1. Camp
avec
des
personnes
handicapées
du
diocèse
de
Marseille
Un
camp
d’été
pas
comme
les
autres
!!!
Du
31
juillet
au
5
août
2013
Chez
les
sœurs
Ste
scholastiques,
Dourgne
(81)
Retour
sur
une
aventure
peu
ordinaire
!!!
«
Aimer,
c’est
révéler
à
l’autre
sa
Beauté
»
Jean
Vanier
Six
jours
sous
le
regard
de
Dieu
Le
31
juillet
2013,
le
tableau
qu’offre
le
départ
du
groupe
foi
et
lumière
sur
la
place
de
l’Eglise
St
Barnabé
peut
déstabiliser.
C’est
en
effet,
un
groupe
bien
peu
commun
que
nous
avons
là
!
Mais
venez
passer
ne
serait-‐ce
que
10
minutes
au
sein
de
ce
groupe
et
la
joie
rayonnera
déjà
sur
votre
visage
!
Notre
secret
?
Prenez
de
la
bonne
humeur
à
foison,
de
la
joie
à
gogo,
une
grande
louche
d’amour,
le
tout
assaisonné
de
batailles
d’eau
mémorables,
de
musique,
de
danses
endiablées,
de
baignades
dans
un
lac
à
Un
programme
dynamique
et
varié
Partir
pour
un
camp
C'est
simple.
Il
suffit
de
dire
oui
et
de
s'inscrire.
Les
membres
de
foi
et
Lumière
aiment
chanter
avec
entrain...
même
s'ils
connaissent
mieux
la
mélodie
que
les
paroles.
Les
journées
se
succèdent
et
ne
se
ressemblent
pas
:
15°,
de
promenades
en
charrette
avec
Sibelle
et
Tulipe,
et
vous
obtenez
parfaitement
réussi
!
6
jours
placés
sous
le
regard
de
Dieu,
à
travers
des
prières
et
des
rencontres
avec
les
sœurs
de
Ste
Scholastique
et
les
frères
d’En-‐Calcat.
Chacun
de
nous
quitte
ce
camp
avec
dans
le
cœur,
ces
souvenirs
de
moments
extraordinaires,
qu’il
n’aurait
jamais
pensé
vivre
et
attends
avec
hâte
l’année
prochaine
!
J
Regarder
au-‐delà
des
différences,
c’est
déjà
aimer.
Bérengère
A
Jouer
dans
les
rues
de
Castres
à
la
recherche
des
fameuses,
se
promener
en
calèche
à
travers
les
chemins
de
campagne
de
Dourgnes,
se
baigner
au
lac....
Le
tout
dans
un
univers
de
foi
puisqu'il
n'y
a
pas
un
jour
sans
que
la
messe
ne
soit
célébrée.
Antoine,
Maxime,
Christophe
et
Hervé
revêtent
alors
une
tenue
impeccable
pour
servir.
Les
amis
de
foi
et
lumière
ont
bien
des
choses
à
nous
enseigner
:
Ils
prient
avec
ferveur
et
sincérité
et
une
expression
de
joie
illumine
leur
regard.
Florian
jongle
avec
dextérité,
et
enseigne
devant
un
parterre
médusé
la
chorégraphie
du
Gang
Nam
style.
Emilie
joue
du
djembé
et
son
sourire
émerveille
les
religieuses.
On
ne
se
prend
pas
au
sérieux
:
Les
jeux
par
équipes
ont
un
vainqueur
mais
on
oublie
vite
qui
il
est.
Pendant
ces
jours,
il
y
a
de
la
diversité,
de
l'entraide
et
de
la
joie.
Non
tu
ne
rêves
pas,
ceci
n'est
pas
un
monde
utopique
mais
le
quotidien
vécu
d’un
camp
foi
et
lumière.
Antoine
V.
2. Je
me
suis
vite
intégré…
Pour
mon
premier
camp
avec
des
personnes
ayant
un
handicap,
c'était
une
expérience
formidable.
Avant
de
partir
à
ce
camp,
j’avais
quelques
appréhensions
car
c'était
la
première
fois.
Mais
la
bonne
ambiance,
les
très
bonnes
relations
entre
les
animateurs
et
les
personnes
handicapées,
l’accueil
de
l'équipe
m’ont
permis
de
vite
m'y
intégrer.
Ce
camp
a
été
un
très
bon
moment
passé
ensemble,
avec
beaucoup
d'émotions
et
de
joie.
J’ai
appris
beaucoup
de
chose
telle
que
la
patience.
A
la
fin
de
ce
camp,
la
fatigue
s'est
faite
ressentir,
mais
avec
tout
ce
que
j’ai
vécu,
ça
valait
le
coup
d'être
fatigué
!
Je
remercie
les
membres
de
foi
et
lumière
pour
le
bonheur
qu'ils
m'ont
apporté
et
les
sœurs
pour
leur
accueil.
Etienne
L,
17
ans
La
Foi
ouvre
à
la
joie…
Sur
les
routes
et
sur
les
chemins
Sibelle,
et
Tulipe
ont
cavalé
une
journée
entière.
Au
rythme
des
calèches,
nous
avons
voyagé,
au
bord
des
prés
et
des
champs
de
maïs.
Combien
de
fois
les
moniales
nous
ont-‐elles
embrassés
comme
on
reçoit
de
vieux
amis,
et
avec
elles,
nous
avons
chanté,
et
nous
avons
prié.
Nous
avons
des
invités,
des
amis
de
passage,
des
pèlerins
en
chemin.
La
Foi
ouvre
à
la
joie
et
la
Lumière
brille
dans
les
yeux.
Halte
dominicale,
c’est
la
messe
dans
la
chapelle
des
sœurs.
Jésus
vient
nous
toucher
comme
on
donne
un
baiser,
une
main
pour
aider,
un
mot
à
peine
effleuré.
La
boutique
des
sœurs
vend
des
souvenirs,
mais
les
plus
beaux
restent
dans
les
cœurs.
Nous
avions
trouvé
des
noms
au
bout
des
ballons.
Je
suis
le
gardien
de
mon
frère,
même
si
je
ne
suis
pas
un
ange.
Jésus,
lui
aussi,
nous
connaît
par
notre
nom,
car
au
plus
profond
c’est
par
ce
nom
que
nous
sommes
appelés
:
Sophie,
Thomas,
Père
Olivier,
Dolorès,
Jean-‐François,
Bérangère,
Christophe,
Simone,
Véronique,
Maxime,
Christel,
Florian,
Laurent,
Hervé,
Jean-‐Pierre,
François,
Emilie,
Joëlle,
Hélène,
Anne-‐Soline,
Antoine,
Marine,
Didier,
Antoine,
Valérie,
Catherine
et
Laurent,
et
la
petite
Nathanaëlle,
Janine,
Lisette,
Agnès,
Etienne,
et
bien
sûr
Numida,
et
même
juste
pour
le
temps
d’un
goûter,
Mgr
Georges
Pontier
!
le
camp
c’est...
comment
vous
dire
?
C’est
comme
un
grand
repas
en
famille.
Didier
C.
Merci
à
tous
pour
votre
accueil,
soutien
et
prière