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Séminaire Communication web - partie 1

  1. SÉMINAIRE COMMUNICATION WEB Pigier Création – Bachelors 1 & 2 - 2015/2016
  2. QUI SUIS-JE ? Noémie Toledano #Web #SocialMedia #Entrepreneuse #Communication Mail : noemie@raiz.fr Twitter : @noemiette
  3. INTERNET EN 2016 POUR COMMENCER
  4. LA COMMUNICAT ION WEB, QU’EST-CE QUE C’EST ? UNE DÉFINITION, DES CONCEPTS…
  5. DU MARKETING AU WEBMARKETING Principes fondamentaux du Marketing : « Une organisation dirige tous ses efforts en vue de la satisfaction de ses consommateurs avec un profit » (Jerome Mc Carthy) « La clé pour atteindre les objectifs de l’organisation consiste à déterminer les besoins et les désirs des marchés cibles ».. (Kotler)
  6. DU MARKETING AU WEBMARKETING Le Marketing se renouvelle pour s’adapter aux évolutions de la société : • Les consommateurs • Les technologies • Les usages • Les mentalités • … De nouveaux terrains de jeux sont apparus comme LE #WEB2.0
  7. DU MARKETING AU WEBMARKETING Le Web Marketing c’est surtout adapter les techniques du marketing à un monde qui va de plus en plus vite. > Il faut adapter les techniques et les stratégies
  8. 50 MILLIONS D’UTILISATEURS ? 54
  9. 50 MILLIONS D’UTILISATEURS ?
  10. 50 MILLIONS D’UTILISATEURS ?
  11. 50 MILLIONS D’UTILISATEURS ?
  12. 100 MILLIONS D’UTILISATEURS ?
  13. 1 MILLIARD DE TÉLÉCHARGEMENTS ?
  14. L’ACCÉLÉRATION TECHNOLOGIQUE Nombre d’années pour atteindre 50 Millions d’utilisateurs ? • Radio = 38 ans • Télé = 13 ans • Internet = 4 ans • Ipod = 3 ans • Facebook = 9 mois (100 millions) • Appstores = 9 mois (1M)
  15. DU WEB 1.0 AU WEB 2.0 LE CONSOM’ACTEUR DU WEB 2.0
  16. Source : Internet World Stats Web 2.0 500 millions de sites Jan 2014 Dont 1,8 Milliard sur les réseaux sociaux 2,484 milliards d’internautes
  17. DÉFINITIONS Le web 1.0 c’était (et c’est encore parfois) des monologues d’entreprises vers des consommateurs (B2C) et des monologues d’entreprises vers des entreprises (B2B) Le web 2.0 (web social) ce sont des conversations entre personnes physiques
  18. MOT-VALISE CONSTITUÉ À PARTIR DES MOTS « CONSOMMATEUR » ET « ACTEUR » POUR DÉSIGNER UN CONSOMMATEUR QUI N’ACCEPTE PLUS PASSIVEMENT LES BIENS ET LES SERVICES QU’ON LUI PROPOSE. LA NAISSANCE DU CONSOM’ACTEUR
  19. LA FORCE DU CONSOM’ACTEUR
  20. L’EXEMPLE BARILLA
  21. LES OUTILS DE LA COMMUNICAT ION WEB DIFFÉRENTS CANAUX
  22. PAR EXEMPLE… Site Internet Blog Emailing / SMS Réseaux sociaux Applications mobiles Achat d’espaces publicitaires
  23. LES SITES INTERNETS
  24. QU’EST-CE QU’UN SITE INTERNET Définition de Wikipédia : Un site, site web (de l'anglais website, littéralement « site de la toile d'araignée » en français) est un ensemble de pages web et de ressources liées et accessible par une adresse web. Un site web est hébergé sur un serveur web, lui-même accessible via un réseau internet et/ou intranet. Le site web contient textes et multimédia.
  25. Si vous n’avez pas de présence en ligne, VOUS N’EXISTEZ PAS !
  26. AVANTAGES POUR LES ENTREPRISES Expansion du marché potentiel Diminue les coûts marketing et communication (meilleur ciblage) Réduction des inventaires Stratégie de fabrication « pull » (ex. Dell) Permet d’améliorer la perception de l’image corporative Permet d’améliorer le service à la clientèle - assistance 24h/24 et 7j/7 Rend l’accès à l’information plus facile Possibilité de créer des marchés de niche
  27. LE SITE WEB PEUT SERVIR COMME • Outil de communication institutionnel • Outil de présentation de ses produits/services • Outil relationnel avec ses prospects ou clients • Outil de vente à des particuliers ou des professionnels
  28. BÉNÉFICES POUR LES CLIENTS • Achats 24/24, 7j/7, sans se déplacer • Davantage de choix • Une comparaison des prix rapide et sans déplacement • Accès instantané à l’information, fonction de recherche • Interaction avec les communautés virtuelles (opinion client) • Si l’information est fluide, il devrait y avoir un impact sur les prix
  29. BARRIÈRES À LA CRÉATION D’UN SITE • Incompréhension des nouvelles dynamiques d’affaires • Les coûts d’implantation peuvent être faramineux pour un système relativement complet • Difficulté de justification des bénéfices intangibles • Certains systèmes existants peuvent être difficilement transférables au commerce électronique • Facteurs technologiques : – Sécurité, standards, bande passante, interopérabilité des systèmes, environnement technologique change rapidement, fiabilité… – L’accessibilité à Internet est complexe pour certaines personnes
  30. CRÉDIBILITÉ D’UN SITE WEB • Des contenus et des services adaptés aux attentes des cibles • Facilité de navigation • Le caractère actualisé ou non du site • La qualité graphique • Les références au monde « physique » • Les indices de sécurité • Rendre simple la vérification des informations présentées sur le site • Faciliter la prise de contact avec l'entreprise • Éviter l'abus de publicités • Éviter toute erreur, même « minime » (orthographe, syntaxe, information erronée…)
  31. * JAD (Joint Application Development): Une rencontre multi-disciplinaire orientée sur la production d’interfaces (plus d’infos) Livrable final: Un document complet d’expression de besoin (BRD) détaillant l’inventaire de chaque page du nouveau site, les maquettes et les critères de conception. Ce document est un outil de référence utilisé à toutes les phases de l'intégration et de la programmation. Étape 4 Évaluation/Évolut ion • Plan de maintenance • Plan d’évolution • Veille stratégique • Recherche marketing • Veille technologique • Référencement • Analyse de trafic Équipe de plusieurs personnes avec des compétences spécifiques et complémentaires Étape 3 Production • Analyse technologique • Intégration prototype • A/B Test • Intégration finale • Hébergement • Session JAD Étape 2 Conception • Conception maquettes en fil de fer • Conception de l’’architecture • Classement de carte (websort.net) • Conception des flux • Audit éditorial • Session JAD Étape 1 Analyse et formulation • Analyse stratégique • Objectifs • Création de Personas • Analyses des meilleures • pratiques • Analyse d’image de marque • Formulation du contenu • Session JAD PLANNIFICATION ET CREATION D’UN SITE WEB
  32. LES OBLIGATIONS LÉGALES • Afficher les mentions légales du site : • Nom du responsable éditorial • Nom et coordonnées de l'hébergeur • Nom du webmaster • Numéro certifiant votre inscription à la CNIL
  33. LES SOLUTIONS WORDPRESS, JOOMLA, PRESTASHOP… Dans la jungle des CMS
  34. PUBLIER
  35. LES MOTEURS DE RECHERCHE
  36. LA GOOGLE DÉPENDANCE Moteur de recherche Part de marché Google Monde : 90,35% – Bing à 3,7%, Yahoo! à 2,9%. Europe : 93,64% – Bing à 2,5%, Yandex RU à 1,1%. France : 95,46% – Bing à 2,2%, Yahoo! à 1%. Source : StatCounter. Requêtes Google 30 000 milliards de pages sont indexées par Google. 20 milliards de sites sont visitées (crawlées) par Google, chaque jour. 3,3 milliards de requêtes sont effectuées chaque jour (100 milliards par mois). 15% des requêtes sont de nouvelles requêtes (500 millions par jour) ! Source : Business Insider.
  37. LE RÉFÉRENCEMENT ? Référencement : être enregistré dans l’index d’un moteur de recherche Optimisation : améliorer sa visibilité dans les résultats de recherche pour un mot-clé donné
  38. NATUREL VS PAYANT
  39. PAGE RANK Plus une page possède un Pag Rank élevé, mieux elle sera classée, à pertinence égale Le PageRank se communique par les liens internes et externes = transfert de popularité Le PageRank est thématique : Google attribue un classement thématique à chaque page
  40. VISER LA 1ÈRE PLACE ? La position 1 est idéale, elle génère près d’1/3 des clics Mais pensez potentiel de progression : Passer de la 10e à la 7e place permet un gain de trafic de 60% !
  41. RÉFÉRENCEMENT NATUREL WHITE HAT OU BLACK HAT ? White Hat : travailler dans le respect de l’approche idéale de Google (les contenus sont optimisés pour l’utilisateur) Black Hat : détourner le système en appliquant des stratégies artificielles (liens massifs, contenu généré automatiquement, suroptimisations techniques et éditoriales…)
  42. GOOGLE FAIT LA POLICE
  43. CONNAITRE L’INTERNAUTE Qui sont vos visiteurs ? • Quelles sont ses recherches, les thèmes qu’il souhaite creuser ? • Quels sont ses mots à lui ? • Comment formule-t-il ses recherches ? • Dressez le portrait robot de vos cibles : profil sociodémographique, but, motivations, comportement, compétences, freins
  44. GOOGLE SUGGEST
  45. GOOGLE TRENDS
  46. LES PILLIERS DU SEO Technique • Arborescence • Code • HTML Balises • Ergonomie • « Crawlabilité » Editorial • Adéquation requêtes / Mots- clés • Qualité du contenu • Richesse du contenu • Fraîcheur / ancienneté Maillage • Liens externes reçus • Liens internes • Popularité des citations • Pertinence thématique
  47. LES BLOGS PROFESSION NELS
  48. QU’EST-CE QU’UN BLOG ? C’EST • Une interface web interactive • Un outil régulièrement mis à jour • Un espace d’échange plutôt informel • Un média d’influence/de contenu • Un moyen de transmettre une information immédiate, éclectique et archivée à votre communauté-cible CE N’EST PAS • Un site 1.0 • Une vitrine statique et désincarnée • Le blog de votre copine • Une mode passagère • Un média strictement publicitaire
  49. POURQUOI OUVRIR UN BLOG PRO ? Une réponse adaptée à un nouveau contexte : • Société d’immédiateté de l’information • Volonté des internautes de disposer d’espaces d’expression (« consom’acteurs ») • Importance de la « communauté » • pour la performance de l’entreprise • Emergence de la notion de • « travail collaboratif » • Sharing is power : détenir le savoir  partager le savoir
  50. MAIS EN RÉALITÉ Chacun à sa propre raison de lancer un blog. Lesquelles?
  51. RETOUR SUR INVESTISSEMENT • Acquérir davantage de notoriété • Susciter des échanges plus humains, plus décontractés • Rendre votre travail plus efficace • Mieux gérer votre relation-client • Innover
  52. L’EXEMPLE GET-THE- LOOK.FR
  53. L’EMAILING
  54. DÉFINITION Emailing = terme anglais utilisé pour décrire l’envoi de messages électroniques à un ensemble de personnes. Campagne emailing = action de communication au même titre que le mailing postal ou toute autre action de communication. Le but d'une campagne emailing est de faire la promotion d’un produit ou d’un service en touchant directement un utilisateur via son adresse email.
  55. EMAILING VS NEWSLETTER EMAILING • Un seul sujet, une seule proposition de vente/de valeur • Transformer le destinataire en acheteur • Contenu long, sur un sujet unique et une incitation à l’action NEWSLETTER • Respecte un fil conducteur, une thématique, qu’elle décline en différents sujets • Organisée en rubriques, variété de types de contenus • Incitant à la transformation (comme pour l’emailing)
  56. POURQUOI L’EMAILING ? • Entretenir la relation client (bienvenue, suivi client…) • Prospecter • Lancement de nouveaux produits • Réaliser des enquêtes de satisfaction • Augmenter le trafic de votre site internet • Offres promotionnelles • Annonce d’évènements… Une fois le produit installé et la marque connue, la connaissance de ses clients et la capacité à entrer en relation avec eux est l’un des meilleurs leviers pour résister à la concurrence et gagner des parts de marché Qui maitrise sa base de données, maitrise 2/3 de son chiffre d’affaires
  57. LA RÉGLEMENTATION • Pas de prospection électronique à partir d’adresses collectées dans les espaces publics de l’internet (site web, forum, annuaire…) • La personne a été informée d’une telle utilisation et à eu la possibilité de s’y opposer • S’il s’agit d’un fichier loué ou acheté : s’assurer que les adresses ont été collectées de manière régulière • S’il s’agit de notre fichier propre : s’assurer que les personnes concernées aient été informées de manière appropriée • Donner aux personnes la finalité du traitement de ces données • Ne pas modifier les conditions de l’accord sans avertir les internautes
  58. LA RÉGLEMENTATION Droit d’opposition et obligation de transparence Les annonceurs ont aujourd’hui pour obligation d’insérer systématiquement dans toutes leurs campagnes e-mails un moyen simple et efficace de s’opposer comme un lien de désinscription valide, quel que soit le secteur ou le type d’activité de l’émetteur. L’ensemble des messages e-mails doit également afficher de manière claire l’identité de l’annonceur. Il est totalement prohibé de dissimuler une adresse d’expédition ou d’en fournir une trompeuse ou non valide. Dans une optique similaire, les objets de messages visant à duper les destinataires sont formellement interdits. La déclaration des fichiers à la CNIL Afin de juger si les fichiers utilisés par les annonceurs ne portent pas atteinte à la vie privée des internautes, les annonceurs ont dans la plupart des cas obligation de déclarer leur fichier de contacts à la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés).
  59. LA RÉGLEMENTATION – LE VOCABULAIRE L'opt-in consiste à solliciter l'autorisation préalable de l'internaute pour pouvoir lui adresser un message électronique ou tout simplement collecter des informations à son sujet (venue et déplacement sur un site, nature des achats, profil, mode de paiement… par exemple). L'opt-out ou opting out consiste à faire fi de cette autorisation préalable. Certains distinguent l'opt-in actif (active opt-in) lorsque la question de l'autorisation est clairement posée et que l'internaute doit interagir pour manifester son accord ; de l'opt-in passif, ou ce choix est préproposé à l'internaute qui doit alors manifester son désaccord éventuel. Source : http://www.e-marketing.fr/Definitions-Glossaire/Opt-in-opt-out-238465.htm
  60. LA RÉGLEMENTATION – EN PRATIQUE
  61. QUELQUES CHIFFRES SUR LA PERTINENCE DE L’EMAILING Grâce aux équipements et aux usages les internautes ont acquis de la maturité face aux messages commerciaux et notamment à l’emailing, ils savent faire la différence entre le spam et la publicité, ils ont confiance et peuvent partager les offres reçues avec leurs proches, ce qui fait de l’emailing un support publicitaire générateur de trafic vers le web et vers le magasin. • 46% déclarent que les emails reçus les incitent à visiter un site web • 23% ont déjà fait un achat sur un site après s’être désabonnés de ses Newsletters • 49% consultent leur boîte spam • 74% ont déjà reçu un email personnalisé lié à leur navigation préalable • 28% déclarent qu’ils se sont déjà rendus en magasin suite à la réception d’un email
  62. RÉUSSIR SON EMAILING
  63. L’AB TESTING « Technique de test marketing qui consiste à envoyer 2 versions de sa communication à 2 audiences « test » (10% de sa base de données au total) afin d’analyser quelle version fonctionne le mieux. » On peut faire de l’AB Testing sur ces différents éléments : • Objet • Expéditeur • Contenu • Preheader • Moment de l’envoi Attendez 24h avant de déclarer un vainqueur ! Ne jouez pas sur trop de critères en même temps !
  64. ANALYSER SES RÉSULTATS SUITE À L’ENVOI
  65. LES RÉSEAUX SOCIAUX
  66. D’ABORD UN PETIT TEST…
  67. NOMMEZ AUTANT DE RÉSEAUX SOCIAUX QUE POSSIBLE EN 1 MINUTE
  68. LES AVIEZ-VOUS CITÉS ? …
  69. LES RÉSEAUX SOCIAUX GÉNÉRALISTES
  70. FACEBOOK
  71. FACEBOOK
  72. FACEBOOK
  73. FACEBOOK
  74. FACEBOOK
  75. TWITTER
  76. TWITTER
  77. GOOGLE +
  78. GOOGLE +
  79. TUMBLR
  80. LES PROS
  81. LINKEDIN
  82. LES VISUELS
  83. PINTEREST
  84. FLICKR
  85. INSTAGRAM
  86. LES VIDÉOS
  87. YOUTUBE
  88. YOUTUBE
  89. DAILYMOTION
  90. VINE https://vine.co/Number10gov
  91. PARTAGE ET DÉCOUVERTE DE CONTENU
  92. QUESTIONS/RÉPONSES
  93. GÉOLOCALISÉS
  94. OPEN SOURCE
  95. MUSICAUX
  96. ÉPHÉMÈRES
  97. ANONYMES
  98. DRAGUE
  99. LES APPLICATION S MOBILES
  100. LE MOBILE DEVENU INCONTOURNABLE Selon une enquête Harras Interactive en 2014, chaque Français consulte son mobile 250 fois par jour, tandis qu’il installe en moyenne 43 applications. En décembre 2014, selon Médiamétrie, 1/3 des foyers français disposaient de 4 écrans au minimum : un téléviseur, un ordinateur, une tablette et un mobile. LE MOBILE EST DEVENU LE PRINCIPAL MOYEN POUR COMMUNIQUER, OBTENIR DES REPONSES ET CONSOMMER DU MEDIA
  101. LES APPS : POURS ET CONTRES Relation créée très forte : • Icône sur l’écran d’accueil • Utilisée régulièrement, elle fait partie de la vie de l’utilisateur • Elle reste à l’esprit, garde une visibilité MAIS Les Apps posent de multiples problèmes comparées à un site web traditionnel : • L’environnement est fermé et dominé par Apple et Google qui ont un droit de vie ou de mort sur les Apps • Difficile d’influencer le classement des Apps pour émerger par rapport à un catalogue d’1 million d’applications • Le coût de développement d’une application varie énormément.
  102. POURQUOI L’UTILISATEUR INSTALLE- T-IL UNE APP ? • Utilité • Usage dans le temps • Divertissement • Gain (de temps, d’argent…)
  103. DEFINIR SES BESOINS Tout comme la création d’un site internet ou la présence sur les réseaux sociaux, il est nécessaire de se poser les bonne questions avant d’envisager un support mobile adapté à sonact ivité : • Pour qui ? • Quelle utilité ? • Quel gain pour mon entreprise ? • Tablette ou smartphone ? • Quelles fonctionnalités ? • Quelles données sont nécessaires ? • Où sont-‐elles ? • App payante ou non ? • Quel plan de communication ?
  104. PROMOUVOIR SON APP Un poste budgétaire en hausse du fait d’une concurrence accrue (souvent équivalent au coût de développement) • Bannières ou des interstitiels sur des sites médias consultés par votre cible (CPC 0,20-‐0,50€) • Créer des temps forts (app gratuite pendant un temps limité, cadeaux…) et s’appuyer sur un réseau comme Vente-Privée apps (5-‐15K€) • Passer par des campagnes sur Facebook ou Twitter pour inviter à l’installation de votre App (CPC 0,5-‐1€) • Utiliser des campagnes emailing, SMS, sur le site web • En ciblant grâce à la géolocalisation • Via les moyens traditionnels : presse, TV, internet traditionnel
  105. LES MÉTIERS DE LA COMMUNICAT ION WEB
  106. LES FAMILLES DES MÉTIERS DU WEB Source : metiers.internet.gouv.fr
  107. LES MÉTIERS DE LA COMMUNICATION WEB Source : metiers.internet.gouv.fr

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