2. L'outil numérique
On peut aborder la question de
l'outil numérique selon plusieurs
critères : celui des
fonctionnalités,celui du sens à
trouver dans son usage, celui des
usages, celui des pratiques, celui
des compétences et des
connaissances associées.
On part donc du fonctionnement
de l'outil vers ce qu'il permet de
faire, c'est à dire l'action !
6. Pratiques et compétences numériques
On peut aborder la question de
l'outil numérique selon plusieurs
critères : celui des
fonctionnalités,celui du sens à
trouver dans son usage, celui des
usages, celui des pratiques, celui
des compétences et des
connaissances associées.
On part donc du fonctionnement
de l'outil vers ce qu'il permet de
faire, c'est à dire l'action !
9. Des pratiques communes qui font sens
Avec cette visualisation de vos
pratiques on entre dans une
vision partagée d'un existant qui
s'inscrit dans une culture
« jeunes adultes » commune.
On a là une appartenance à un
groupe défini ! Cette
appartenance se définit par des
pratiques qui sont communes.
Mais on est aussi sur des
frontières qu'il va falloir franchir :
- Frontière de la professionnalité.
- Frontière du référentiel scolaire.
10.
11. Un monde du trop
Il s'agit, par cette expression de
brosser à grands traits le web
d'aujourd'hui auquel chaque
usager doit faire face.
Le corolaire de cette atomisation
au niveau de l'individu est peut
être à chercher également du
côté de ce que l'on appelle
aujourd'hui les big data, le
dataminning et la cartographie de
l'information.
17. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/03/16/04016-20100316ARTFIG00481-les-serveurs-informatiques-ogres-energivores-.ph
L'exemple Google est bien
évidemment utilisé par Jonathan
Koomey, qui nous permet
d'apprendre que la firme possède
environ 900 000 serveurs (2,8% des
serveurs dans le monde) qui
consomment environ 0,011% de
l'électricité mondiale (et 0,8% de
l'énergie consommée par les data-
centers).
http://www.pcworld.fr/business/actualites,les-data-centers-consommation-electrique-mondiale,517871,1.htm
18. Les Américains ont englouti quelque 3,6 milliards de
teraoctets d’information en 2008, soit 11,8 heures
d’information par jour et par personne (contre 7,4
heures en 1980) : autant dire que nous sommes
soumis à un flot d’information continu. Nous
consommons en moyenne, tout média confondu,
quelque 100 500 mots et 34 gigaoctets par jours.
http://www.internetactu.net/2010/01/14/combien-dinforma
19. La société complexe
La société de
consommation
La société post-
industrielle
La société
technologique
La société urbaine
La société de la
connaissance http://farm4.static.flickr.com/3207/2754946587_3572fe7d8c_z.jpg
La société mondialisée
cyberpunk ?
La société en réseau
20.
21. Personnalisation
Il s'agit, par cette expression
d'indiquer la seule réponse
envisagée aujourd'hui face à ce
monde du trop : la réponse
atomique à l'échelle de ce web, la
personne. C'est la conséquence
logique de ce que nous avons vu
précédemment sur ce monde du
trop.
22.
23.
24.
25.
26. L'homme compétent
Qui doit être aujourd'hui ce
travailleur du savoir et qu'est-ce
qu'un travailleur du savoir
compétent ?
27. sait combiner et mobiliser un
ensemble de ressources
pertinentes (connaissances,
savoir-faire, qualités, réseaux de
ressources…),
pour gérer un ensemble de
situations professionnelles,
chacune d’entre elles étant définie
par une activité clé à laquelle sont
associées des exigences
professionnelles (ou critères de
réalisation de l’activité),
afin de produire des résultats
(services, produits) satisfaisant à
certains critères de performance
pour un destinataire (client,
usager, patient…)
Guy Le Boterf, Construire les
compétences individuelles et
collectives, Editions
d’Organisation, 2004
28.
29. - Gestion de l'information
- Gestion de son identité numérique
- Gestion de ses compétences
- Gestion de son capital social
- Gestion de son temps
Les compétences professionnelles du travailleur du
savoir
Deschamps, 2009 – le nouveau management de l'information
30.
31. L'individu, cette personne en
communauté
A la conjonction entre individu et
collectif, la communauté permet à
chacun de produire en collectif .
On distingue les équipes de travail
s'exprimant en coopératif ou en
collaboratif,
On distingue les professionnels du
métier exprimant leur pratique et la co-
construisant dans un engagement
commun
On distingue les individus mus par des
intérêts communs et qui s'engagent au
gré de leurs envies
Enfin on peut aussi parler des
communautés d'apprentissage !
C'est ce que nous allons mettre en
œuvre.
Toute communauté mérite d'être outillée.
Hinweis der Redaktion
Une autre vision du cours, comment les outils s'inscrivent dans nos pratiques et les transforment et comment je peux m'appuyer sur des usages et les insérer dans le monde professionnel pour développer ma pratiques professionnelle Avant de parler d'usages et de pratiques, l'exemple de Twitter. Au départ twitter sert à dire ce que l'on fait. Aujourd'hui, il est au coeur de ce qu'on appelle l'économie du lien. Définir l'économie du lien comme la caractérisation par des communautés d'usagers des liens recommander par des followers. On est loin de l'aspect potache du kick off D'abord des fonctionnalités et principalement des fonctionnalités sociales. Vous les maitrisez probablement mieux que moi et là dessus je ne vais pas m'apesantir – Des usages, c'st ce que j'en fais, ce que je réalise avec. Le rapport entre fonctionnalités et usages déterminent ma professionnalité : c'est l'aspect forgeron. Des pratiques, renvoie à une vision culturelle. Ce n'est plus la maîtrise de l'outil qui importe mais, moi individu, ce que je fais avec.