SlideShare ist ein Scribd-Unternehmen logo
1 von 41
Programme d’apprentissage sur l’analyse des incidents - Module 3



L’analyse des incidents comme partie
intégrante du continuum de gestion des
incidents

29 jan. 2013
Bienvenue




                                                                 Tina Cullimore
Hélène Riverin   Linda Lessard   Lucie Poirier   Ioana Popescu
Objectifs d’apprentissage

Les éléments de connaissance incluent de comprendre :
• le continuum de gestion des incidents;
• comment l’analyse des incidents fait partie intégrante du continuum
   de gestion des incidents;
• comment la divulgation s’insère dans le continuum.

Les éléments de performance incluent la capacité de :
•   déterminer si le recours à l’arbre de décision en cas d’incident est
    pertinent dans l’analyse de l’incident à l’étude;
•   Choisir une méthode d’analyse des incidents.
Ordre du jour


3 sections
   • Leader de pratique

   • Expert en la matière

   • Discussion dirigée
Introduction à WebEx




        Soyez prêts à utiliser:
            • les outils d’annotation
            • le clavardage, les Q-R
            • les outils interactifs
            • La loupe




               5
18 déc. 2012                                     5
D’où venez-vous?

        International :
        (Saisir l’info ici)

        _______________

        _______________
À propos de vous
Présentation




Lucie Poirier   Linda Lessard
Processus d’analyse —
Arbre de décision en cas d’incident
AVANT L’INCIDENT



                        Apprendre des
                      incidents antérieurs                  Soutien du leadership
                           ou partagés




                                              Culture
                                             et attributs


http://www.ihi.org/knowledge/Pages/IHIWhitePapers/
RespectfulManagementSeriousClinicalAEsWhitePaper.aspx
INTERVENTION IMMÉDIATE



•   Prendre soin des patients/des familles/des
    prestataires
•   Déclarer l’incident (rapport sur la sécurité et
    l’apprentissage/rapport d’incident/documentation)
•   Sécuriser les objets/items liés à l’incident
•   Enclencher le processus de divulgation
•   Réduire le risque de récurrence imminente
Divulgation

Quelque chose est arrivé. Maintenant
quoi?

Pourquoi divulguer avec efficacité et
compassion?

Comment divulguer avec efficacité et
compassion?

Qu’arrive-t-il si on ne fait aucune
divulgation?
Divulgation
POURQUOI :
La divulgation n’est pas un processus conçu que pour apaiser les
patients et de leur famille.

Principes directeurs
• Soins centrés sur le patient
• Autonomie des patients
• Soins de santé sécuritaires
• Soutien du leadership
• La divulgation est la chose à faire
• Honnêteté et transparence

Qu’est-ce qu’une culture de divulgation?
Divulgation

COMMENT

• Que veulent entendre les patients?

• Que doivent dire les prestataires de soins?

   • Besoins cliniques
   • Besoins émotionnels
   • Besoin d’information
Divulgation

ET SI ON NE DISAIT RIEN?

« Bien après avoir oublié vos paroles, on se souvient de
  ce qu’on a ressenti en les entendant. »
                                   G. Wallace, ACPM

http://www.cmpa-acpm.ca
SE PRÉPARER POUR L’ANALYSE


•   Enquête initiale : établissement des faits
•   Choisir une méthode d’analyse
•   Identifier l’équipe et son approche
•   Organiser les réunions
•   Planifier et mener des entrevues
•   Chronologie finale des faits
Processus d’analyse – chronologie
                des événements
  Date et                 Description                          Source
  heure

1er oct.    Pt active sa sonnette d’appel.             Entrevue/dossier du
15:05       Demande un analgésique pour                patient
            douleurs postopératoires
15:10       Prise d’analgésique                        Rapport
                                                       d’administration de
                                                       médicament
15:30       Le prestataire de soins se rend           Dossier du patient
            vérifier si tout va bien avec le patient.
            Il trouve le patient sur le sol.
15:31       Le prestataire de soins demande du     Entrevue
            renfort. Le patient est évalué. Aucune
            blessure apparente.
15:35       Le patient est remis au lit en utilisant   Dossier du patient
            un lève-patient sur rail.
PROCESSUS D’ANALYSE

Diverses méthodes :
   • Exhaustive
   • Concise
   • Incidents multiples


Chacune des méthodes vise à déterminer :
   • Ce qui s’est passé
   • Comment et pourquoi c’est arrivé
   • Ce qu’il faut faire pour réduire la probabilité de récurrence et
     pour rendre les soins plus sécuritaires
   • Dégager les leçons apprises
Critères à considérer au moment de
choisir une méthode d’analyse des
incidents
Page 42
Cadre canadien
d’analyse des incidents
Page 50
Cadre canadien
d’analyse des
incidents          Mesures
                   d’amélioration
Faits recueillis   (le cas échéant)



 Facteurs
 contributifs et     Évaluation
 les causes
Page 52
Cadre canadien
d’analyse
des incidents
Page 55
Cadre canadien
d’analyse des incidents
Actions recommandées

Élaborer des
recommandations
• Principales caractéristiques des   Page 62
  recommandations efficaces

• Hiérarchie de l’efficacité

• Ordre de priorité des
  recommandations

• Consulter au sujet des
  recommandations

• Rédiger et remettre le rapport
Actions recommandées

Gérer les recommandations

• Valider les recommandations d’un point de vue
  stratégique et opérationnel

• Déléguer et enclencher la mise en œuvre des
  recommandations
SUIVI


•   Recommandations mises en œuvre

•   Surveiller et évaluer l'efficacité des
    recommandations
    Boston Consulting Group Tool
    http://dice.bcg.com/dice.html
BOUCLER LA BOUCLE

•       Partager les leçons retenues (à l’interne et à l’externe)
    •      Rétroaction (des personnes ayant pris part au processus/des
           patients)
    •      Communication (transmission des leçons retenues à l’externe
           — alertes, avis ou notes de service)
• Examiner et évaluer le processus de gestion des incidents
Étude de cas – Exercice virtuel en
groupe
ÉTUDE DE CAS -1ère partie

Mise en contexte
Le seul obstétricien-gynécologue d’un hôpital rural
prend une semaine de congé. Habituellement, toutes
les patientes dont la date d’accouchement est proche
sont avisées de l’absence du médecin et averties
qu’elles doivent se rendre à la ville (à une heure et
demie de route) si le travail commence. L’obstétricien-
gynécologue du centre hospitalier urbain est avisé et
des notes de service sont envoyées.
Si une patiente se présente à l’urgence de l’hôpital
rural, le personnel infirmier et le médecin la redirigent
immédiatement vers l’hôpital de la ville.
Étude de cas –2e partie

Une patiente en travail arrive à l’urgence.
Le préposé à l’admission aiguille la patiente vers le
personnel infirmier du service d’obstétrique pour une
évaluation.
L’infirmière et le médecin évaluent la patiente et
contactent le médecin patron sur appel pour l’informer
que la patiente est dilatée à 8 cm et qu’elle devrait être
transférée en ambulance.
Résultat :
La patiente doit subir une césarienne qui est effectuée
par le chirurgien général.
Activité en ateliers

La plupart des
participants « seront
déplacés » par petits
groupes vers des salles
d’ateliers

Quelques participants
demeureront dans la salle
principale

Ceux invités : cliquez OUI
aux deux fenêtres
contextuelles pour changer
de salle
Questions-guides

Y aurait-il lieu de mener une analyse d’incident?
Examinez ce cas et choisissez la méthode d’analyse la
plus appropriée selon vous.
Que feriez-vous pour gérer cet incident?
Processus d’analyse —
Arbre de décision en cas d’incident
Débreffage pour l’ensemble du
            groupe
5 minutes
Protocole obstétrical si aucun service d’obstétrique

La patiente en travail se présente au service d’urgence ets’inscrit
                                                                                                     La patiente en travail se présente au service d’urgence et s’inscrit



                  Patiente évaluée par l’urgentiste


                                                                                                                      Patiente évaluée par l’urgentiste


   L’urgentiste appelle l’obstétricien de garde à St-John's et lui donne son
                                   évaluation
                                                                                               Critères pour les cas à risque élevé ET POUR LE TRANSFERT IMMÉDIAT À ST-
                                                                                              JOHNS :
                                                                                              •Naissance prématurée < 36 semaines
L’obstétricien de garde à St-John's recommande soit un accouchement à GBC                     •Rupture prématurée des membranes préterme
                          ou un transfert à St-John's                                         •Rupture des membranes avant le travail
                                                                                              •Pré-éclampsie
                                                                                              •Hémorragie antepartum (mais pas une rupture)
                                                                                              •Présentation du siège
                                                                                              •Plusieurs grossesses
                                                                                              •Césarienne antérieure et travail en cours
                                                                                              •Patiente diabétique et travail en cours
Critères pour l’accouchement à GBC :
•Patiente complètement dilatée qui pousse et la tête du bébé est sur le périnée
•Prolapsus du cordon ombilical
•décollement placentaire
•Grossesse extra-utérine rompue
•Test de réactivité fœtale anormal (anciennement appelé détresse fœtale)                  L’urgentiste appelle l’obstétricien de garde à St-John's et lui donne son évaluation de
                                                                                                             la patiente et lui annonce le transfert imminent




      Patiente admise à
                                     Patiente transférée à St-John’s, accompagnée d’une
         l’unité pour
                                      infirmière et du médecin de garde des patientes
    accouchement à GBC
                                                       d’obstétrique                      Patiente transférée, accompagnée d’une infirmière et du médecin de garde des
                                                                                                                    patientes en obstétrique

        Pédiatre et
    chirurgien de garde
        prévenus
Fixer des objectifs : prochaines
            étapes

Demain je vais/nous allons...
Récapitulatif
Prochaines étapes

• Évaluation postséance  attestation de participation
• Sondage de suivi  nous apprenons de vous

Programme d’apprentissage sur l’analyse des
incidents
•   M4:Analyse exhaustive – 19 février 2013
•   M5: Analyse concise – 19 mars 2013
•   M6: Analyse multi-incidents –9 avril 2013
•   M7: Gestion des recommandations – 23 avril 2013
•   M8: Suivi et partage des leçons retenues – 21 mai 2013
Ressources
Enregistrement module 1:
    http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/news/IncidentAnalysisLearningProgram/Pag
    es/Session-Recordings-and-Documents.aspx
Enregistrement module 2 :
http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/news/IncidentAnalysisLearningProgram/Pages/S
    ession-Recordings-and-Documents.aspx
Lignes directrices relatives à la divulgation
http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/toolsResources/disclosure/Pages/default.aspx
Lignes directrices relatives au partage d’information avec les médias suite à un
    événement indésirable :
http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/news/Documents/CPSI%20Best%20Practice%20
    Guide.pdf
Document de l’IHI : Respectful Management of Serious Clinical Adverse Events
    http://www.ihi.org/knowledge/Pages/IHIWhitePapers/RespectfulManagementSeriousClin
    icalAEsWhitePaper.aspx
Guide des bonnes pratiques de l’ACPM : www.cmpa-acpm.ca/gpg
Document du HQCA (une autre façon de faire une analyse des incidents)
    http://www.hqca.ca/assets/files/HQCA%20SSA%20Patient%20Safety%20Reviews%20FI
    NAL%20June%202012.pdf
Mulţumesc

  Thank You

Weitere ähnliche Inhalte

Was ist angesagt?

Correction examen Robotique
Correction examen Robotique Correction examen Robotique
Correction examen Robotique Mouna Souissi
 
Presentation stage Tunisie Telecom
Presentation stage Tunisie TelecomPresentation stage Tunisie Telecom
Presentation stage Tunisie Telecomlitayem bechir
 
Présentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learning
Présentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learningPrésentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learning
Présentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learningWiamFADEL
 
Programmation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TAL
Programmation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TALProgrammation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TAL
Programmation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TALECAM Brussels Engineering School
 
Analyse et conception des systèmes d’information
Analyse et conception des systèmes d’informationAnalyse et conception des systèmes d’information
Analyse et conception des systèmes d’informationMireille Blay-Fornarino
 
Slides de présentation de la thèse du doctorat
Slides de présentation de la thèse du doctoratSlides de présentation de la thèse du doctorat
Slides de présentation de la thèse du doctoratZyad Elkhadir
 
Apprentissage supervisé.pdf
Apprentissage supervisé.pdfApprentissage supervisé.pdf
Apprentissage supervisé.pdfhanamettali
 
Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et Mobile
Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et  Mobile Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et  Mobile
Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et Mobile Raoua Bennasr
 
Rapport De Stage de Fin d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...
Rapport De Stage de Fin  d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...Rapport De Stage de Fin  d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...
Rapport De Stage de Fin d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...Issa BEN MANSOUR
 
Rapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en Education
Rapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en EducationRapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en Education
Rapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en EducationMohamed Amine Mahmoudi
 
CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...
CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...
CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...abdelaligougou1
 
Cours et TP Ms Project
Cours et TP Ms ProjectCours et TP Ms Project
Cours et TP Ms Projecthindif
 
AméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture Arabe
AméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture ArabeAméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture Arabe
AméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture Arabehachhoush
 
Appareillage de Protection
Appareillage de ProtectionAppareillage de Protection
Appareillage de ProtectionYuuki Yukino
 
Introduction to Machine learning
Introduction to Machine learningIntroduction to Machine learning
Introduction to Machine learningQuentin Ambard
 
Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis (Design)...
Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis  (Design)...Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis  (Design)...
Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis (Design)...Wafa Bourkhis
 
Réponse à un appel d offre
Réponse à un appel d offreRéponse à un appel d offre
Réponse à un appel d offreCédric Mouats
 
37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)
37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)
37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)khaalidkk
 
Programmation réseau en JAVA
Programmation réseau en JAVAProgrammation réseau en JAVA
Programmation réseau en JAVABachir Benyammi
 

Was ist angesagt? (20)

Correction examen Robotique
Correction examen Robotique Correction examen Robotique
Correction examen Robotique
 
Presentation stage Tunisie Telecom
Presentation stage Tunisie TelecomPresentation stage Tunisie Telecom
Presentation stage Tunisie Telecom
 
Présentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learning
Présentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learningPrésentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learning
Présentation FADEL Wiam sur le nlp et machine learning
 
Programmation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TAL
Programmation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TALProgrammation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TAL
Programmation Dynamique : Mise en œuvre et application à des problèmes en TAL
 
Analyse et conception des systèmes d’information
Analyse et conception des systèmes d’informationAnalyse et conception des systèmes d’information
Analyse et conception des systèmes d’information
 
Slides de présentation de la thèse du doctorat
Slides de présentation de la thèse du doctoratSlides de présentation de la thèse du doctorat
Slides de présentation de la thèse du doctorat
 
Apprentissage supervisé.pdf
Apprentissage supervisé.pdfApprentissage supervisé.pdf
Apprentissage supervisé.pdf
 
Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et Mobile
Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et  Mobile Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et  Mobile
Rapport pfe Conceptionet Developpement d'une Application web et Mobile
 
Rapport De Stage de Fin d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...
Rapport De Stage de Fin  d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...Rapport De Stage de Fin  d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...
Rapport De Stage de Fin d'etude : Modélisation et Dématérialisation des Proc...
 
Rapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en Education
Rapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en EducationRapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en Education
Rapport Mini Projet : élaborer un moteur de Recherche spécialisé en Education
 
CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...
CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...
CONCEPTION ET REALISATION D’UN RESEAU DE CAPTEURS SANS FILS APPLICATION : AGR...
 
04 cours matrices_suites
04 cours matrices_suites04 cours matrices_suites
04 cours matrices_suites
 
Cours et TP Ms Project
Cours et TP Ms ProjectCours et TP Ms Project
Cours et TP Ms Project
 
AméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture Arabe
AméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture ArabeAméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture Arabe
AméLioration Du SystèMe De Reconnaissance De L’éCriture Arabe
 
Appareillage de Protection
Appareillage de ProtectionAppareillage de Protection
Appareillage de Protection
 
Introduction to Machine learning
Introduction to Machine learningIntroduction to Machine learning
Introduction to Machine learning
 
Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis (Design)...
Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis  (Design)...Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis  (Design)...
Speech de PFE de Ahmed Jebali - CM- ISAMM-Encadré par Wafa Bourkhis (Design)...
 
Réponse à un appel d offre
Réponse à un appel d offreRéponse à un appel d offre
Réponse à un appel d offre
 
37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)
37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)
37248247 cours-hyperfrequences-parametres-s-antennes (1)
 
Programmation réseau en JAVA
Programmation réseau en JAVAProgrammation réseau en JAVA
Programmation réseau en JAVA
 

Andere mochten auch

La sécurité dans l'atelier
La sécurité dans l'atelierLa sécurité dans l'atelier
La sécurité dans l'atelierslid2012
 
LES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGE
LES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGELES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGE
LES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGEchokri SOLTANI
 
La prevention des risques machines
La prevention des risques machinesLa prevention des risques machines
La prevention des risques machineschokri SOLTANI
 
La demarche de prevention des risques machines
 La demarche de prevention des risques machines La demarche de prevention des risques machines
La demarche de prevention des risques machineschokri SOLTANI
 
RPS : Évaluer une situation à risque - Étude de cas
RPS : Évaluer une situation à risque - Étude de casRPS : Évaluer une situation à risque - Étude de cas
RPS : Évaluer une situation à risque - Étude de casLACT
 
Management des risques ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSAR
Management des risques   ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSARManagement des risques   ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSAR
Management des risques ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSARibtissam el hassani
 
Formation sst (tres interessant)
Formation sst (tres interessant)Formation sst (tres interessant)
Formation sst (tres interessant)pascalbaudin
 
Management des risques 9 : Risques d’Entreprise et Cartographie
Management des risques 9 : Risques d’Entreprise et CartographieManagement des risques 9 : Risques d’Entreprise et Cartographie
Management des risques 9 : Risques d’Entreprise et Cartographieibtissam el hassani
 
Le soudage le visuel
Le soudage  le visuelLe soudage  le visuel
Le soudage le visuelAli Derwich
 
Règlementation travail en hauteur
Règlementation travail en hauteurRèglementation travail en hauteur
Règlementation travail en hauteurFFSNW Formation
 
Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2
Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2
Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2AquaBullesBeaujolaises
 
Réponse impulsionnelle
Réponse impulsionnelleRéponse impulsionnelle
Réponse impulsionnellerecadrage_32
 
Policy seminar mic09_presentation_ngbwa
Policy seminar mic09_presentation_ngbwaPolicy seminar mic09_presentation_ngbwa
Policy seminar mic09_presentation_ngbwaYassine Ghezzal
 
Expo vmf consulta previa legislativa
Expo vmf consulta previa legislativaExpo vmf consulta previa legislativa
Expo vmf consulta previa legislativaccynieto
 
Generation mtv ema contest 2013
Generation mtv ema contest 2013Generation mtv ema contest 2013
Generation mtv ema contest 2013Evelien Van Hoof
 

Andere mochten auch (20)

03 electrisation
03 electrisation03 electrisation
03 electrisation
 
La sécurité dans l'atelier
La sécurité dans l'atelierLa sécurité dans l'atelier
La sécurité dans l'atelier
 
LES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGE
LES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGELES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGE
LES RISQUES LIES AUX OPERATIONS DE SOUDAGE
 
La prevention des risques machines
La prevention des risques machinesLa prevention des risques machines
La prevention des risques machines
 
La demarche de prevention des risques machines
 La demarche de prevention des risques machines La demarche de prevention des risques machines
La demarche de prevention des risques machines
 
RPS : Évaluer une situation à risque - Étude de cas
RPS : Évaluer une situation à risque - Étude de casRPS : Évaluer une situation à risque - Étude de cas
RPS : Évaluer une situation à risque - Étude de cas
 
Management des risques ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSAR
Management des risques   ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSARManagement des risques   ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSAR
Management des risques ibtissam el hassani-chapitre3 : MADS/MOSAR
 
Analyse abc
Analyse abcAnalyse abc
Analyse abc
 
Formation sst (tres interessant)
Formation sst (tres interessant)Formation sst (tres interessant)
Formation sst (tres interessant)
 
Management des risques 9 : Risques d’Entreprise et Cartographie
Management des risques 9 : Risques d’Entreprise et CartographieManagement des risques 9 : Risques d’Entreprise et Cartographie
Management des risques 9 : Risques d’Entreprise et Cartographie
 
Le soudage le visuel
Le soudage  le visuelLe soudage  le visuel
Le soudage le visuel
 
Règlementation travail en hauteur
Règlementation travail en hauteurRèglementation travail en hauteur
Règlementation travail en hauteur
 
Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2
Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2
Cours N2 Accidents - Partie 1 & Partie 2
 
Réponse impulsionnelle
Réponse impulsionnelleRéponse impulsionnelle
Réponse impulsionnelle
 
Policy seminar mic09_presentation_ngbwa
Policy seminar mic09_presentation_ngbwaPolicy seminar mic09_presentation_ngbwa
Policy seminar mic09_presentation_ngbwa
 
Expo vmf consulta previa legislativa
Expo vmf consulta previa legislativaExpo vmf consulta previa legislativa
Expo vmf consulta previa legislativa
 
Marc chagall
Marc chagallMarc chagall
Marc chagall
 
Présentation1
Présentation1Présentation1
Présentation1
 
Le catalogue des nouveautés
Le catalogue des nouveautésLe catalogue des nouveautés
Le catalogue des nouveautés
 
Generation mtv ema contest 2013
Generation mtv ema contest 2013Generation mtv ema contest 2013
Generation mtv ema contest 2013
 

Ähnlich wie Module 3 - L’analyse des incidents comme partie intégrante du continuum de gestion des incidents

"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay, De Polignac
"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay,  De Polignac"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay,  De Polignac
"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay, De PolignacLucie Beylacq
 
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...Haute Autorité de Santé
 
Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ?
Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ? Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ?
Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ? Michel Triffaux
 
Changer la pratique
Changer la pratiqueChanger la pratique
Changer la pratiqueIdi Amadou
 
harlicot Jnmg paris 2014 cnit
harlicot Jnmg paris 2014 cnitharlicot Jnmg paris 2014 cnit
harlicot Jnmg paris 2014 cnitharlicot
 
Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!
Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!
Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!Canadian Patient Safety Institute
 
La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?
La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?
La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?Hervé Faltot
 
L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...
L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...
L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...NECH-CIEH
 
Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons!
Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons! Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons!
Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons! Canadian Patient Safety Institute
 
Atelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalier
Atelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalierAtelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalier
Atelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalierNicolas Peschanski, MD, PhD
 
L'expérience patient en médecine nucléaire
L'expérience patient en médecine nucléaireL'expérience patient en médecine nucléaire
L'expérience patient en médecine nucléaireesprimed
 
Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure
Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure
Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure Nouhoum L Traore
 

Ähnlich wie Module 3 - L’analyse des incidents comme partie intégrante du continuum de gestion des incidents (20)

Module 5 : Méthode d’analyse succincte
Module 5 : Méthode d’analyse succincteModule 5 : Méthode d’analyse succincte
Module 5 : Méthode d’analyse succincte
 
Module 1 : Partenariat patient-famille
Module 1 : Partenariat patient-familleModule 1 : Partenariat patient-famille
Module 1 : Partenariat patient-famille
 
"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay, De Polignac
"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay,  De Polignac"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay,  De Polignac
"RAAC et genou" AFARCOT 2015, Laurent Delaunay, De Polignac
 
Module 6 : Analyses multi-incidents
Module 6 : Analyses multi-incidentsModule 6 : Analyses multi-incidents
Module 6 : Analyses multi-incidents
 
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...
 
Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ?
Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ? Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ?
Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ?
 
Une collaboration en santé à l’Université de Montréal: un MOOC sur le rai...
Une collaboration en santé à l’Université de Montréal: un MOOC sur le rai...Une collaboration en santé à l’Université de Montréal: un MOOC sur le rai...
Une collaboration en santé à l’Université de Montréal: un MOOC sur le rai...
 
Changer la pratique
Changer la pratiqueChanger la pratique
Changer la pratique
 
harlicot Jnmg paris 2014 cnit
harlicot Jnmg paris 2014 cnitharlicot Jnmg paris 2014 cnit
harlicot Jnmg paris 2014 cnit
 
Votre patient a souffert de TEV – que s’est-il passé?
Votre patient a souffert de TEV – que s’est-il passé? Votre patient a souffert de TEV – que s’est-il passé?
Votre patient a souffert de TEV – que s’est-il passé?
 
Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!
Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!
Webinaire : L’hygiène des mains - plus simplement pour le personnel soignant!
 
La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?
La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?
La recherche clinique : pourquoi, pour qui comment?
 
Lean healthcare
Lean healthcareLean healthcare
Lean healthcare
 
Presentation attalah-esf-original
Presentation   attalah-esf-originalPresentation   attalah-esf-original
Presentation attalah-esf-original
 
L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...
L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...
L'amélioration de la qualité des soins pour diminuer la mortalité chez les no...
 
Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons!
Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons! Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons!
Ce n’est pas ce que nous faisons qui compte, c’est COMMENT nous le faisons!
 
Atelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalier
Atelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalierAtelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalier
Atelier 2 : Accouchement inopiné extra-hospitalier
 
L'expérience patient en médecine nucléaire
L'expérience patient en médecine nucléaireL'expérience patient en médecine nucléaire
L'expérience patient en médecine nucléaire
 
Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure
Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure
Organisation des urgences 2012 pédiatrie chu gabriel toure
 
Décisions sau 2016
Décisions sau 2016Décisions sau 2016
Décisions sau 2016
 

Mehr von Canadian Patient Safety Institute

Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...
Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...
Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...Canadian Patient Safety Institute
 
Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...
Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...
Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...Canadian Patient Safety Institute
 
Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use
Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use
Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use Canadian Patient Safety Institute
 
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser Health
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser HealthActing on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser Health
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser HealthCanadian Patient Safety Institute
 
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children's
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children'sActing on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children's
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children'sCanadian Patient Safety Institute
 
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health Services
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health ServicesActing on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health Services
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health ServicesCanadian Patient Safety Institute
 
Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...
Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...
Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...Canadian Patient Safety Institute
 
Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory
Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory 	     Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory
Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory Canadian Patient Safety Institute
 
Webinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practice
Webinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practiceWebinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practice
Webinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practiceCanadian Patient Safety Institute
 
Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design
Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design
Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design Canadian Patient Safety Institute
 
KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation?
KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation? KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation?
KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation? Canadian Patient Safety Institute
 

Mehr von Canadian Patient Safety Institute (20)

Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...
Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...
Reimagining healing after healthcare harm: the potential for restorative prac...
 
Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...
Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...
Think Global, Act Local: Patient and Family Engagement Strategies & Contribut...
 
Keeping seniors safe
Keeping seniors safeKeeping seniors safe
Keeping seniors safe
 
Indigenous Perspectives on Patient Safety
Indigenous Perspectives on Patient SafetyIndigenous Perspectives on Patient Safety
Indigenous Perspectives on Patient Safety
 
Conquer Silence Webcast - Deck 1 of 2
Conquer Silence Webcast - Deck 1 of 2Conquer Silence Webcast - Deck 1 of 2
Conquer Silence Webcast - Deck 1 of 2
 
Conquer Silence Webcast - Deck 2 of 2
Conquer Silence Webcast - Deck 2 of 2Conquer Silence Webcast - Deck 2 of 2
Conquer Silence Webcast - Deck 2 of 2
 
Récupération optimisée Canada
Récupération optimisée CanadaRécupération optimisée Canada
Récupération optimisée Canada
 
Enhanced Recovery Canada Presentation
Enhanced Recovery Canada PresentationEnhanced Recovery Canada Presentation
Enhanced Recovery Canada Presentation
 
Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use
Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use
Not All Meds Get Along: Reducing Inappropriate Medication Use
 
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser Health
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser HealthActing on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser Health
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Fraser Health
 
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve SafetyActing on Real-Time Patient Reports to Improve Safety
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety
 
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children's
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children'sActing on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children's
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: BC Children's
 
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health Services
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health ServicesActing on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health Services
Acting on Real-Time Patient Reports to Improve Safety: Alberta Health Services
 
Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...
Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...
Webinar 6: Selecting strategies and techniques best suited to address barrier...
 
Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory
Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory 	     Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory
Webinar 4: Identifying barriers and enablers, and determinants, in theory
 
Webinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practice
Webinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practiceWebinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practice
Webinar 5: Identifying barriers and enablers, and determinants, in practice
 
Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design
Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design
Collaborative “Spaces” and Health Information Technology Design
 
WHO Clean Hands "It's in your hands"
WHO Clean Hands "It's in your hands"WHO Clean Hands "It's in your hands"
WHO Clean Hands "It's in your hands"
 
Complexities of hand hygiene by GOJO
Complexities of hand hygiene by GOJOComplexities of hand hygiene by GOJO
Complexities of hand hygiene by GOJO
 
KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation?
KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation? KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation?
KTIS Webinar 3: Who needs to do what, differently, to promote implementation?
 

Module 3 - L’analyse des incidents comme partie intégrante du continuum de gestion des incidents

  • 1. Programme d’apprentissage sur l’analyse des incidents - Module 3 L’analyse des incidents comme partie intégrante du continuum de gestion des incidents 29 jan. 2013
  • 2. Bienvenue Tina Cullimore Hélène Riverin Linda Lessard Lucie Poirier Ioana Popescu
  • 3. Objectifs d’apprentissage Les éléments de connaissance incluent de comprendre : • le continuum de gestion des incidents; • comment l’analyse des incidents fait partie intégrante du continuum de gestion des incidents; • comment la divulgation s’insère dans le continuum. Les éléments de performance incluent la capacité de : • déterminer si le recours à l’arbre de décision en cas d’incident est pertinent dans l’analyse de l’incident à l’étude; • Choisir une méthode d’analyse des incidents.
  • 4. Ordre du jour 3 sections • Leader de pratique • Expert en la matière • Discussion dirigée
  • 5. Introduction à WebEx Soyez prêts à utiliser: • les outils d’annotation • le clavardage, les Q-R • les outils interactifs • La loupe 5 18 déc. 2012 5
  • 6. D’où venez-vous? International : (Saisir l’info ici) _______________ _______________
  • 9.
  • 10. Processus d’analyse — Arbre de décision en cas d’incident
  • 11. AVANT L’INCIDENT Apprendre des incidents antérieurs Soutien du leadership ou partagés Culture et attributs http://www.ihi.org/knowledge/Pages/IHIWhitePapers/ RespectfulManagementSeriousClinicalAEsWhitePaper.aspx
  • 12. INTERVENTION IMMÉDIATE • Prendre soin des patients/des familles/des prestataires • Déclarer l’incident (rapport sur la sécurité et l’apprentissage/rapport d’incident/documentation) • Sécuriser les objets/items liés à l’incident • Enclencher le processus de divulgation • Réduire le risque de récurrence imminente
  • 13. Divulgation Quelque chose est arrivé. Maintenant quoi? Pourquoi divulguer avec efficacité et compassion? Comment divulguer avec efficacité et compassion? Qu’arrive-t-il si on ne fait aucune divulgation?
  • 14. Divulgation POURQUOI : La divulgation n’est pas un processus conçu que pour apaiser les patients et de leur famille. Principes directeurs • Soins centrés sur le patient • Autonomie des patients • Soins de santé sécuritaires • Soutien du leadership • La divulgation est la chose à faire • Honnêteté et transparence Qu’est-ce qu’une culture de divulgation?
  • 15. Divulgation COMMENT • Que veulent entendre les patients? • Que doivent dire les prestataires de soins? • Besoins cliniques • Besoins émotionnels • Besoin d’information
  • 16. Divulgation ET SI ON NE DISAIT RIEN? « Bien après avoir oublié vos paroles, on se souvient de ce qu’on a ressenti en les entendant. » G. Wallace, ACPM http://www.cmpa-acpm.ca
  • 17. SE PRÉPARER POUR L’ANALYSE • Enquête initiale : établissement des faits • Choisir une méthode d’analyse • Identifier l’équipe et son approche • Organiser les réunions • Planifier et mener des entrevues • Chronologie finale des faits
  • 18. Processus d’analyse – chronologie des événements Date et Description Source heure 1er oct. Pt active sa sonnette d’appel. Entrevue/dossier du 15:05 Demande un analgésique pour patient douleurs postopératoires 15:10 Prise d’analgésique Rapport d’administration de médicament 15:30 Le prestataire de soins se rend Dossier du patient vérifier si tout va bien avec le patient. Il trouve le patient sur le sol. 15:31 Le prestataire de soins demande du Entrevue renfort. Le patient est évalué. Aucune blessure apparente. 15:35 Le patient est remis au lit en utilisant Dossier du patient un lève-patient sur rail.
  • 19. PROCESSUS D’ANALYSE Diverses méthodes : • Exhaustive • Concise • Incidents multiples Chacune des méthodes vise à déterminer : • Ce qui s’est passé • Comment et pourquoi c’est arrivé • Ce qu’il faut faire pour réduire la probabilité de récurrence et pour rendre les soins plus sécuritaires • Dégager les leçons apprises
  • 20. Critères à considérer au moment de choisir une méthode d’analyse des incidents
  • 22. Page 50 Cadre canadien d’analyse des incidents Mesures d’amélioration Faits recueillis (le cas échéant) Facteurs contributifs et Évaluation les causes
  • 25. Actions recommandées Élaborer des recommandations • Principales caractéristiques des Page 62 recommandations efficaces • Hiérarchie de l’efficacité • Ordre de priorité des recommandations • Consulter au sujet des recommandations • Rédiger et remettre le rapport
  • 26. Actions recommandées Gérer les recommandations • Valider les recommandations d’un point de vue stratégique et opérationnel • Déléguer et enclencher la mise en œuvre des recommandations
  • 27. SUIVI • Recommandations mises en œuvre • Surveiller et évaluer l'efficacité des recommandations Boston Consulting Group Tool http://dice.bcg.com/dice.html
  • 28. BOUCLER LA BOUCLE • Partager les leçons retenues (à l’interne et à l’externe) • Rétroaction (des personnes ayant pris part au processus/des patients) • Communication (transmission des leçons retenues à l’externe — alertes, avis ou notes de service) • Examiner et évaluer le processus de gestion des incidents
  • 29. Étude de cas – Exercice virtuel en groupe
  • 30. ÉTUDE DE CAS -1ère partie Mise en contexte Le seul obstétricien-gynécologue d’un hôpital rural prend une semaine de congé. Habituellement, toutes les patientes dont la date d’accouchement est proche sont avisées de l’absence du médecin et averties qu’elles doivent se rendre à la ville (à une heure et demie de route) si le travail commence. L’obstétricien- gynécologue du centre hospitalier urbain est avisé et des notes de service sont envoyées. Si une patiente se présente à l’urgence de l’hôpital rural, le personnel infirmier et le médecin la redirigent immédiatement vers l’hôpital de la ville.
  • 31. Étude de cas –2e partie Une patiente en travail arrive à l’urgence. Le préposé à l’admission aiguille la patiente vers le personnel infirmier du service d’obstétrique pour une évaluation. L’infirmière et le médecin évaluent la patiente et contactent le médecin patron sur appel pour l’informer que la patiente est dilatée à 8 cm et qu’elle devrait être transférée en ambulance. Résultat : La patiente doit subir une césarienne qui est effectuée par le chirurgien général.
  • 32. Activité en ateliers La plupart des participants « seront déplacés » par petits groupes vers des salles d’ateliers Quelques participants demeureront dans la salle principale Ceux invités : cliquez OUI aux deux fenêtres contextuelles pour changer de salle
  • 33. Questions-guides Y aurait-il lieu de mener une analyse d’incident? Examinez ce cas et choisissez la méthode d’analyse la plus appropriée selon vous. Que feriez-vous pour gérer cet incident?
  • 34. Processus d’analyse — Arbre de décision en cas d’incident
  • 35. Débreffage pour l’ensemble du groupe 5 minutes
  • 36. Protocole obstétrical si aucun service d’obstétrique La patiente en travail se présente au service d’urgence ets’inscrit La patiente en travail se présente au service d’urgence et s’inscrit Patiente évaluée par l’urgentiste Patiente évaluée par l’urgentiste L’urgentiste appelle l’obstétricien de garde à St-John's et lui donne son évaluation Critères pour les cas à risque élevé ET POUR LE TRANSFERT IMMÉDIAT À ST- JOHNS : •Naissance prématurée < 36 semaines L’obstétricien de garde à St-John's recommande soit un accouchement à GBC •Rupture prématurée des membranes préterme ou un transfert à St-John's •Rupture des membranes avant le travail •Pré-éclampsie •Hémorragie antepartum (mais pas une rupture) •Présentation du siège •Plusieurs grossesses •Césarienne antérieure et travail en cours •Patiente diabétique et travail en cours Critères pour l’accouchement à GBC : •Patiente complètement dilatée qui pousse et la tête du bébé est sur le périnée •Prolapsus du cordon ombilical •décollement placentaire •Grossesse extra-utérine rompue •Test de réactivité fœtale anormal (anciennement appelé détresse fœtale) L’urgentiste appelle l’obstétricien de garde à St-John's et lui donne son évaluation de la patiente et lui annonce le transfert imminent Patiente admise à Patiente transférée à St-John’s, accompagnée d’une l’unité pour infirmière et du médecin de garde des patientes accouchement à GBC d’obstétrique Patiente transférée, accompagnée d’une infirmière et du médecin de garde des patientes en obstétrique Pédiatre et chirurgien de garde prévenus
  • 37. Fixer des objectifs : prochaines étapes Demain je vais/nous allons...
  • 39. Prochaines étapes • Évaluation postséance  attestation de participation • Sondage de suivi  nous apprenons de vous Programme d’apprentissage sur l’analyse des incidents • M4:Analyse exhaustive – 19 février 2013 • M5: Analyse concise – 19 mars 2013 • M6: Analyse multi-incidents –9 avril 2013 • M7: Gestion des recommandations – 23 avril 2013 • M8: Suivi et partage des leçons retenues – 21 mai 2013
  • 40. Ressources Enregistrement module 1: http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/news/IncidentAnalysisLearningProgram/Pag es/Session-Recordings-and-Documents.aspx Enregistrement module 2 : http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/news/IncidentAnalysisLearningProgram/Pages/S ession-Recordings-and-Documents.aspx Lignes directrices relatives à la divulgation http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/toolsResources/disclosure/Pages/default.aspx Lignes directrices relatives au partage d’information avec les médias suite à un événement indésirable : http://www.patientsafetyinstitute.ca/French/news/Documents/CPSI%20Best%20Practice%20 Guide.pdf Document de l’IHI : Respectful Management of Serious Clinical Adverse Events http://www.ihi.org/knowledge/Pages/IHIWhitePapers/RespectfulManagementSeriousClin icalAEsWhitePaper.aspx Guide des bonnes pratiques de l’ACPM : www.cmpa-acpm.ca/gpg Document du HQCA (une autre façon de faire une analyse des incidents) http://www.hqca.ca/assets/files/HQCA%20SSA%20Patient%20Safety%20Reviews%20FI NAL%20June%202012.pdf

Hinweis der Redaktion

  1. Bonjour / Bon après-midiBienvenue à ……
  2. .Au nom des conférenciers et des partenaires qui ont participé à l’élaboration du cadre, je suis ravie de vous souhaiter la bienvenue au webinaire d’aujourd’hui. Je m’appelle Ioana P., gestionnaire de projet à l’Institut canadien pour la sécurité des patients. Je vois à gérer la mise à jour du cadre, ainsi que la conception et l’exécution du programme d’apprentissage et d’autres ressources qui visent à vous aider à analyser les incidents plus efficacement et à ainsi offrir des soins plus sécuritaires. Les merveilleuses personnes que vous voyez à l’écran sont les collaboratrices de la séance d’aujourd’hui que vous rencontrerez plus tard en séances en ateliers. Je serai votre modératrice aujourd’hui.
  3. Au cours des 90 prochaines minutes, les conférenciers vous permettront de parfaire vos connaissances concernant… Et vos compétences en matière de…S’il y a d’autres sujets dont vous aimeriez discuter, n’hésitez pas à les inscrire dans la boîte de clavardage. Notre but est que la prochaine heure soit pour vous un bon investissement de votre temps.Faire le lien entre ce module et le module antérieur ainsi que les autres qui suivront. Parler des apprentissages des évaluations postséance.
  4. Avertissement : les deux premières parties seront enregistrées et mises en ligne, MAIS NON la discussion en petits groupes, le clavardage et la foire aux questions  afin d’offrir un endroit sans risques pour partager les expériences, les faits vécus.
  5. Nous aimerions que vous preniez part à la conversation aujourd’hui, alors utilisez les émoticônes pour nous faire savoir ce que vous pensez des présentations et le clavardage pour obtenir de plus amples explications, formuler des commentaires sur le sujet abordé et poser des questions. Nous utiliserons également les outils d’annotation :
  6. Utiliser le pointeurCliquez sur « T »  cliquez sur la carte  tapez
  7. Pour permettre aux conférenciers d’adapter leur présentation et de répondre à vos questions. Cliquez sur « T »  cliquez sur la carte  tapez X- À quel niveau du système travaillez-vous chaque jour?- Votre rôle principal : prestataire de soins – patient/ famille – administrateur/ chercheur/ éducateur/ consultant
  8. Lucie Poirierest inhalothérapeute de formation. Elle a également complété un certificat en inhalothérapieet un certificat en gestion des soins de santé à l’Université de Montréal. MmePoirier a exercé plusieurs années à titre d’inhalothérapeute, puis à titre de coordonnatrice technique et finalement à titre de chef de service au Centre hospitalier de l’université de Montréal. Tout au long de sa carrière, elle a été impliquée dans les activités visant la formation et l’amélioration de la qualité de la pratique professionnelle, par exemple en contribuant à mettre sur pied et en étant présidente du Conseil multidisciplinaire de son établissement pendant plusieurs années puis présidente de l’Association des Conseils multidisciplinaires du Québec durant 5 ans. Présentement, Mme Poirier est conseillère en gestion des risques et de la qualité à la Direction de la qualité, de la promotion de la santé et de l’expérience-patient au CHUM depuis 2006. De plus, elle agit à titre de formatrice pour l’Institut pour l’utilisation sécuritaire des médicaments du Canada (ISMP-Canada) sur les méthodes d’analyse prospective (Analyse des modes de défaillances et de leurs effets (AMDE)) et rétrospective (analyse des causes souches (ACS)) en lien avec les accidents et les incidents vécus dans le réseau de la santé. Forte de cette expérience, sa collaboration est appréciée lors des activités visant l’identification proactive des risques, la réalisation des analyses interdisciplinaires reliées aux incidents et accidents et la divulgation aux patients et leur proches.Linda Lessard
  9. LindaÉvénement lié à la sécurité des patients : Action ou situation ayant pu causer ou ayant bel etbien causé, un préjudice inutile à un patient.Incident préjudiciable : Incident lié à la sécurité des patients ayant atteint le patientet lui ayant causé un préjudice. Remplace les termes « événement indésirable »,« événement sentinelle » et « incident critique ».Incident sans préjudice : Incident lié à la sécurité des patients ayant atteint lepatient sans lui causer de préjudice perceptible.Incident évité de justesse : un incident qui n’a pas atteint le patient. Remplace « quasi-incident ».Public cible : Le présent cadre peut être employé, dans tout établissement de santé, par les personnesresponsables d’analyser et de gérer les incidents liés à la sécurité des patients ou d’en tirer des leçons.Analyse des incidents: Un processus structuré qui vise à identifier ce qui s&apos;est passé,comment et pourquoi c&apos;est arrivé, ce qui peut être fait pour réduire le risque de récurrenceet rendre les soins plus sécuritaires, et les enseignements qu&apos;on en a tirés.Gestion des incidents: Les différentes mesures et processus nécessaires pour mener lesactivités immédiates et soutenues à la suite d&apos;un incident. L&apos;analyse des incidents faitpartie de la gestion des incidents.Le cadre est constitué d’éléments interreliés dont l’action synergique favorise l’amélioration de la sécurité des patients. Il se réalise en utilisant la gestion des incidents comme outil pour engager les patients et les familles, puisque ce n’est qu’en faisant équipe avec eux que nous pourrons réussir à instaurer une culture où l’apprentissage et le partage des leçons retenues sont encouragés.
  10. LindaParfois, dans une analyse d’incident, nous dissimulons un problème de performance espérant que le problème se réglera par lui-même. En comprenant quand NE PAS utiliser ce cadre, vous comprendrez quand il est approprié de l’utiliser.Acte criminel Délibérément non sécuritaire (intention de causer un préjudice)Abus de substances (prestataire/personnel)Abus présumé envers un patient (tout type d’abus)Processus parallèles….examen du volet administratif ET analyse d’incident. Aucun partage d’information, les processus doivent être étanches et ne laisser filtrer aucune information entre les membres des équipes respectives. Si les réponses à ces questions sont négatives, un examen des améliorations du système devrait être lancé. Si la réponse à l’UNE des questions, quelle qu’elle soit, est affirmative, un examen de la responsabilité individuelle des prestataires devrait suivre. Mené par la direction/les gestionnaires et axé sur la performance individuelle des prestataires. (RH)Il peut y avoir d’autres critères pour décider entre la nécessité d’un examen du système et celle d’un examen de responsabilité. Cela n’est qu’un seul exemple d’outil qui peut vous aider à faire cette décision. Ex ACPM « favoriser une culture juste en matière de sécurité dans les hôpitaux et les établissements au Canada » page 17 : violation délibérée d’une politique valable, santé du professionnel, manque flagrant de connaissance ou incompétence ou inconduite chez un professionnel.Demander aux personnes d’utiliser la boîte de clavardage pour donner d’autres exemples d’outils qu’elles connaissent ou qu’elles ont déjà utilisés par le passé.
  11. LucieMerciLinda, maintenant que nous savons quand utiliser le cadre canadien d’analyse des incidents, débutons la révision des 6 éléments de ce continuum de gestion des incidents.Nous regarderons ensemble les 3 premiers et Linda poursuivra avec les 3 derniers éléments.Voici donc, le premier élément de cette boucle qui précise les prémisses permettant à l’organisation de prévenir les risques et de réagir avec diligence lorsque l’inévitable se produit. Pour ce faire, la haute direction doit manifester dans son plan stratégique et lors de ses interventions auprès de l’ensemble des cadres, son engagement à promouvoir la mise en place d’une culture de sécurité à tous les niveaux hiérarchiques de l’organisation. De plus, elle doit susciter leur engagement dans l’élaboration d’une politique ou d’une procédure organisationnelle d’analyse qui décrira les étapes à suivre et la responsabilité de chacun en de telles circonstances.Au niveau de la prévention des risques, au sein d’une organisation sécuritaire 1. la possibilité qu’une défaillance survienne est la préoccupation de tous 2. l’objectif des personnes impliquées dans les analyses est de cerner de façon précise ce qui s’est produit? Pourquoi? Et comment cela s’est produit? 3. l’on met à jour les analyses prospectives des risques en lien avec les nouvelles pratiques ou l’utilisation de nouveaux équipements 4. l’on prévoit comment la prestation des soins et services nécessaires pourra être maintenue malgré les impacts de l’événement sur l’équipe soignante (plan B) 5. l’on reconnait l’expérience et l’expertise détenue par les personnes impliquées au quotidien dans les activités cibléesEt malheureusement lorsque l’inévitable se produit, les acteurs impliqués dans l’analyse doivent pouvoir être mobilisés sans délai. La planification est donc une étape essentielle permettant la prise en charge coordonnée des actions afin de rassurer les patients, leurs proches et les employés sur le sérieux de notre intervention. De même, tous les employés et professionnels qui dans le futur auront à déclarer des incidents ou à participer aux entrevues réalisées dans le cadre de l’analyse ou qui seront interpellés dans le cadre de l’élaboration des recommandations, doivent être assurés qu’ils recevront le soutien nécessaire et que leurs propositions d’améliorations en vue d’éviter une récidive seront entendues, respectées et que les inquiétudes seront répondues dans un réel contexte d’apprentissage personnel, professionnel et organisationnel. Vous vous souvenez des aspects de la culture juste déjà décrits au module 2. ..C’est dans des circonstances semblables qu’ils prennent tout leur sens afin de permettre des discussions franches basées sur des faits réels devant mener à des actions concrètes et à de réelles opportunités d’amélioration de la prestation sécuritaire des soins et services dans un environnement propice à ces éléments de sécurité. À titre de référence, nous avons noté un hyperlien que vous mènera à un article de l‘Institut for healthcareimprovement, traitant de l’implication des hauts dirigeants dans la gestion des incidents avec conséquences majeures :J’aimerais citer un extrait de cet article qui dit que « Lorsqu’une crise éclate, ce qui distingue les organisations « positivement ou négativement » est leur culture de sécurité; le rôle du conseil d’administration et des hauts dirigeants; le degré de clairvoyance dans leur planification en cas d’incident; la part de priorité donnée aux besoins des patients et de leur famille, au personnel et à l’ensemble de l’organisation; et comment les actions intègrent sur-le-champ et au fil du temps les éléments tels que l’empathie, la divulgation, le soutien l’évaluation, la résolution l’apprentissage et l’amélioration. Document de l’IHI : Respectful Management of SeriousClinical Adverse Eventsdont les auteurs sont Jim Conway, MS, FACHE, Fellow sénior de IHIFrank Federico, RPh, directeur général, IHIKevin Stewart, MB, BCh, FRCP, HealthFoundation/Fellow de IHI 2009-2010Mark J. Campbell, MEd, formateur adjoint, Harvard School of Public Health
  12. LucieDe même, dans ce document l’on note que le fait d’être impliqué dans un incident peut être une expérience particulièrement traumatisante pour les patients et les prestataires de soins impliquésAinsi, la première chose à faire est d’apporter un soutien aux patients et à leur proche et d’assurer la sécurité des autres personnes au besoin. (Prévenir la récurrence immédiate).L’on peut penser à la situation où un patient aurait chuté sur une flaque d’eau, la première action à réaliser est de porter secours à cette personne, lui offrir les soins nécessaires et la rassurer. Mais l’on doit aussi voir à ce que la flaque d’eau soit immédiatement asséchée ou, si cela est impossible, demander à ce que soit clairement identifié le risque relié à cette partie d’un corridor.Par la suite, l’on doit déclarer cet incident afin que des mesures supplémentaires puissent être prises pour gérer la situation. La déclaration peut se faire sur papier, par voie électronique ou verbalement (par ex. déclarer sans délai aux hauts dirigeantsles accidents avec conséquence majeure) le tout selon le protocole de l’établissement et les lois en vigueur. Par exemple au Québec, le formulaire de déclaration d’incident/accident AH-223 doit être utilisé pour déclarer tout événement de cette nature. La déclaration déclenche par la suite une mobilisation de plusieurs personnes à l’interne qui à leur tour initient une série de mesures appropriées telles que des avis au médecin traitant, au comité de gestion des risques, qui assurent les communications avec les relations publiques et des avis externes auprès du protecteur du citoyen, du coroner ou du ministère de la santé par exempleDe plus, afin que l’analyse qui suivra soit basée sur des faits réels, nous devons sécuriser les objets en débutant par le dossier médical, et par les produits pouvant être nécessaires aux vérifications à effectuer par l’équipe d’analyse. Ainsi, nous pourrons mieux comprendre le causes et les éléments qui ont pu influencer l’interaction du prestataire de soins avec le matériel utilisé. On parle donc de l’équipement médical spécialisé, des fournitures, solutés, médicaments, emballages, vêtements, etc.). Des photos de l’environnement de travail et des plans des lieux peuvent aussi être utiles. Finalement, le processus de divulgation doit être débuté le plus tôt possible auprès du patient et de ses proches ou tout au moins l’on doit mentionner les mesures prises pour éviter la récurrence immédiate, préciser qu’un processus d’analyse est débuté et leur donner les coordonnées de la personne qui pourra répondre à leurs questions et les informer lors de la divulgation subséquente.
  13. LucieParlons plus précisément du processus relié à la divulgation. Des lignes directrices ont été émises par l’ICSP et sont disponible sur leur site. Elles pourront vous aider au besoin lors de l’élaboration de votre politique ou procédure de divulgation. Les prochaines diapos permettront de répondre aux questions soulevées par la divulgationMais dans un premier temps, écoutons nos patients. En effet, Donna Davis, coprésidente de l’organisme « Patients pour la sécurité des patients du Canada » qui est d’ailleurs un organisme partenaire du présent cadre d’analyse a affirmé ceci : « Lorsque la perte engendrée par le préjudice est irremplaçable, la réparation va bien au-delà de l’indemnisation financière. La réparation, c’est aussi de s’efforcer de comprendre les besoins de ceux qui ont souffert du préjudice et de faire tout ce qui est possible pour répondre à ces besoins ».La divulgation est un processus continu. Divulguer, exprimer sa compassion et présenter des regrets sont des éléments de communication importants qui aident les patients et leur proches de même que les prestataires de soins impliqués à guérir et à rebâtir des liens de confiance. Combien d’entre vous ont pris part à un processus de divulgation? (crochet vert ou X rouge)Combien d’entre vous ont eu une formation en divulgation? (crochet vert ou X rouge)
  14. LucieAlors pourquoi divulguer :La divulgation n’est pas un processus conçu que pour apaiser les patients et de leur famille…En effet, les lignes directrices nationales relatives à la divulgation reposent sur des principes directeurs qui sont :1.D’avoir des soins de santé axés sur les patients : Communications ouvertes, honnêtes et continues (vous vous souvenez que le thème de la semaine nationale de la sécurité des patients est : « Questionnez. Écoutez. Parlez. » Les services de santé doivent respecter et soutenir les patients et prendre en considération leurs attentes et leurs besoins en tout temps.De plus, les patients sont autonomes, ils ont le droit de savoir ce qui leur est arrivé afin de participer activement à la prise de décisions relatives aux soins de santé qu’ils reçoivent. Aussi, les soins de santé doivent être sécuritaires : Donc, le partage des leçons apprises suite à l’analyse des incidents et l’amélioration des processus sont des étapes essentielles. La base de ces principes directeurs est donc le soutien des dirigeants : Les dirigeants doivent être d’ardents défenseurs du principe de la divulgation en tant que la bonne chose à faire. À quoi vous attendriez-vous si vous étiez vous-même le patient impliqué? 5.Finalement l’honnêteté et la transparence : Lorsqu’un incident/ accident avec conséquencesurvient, le patient doit être informé de ce qui est arrivé. La divulgation sert à reconnaître les faits et à en informer le patient, ce qui est crucial pour maintenir sa confiance à l’égard du système de soins de santé comme nous l’avons mentionné tantôt. Une culture de divulgation fait en sorte que les patients sont soutenus sur le plan clinique, sont respectés, informés, réconfortés psychologiquement et émotionnellement et sont accompagnés sur le plan organisationnel (organisation des rendez-vous, soins à domicile). Une culture de divulgation supporte également les prestataires de soins en faisant en sorte qu’ils aient accès à un soutien émotionnel, psychologique et organisationnel. De plus, ils reçoivent de la formation pour se préparer à participer au processus de divulgation.Lorsqu’une divulgation s’impose, elle doit être faite par étapes. La divulgation initiale porte sur les faits connus et les soins cliniques rendus nécessaires dans l’immédiat. La divulgation subséquente, fera suite à l’analyse appropriéeetportera sur les faits connus liés aux causes de l’événement et aux mesures prises pour éviter la récurrence à long terme. Avez-vous une culture de divulgation dans votre organisation?Cliquez crochet pour oui et x pour non
  15. LucieMaintenant comment devons-nous divulguer?Pour contrer l’incertitude et j’ajouterais l’inquiétude sur ce qu’ils devraient dire aux patients lors d’une réunion de divulgation, les prestataires de soins ont tout intérêt à bien se préparer par des exercices pratiques et de la formation. Ils doivent pouvoir bénéficier d’un mentorat et d’un coaching qui leur permettront de participer de manière efficace à une discussion de divulgation et de comprendre leur rôle dans un tel processus. D’ailleurs, l’Association canadienne de protection médicale rend disponible aux médecins une brochure intitulée « la communication avec le patient lors d’un préjudice » et offre ses conseils sur demandeAinsi, Dr Gord Wallace, directeur de la formation pour l’ACPM, met en relief trois aspects à considérer dans la divulgation d’un incident survenu :Les besoins cliniques (le médecin, avec l’équipe soignante doit assurer les interventions immédiates nécessaires afin d’éliminer ou réduire les effets du préjudice vécu, évaluer le préjudice pouvant se révéler dans les jours suivants l’incident ou même à plus long terme (pensons à un événement ayant entraîné une surexposition en radio-oncologie), finalement il doit considérer qui devrait prendre la relève des soins au besoin et selon le cas référer le patient à un médecin d’une autre spécialité médicale ou afin de rassurer le patient pour la suite de l’épisode de soins, transférer son patient à un collègue)Les besoins émotionnels (l’on doit anticiper les réactions des patients et des proches et évaluer le besoin de soutien. Cela peut prendre la forme d’un entretien avec l’infirmière, infirmière auxiliaire, ou une consultation avec un conseiller spirituel, un travailleur social ou un psychologue)Les besoins d’information (nous avons déjà parlé de la divulgation initiale et la divulgation subséquente). De même que de l’importance d’offrir les coordonnées téléphoniques d’une personne qui pourra assurer le suivi nécessaire.Ainsi, l’on doit déterminer les faits qui devront être mentionnés afin d’assurer une bonne compréhension de ce qui a mené à l’incident, les conséquences, les soins qui devront être reçus selon le cas et les mesures prises pour éviter la récurrence. L’on doit aussi anticiper les questions et tenir cette rencontre le plus tôt possible.
  16. LucieEt si l’on ne disait rien…Les répercussions pour avoir omis de s’occuper diligemment et de manière efficace des événements indésirables sont considérables, et incluentpour le patient la perte de confiance et l’absence de guérison suite à cet événement, et pour l’organisation, l’absence d’apprentissage et la stagnation. Je vous réfère encore à la présentation de M. Dessureault lors du Module 1N’oubliez pas que la communication de messages ambigus sur les valeurs de l’organisation soulève la probabilité accrue de réprimandes ou de poursuites judiciaires, et entraîne un défi médiatiqueNous partageons les propos de Dr Wallace qui, relativement à la divulgation, rappelle à ses étudiants ce témoignage souvent entendu de la part des patients… « Bien après avoir oublié vos paroles, on se souvient de ce qu’on a ressenti en les entendant. »
  17. LucieAlors pour bien se préparer à la divulgation subséquente, il faut bien se préparer à l’analyseNous ne présentons ici que les concepts ... Vous aurez l’occasion de pratiquer ces différentes étapes lors des prochains modules. L’on débute par l’enquête initiale, afin d’établir les faits entourant l’événement. L’on se basera en premier lieu sur les faits mentionnés au rapport d’incident, mais nous aurons aussi besoin de demander à la personne responsable de l’unité de soins ou du service impliqué de nous aider à bâtir la chronologie des faits puisqu’elle est souvent la première à être mise au courant de l’incident. Elle peut également donner des détails sur les circonstances entourant l’incident (les ressources humaines en place, leur expérience etc. J’en profite d’ailleurs pour souligner que nous avons déjà parlé de l’importance de soutenir les patients et les employés. Dans de telles circonstances, le gestionnaire est souvent ce que l’on pourrait appeler « une troisième victime ». Par exemple, c’est peut-être elle qui a eu à imposer un temps supplémentaire pendant lequel l’employé a été impliqué dans un incident et un patient victime de préjudice….Suite à cette enquête initiale nous pourrons déterminer la méthode d’analyse la plus appropriée? Concise, exhaustive ou par incidents multiples.Cette méthode pourra tout de même être appelée à changer au fil du temps selon les informations recueillies. 3. Ensuite, il est important de déterminer qui fera partie de l’équipe d’analyse. Habituellement, l’on doit prévoir:Un facilitateur, qui un expert en matière de méthode d’analyse, cette personne est souvent un gestionnaire de risque du secteur impliqué ou du service de gestion des risques)Un leader qui assume la responsabilité opérationnelle, c’est-à-dire la personne qui désire fortement que des améliorations puissent être apportées donc, qui n’oubliera pas de convoquer la prochaine rencontreDes prestataires des soins qui peuvent nous faire part des faits et surtout des pistes d’améliorations puisqu’ils sont directement impliqués. Ils pourront ainsi rebâtir leur confiance en eux et en l’organisation qui les encadre. De plus, entre eux, ils pourront découvrir de nouvelles facettes du travail inconnues de d’autres membres de l’équipe de soins. Finalement, ils seront partie prenante des changements et pourront en faciliter l’implantation.Des personnes qui prendront en charge le changement, ces personnes doivent avoir participé au processus d’analyse pour bien comprendre les enjeux, et les objectifs visés par les recommandations. Il sera plus facile pour eux de présenter les améliorations à apporter à la haute directionAu besoin des experts externes (il m’est arrivé d’accompagner des équipes d’un autre établissement dans leur analyse et il est toujours intéressant de demander à un expert d’un autre milieu de venir porter son regard neuf sur notre milieu)…L’organisation des réunions doit mener à un travail de fond, on doit revoir tous les éléments déjà mentionnés, mais aussi les politiques et procédures en place et les lignes directrices basées sur des données probante…- on peut choisir de fixer les dates pour toutes les rencontreson peut préférer déterminer un échéancier, De même,on devra aussi décider si nous devrons assigner aux participants des tâches entre les réunions ou si tout sera traité en équipe… Dès la première rencontre, le plus important est d’abord d’établir des règles de base : le respect des faits rapportés par chacun et de leurs opinions La transparence, tout doit être dit afin de s’assurer de l’efficacité des futures recommandations basées sur des faits et non que sur de seules perceptions Confidentialité — Toute information doit être traité dans la plus stricte confidentialité pour protéger la vie privée du patient et les renseignements divulgués par le personnel (tous les documents doivent être soumis au facilitateur et déchiquetés après les rencontres.) La prise de décision par consensus afin d’assurer une mise en œuvre harmonieuse des plans d’action élaborésPlanifier et mener des entrevues afin justement d’objectiver les faits et d’apprendre tout ce qui n’a pu être écrit au dossier médical ou mentionné en grand groupe. User de tact, mettre les gens en confiance et les remercier de leur apport.Ce processus aux yeux du prestataire de soins impliqué dans un incident et dans l’analyse subséquente renforcela culture de sécurité, dont les éléments d’une culture juste, ainsi que l’instauration d’un contexte favorisant l’apprentissage. Les entrevues doivent être réalisées sans délai pendant que les informations sont fraîches à la mémoire et que les discussions normales après un tel événement n’aient pu introduire un biais, ou un doute dans la tête des personnes impliquées. Les personnes sont amenés à nous raconter leur « histoire » et nous devons poser nos questions de précisions à la fin de leur témoignage. De plus, ils peuvent déjà à cette étape nous faire part de facteurs contributifs, de causes et même de pistes de solutions. C’est aussi le moment de les informer sur la suite du déroulement de l’analyse.Le patient ou les proches ont aussi leur vision à nous communiquer, ils sont les premiers « témoins », ils observent nos forces et nos vulnérabilités, ils ont un regard externe qui peut être très révélateur. Pensez aux situations où vous-mêmes êtes dans une salle d’attente ou à l’urgence avec un de vos proches… et pensez à M. Dessureault, combien il aurait apprécié être écouté et surtout entendufinalement, comment établirez-vous la chronologie des faits? En plus des entrevues, vous devrez peut-être réviser le dossier médical ou les objets ou équipements sécurisés, les photos prises etc.La chronologie reconstituera le déroulement des événements étape par étape.Parfois, l’établissement de la chronologie peut verser dans la subjectivité. Méfiez-vous de vos biais personnels dans l’établissement de la chronologie, basez-vous toujours sur les faits.
  18. LucieVoici un exemple de chronologieVoyez qu’elle permet de présenter schématiquement le déroulement des événements. Le but premier est d’acquérir une compréhension des faits et d’obtenir une description détaillée des événements qui se sont produits avant et immédiatement après l’incident avant que ne débute l’analyse et ce, afin de brosser de la façon la plus complète possible le tableau d’ensemble des événements. Cet exemple ne fait que quelques lignes, mais unechronologies peut facilement tenir sur plusieurs pages dépendant du type d’événement et des détails disponibles. L’exemple présenté ne sert qu’à vous donner un bon point de départ. Dans certaines situations, vous aurez la possibilité de réaliser la chronologie en discutant avec le gestionnaire du lieu où s’est produit l’incident (c.-à-d. gestionnaires de première ligne) mais fréquemment vous aurez besoin de tous les renseignements obtenus tel que mentionné à la diapo précédente.Je laisse maintenant la parole à Linda pour la présentation des 3 derniers éléments du continuumMerci
  19. LindaBien que vous aurez plus de détails dans les modules 4, 5 et 6Nous pouvons souligner que chacune des méthodes vise à déterminer :Ce qui s’est passéComment et pourquoi c’est arrivéCe qu’il faut faire pour éviter la récurrence et rendre les soins plus sécuritaire…Dégager les leçons apprises (les élémentsà diffuser aux autres équipes à l’interne et parfois même à l’externe).
  20. LindaDe même, sans entrer dans les détails, que vous verrez aux prochains modules, voici globalement les critères pouvant être utilisés afin de faciliter le choix du type d’analyse à réaliserNote : Les critères vous permettant de déterminer quelle méthode d’analyse utiliser ne devraient pas être basés uniquement sur la gravité des conséquences de l’événement. En effet, dans certaines circonstances, même un « échappée belle » « un évité de justesse » peut nécessiter une analyse exhaustive.
  21. LindaLe module 4 traitera de l’analyse exhaustive de façon plus spécifique, et les modules 5 et 6 s’attarderont respectivement aux analyses concise et incidentsmultiples. L’analyse exhaustive est utilisée pour :Des cas de préjudice réel ou potentiel de perte de fonction permanente (G), du recours à un geste urgent visant à sauvegarder la vie (H) ou de décès (I).On parle de potentiel s’il y a un risque important que ces préjudices graves aient pu se réaliser n’eût été d’une personne qui a vérifié, demandé, refait…) Si un incident est évité de justesse seulement parce que telle ou telle personne a été vigilante ce système est à risque, il faut y regarder de plus près à l’aide d’une analyse exhaustive, il ne faut pas baser un système sur la seule vigilance du personnel, la dernière tranche du « modèle de Reason sur le « fromage Gruyère » présenté lors du module 2). Recueillez l’information, examinez le rapport d’incident,lesinformations supplémentaires (interviewez les membres du personnel, visitez les lieux où l’incident est survenu, prenez des photos), créez une chronologie détaillée et validezles renseignements apportés).En équipe, analysez l’information pour cerner les causes et les facteurs contributifs et faire les liens pertinents, révisez les protocoles existants, les meilleures pratiques basées sur les données probantes– Résistez à la tentation de tirer des conclusions hâtives et de vous satisfaire de solutions hâtives, moins structurantes (solutions de type diachylons)Utilisez les outils tels que les diagrammes (diagramme arborescent, diagramme d’Ishikawa, diagramme de constellation)Élaborez un plan d’action avec des outils de mesure de la qualité des améliorations obtenuesImplantez les recommandationsDiffuser les apprentissages
  22. LindaHabituellement utilisée dans le cas d’incidents ou de situations qui n’entraînent pas de préjudice ou qui causent des conséquences temporaires et mineures au patient.L’analyse concise peut également être utilisée pour analyser un nouvel incident qui a récemment fait l’objet d’une analyse exhaustive (dont on connaît déjà la chronologie et les meilleures pratiques).L’analyse concise d’un incident respecte les principes et la méthodologie d’une analyse exhaustive, incluant une approche système qui tient compte lors de l’élaboration des recommandations, des facteurs humains mentionnés au module 2.Un choix conscient et volontaire a été fait pour que l’analyse porte surtout sur quatre aspects : cliquer la souris pour faire apparaître chacune des actionsles faits recueillis;les principaux facteurs contributifs et les causes; les mesures d’amélioration (le cas échéant);l’évaluation de l’efficacité de l’application des recommandations.Une analyse concise peut conduire à une étude exhaustive, si le facilitateur le juge nécessaire.
  23. LindaCe tableau résume les similarités et les principales différences entre les méthodes d’analyse concise et exhaustive. Remarquez que le temps requis pour l’analyse concise est plus court et que cette dernière est souvent menée par une seule personne, avec des données recueillies auprès du patient, de la famille, du personnel et des médecins concernés par l’incident. De même, une analyse exhaustive peut recueillir des données pertinentes auprès des patients et familles.Bien qu’il y ait des différences dans le degré de complexité, notez que le but recherché des deux types d’analyse est le même.
  24. LindaL’analyse des incidents multiples (événements semblables, similaires ou par agrégat) vise à analyser un type d’événement en particulier ou cible un objectif précis. Exemple…des processus de transfert/compte rendu inter-établissements d’information importante lorsque les patients sont transférés d’un centre hospitalier à un autre. On note la participation d&apos;une équipe interdisciplinaire comprenant des prestatairesde première ligne et potentiellement un représentant des patientsEt l’utilisation de méthodes quantitatives et qualitatives
  25. LindaL’élaboration et la gestion des recommandations impliquent une série d’actions visant à répondre à cette question: « Que faut-il faire pour réduire la probabilité de récurrence et pour rendre les soins plus sécuritaires? »Vous consacrez beaucoup d’efforts…comment vous assurer que les recommandations sont discutées ouvertement et mises en œuvre… et si elles ne le sont pas, comment en expliquer le pourquoi ? Un suivi insuffisant… un processus pas assez solide ,avec des changements de rôle, des responsabilités et des tâches assignées mal définis…des ratés. Comment faites-vous le suivi? Comment aidez-vous les autres à tirer des leçons de l’expérience? Les mesures recommandées doivent être efficaces et avoir de l’effet, et pour cela, elles doivent pallier le risque qu’ont fait ressortir les conclusions de l’enquête, proposer des solutions à long terme (raisonnables et réalisables), basées sur les données probantes, et consignées en utilisant un outil tel que SMART (Specific, Measurable, Attainable, Realistic, Timely). Il existe une hiérarchie de l’efficacité (cadre, page 62) : grande influence (mesures de restriction et automatisation), influence modérée (listes de vérification, double vérification), faible influence (politiques, information).La mise en ordre de priorité des recommandations est cruciale, car celles-ci peuvent être nombreuses et les ressources peuvent être limitées (budget, disponibilité du personnel); de même des facteurs d’influence extérieurs peuvent entrer en ligne de compte tels que les POR, les exigences réglementaires et les politiques. L’équipe d’analyse proposera un ordre de priorité et un calendrier d’exécution, qui seront ensuite soumis à l’approbation de l’équipe de direction, et des personnes responsables de la mise en œuvre seront alors désignées. Met l’accent sur l’importance de l’ÉQUIPE…parce c’est ce qui donne à ceux qui prennent en charge la mise en œuvre des recommandations le sentiment que le processus d’analyse de l’incident était adéquat…qu’on a tenu compte de ce qui s’est réellement passé « dans LEUR cour »… qu’on ne s’est pas fié à des hypothèses. Cela peut s’avérer utile de mener une consultation auprès des familles et des patients ainsi que des prestataires de soins du lieu de l’incident pour s’assurer que les recommandations soient appropriées, que les risques cernés soient atténués et qu’il y ait une forte probabilité que l’incident ou un incident semblable ne se reproduisent plus. La dernière tâche de l’équipe d’analyse consiste à intégrer les recommandations et leur bien-fondé, soit les conclusions de l’analyse, dans un rapport qui est remis aux personnes responsables d’approuver ces mesures, d’en déléguer la mise en œuvre, d’affecter les ressources nécessaires et d’en surveiller la mise en œuvre.
  26. LindaComment assurer la fiabilité du processus de suivi? Comment nous assurer que ce que nous recommandons rendra effectivement les soins de santé plus sécuritaires? Module complet sur les recommandations. Élaboration et gestion des recommandations…Module 7. La mis en œuvre sera difficile si les mesures :ne ciblent pas les facteurs contributifsne sont pas communiquées clairement (au moment d’en confier la responsabilité)n’ont pas le soutien explicite de la direction.Ainsi, il vaut mieux que l’établissement ait recours à un outil de gestion du changement ou d’amélioration qui peut contribuer à faciliter la mise en œuvre des recommandations. Un outil facile à utiliser développé par le Boston Consulting Group peut aider à identifier et à minimiser le risque d&apos;échec de la mise en œuvre : DICE (la (D)urée du projet, l’(I)ntégrité de performance de l&apos;équipe, l’engagement de l&apos;établissement envers le (C)hangement, et l’(E)ffort supplémentaire exigé des membres du personnel).Nous voulons rendre le système plus sécuritaire. Cependant, les mesures recommandées peuvent ne pas donner les résultats escomptés sur le terrain; c’est pourquoi il est important d’en faire le suivi et de vérifier leur efficacité; il faut confirmer si le système est effectivement plus sécuritaire. Si les résultats ne sont pas au rendez-vous, l’organisation devra revisiter ses recommandations pour trouver des alternatives ou améliorer l’efficacité des solutions appliquées. AvedisDonabedian a précisé que « plutôt qu’être une activité de contrôle, le suivi fait appel à la responsabilisation professionnelle et contribue à une gestion rationnelle en permettant de documenter la qualité du produit. »Mesure des résultats : nombre de chutes ou nombre de chutes ayant entrainé des conséquencesMesure des processus : pourcentage des patients nouvellement admis pour qui une évaluation du risque de chute a été réalisée. Consulter un exemple d’outil de suivi à la figure 3.12 page 68 du cadre d’analyseLe but est d’améliorer la prestation de soins et de la rendre plus sécuritaire.
  27. LindaLe but ultime de ces analyse est aussi le partage des apprentissages.Le partage à l’interne (patients, personnes prenant part au processus d’analyse, les autres lieux présentant des activités semblables)… et à l’externe sont des moyens de prévenir les préjudices et de rendre les soins plus sécuritaires. Le partage de résultats anonymisés avec les autres, tout en respectant les lois sur la protection des renseignements personnels, est fortement recommandé. De même, l’un des éléments importants pour « boucler la boucle » consiste à informer le public 9les autres patients) sur les incidents liés à la sécurité des patients. Ce processus est crucial et doit se faire avec précaution. Un exemple de document précisant les lignes directrices à suivre pour divulguer l’information au public et renfermant une liste de vérification sur le partage de l’information élaborée par l’Institut canadien pour la sécurité des patients est intitulé Lignes directrices relatives au partage d’information avec les médias suite a un événement indésirable. Cette ressource est mise à la disposition du public.
  28. HélèneSéance en ateliers?Boîte de clavardageDiscussion dirigée?L’étude de cas a pour objectif l’application des principes énoncés dans le cadre.
  29. HélèneY aurait-il lieu d’effectuer une analyse d’incident?S’assurer que les modératrices de la séance téléchargent une copie de l’étude de cas aux fins d’utilisation pour les discussions en petits groupes. Examinez ce cas et choisissez la méthode d’analyse la plus appropriée selon vous. Où trouver l’information dont vous avez besoin pour dresser la chronologie des événements? Qui fera partie de votre équipe?Dispersez-vous en sous-groupes pour les ateliers… inscrivez vos réflexions sur le tableau blanc.
  30. HélèneUne fois que nous aurons terminé le visionnement de cette diapositive, nous passerons aux ateliers. Tina a une liste de personnes prédésignées pour des séances en ateliers.
  31. HélèneSi vous êtes parmi ceux qui devez vous déplacer vers une autre salle pour un atelier, une invite apparaîtra à votre écran. Répondez Oui. Pas d’invite…pas de panique!
  32. Linda/LucieMettons-nous à l’heure WebEx pour un moment : L’incident a été divulgué et nous procédons à l’examen de celui-ci. Y a-t-il lieu de faire une analyse de l’incident? — Utilisez vos crochets verts ou X rouges pour indiquer votre réponse. Quel outil pourrait vous aider à choisir la méthode d’analyse la plus appropriée? – inclure la diapo de l’arbre de décision pour la discussion en petits groupes. Qui fera partie de votre équipe? —Utiliser la boîte de clavardage ou l’icône de la main levée. Où trouverez-vous l’information pour dresser la chronologie des événements? Rappelez-vous qu’il faut éviter d’adopter des solutions à la va-vite sans comprendre ce qui s’est passé. Partager l’algorithme de la diapo suivante pour démontrer les effets positifs de l’analyse des incidents. NADINE, S’ASSURER D’INCLURE UNE DIAPO DE L’ARBRE DE DÉCISION AUX FINS DE LA DISCUSSION DANS LES SÉANCES D’ATELIERS. S’assurer d’utiliser le diagramme circulaire du continuum pour aider les participants à répondre à la question Que feriez-vous pour gérer cet incident? Autres questions-guides proposées aux modératrices :1.2.3.4.5.20 minutes de séances en ateliers.Nous voulons que les participants quittent ce module avec le sentiment d’avoir appris et accompli quelque chose. S’assurer qu’ils ne se sentent pas submergés.
  33. Linda/LucieProcessus parallèles….examen de l’administration ET analyse d’incident. Aucun partage d’information, les processus doivent être étanches et ne laisser filtrer aucune information entre les membres des équipes respectives. Si les réponses à ces questions sont négatives, un examen des améliorations du système devrait être lancé. Si la réponse à l’UNE des questions, quelle qu’elle soit, est affirmative, un examen de la responsabilité individuelle des prestataires devrait suivre. Mené par la direction/les gestionnaires et axé sur la performance individuelle des prestataires.
  34. Linda/LucieLes modératrices rendent compte de la réflexion sur le processus.En utilisant le clavardage :Dites-nous comment , selon vous, l’analyse des incidents fait partie intégrante du continuum de gestion des incidents. Quelle information a attiré particulièrement votre attention aujourd’hui… qu’avez-vous retenu? Revoir l’algorithme (PROCHAINE DIAPO) qui démontre comment l’analyse des incidents a constitué un élément important du continuum de gestion des incidents et comment l’ensemble des prestataires de soins d’un établissement peuvent apprendre et améliorer la prestation des soins pour rendre celle-ci plus sécuritaire. L’analyse des incidents doit servir de point d’orientation. Le processus d’analyse des incidents a fonctionné, comme l’a démontré…… fournit un exemple probant de la façon dont le processus d’analyse oriente notre travail d’amélioration.
  35. Linda/LucieAlors que nous approchons de la fin de ce module, nous vous encourageons à vous servir de l’information que vous avez reçue aujourd’hui dans votre expérience pratique. En vous basant sur la discussion, veuillez utiliser la boîte de clavardage pour insérer quelques mots afin de compléter la phrase devant vous… Diviser les commentaires du clavardage par thèmes.
  36. HélèneLes participants recevront tout de suite après la séance un lien pour pouvoir faire une évaluation. Veuillez remplir l’évaluation d’ici une semaine pendant que c’est frais à votre mémoire. Vous devez remplir l’évaluation pour recevoir votre attestation de participation à ce module.Nous vous enverrons également un questionnaire de suivi dans 6 mois pour que vous puissiez nous dire si ça se passe bien pour vous et comment les principes et les apprentissages du cadre et du programme vous ont permis d’améliorer votre façon d’analyser et de gérer les incidents.Bien sûr, vous pouvez en tout temps nous envoyer vos commentaires, questions ou suggestions sur la façon d’améliorer le programme d’apprentissage.
  37. HélèneDurant notre discussion d’aujourd’hui, nous vous avons recommandé un certain nombre de ressources où vous pouvez trouver de l’information supplémentaire. Des liens vers ces ressources sont fournis ci-dessus. Nous espérons vous retrouver lors des prochains modules d’apprentissage.Merci de nous avoir donné l’occasion d’échanger avec vous aujourd’hui.
  38. Hélène