1. Les oiseaux du Camino. Tout au long du chemin, les oiseaux chantaient et nous étions heureux.
2. Peindre d'abord une cage avec une porte ouverte, Peindre ensuite quelque chose de joli, de simple et de beau, Placer ensuite la toile contre un arbre ou dans un jardin.
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4. Tes gazouillements, ton murmure, Sont un mélange harmonieux Des plus doux bruits de la nature Du plus beau chant des cieux.
5. « Pigeon ! Oiseau à la grise robe, Dans l'enfer des villes À mon regard, tu te dérobes, Tu es vraiment le plus agile.
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7. Hirondelle, fais ton nid. Le granit T'offre son ombre et ses lierres ; Aux palais pour tes amours Prends des tours, Et de la paille aux chaumières.
8. Et j'aime leurs ébats, car les mouettes grises Que berce la marée et qu'enivrent les brises Sont les grands papillons qui butinent les mers.
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10. Toujours coquette, fière, parée de son bel habit Le plus bel animal, sans rival, dans la faune de son acabit Élégante, perchée sur ses fines pattes lui donnant allure altière Elle parade alentours, s'imposant, à qui le veut, en reine de la sapinière.
11. Cherchant des graines et des insectes Il sautillait, piquetait la terre avec vivacité Il avait un coup dodu, un bec délicat Et de petites pattes fines, le rouge-gorge
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13. Les tourterelles Volent dans ton rêve Et ton sourire Les accompagne
14. Quelle que soit l'heure, une rivière est ma sœur, Que je sois artiste ou cincle plongeur, Forcément les deux à la fois, Entre les flots, j'escamote le froid, A chaque pli, une Ondine se déploie, Son innocence me comble de ferveur...
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16. Salut ! petit oiseau, si beau, L'écho du bois répète Ta douce chansonnette; J’aime ton chant nouveau, si beau Caché sous le feuillage, Par ton tendre ramage Tu ravis le bocage.
18. Vie ! ô bonheur ! bois profonds, Nous vivons. L'essor sans fin nous réclame ; Planons sur l'air et les eaux ! Les oiseaux Sont de la poussière d'âme
19. L`arbre de la nuit à l`ombre du soleil bleu les oiseaux s`envolent
20. De l’oiseau vous avez, ami, la voix et l’aile ; Comme lui vous fuyez la terre pour le ciel. A l’idéal en vous le poète est fidèle : Vous aimez, vous chantez, cœur d’or, esprit sans fiel.
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22. Vol d'un oiseau, Très majestueux, Se trouvant aux cieux, Rien n'est plus beau…
23. Au printemps l'Oiseau naît et chante : N'avez-vous pas ouï sa voix ? ... Elle est pure, simple et touchante, La voix de l'Oiseau - dans les bois !
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26. Grâce à lui, le grimpereau Vit sans lois, Chéri des pins vénérables, Et délivrant des fourmis Ses amis Les cèdres et les érables.
27. Marcheur, ce sont tes traces Ce chemin et rien de plus ; Marcheur, il n’y a pas de chemin, Le chemin se construit en marchant. En marchant se construit le chemin, Et en regardant en arrière On voit la sente que jamais On ne foulera à nouveau. Marcheur, il n’y a pas de chemin, Seulement des sillages sur la mer. y son tus huellas/ El camino ,y nada mas/ Caminante ,no hay camino/ Se hace camino al andar/ Al andar se hace camino/ Y al volver la vista atras/ Se ve la senda que nunca/ Se ha de volver pisa/ Caminante,no hay camino/ Sino estelas en la mar. Antonio Machado Caminante