Diese Präsentation wurde erfolgreich gemeldet.
Die SlideShare-Präsentation wird heruntergeladen. ×

Visite guidée des Puces par Le Vrai Paris - Luxos Magazine

Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Anzeige
Nächste SlideShare
Shopping guide du Marais
Shopping guide du Marais
Wird geladen in …3
×

Hier ansehen

1 von 3 Anzeige

Weitere Verwandte Inhalte

Diashows für Sie (20)

Ähnlich wie Visite guidée des Puces par Le Vrai Paris - Luxos Magazine (20)

Anzeige

Aktuellste (20)

Anzeige

Visite guidée des Puces par Le Vrai Paris - Luxos Magazine

  1. 1. 76 77 Left, Marché Dauphine, photo courtesy of DR/Marché aux Puces Paris Saint-Ouen Who knew that ‘Les Puces’ or ‘the fleas,’ as the St. Ouen flea market is commonly referred to, actually includes 14 separate markets? The maze of alleyways, each heaving with all things vintage and antique, seems to have grown organically, bursting with bric- a-brac. Each stall is like an ephemeral installation, one leaning against another as if hastily put together to welcome the plethora of goodies on display. In reality, St Ouen has been welcoming motley traders since 1885 and now hosts 1,700 dealers, 1,400 of whom sell antiques. The market has come a long way since the ‘biffins’ who scavenged rubbish set up shop here over 200 years ago. Qui aurait dit que «Les Puces», le marché aux puces de Saint-Ouen, comprenait en fait 14 marchés distincts? Le dédale d’allées, chacune proposant des choses vintage et anciennes, semble avoir connu une croissance organique, débordant de bric-à-brac. Chaque stand est comme une installation éphémère, l’un s’appuyant à un autre, comme si hâtivement mis ensemble pour accueillir la pléthore d’objets. En réalité, St Ouen accueille des commerçants hétéroclites depuis 1885 et compte aujourd’hui 1700 marchands, dont 1400 antiquaires. Le marché a bien changé depuis que les biffins qui récupéraient les ordures réutilisables se sont installés ici il y a plus de 200 ans. Rowena Carr-Allinson DISCOVERIES PARIS’S TREASURE TROVE FOR FURNITURE, ART AND EVERYTHING ELSE IN BETWEEN Neighbourhood watch: Les Puces
  2. 2. 78 79 The most popular market, attracting most of the five million yearly visitors, is the Marché Paul Bert on Rue des Rosiers. Now specialising in designer furniture with an accent on 1950s and ‘70s pieces, some parts of it look more like a museum or a gallery than a flea market. Getting lost in the alleys is a treat, but there is more to it. My guide Guillaume is quick to point out that beyond the costume clothing shop lies a hidden gem: Marché Jules Valles. Pleasantly crowd-free and light, it feels like a more authentic experience. Display cases sparkle with vintage broches, fine crystals and costume jewellery, rails bow under the weight of old fur coats and period dresses seeking a second (or third) life. The jumble is dizzying. Everywhere one looks, stalls or shops are spilling out, a veritable smorgasbord of antiques, curios, clothes and furniture. There are ‘proper’ shops too, like Quintessential Playground, a new concept store, or rather a showroom of eclectic pieces that will probably find a home in a hip hotel or on a film set. Further along, the Marchand de Curiosités is the spot for taxidermy fans and those who have a penchant for the bizarre. Trendier, Paul Bert is also home to the Starck-designed Ma Cocotte restaurant (all pale tones, raw wood and cement, sexily mismatched tile floors) giving the upmarket visitor somewhere to refuel, something that was lacking before. Other options fall short, whether it’s the basic Napolitan Pizzeria “great pizzas but iffy service,” says my guide, or Le Voltaire which looks cosy but the menu “isn’t all that,” continues Guillaume. Chez Louisette is an institution, with guinguette spirit in heaps, an Edith Piaf lookalike and checked tablecloths. Perfect for plenty of atmosphere but not the best if you want to carry a conversation over the enthusiastic accordion. Le marché le plus populaire, qui attire plus de cinq millions de visiteurs par an, est le Marché Paul Bert de la rue des Rosiers. Aujourd’hui spécialisé dans le mobilier design avec un accent sur les années 1950 et 70, il ressemble à certains endroits plus à un musée ou une galerie qu’à un marché aux puces. Se perdre dans les allées est un régal, mais ce n’est pas tout. Mon guide Guillaume me signale bien vite un joyau caché: le Marché Jules Vallès. Peu fréquenté, on vit une expérience plus authentique. Les broches vintage font briller les vitrines, ainsi que de beaux cristaux et des bijoux fantaisie, des tringles plient sous le poids de vieux manteaux de fourrure et robes d’époque qui cherchent une deuxième (ou troisième) vie. Le fatras est vertigineux. On voit de partout des stands ou magasins débordant, un véritable fouillis d’antiquités, bibelots, vêtements et meubles. Il y a aussi de “vrais” magasins, comme Quintessential Playground, un nouveau concept-store, ou plutôt une salle d’exposition de pièces éclectiques qui finiront sans doute dans un hôtel branché ou sur un plateau de tournage. Plus loin, le Marchand de Curiosités plaira aux fans de taxidermie et de bizzareries. Plus chic, Paul Bert abrite également le restaurant Ma Cocotte, conçu par Starck (tons pâles, bois brut et ciment, carrelage dépareillé) qui offre au visiteur haut de gamme un endroit où se restaurer, ce qui manquait avant. Les autres options sont en deçà, que ce soit la basique Pizzeria napolitaine “excellentes pizzas mais service discutable”, selon mon guide, ou Le Voltaire qui semble chaleureux mais le menu “n’est pas terrible”, poursuit Guillaume … Chez Louisette est une institution, avec l’esprit guinguette, un sosie d’Edith Piaf et des nappes à carreaux. Parfait pour son ambiance, mais pas le meilleur pour discuter à côté de l’accordéon enjoué. Opposite page, top left, Ma Cocotte restaurant designed by Philippe Starck, rue des Rosiers, photo by Francis Amiand; top right, clocks on sale at Marché Paul Bert. Centre, Marché Dauphine, photo by Julien Espio. Bottom left, Marché Vernaison, outside; bottom right, silky nightdresses at ‘Sarah’. All images of the markets courtesy of DR/Marché aux Puces Paris Saint-Ouen DISCOVERIES
  3. 3. 80 81 OTHER PARIS SPOTS FOR VINTAGE FINDS: LES CHINEUSES 7 rue Saint Bernard 75011 Paris. Tel. +33 (0)1 46 59 49 38 leschineusesdevintage.com AU PETIT BONHEUR DE CHANCE 3 rue Saint Paul, 75004 Paris Tel. +33 (0)1 42 74 36 38 aupetitbonheurlachance.fr FRÉDÉRIC DANIEL ANTIQUITÉS 9 rue Ravignan 75018 Paris Tel. +33 (0)1 42 59 69 68 antiquites-industrielles.com RICKSHAW 7 passage du Grand Cerf 75002 Paris Tel. +33 (0) 142 214 103 rickshaw.fr MOBILHOME 106 rue Legendre 75017 Paris Tel. +33 (0)6 07 29 42 32 chezmobilhome.com Top, Marché Paul Bert, photo courtesy of Saint-Ouen Tourist Office. Left, Marché Paul Bert, photo by Emmanuel Nguyen Ngoc. Above, Ma Cocotte restaurant with interiors by Philippe Starck, rue des Rosiers. All images of the markets courtesy of DR/Marché aux Puces Paris Saint-Ouen On to the smaller Marché Biron where Anne Bossennec’s stall, 163, stands out amongst the more ‘classic’ offerings. Her atypical collection of contemporary designer homewares is a breath of fresh air amid the heavy bronze gilt mirrors and varying Louis pieces. She also believes in more approachable pricing, admitting that other dealers buy from her, selling at a mark-up in the larger markets. It seems that it’s worth venturing off the beaten track to pick up a bargain. Although still off Rue des Rosiers, the Marché Malassis and Dauphine aren’t as popular. The ugly sisters are housed in 1980s and ‘90s monstrosities clearly lacking the charm the other markets have in spades. The plus point? A peek at the retro orange Futuro House pod. Sadly, it’s not for sale though. As we mosey on through the pretty outdoor labyrinth that is the Marché Vernaison, where Pop Art sits alongside old farmyard tools and colossal twinkling chandeliers, it’s hard not to feel overwhelmed. Each item calls for a moment to appreciate and to wonder. Without clear pricing, the real investment here is time. Time to look, time to chat, time to ‘discuss the piece of fat’ as the locals might say. Time to agree on the fee. Each vendor has his own modus operandi so whether you want to bring home a stuffed giraffe or a Napoleon desk, remember that these things can’t be rushed. And wear comfortable shoes. Take a tour of Les Puces with Guillaume from Le Vrai Paris, levraiparis.com Au Marché Biron, plus petit, l’étal d’Anne Bossennec, 163, se distingue parmi les offres plus «classiques». Sa collection atypique d’articles ménagers de designers contemporains est une bouffée d’air frais au milieu des miroirs dorés et des meubles Louis XV. Elle pratique aussi des prix plus accessibles, et sait que d’autres marchands lui achètent des articles pour les revendre plus cher. Cela vaut la peine de s’aventurer hors des sentiers battus pour faire de bonnes affaires. Les Marché Malassis et Dauphine, pourtant également sur la rue des Rosiers, ne sont pas aussi populaires. Situés dans des monstruosités des années 1980 et 90 ils manquent clairement de charme par rapport aux autres. Le point positif? Un coup d’oeil à la Maison Futuro, rétro et orange. Malheureusement pas en vente. En se baladant dans le Marché Vernaison, beau labyrinthe en plein air où le Pop Art côtoie de vieux outils de ferme et des lustres scintillants, difficile de ne pas se sentir submergé. Chaque article demande un moment d’appréciation et de réflexion. Le réel investissement ici est le temps. Le temps de regarder, de parler, de «discuter le bout de gras» comme on entend dire. Le temps de s’accorder sur le prix. Chaque marchand a sa propre pratique, donc si vous voulez une girafe empaillée ou un bureau Napoléon, rappelez-vous que rien ne peut être précipité. Et de porter des chaussures confortables. Faites le tour des Puces avec Guillaume de chez Le Vrai Paris, levraiparis.com DISCOVERIES read more, visit our website: LUXOS.COM v

×