1. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Volupté
Peu sont ceux qui trouvent la volupté
Outre le sexe et les vers rythmés.
Le corps féminin au bord de la mer
Me semble chanter au rythme des vers :
Les deux jambes arpentent le chemin
Suivant la résonnance des hanches
Et dans leur mouvement de balance,
Les deux seins nus répètent le refrain.
Par : Hassen Med Mehdi
(Le 15/2/2013)
2. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Ôter le voile
Nous aimons le monde à découvert
Assez de discrétion et de camouflage !
Le voile cache la moitié chère
De la femme, son beau apanage.
3. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
La beauté féminine était toujours vulnérable
Les créations de la Mode sont désinvoltures
Embellir le Beau est une semence dans la mer
Le corps nu, là, en pleine nature est indomptable
4. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Qui vivra plus longtemps ?
Un vieillard qui piétine devant moi,
Sa lourde canne précède ses pas.
Moi, jeune, rapide, je le côtoie,
Son pas lent ne convient pas à mes pas.
Je le double, chacun court au trépas :
Lui, faible, feigne d’être délicat,
Retardant quelques jours son arrivée.
Moi, en forme, me moquant de son cas,
Je cours vite à la fin de mon contrat.
Le doublant ainsi ! Je suis insensé !
POURQUOI COURIR, SI A LA FIN DU CHEMIN, ILY’A LE
TREPAS ?
Son pas lent est celui d’un sage, du tic au tac,
Son régime sans sel avec un verre de soda,
Craignant le diabète, ne touchant pas au soja.
Moi, bon fumeur ; lui, il ne connait pas le tabac
Ma goutte est un mélange de bière et de vodka
Et mon repas le plus copieux est une pizza.
Par : Hassen Med. Mehdi
( Le 25/2/2013)
5. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Valentine mouillée
Le saint-Valentin est de retour
Il est fidèle au rendez-vous, lui.
Sacrifiant, il craint peu la pluie,
Vient raviver l’histoire d’amour
Jadis, aux jours de la jeunesse,
Quel plaisir de courir sous la pluie,
Fidèle aux petites promesses,
Jaloux des prouesses d’autrui.
Les amourettes sont là, frissonnant
De désir, d’amour ou de froid,
Attendent les amoureux fainéants
Et s’attristent s’ils ne viennent pas
A l’âge adulte, on est pris.
Feignant de s’y donner à cœur joie
Regrettant la jeunesse qui fuit,
En vain, on se passe du désarroi.
Aujourd’hui, il pleut sur la ville.
Merde ! Sont-ce des larmes qui coulent
Sur la joue d’un amoureux trahi
Où l’aspersion d’une parfumerie ?
Par : Hassen Med Mehdi
(Le 13/2/2013)
6. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Le Mal !
Le Mal persiste malgré tout.
Mais trop s’y concentrer rend fou.
L’accepter est l’affaire d’un sage.
Fléchir au Mal est faiblesse ;
Défier , le subir sans grâce.
Il prend la vie comme un otage !
Les vivants sont pris dans son flot,
Engouffrés derrière un huis-clos.
Aucun ne fuit à son carnage !
Le peu de joie éphémère,
Heure d’oubli passagère,
Puis, c’est fini. Il n’ya plus d’âge !
Hassen Med Mehdi
(le 7/3/2013)
7. Flamant Rose
J’avais toujours mon //// cher petit poème
(/////)
Comme un bijoux (//.(0)///) superbement ciselé
Chaque perle était (/////////////////////////////////////////) fignolé dans le collier
Mot sur mot,(////////////////////////////// phonème puis monème
(-////)////////////
Le poème était écrit (/////) sur la face d’un lac
Un lac aux eaux (////) douces et dormantes
Les mots s’y baignaient (////) nonchalants
Quand arrive un flamant rose au (////) large bec
(////)
/ La patte fine, le mouvement(////) caressant
Ne perturbent |/////////////////////////////////////////////////////////////////////)
_Pas la face //////////////////////////////////////////////////////////////////)
////////////////////////////////////////////////////////////////) des eaux
Mais de son bec large,//////////////////////////////////////////////////////) lance très haut
///////////////////////////////////
Une des perles ///////////////////////////////////et la laisse tombant
||
||
||
||
||
||
||
||
||
L’eau oscille, || les mots s’entrechoquent
/| Quel fracas, quel bruit de choc !
Il fallait attendre que l’eau se calme
Pour re-saisir un petit bout de terme
Le 8/3/2013
8. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
La théière et les coupes :
Le thé et le café à saveur inouïe
Rappellent l’histoire de mille et une nuits:
Le roi, dans son sofa, bouillonne de colère
Son harem à genoux, accroupi par terre
Son excellence injuste et autoritaire
Accapare la parole pour déplaire.
Et, pour défier l’audience { sa manière,
Dit des devinettes extraordinaires.
En voici une : ---« L’objet dont je vous parle
A une ressemblance avec les abreuvoirs,
Roi lourdaud et fan du thé et du café noir,
Le harem asservi à son polygame
Lui présente les bouches, toutes en même temps.
Le thé digéré ; il leur urine dedans. »
Par : Hassen Med Mehdi
( Le 20/2/2013)
Remarque : La devinette est très proche de la version arabe en ce qui concerne le
vocabulaire grossier.
9. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
L’au-delà qui pèse
Oh là !
L’au-delà
N’est qu’un trépas.
La vie conçoit mal
Son courroux infernal.
Quoi, donc ?
S’abstenir ?
Prêt à mourir ?
Un dernier soupir :
-Gare à l’au-delà !
Hassen Med. Mehdi
( le 2/1/2013)
10. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Pour de sûr
S'abstenir
D'écrire
M'a peiné.
Mais, dormir,
sans fléchir
Au désirs
Débauchés,
Repose
Arrange
Effrange
la journée!
11. Coin rigolo
pour se donner un vrai régal
La souffrance du poète
Certaines nuits, les mots semblent avoir des ailes,
Le berger harcèle leur troupeau effrayé.
De son cor, essaye, en vain, de les distraire
Jouant, désespérément, des airs hasardés
Tantôt les mots deviennent couples harmonieux
Tantôt, se heurtent. Ô vieille raison frustrée !
Sage ! Manipulateur des mots à son vœu !
Ton troupeau effréné ? Souffres-tu du figé ?
Les mages de naguère n’ont plus de promesses :
Leurs sources sont taries, leur verve est usée.
Ne suis plus les normes de délicatesse
Et invente, toi-même, tes propres versets.
Les idées ne manquent pas : elles sont rebelles !
Négocie-en les plus chères, les plus aisées.
Dans ce monde, beaucoup ont pu faire modèle,
Après eux, tout est plagiat, tout est imité.
Par : Hassen med mehdi
12. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Le poète
Le poète est une vierge fertile
Chaque jour, elle met-bas une lourde portée.
Sa sainte grossesse rapide et sans délais
Provient pourtant de viol et de concubine.
Les mâles la battent à tour de rôles
Dans son lit, devant la cheminée, chaque jour
Puis ils passent en disant quelques paroles
Dont elle ne retient que celles des troubadours.
Leurs vers coulent parfois en vers alexandrins
Comme un liquide mou de germes, bruyant,
S’assonant, et dissonant indistinctement
Et se fermentent, en comble, dans son vagin.
Mais l’accouchement est dur quoique délicieux !
Les fœtus tamponnent comme si l’on sort du train.
Dehors, le Sage, classique et minutieux,
Tue les bébés qui ne conviennent au refrain.
La mère gémit, pousse et puis s’évanouit
La souffrance est grande au fond de son sain.
Puisque sa destinée est d’être féconde,
Honteuse, elle consent à sa vie de catin.
Les vers naissent petits et deviennent poèmes.
La maman catin est taxée d’adultère.
Le saint lecteur lit, s’amuse dans sa bohème
Et le triste poète poursuit ses chimères.
Par : Hassen Med Mehdi (Le 26/1/2013)
13. Coin rigolo
pour se donner un vrai régal
La chèvre déguisée en chien.
Un jour, la chèvre s'est déguisée en portant la peau
d'un chien. Elle est allée , ensuite, voir le loup qui, de
peur, s'est mis à courir parmi les arbres , poursuivi par
la chèvre. A cause de sa grande angoisse , le loup a la
diarrhée , il pétait, le malheureux, en courant et
faisant derrière lui une longue ligne verte...
Soudain, en passant prés d'un arbrisseau au branches
épineuses, la chèvre a perdu sa robe de chien et le
loup, se tournant et la voit, toute découverte. Alors, il
est revenu, enragé de colère, et a saisi la chèvre de sa
longue oreille , et s'est mis à la traîner de force en
rebroussant chemin.
- S'il te plaît , monsieur le loup, disait la chèvre, je ne
t'ai rien fait! C'est juste pour m'amuser avec!
Pardonnez-moi, cette fois! Je vous promets de ne
jamais recommencer un jeu pareil!...
- Tu joues, einh? Tu joues avec moi? Regarde bien ce
que tu as fait! Par le nom de ton dieu, est-ce que tu
vois là les traces d'un jeu!?
Et là- dessus, il a fermé les crocs sur le petit cou de la
chèvre aventureuse.
Moralité:
C'est à vous de commenter!!!
14. Coin rigolo
pour se donner un vrai régal
La destinée du poète
Un poème est une perle au fond d’un océan
Dont les eaux bouillonnaient de résidus et de déchets.
Là, seules les sirènes, les diables plus combattants
Puissent l’avoir, les autres appellent la fortuité.
Une fois pris, le fameux ornithorynque vivant
Est enfoui superbement dans sa coque calcique
Faite de cent métaux solides, d’étain et de zinc
Ne montre qu’un petit spectre de métalinguistique
Pauvre joaillier ! Appliquez-vous à ce dur métier
Serrez l’étau et aiguisez votre stylet-rostre
Creusez dans la plombagine opaque et plissée
Si vous échouez, ne laissez pas l’affaire { un autre.
Tous les autres vilains métiers peuvent être fructueux
Mais le votre semble parvenir d’un noble Sisyphe.
Vous le faites par pic et vous restez un pauvre gueux ;
Vous mourrez de faim, mais votre modèle est factif.
Un jour vous réussirez. Mais après quoi ? Pauvre gueux !
Le corps faible, le crâne est creux et les doigts noueux ?
Alors que vous bénéficiez de l’exil éternel,
Vos commémorants orneront de poèmes votre stèle.
Par : Hassen Med Mehdi
(Le 25/1/2013)
15. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
La sirène endormie
(interprétation d’une photo Google Earth à Chebba, Mahdia, Tunisie)
La sirène faisait sa sieste, étendue
Elle dormait, nonchalante, la main sur la joue
Quel rêve délicieux amadoue son sommeil ?
Moitié dans l’eau, elle prenait son bain de soleil.
A quelques pas, un monstre surveillait, goulu
Accroupi, à l’œil méchant, les cornes dressées
- Qu’attends-tu ? Que le beau gibier s’éveille !?
Fausse tactique d’un chasseur ankylosé.
Le monde est vaste et plein de merveilles.
Là, je vois une allégorie de la vie :
Le repos sur ce rocher aux pieds vermeils
N’est qu’un moment d’oubli qui passe et finit.
Le calme, la blancheur, trompeurs à qui veille !
Combien de beaux jardins cachent des ennemis !
Par :Hassen Med Mehdi
(le 15/2/2013
16. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
La Joconde
Lasse du regard à mille expressions,
Elle en constate que le monde est faux.
Dans son mutisme, elle dit quelques mots.
Le geste, lui, a ses connotations.
Celui qui voit dans ses yeux un tel sens,
Un charme unique, un désir fou ;
L’expression dépend de ce qu’on pense :
Un gueux voit deux cerises au gâteau.
Les artistes ont usé leur poésie ;
La Joconde y a changé de pose.
Les pieds, alors, qui semblent impolis,
Un flux de mots qui coule en prose.
La poésie découvre l’énigme.
La Joconde compte beaucoup sur çà.
Aragon a chanté les yeux d’Elsa.
Les pieds, ne conviennent pas au rythme ?
Pour Appolinaire, « Ils arpentent
Le monde ». Ma visée est plus grande :
Sa pose est signe de politesse
En taxant le monde de bassesse.
Les valeurs de jadis ne valent rien
Si ! La bonté cède à la duperie,
A l’ambition et { la tricherie,
Et, la Reine est fière d’être catin.
Par : Hassen Med Mehdi
(Le 15/2/2013)
17. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal
Tambour de guerre
La horde anti humaine
Se prépare au gros festin
Traînant ses chars aux diadèmes
Regardez sa frange au loin!
Ici, les enfants gémissent
Ils n’ont rien mangé depuis
Les gros embonpoints qui pissent
Cherchent, pourtant, l’âcre fruit
Humains ! Nobles humains !
Est-ce que le jeu vous plait ?
Où la guerre ne vous dit rien ?
Stoppez les missiles ! Vauriens!
Cicatrisez les plaies
Ouïez l’ordre divin !
Par : Hassen Med Mehdi
( Le 27/1/2013)
18. Coin rigolo
pour se donner un vrai régal
Hommage à ma vieillotte.
La rose que tu vois fanée !
C’est la joue de ta mère qui s’était donnée au plaisir.
L’orange que tu vois pétrir !
C’est son sain qu’un jour, tu avais mordillé pour grandir.
Le souffle fort et haletant ?
Le reste d’une chanson t’amadouant avant de dormir.
La bosse que tu as vu grossir ?
Compte, Monsieur, les charges qu’elle souffrait pour
parvenir.
Les cheveux blancs ! Sais-tu les trahir ?
C’est l’almanach marqué de tes rendz-vous sans venir.
Tu lui dis : « Assez vieillotte !
- Eh ! Pas encore petit ! Je veux te regarder dormir !
……………………….
- Pardon, déesse à bénir ! »
Par: Hassen Mohamed Mehdi
20. ENNUI !
Moi ?! Ce n’est pas moi !
Qui, Alors ?
Un souffle, au hasard, soufflé
Où ? Quelque part
Esprit ouvert. Moitié sûr, moitié avatar ! Mon serveur s’appelait « Monèam »
La divinité ! Moitié morte, moitié vivante Vérifiez le nom. Il fait échos à l’âme
C’est ce que j’en conclus ! Bizarre! Mon âme ! Le nom lui convient à merveille
Ce sont les secrets de l’âme qu’il éveille !
Dieu merci ! Ta clémence est aussi large Dynamique, actif, rigueur de réveil
Pour pardonner mes idées hagardes ! Jamais le calcul ne lui échappe !
Sacré usurpateur ! Il néglige les racailles
Les sens et les désirs, s’imposent à l’idéal. Toujours conscient dans son travail !
Mais, le Moi, défaillant ! Que faire ? Mais, il sait qu’il y’en a qui faille :
Je connais mes origines, mais que faire ? •Note, s’il vous plaît ! Je change de service.
Les délices de l’être m’attirent et surtout la bière ! Bon menteur !
Fautif ! Je l’avoue ! Mais d’un point de vue pratique Le serveur
Cet interdit, ce péché a un effet magique ! C’est toujours lui.
Je le fuis puis j’y reviens, c’est sûr qu’il soit anarchique
Défi de Moi, défi de tout, appel satanique !
Mais, malheureusement…heureusement! C’est magique !
Le corps et l’âme s’arrangent dans l’ASSOMMOIR.
Le corps se rafraîchit et l’âme jouit de l’oubli
Momentané ? D’accord !
Mais, c’est le seul moment où ils sont d’accord !
Et moi
je digère
L’ennui. Hassen Med Mehdi
(Le 04/03/2013)
21. Ma pauvre Tunisie!
Chimère ! Ma douce chimère ! Entends-tu la fusillade ?
Vois-tu sur la ligne des normes, la dégringolade ?
Tout est éclaboussé, les valeurs, les principes, le sens de l’idéal ;
La rue se métamorphose en un faux carnaval :
Qui crie liberté, qui crie religion, chacun prépare son arsenal. Elle s’est voulue enrichie, non de richesse, mais d’avenants
De sang et de mort, je prévois la fin du festival. Son emplacement stratégique l’a faite un unique continent
Afrirope, si le mot-valise convient
A quel diable est-ce qu’ils veulent nous assujettir ? Méditeranoslamique quand arrive le refrain
De quel coin de la terre est-ce qu’ils ont du venir ? Rebelle, marre des despotes, toujours falleg ou guerrier
Chauve-souris migrateurs, jamais changeant de manière. Aux jours de paix, le venant du Nord ou du sud diverse son courrier
S’en foutre de ce qui touche à nos origines berbères. Rien ne passe dans l’oubliette, tout est inspecté
Et pourquoi pas, le plus beau est copié
Convertis à Dieu, nous l’avouons pour idéal. Mémoire d’un peuple conjugué au pluriel
Mais, paradoxal !
Nous ne pouvons pas nous arracher le nez d’Hannibal Vous voulez l’assujettir ? Il refuse la tutelle !
Le guerrier dévoué à Alissa qui a fait rougir les empires antiques
Par un négoce triché mais convenable, dans sa tactique
Pour survivre, pied dans la méditerranée, les yeux tournés vers l’Afrique
Puissent-ils exceller, plus qu’elle, dans le domaine stratégique ?
Hassen Med Mehdi
(Le 6/2/2013)
22. Coin rigolo
pour se donner un
vrai régal Sans alcool pour la grippe !
Avec la bière, on a mille choix
Tantôt se saouler tantôt sans alcool.
Antigrippe ! Puisqu'il n'ya pas de quoi,
On se donne à elle sans protocole.
Inspiration nouvelle :
Aujourd'hui, je m'essaye dans ledit mot-valise,
Les femmes nues
Juste un peu de poésie mais beaucoup d'expertise. La beauté féminine était toujours vulnérable
Ne vous étonnez pas. Il faut bosser bien et bel Les créations de la Mode sont désinvoltures
Pour créer sa poésie, défier l'intellectuel. Embellir le Beau est une semence dans la mer
Le corps nu, là, en pleine nature est indomptable
La société Face Book :
Derrière la fenêtre Face Book Les pétrodollars :
Ils nous asphyxient par leur pisse
Le monde agit plus spontanément :
Ils sont connard! Vantard! barbares de race rare
Des gens vous inspirent un beau look,
Ah! Sainte sagesse!
D'autres vous vexent indifféremment. Ils m'ont fait oublier le rythme léger des vers
Les bêtes, les imbéciles! Espèces de bâtards