ©es sont caractĂ©ristiques du gothique ïŹamboyant. Les arcs Tudor Tudor est le nom de la famille royale qui a rĂ©gnĂ© en Angleterre de 1483 Ă 1603. Les arcs Tudor ressemblent Ă des ogives trĂšs surbaissĂ©es, mais Ă cette diffĂ©rence prĂšs quâils ont 4 points de courbure. Les arcs Tudor ont caractĂ©risĂ© lâarchitecture anglaise au quinziĂšme siĂšcle. Les dessins gĂ©omĂ©triques ci-aprĂšs permettent dâĂ©tablir clairement la diffĂ©rence entre les types dâarcs Tudor, selon leur construction.
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PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et métré 2. Le métré La portée est divisée en 4 parties égales: La portée est divisée en 5 parties égales: La portée est divisée en 6 parties égales: La portée est divisée en 4 parties égales: La portée est divisée en 5 parties égales: La portée est divisée en 6 parties égales:
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71MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Les arcs en anse de panier Cette forme dâarc appartient Ă la derniĂšre pĂ©riode du gothique et a Ă©tĂ© utilisĂ©e jusquâau cĆur de la Renaissance (câest-Ă -dire jusquâĂ la ïŹn du seiziĂšme siĂšcle). Rarement utilisĂ©e avant 1400, cette forme dâarc nâest plus une exception durant le quinziĂšme siĂšcle. On connaĂźt la portĂ©e: Ă gauche, la portĂ©e est divisĂ©e en 3 et, Ă droite, elle est divisĂ©e en 5; Ă gauche, la portĂ©e est divisĂ©e en 4 et, Ă droite, on connaĂźt aussi la ïŹĂšche. PortĂ©e et flĂšche sont dĂ©terminĂ©es dâavance: On connaĂźt la portĂ©e: Ă PortĂ©e et flĂšche sont dĂ©terminĂ©es dâavance:
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72 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Les ellipses Lâarc en anse de panier et lâarc elliptique ont pratiquement la mĂȘme forme, mais nous noterons que lâellipse a un mouvement plus ïŹuide. Dans une ellipse, on parle des focales, du grand axe et du petit axe (voir dessin). La somme des focales en nâimporte quel point de lâarc est Ă©gale au plus grand axe de lâellipse. Dans la pratique, nous dessinerons cet arc Ă lâaide de clous et dâun cordeau, comme le montre le dessin. Les arcs rampants Les arcs rampants sâappliquent surtout comme Ă©lĂ©ment de structure portante sous les escaliers et les rampes. On connaĂźt la portĂ©e ainsi que les points A et B:On connaĂźt la portĂ©e ainsi que les points A et B:
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GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Lâarc en accolade, ou en talon La portĂ©e est connue et est divisĂ©e en quatre parties: Les spirales Les spirales reprĂ©sentĂ©es ci-dessous ont respectivement 2, 3 et 4 centres. Nous voyons aussi que plus il y a de centres, et plus la spirale devient ïŹuide. La portĂ©e est connue et est divisĂ©e en quatre parties: pp
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74 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.2.8 Les moulures et les proïŹls
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GENERALITES Lecture de plans et métré 2. Le métré
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76 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© 2.3 Notions dâĂ©lectricitĂ© 2.3.1 Introduction LâĂ©lectricitĂ© fait partie de notre vie quotidienne. Nous ne pourrions pas nous en passer, mais que savons-nous dâelle? LâĂ©lectricitĂ© est une forme dâĂ©nergie. Elle est produite par des Ă©lectrons qui possĂšdent chacun une petite charge Ă©lectrique. Les Ă©lectrons sont des particules qui font partie dâun atome. Quand nous allumons la lumiĂšre, des millions et des millions dâĂ©lectrons traversent la lampe chaque seconde. Les cĂąbles encastrĂ©s dans les murs transportent lâĂ©lectricitĂ© qui est donc disponible Ă tout moment sur simple pression dâun bouton. Nous appelons cette Ă©nergie âcourant Ă©lectriqueâ. Mais il existe aussi lâĂ©lectricitĂ© statique. 2.3.2 Explication simple Ă premiĂšre vue, lâĂ©lectricitĂ© et lâeau nâont pas grand-chose en commun, et pourtant elles se ressemblent Ă©normĂ©ment. La meilleure façon dâexpliquer le mĂ©canisme des concepts Ă©lectriques (tension, intensitĂ© et rĂ©sistance) est de le comparer au schĂ©ma dâune fontaine, comme ci-dessous. On peut comparer le tuyau par lequel lâeau circule au ïŹl Ă©lectrique, et lâeau qui sâĂ©coule dans le tuyau Ă lâĂ©lectricitĂ©. Lâatome est la plus petite partie identiïŹable dâun Ă©lĂ©ment chimique. Lâatome dâhĂ©lium (illustrĂ© ci-contre) est constituĂ© dâun noyau, formĂ© de 22 protons (en rouge)) et de deux neutronns (en vert), autour duquel gravitent deux Ă©lectrons (en jaunee).
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77MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© La pression dâeau dans le tuyau peut ĂȘtre comparĂ©e Ă la tension. Plus il y a de tension (volt) dans le tuyau, et plus forte est la pression de lâeau qui sâĂ©coule. Le concept suivant est lâintensitĂ© du courant Ă©lectrique (ampĂšre): ce nâest rien de plus que la quantitĂ© dâeau ou dĂ©bit (litres/seconde). Le dĂ©bit est le rĂ©sultat de la pression (plus il y a de tension, et plus il y a dâintensitĂ©) et de lâouverture du robinet. On peut comparer lâouverture du robinet Ă la rĂ©sistance Ă©lectrique (ohm). Plus nous ouvrons le robinet, et moins lâeau rencontre de rĂ©sistance et plus vite elle sâĂ©coulera. En rĂ©sumĂ©: - la tension se mesure en volt. On peut la comparer Ă la pression dâeau dans le tuyau. - lâintensitĂ© se mesure en ampĂšre. On peut la comparer Ă la quantitĂ© dâeau qui sâĂ©coule dans le tuyau. - la rĂ©sistance se mesure en ohm. On peut la comparer Ă lâouverture du robinet sur le tuyau. 2.3.3 Loi dâOhm La loi dâOhm est une loi physique qui a dĂ©montrĂ© dans la pratique que la tension Ă©lectrique Ă travers une rĂ©sistance est directement proportionnelle Ă lâintensitĂ© du courant Ă©lectrique qui passe par cette rĂ©sistance. Si une intensitĂ©, que nous appellerons I, traverse une rĂ©sistance que nous appellerons R, il se crĂ©e Ă travers cette rĂ©sistance une tension appelĂ©e U. RĂ©sistance x intensitĂ© = tension R x I = U Câest ainsi que lâon exprime la loi dâOhm: on utilise simplement les lettres R, I et U pour Ă©viter de devoir Ă©crire continuellement les mots en toutes lettres. Diviser ou multiplier? Pas de problĂšme, car il existe un moyen simple pour le faire facilement. Si vous voulez connaĂźtre R, vous posez votre doigt sur R et il reste U/I. Les exemples suivants sont parlants, vous nâavez quâĂ essayer... Nous connaissons Ă peu prĂšs la loi dâOhm⊠il nous reste Ă nous exercer un peu. Exemple 1 Nous avons une rĂ©sistance dâune valeur de 6 ohms et nous y envoyons un courant dâune intensitĂ© de 2 ampĂšres. Quelle est la tension? Tension (U) = rĂ©sistance (R) x intensitĂ© (I) soit 6 x 2 = 12 volts. Exemple 2 Nous mesurons 12 volts entre les bornes dâune batterie. Nous y branchons une rĂ©sistance de 4 ohms. Quelle sera lâintensitĂ© qui traversera la rĂ©sistance? 12 volts = 4 ohms x ?? Posez votre doigt sur le I et vous obtiendrez 12 : 4 = 3 ampĂšres
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78 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 2. Le mĂ©trĂ© Exemple 3 Une rĂ©sistance de valeur inconnue est branchĂ©e sur une batterie ayant une tension de 6 volts. Nous mesurons une intensitĂ© de 0,5 ampĂšre. Quelle est cette rĂ©sistance? 6 = ?? x 0,5 Posez votre doigt sur le R et vous obtiendrez 6 : 0,5 = 12 ohms 2.3.4 Puissance (watt) La puissance est mentionnĂ©e en watt sur tous les appareils Ă©lectriques. La puissance exprime la consommation Ă©lectrique maximale par seconde de la machine. En Ă©lectricitĂ©, on utilise beaucoup la formule suivante: Puissance (P) = tension x intensitĂ© P = U x I - U: la valeur effective de la tension Ă©lectrique exprimĂ©e en volt. - I: la valeur effective de lâintensitĂ© exprimĂ©e en ampĂšre. Exemple La tension et lâintensitĂ© dâune meuleuse dâangle sont respectivement de 230 V et 3,5 A. Sa puissance maximale est donc de 3,5 x 230 = 805 W. Nous exprimons la consommation dâun appareil en kilowattheure = kWh. 1 kWh = 1 000 W. Si nous travaillons 2h avec notre meuleuse, nous aurons consommĂ©: (805 x 2h)/1 000 = 1,61 kWh. Pour savoir combien cela coĂ»te, nous devons multiplier le prix du kWh par la consommation.
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79MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et métré 79 3.1 Informations générales 3.1.1 Le cartouche
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80 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.1.2 Le plan de situation Ăchelle: 1:25000
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MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGEMAMANUNUELEL
MMODODULULAIAIRERE PPPLALALAFOFOFONNNNNNAGAGAGEEE 81 Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.1.3 Le plan dâimplantation Ăchelle: 1:250
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82 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.2 Les vues en plan 3.2.1 Le plan des fondations Ăchelle: 1:75
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83MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.2.2 Le plan du rez-de-chaussĂ©e Ăchelle: 1:75
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84 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.2.3 Le plan de lâĂ©tage Ăchelle: 1:75
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85MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.2.4 Le plan du grenier Ăchelle: 1:75
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86 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.3 Les coupes en Ă©lĂ©vation (ou coupes verticales) 3.3.1 Coupe A-A Ăchelle: 1:75
87.
87MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.3.2 Coupe B-B Ăchelle: 1:75
88.
88 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.4 Les vues 3.4.1 Vue de face Ăchelle: 1:75
89.
89MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.4.2 Vue arriĂšre Ăchelle: 1:75
90.
90 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.4.3 Vue latĂ©rale gauche Ăchelle: 1:75
91.
91MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.4.4 Vue latĂ©rale droite Ăchelle: 1:75
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92 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.5 Les vues en plan avec identiïŹcation des murs 3.5.1 Plan du rez-de-chaussĂ©e Ăchelle: 1:75
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93MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Lecture de plans et mĂ©trĂ© 3. Plans de construction - documentation 3.5.2 Plan de lâĂ©tage Ăchelle: 1:75
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94 MANUEL MODULAIRE
PLAFONNAGE GENERALITES Lecture de plans et métré
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95MANUEL MODULAIRE PLAFONNAGE
GENERALITES Notes
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Fonds de Formation
professionnelle de la Construction MANUELS MODULAIRES PLAFONNAGE Pl.i.7 - Plafonnage intérieur - Application manuelle Pl.i.2 - En.ex.2 - Pl.sec.2 - Ca.pl.2 - Lecture de plans et métré Les manuels disponibles
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