2. UN CONSTAT, DES OBJECTIFS
des enfants et des jeunes sous-représentés à
l’écran / un accès à la parole limité
dépasser le « qui »
déjà observé par les Baromètres égalité/diversité
Étudier le « comment »
la représentation, l’image des jeunes à la télé
3. MÉTHODOLOGIE
intervenant jeune (3-30 ans)
poids de parole
présence à écran
identité sociale et socio-économique
participation
parole
rôles médiatiques et sociaux
éléments de contexte
5. LES JEUNES À L’ÉCRAN
à 39,22% sur les TVL et
25,07% sur la RTBF
une forte présence de
jeunes… journalistes
hors journalistes, des
intervenants
majoritairement passifs
(82,33%)
à parts quasi égales dans
les différents genres de
programmes mais souvent
dans des thématiques info
liées à la culture et aux
loisirs (54,84%)
7. IDENTITÉ JEUNE
quasi égalité
filles-garçons
(49%-51%)
diversité des
origines (21,63%)
des catégories
sociales surtout
intermédiaires
(49,20%)
peu de
handicap (0,65%)
des mentions
fonction de l’âge
8. IDENTITÉ JEUNE
un style « casual »
général mais un look tribu
plus fréquent chez les ados
(12,32%)
des jeunes filmés plutôt
sur les terrains sportifs
(28,98%), dans des lieux
culturels (28,38%) ou en
rue (27,59%)
des jeunes plutôt en
espaces urbains (63,72%),
surtout en vieillissant
en marqueur
socioéconomique
« difficultés financières »
11. PAROLE JEUNE
une parole sollicitée et plus soutenue avec l’âge
du vocabulaire courant, un peu plus cultivé chez les jeunes
adultes, un peu plus vulgaire chez les ados
des interviews, peu
de débats
des interlocuteurs
essentiellement
médiatiques
peu de parole dans
les lieux de culture
des questions écoles
pour les enfants et les
ados
12. RÔLES MÉDIATIQUES ET
¾ de figurants quel que soit
SOCIAUX
l’âge
de rares experts… en foot
de jeunes travailleurs… sportifs,
des étudiants, des artistes
peu ou pas de représentants
d’associations, de mouvements
de jeunesse, de partis…
un rôle narratif plus souvent
principal (68,22%)
des registres d’apparition tant
positifs que négatifs mais plus
négatifs pour les ados et plus
positifs pour les jeunes adultes
13. EN CONCLUSION
un déficit certain de représentation des jeunes à
l’écran
si les jeunes ont leur place en télévision, cette
place est limitée, cadrée, voire stéréotypée
image d’une jeunesse sans parole, passive et
désinvestie