9. « A l'ère numérique, on est tenté de croire que les idées peuvent se
développer au moyen d'emails ou de chats. C'est idiot! La créativité
émane de réunions spontanées, de discours anecdotiques. Vous croisez
quelqu'un, vous demandez aux uns et aux autres ce qu'ils font, vous
êtes interloqué et, bientôt, vous concoctez une flopée de nouveaux
projets » Steve Jobs
Savez vous pourqoi les militaires se saluent de cette manière. Le salut militaire est un héritage de la chevalerie. A l’époque il s’agissait de soulever la visière de son homme pour découvrir son visage comme gage de confiance.\n
Moyen age. Empoisonnement. Pour parer ce danger, l’habitude fut prise par les maîtres des lieux de verser une petite quantité de leur boisson dans le verre de leurs interlocuteurs et réciproquement.[citation nécessaire] Chacun devait ensuite boire une première gorgée en regardant l'autre dans les yeux. De cette manière chacun prouvait qu'il n'avait pas de mauvaise intention. Par la suite, on se contenta simplement de cogner les verres (remplis à ras bord) afin qu'un peu de liquide s'échange entre les verres. C'est d'ailleurs ce double cognement de verre qui serait à l'origine de l'expression « Tchin ! Tchin ! \n
Porter un regard neuf sur ce que l’on fait. on ne devrait jamais arrêter de se demander Pourquoi ? et sur ce qui nous entoure. \n
il s’agissait alors de connecter, de mettre ensemble un appareil productif souvent massif, et une force de travail, les ressources humaines.\n\nPeu écologique. peu efficace, peu attractif, peu épanouissant.\n
Les réalités ont changés, mais le bureau tel qu’il est aujourd’hui est en grande partie l’héritage d’un ancien monde, de vieilles contraintes, d’une ancienne culture. Les nouvelles technologies nous permettent théoriquement de travailler d’ou l’on veut quand on le veut et ceci en équipe.\n
Le travail n’est plus un lieux mais ce que l’on fait.\n
Cette hypothèse est fausse ! La conclusion est tentante et pourtant, bien heureusement, nous avons plus que jamais besoin de lieux. L’internet ne permet pas tout. La place de la discussion, de la réunion dans un espace est physique est encore centrale. \n\n\nC’est un mythe auquel certaines entreprises ont voulu croire parce que cela pouvait signifier de grandes économies, mais la virtualisation totale est une chimère. Ceux qui ont fait l’expérience du travail en indépendant savent à quel point travaillé de chez soit de manière isolée en permanence est peu épanouissant. Le problème n’est pas tant le chez soit que le tout le temps. C’est en plus stérilisant en termes d’innovation.\n\n« A l'ère numérique, on est tenté de croire que les idées peuvent se développer au moyen d'emails ou de chats. C'est idiot! La créativité émane de réunions spontanées, de discours anecdotiques. Vous croisez quelqu'un, vous demandez aux uns et aux autres ce qu'ils font, vous êtes interloqué et, bientôt, vous concoctez une flopée de nouveaux projets » Steve Jobs\n\nPlus que jamais ! A l’ère de l’internet nous sommes seuls ensemble. L’internet ne permet pas tout. Mais nous n’avons pas besoin des même lieux. Nous n’avons pas besoin d’un seul lieux. Nous n’en avons pas besoin en permanence. Encore une fois ceux qui l’ont vécus savent que travailler seul de temps en temps augmente la productivité. C’est de travailler seul tout le temps et ne pas avoir le choix qui n’est pas soutenable.\n\nUn individu qui serait coupé va continuer \n\n
Cette hypothèse est fausse ! La conclusion est tentante et pourtant, bien heureusement, nous avons plus que jamais besoin de lieux. L’internet ne permet pas tout. La place de la discussion, de la réunion dans un espace est physique est encore centrale. \n\n\nC’est un mythe auquel certaines entreprises ont voulu croire parce que cela pouvait signifier de grandes économies, mais la virtualisation totale est une chimère. Ceux qui ont fait l’expérience du travail en indépendant savent à quel point travaillé de chez soit de manière isolée en permanence est peu épanouissant. Le problème n’est pas tant le chez soit que le tout le temps. C’est en plus stérilisant en termes d’innovation.\n\n« A l'ère numérique, on est tenté de croire que les idées peuvent se développer au moyen d'emails ou de chats. C'est idiot! La créativité émane de réunions spontanées, de discours anecdotiques. Vous croisez quelqu'un, vous demandez aux uns et aux autres ce qu'ils font, vous êtes interloqué et, bientôt, vous concoctez une flopée de nouveaux projets » Steve Jobs\n\nPlus que jamais ! A l’ère de l’internet nous sommes seuls ensemble. L’internet ne permet pas tout. Mais nous n’avons pas besoin des même lieux. Nous n’avons pas besoin d’un seul lieux. Nous n’en avons pas besoin en permanence. Encore une fois ceux qui l’ont vécus savent que travailler seul de temps en temps augmente la productivité. C’est de travailler seul tout le temps et ne pas avoir le choix qui n’est pas soutenable.\n\nUn individu qui serait coupé va continuer \n\n
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Quels objectifs ? Quel rôle ? Les défis : fluidifier la collaboration, générer de la confiance, générer de l’innovation, augmenter la productivité.\n
Steven Johnson. «Stuart Kauffman> Théorie des possibles adjacents.\nLa vie est apparue dans l’eau car plus de chances. mix entre chaos et ordre\nDiversité. Brassage. Interconnexion. Idée de l’écosystème. écosystème autour duquel gravitent. Créer les conditions. \n\nA city 10 times larger : 17 times more innovative\nA métropoles 50x plus grande qu'une ville est 130 fois plus innovante\n
Objectifs \nfluidifier la collaboration : en générant de la confiance, en renforcant la cohésion et le sentiment d’appartenance à une même communauté de valeurs.\nGénérer de l’innovation en favorisant l’émergence d’idée nouvelles et en facilitant leur mise en oeuvre\nAugmenter la productivité en aménageant des conditions de travail favorable, et en s’imprégant de l’énergie ambiante.\n
Objectifs \nfluidifier la collaboration : en générant de la confiance, en renforcant la cohésion et le sentiment d’appartenance à une même communauté de valeurs.\nGénérer de l’innovation en favorisant l’émergence d’idée nouvelles et en facilitant leur mise en oeuvre\nAugmenter la productivité en aménageant des conditions de travail favorable, et en s’imprégant de l’énergie ambiante.\n
Objectifs \nfluidifier la collaboration : en générant de la confiance, en renforcant la cohésion et le sentiment d’appartenance à une même communauté de valeurs.\nGénérer de l’innovation en favorisant l’émergence d’idée nouvelles et en facilitant leur mise en oeuvre\nAugmenter la productivité en aménageant des conditions de travail favorable, et en s’imprégant de l’énergie ambiante.\n
Etude menée par la harvard business review :\nProximity : c’est l’existence de points de rencontres et de frictions. Typiquement la machine à café dans un bureau.\nPrivacy : C’est la possibilité de bénéficier lorsque celà est nécessaire, d’un environnement studieux et garantissant une certaine intimité. \nPermission : Le fait d’arriver à ce que les occupants du lieu se sentent encourager à collaborer. Typiquement, ne pas se sentir épier ou surveiller. Climat de confiance. \n
Differesnt degrees of intimacy. The café area at the front is a very clear message. This not just an office. People entering the space can see others.\n
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Un écosystème favorable à la vie comme les récifs de corails sont\n
Ex : évènements générateurs de frictions\n
3 eme édition en ce moment au festival Bellastock\n
répondent à des besoins sociaux\n
Besoin de répondre à ces besoins pour garantir une motivation, un engagement, et garder ses compétences en créant une relation long terme.\n
nous expérimentons de nouvelles façon de travailler, de manière plus libre, plus flexible, plus indépendante et pourtant plus collaborative. De nouvelles manières de créer de la valeur. Cette expérience s’inscrit elle même dans un mouvement global. On compte aujourd’hui environ 2000 espaces de coworking à travers le monde, alors qu’on en dénombrait environ 700 l’année dernière à la même époque. Certes ce monde qui est en train de se créer, et qui fait partie d’un , est encore plutôt marginal comparé \n
Nouvelle culture émerge. Ce qui marquera la prochaine décennie, c’est en grande partie l’influence grandissante que cette nouvelle culture prendra dans nos sociétés. Le coworking en est une illustration.\n
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Difficile de parler de «stratégie» media sociaux etc... Instinctif, naturel. Pas n’importe comment. Cohérence.\n