57. • 8 catalogues sur 10 intègrent la participation de
l’usager.
• 4 catalogues sur 10 intègrent les UGC dans
leurs résultats de recherche.
Marc Maisonneuve, Le catalogue de la bibliothèque à l’heure du web 2.0, ADDBS Editions
http://www.flickr.com/photos/mladjenovic_n/3695647200
58.
59.
60. Une participation au compte-goutte
http://www.flickr.com/photos/jrguillaumin/1499704386
61. La participation du bibliothécaire ?
http://www.flickr.com/photos/cclstaff/1282935508
62.
63.
64. Une participation au compte-goutte
http://www.flickr.com/photos/jrguillaumin/1499704386
71. « Seuls les bibliothécaires aiment
chercher, tous les autres aiment
trouver. »
Roy Tennant
Source : http://www.flickr.com/photos/diandra1/4830057281/
72. Une ergonomie à la Google
http://www.flickr.com/photos/st3f4n/3951143570
75. Je cherche un livre
écrit par « Pisani »
Et maintenant ?
76. La réaction de l’usager
Hypothèse favorable :
La bibliothèque n’a rien dans ses
collections susceptible de répondre
à mes attentes.
Marc Maisonneuve, Le catalogue de la bibliothèque à l’heure du web 2.0, ADDBS Editions
77. La réaction de l’usager
Hypothèse moins favorable :
A l’heure de Google, la bibliothèque a
déniché le dernier outil capable de ne
rien trouver dans une base de plusieurs
centaines de milliers de notices
Marc Maisonneuve, Le catalogue de la bibliothèque à l’heure du web 2.0, ADDBS Editions
78. Permettre le rebond !
http://www.flickr.com/photos/kaczmarekvincent/3507235350
87. Ressources documentaires utilisées
très souvent ou régulièrement
• Moteurs de recherche : 96 %
• Catalogue SUDOC : 28,7 %
• Catalogue de votre bibliothèque : 65 %
• Catalogues étrangers : 25,9 %
(Enquête sur les besoins de formation des doctorants
à l’IST – Bretagne. 2008)
88. Si l’usager ne va pas
vers le catalogue,
celui-ci doit aller
vers lui
La bibliothèque dite 2.0 s’inscrit dans cette logique.
La bibliothèque 2.0 n’est pas fondée sur des changement technologiques mais sur des attitudes d’ouverture sur l’usager
Meme si il regarde dans la même direction , ils sont différents, dans leurs diverstités d’usagers, de centres d’intée^tes. Les lunettes ou les chapeaux
La lecture à l'écran répond aussi à des codes d'usages web précis auquels il faut être très attentifs lorsque que l'on produit des contenus
Voici l’exemple de bibliothèque de l’université d’Huddersfield où l’on peut savoir ce qu’on emprunter les lecteurs sur le même sujet.
La participation des usagers est ici uniquement statistique, mais elle est réelle et pas moins efficace, comme on l’a vu avec Amazon une fonction permet d’exploiter la longue traîne. [Clic] il s’agit d’afficher pour chaque notice les titres que les usagers ont également emprunté.
[Clic] il est également possible d’afficher l’historique des prêts pour chaque titre, ce qui peut aussi aider au choix pour l’usager.
Je précise ici car l’objection m’est souvent faite, et je souhaite la désamorcer, que la CNIL interdit de conserver des traces personnalisées des trajectoires de consultation ou d’emprunt à la bibliothèque, mais n’interdit en aucun cas de conserver les même données une fois rendues anonymes.
Il est également possible de faire figurer des statistiques de prêt pour chaque ouvrage.
(CNIL dans sa NORME SIMPLIFIEE, DELIBERATION N° 99-27 du 22 avril 1999)
La bibliothèque de Bourg la Reine permet à ses usagers de mettre en parallèle du thésaurus des bibliothécaires, leurs propres mots clefs sur la notice.
Notre thésaurus est très réfléchi et pas toujours en phase avec l’approche souvent bien empirique qu’on nos usagers de nos catalogues. Ses tags atténue la rigidité de nos thésaurus.
Dernier exemple. La bibliothèque de Toulouse enrichie ses notices des avis et des critiques écrites par des internautes sur les réseaux sociaux du livre tels que Librarything, Libfly ou encore babelthèque. Le catalogue se nourrit de l’information produite par les « clubs de lecteurs numérique ». Le catalogue est ouvert sur le web
La recherche avancé ne doit être qu’un deuxième choix
Il es très important de permettre le rebond : quelque soit le terme saisi, il faut être en mesure de proposer à l’usager un résultat.
L’utilisateur doit pouvoir continuer sans avoir à ressaisir la moindre informations. Seul 17 % des internautes reformulent leur requête !
L’exemple de l’Aquabrowser de la Médiathèque de l’école supérieure de commerce de Lille : à gauche une nébuleuse de mots clefs autour du mot de la requête, ici internat. A droite une présentation à facette, facilitant l’usager à préciser sa demande.
important de souligner le changement de point de vue : ne plus faire aller l'usager là où on veut, mais aller là où il est déjà !
Autre point essentiel : Si l’usager ne va pas vers la bibliothèque, si il ne se retrouve plus dans nos services en ligne, nous devons aller vers lui.
Par les fils RSS : par ce procédé la bibliothèque rentre deans les outils qu’utilise l’usager : les agrégateurs coimme netvibes.
Ici la Médiathèque de Saint Raphael propose une page ou l’on retrouve tous les fils rss disponibvle sur leurs sites;
A l’image de Google, voici la barred ‘outils de la bibliothèque de Limoges. La bibliothèques est toujours présente sur le navigateur de l’usager !
Autre angle, qui permet d’entrer dans les contenus : le temps. La timeline permet de proposer une collection de contenus dans un logique chronologique.
Quelque part on invente un temps qui n’existe pas puisqu’on peut par exemple créer une ligne en positionnant des temporalités de récits sur le mode : « je vous propose des romans dont l’action se déroule à telle ou telle époque » (là on est dans l’Uchronie : étymologiquement le temps qui n’existe pas.)
Pratique aussi pour présenter une chronologie de livres sur un thème !
Le U de départ permet ainsi d’inventer de nouveaux temps et de nouveaux lieux qui servent à appréhender des contenus que l’on ne trouvera pas forcément dans la bibliothèque. Ce que nous proposons est par nature Ubiquitaire = utilisable partout et tout le temps.
Gestion d’un fonds documentaire et gestion d’accès