1. Suonno a Marechiaro Mandolini Napoletani Fiore – Vian : 1958 English . French - Italian

16. Procida is the frame of three masterworks: - "Graziella", a novel by Alphonse de Lamartine (1859). It's the story of the passion between the writer and a girl from Procida, Graziella, wearing long, black braids. Alphonse leaves, promising her to come back soon and marry her; but he will never do it! For the sorrow, Graziella falls seriously ill and, before dying, sends him one of her beautiful braids, that the Poet will always carry along. - " The island of Arthur", a novel by Elsa Morante (1957). The story of a small boy, Arthur, a mother orphan, whose father is a sailor, always away ... A father that the boy has made a myth of. The novel is a travel inside the soul of a very lonely child, who little by little turns into an adolescent, discovering lots of feelings, a thousand emotions, which he is unable to decipher . - "The postman", the last film of Massimo Troisi (1994) Mario (Troisi) is an illiterate islander, with no particular skill or job. Poet Pablo Neruda, banished from his home country, rents a house on the island and engages Mario as a postman to bring the heaps of mail arriving to him from all over the world. Seeing him day after day causes the young illiterate to become conscientious of horizons up to then unknown. To start with, he buys a book of Neruda's poems, which, though painfully, help him to learn reading. Moreover, he has long talks with the Poet, and ask him numerous questions ... But the Chilean dictatorship falls and Neruda is able to go back home. Mario looks anxiously forward to hearing from him, but he will never get any news. Many years afterwards the poet decides to go back to the island with his wife. He gets into a public house and hears a mother calling her son: Pablito! It's Mario's child! And Mario? Fallen on fighting for civil rights. The film ends with Neruda's long, lonely walk along the seashore, thinking of young Mario to whom, unknowingly, he had opened boundless horizons French Click

17. L’Ile de Procida est un cadre pour trois chefs-d’oeuvre artistiques: GRAZIELLA- Roman d’Alphonse de Lamartine (1859) Histoire d’un amour ardent entre l’Écrivain et une jeune fille de Procida, Graziella, avec des longues nattes noires. Ensuite Alphonse part en promettant de revenir bientôt pour l’épouser; mais ne reviendras jamais! Graziella, à cause de la douleur, tombe gravement malade et, avant de mourir, lui envoie une de ses merveilleuse nattes, que le Poète portera toujours avec lui. L’ILE DE ARTURO- roman de Elsa Morante (1957) Histoire d’un jeune garcon ,Arturo, orphelin par sa mère, et avec un père marin toujours en voyage…père dont il a crèe un mythe. Un “voyage” à l’interieur de l’ame d’un enfant très seul qui lentement devient adolescent, à la découverte de mille sensations, mille émotions qu’il a du mal à déchiffrer. IL POSTINO- dernier film de Massimo Troisi (1994) Mario (Troisi) , est un insulaire analphabète , bon à rien. Le poéte Pablo Neruda, exilé de sa patrie, loue une maison sur l’ile et Mario est embauché comme facteur pour lui apporter les paquets de lettres qu’il reçoit du monde entier. En le fréquentant jour après jour, au jeune analphabète s’ouvrent des horizons jusque là inconnus. Pour commencer il achète un livre de poésie de Neruda et dans ce livre il apprend avec difficulté à lire…Ensuite il discute avec le poéte, pose mille questions. Jusqu’au jour où la dictature du Chili tombe et Neruda retourne dans son pays. Mario attend avec anxiété de ses nouvelles , qui n’arriveront jamais! Quelques années plus tard le Poète décide de revenir sur l’ile avec sa femme.. Il entre dans un bistrot et entend une mère appeler son fils: Pablito! Es-ce le fils de Mario? Et Mario? Mort en combat pour les droits civils… Le film termine avec une longue promenade solitaire de Neruda au bord de la mer, songeant au jeune Mario auquel , inconsciemment, il a ouvert des horizons sans bornes! [email_address] www.gabriellla.it (3 L)