Comment adapter son
échauffement ?
Licence première année spécialité badminton –Jc WECKERLE
UFR STAPS Lyon 1
Réalisé par :
-Maguy Augustin
-Faivre Florian
-Chanal Jordan
Sommaire :
I / Introduction
II / Facteurs endogènes
III / Facteurs exogènes
IV / Bibliographie et Webographie
I / Introduction
. Il existe dans tous les sports plusieurs façon d'adapter un
échauffement pour chaque personne. Que cela soit en
fonction des conditions physiques, des conditions
extérieures, de l'âge où encore en fonction de l'heure.
. Michel Pradet, dans son livre : "Comprendre l'athlétisme. -
Sa pratique et son enseignement ", nous montre que nous
pouvons classer toutes ces contraintes en deux catégories :
- Les facteurs endogènes qui sont propres à chacun
- Les facteurs exogènes qui sont extérieurs à l'individu
II / Facteurs endogènes
. L'âge :
Plus nous sommes âgés plus il faut nous échauffer longtemps :Du
fait des tendons qui deviennent moins élastiques et des muscles qui deviennent
moins résistants avec l'âge.
Le type d'effort ne sera pas le même à fournir : Pour quelqu'un de
plus âgé ne pratiquant pas ou peu de sport l’échauffement devra être plus long
et plus progressif que pour un adolescent.
. Les conditions physiques :
L’état de fatigue : L’investissement général dans la séance devra
être dosé. La séance est plus un décrassage. On insistera sur l’échauffement.
La morphologie influence également : Une personne en surpoids,
peu entraîner ne subira pas la même intensité à l’échauffement.
. Le niveau et objectif de chacun :
La pratique scolaire rejoint l’adaptation à un groupe plutôt qu’à un individu.
Il va falloir trouver un compromis dans l’échauffement pour permettre à tout le monde de
l’exécuter dans de bonnes conditions (pour que tout le monde soit en état de pratiquer après
!). Donc privilégiez un peu moins de course et de cardio pour plus d’étirements et
d’échauffement avec raquette.
Pour la compétition : Un échauffement long et intense est recommandé pour
éviter la blessure. Le badminton en compétition est sollicitant ! Donc insistez sur la course et
les étirements, mais aussi sur les sensations avec la raquette.
Pour l’entraînement : Il n’est pas nécessaire de s’échauffer de la même manière
que pour la compétition. De nombreux joueurs démarrent directement avec le volant.
L’important est d’avoir un engagement progressif dans le jeu. Les joueurs qui se connaissent
bien parviennent à sentir lorsqu’ils sont suffisamment échauffer pour chercher des volants
difficiles.
En loisir : Certains ne s’échauffent pas du tout mais il est préférable de faire
monter ses muscles en température et de faire attention aux articulations (cheville, genou
au bad). Car les principaux concernés par cette pratique sont souvent débutants !
. Fréquence de l'activité :
La pratique d’une activité sportive répétée va induire des échauffements moins
dense : Alors que la non pratique sportive régulière va demander un échauffement complet
avec beaucoup d’étirements pour un risque de blessure moindre.
III / Facteurs exogènes
. Le climat :
Le climat influe sur la durée, l'intensité et
l'équipement d'un échauffement : elles sont aussi à prendre en
compte dans le déroulement de l'échauffement. Un temps sec et
chaud n'aura pas les mêmes conséquences qu'un temps pluvieux et
froid. Suivant ces conditions, la durée de l'échauffement doit être
réduit ou au contraire prolongé.
. L'heure :
L’heure à laquelle on commence l’échauffement
influe : s’il est 8 h du matin, je dois m'échauffer plus longtemps
qu'en début d'après-midi, alors que si j'ai couru pour venir, je suis
déjà en partie échauffé. Si je me suis beaucoup dépensé
précédemment, je suis déjà presque échauffé. Mais si je sors d'un
cours où j'ai été assis, je ne suis presque pas échauffé.
IV / Bibliographie et
Webographie
.
Webographie :
http://www.docvadis.fr/bertrand-rostoker/
page/etirements/preparation_physique/echauffements.html
http://www.e-s-c.fr/echauffement.html
http://eps.clg.gabard.64.free.fr/eps/pages/echauffement.html
. Bibliographie :
- "Comprendre l'athlétisme. - Sa pratique et son enseignement" de Michel Pradet
et Jean-Louis Hubiche paru en juillet 1998.