1. Comment concillier opération etComment concillier opération et
entretienentretien
Fréquentés plus que jamais, et ce sur de longues plages horaires, les centres sportifs et
infrastructures aquatiques représentent des défis de taille pour assurer l’hygiène
environnementale des lieux et de leurs composantes.
Considérés comme secteurs à risques d’infections, plusieurs paramètres sont à considérer
pour agir en mode préventifs et bien sûr, aux moments opportuns.
2. Avant-proposAvant-propos
L'entretien sanitaire est et sera toujours un secteur d'activité primordial dans le
développement du bien-être et de la qualité de vie de l'ensemble de la
population. Il représente donc pour nous tous une obligation à laquelle nous
devons faire face.
Le développement technologique des dernières années a permis un essor
considérable dans l'exercice et l'exécution de ce métier.
Il n'en demeure pas moins que l'industrie de l'entretien sanitaire est encore
aujourd'hui en retard sur les niveaux de productivité qu'ont franchis d'autres
industries de pointe de notre économie.
Toutefois, ce retard n'est plus attribuable aux produits, aux accessoires et
équipements disponibles sur le marché. Il appartient maintenant aux
ressources humaines de mieux comprendre et d'adopter de
nouveaux moyens organisationnels et opérationnels.
3. Mission du service d’hygiène et salubrité auMission du service d’hygiène et salubrité au
sein des établissementssein des établissements
La mission que se fixe l'administration du service de l'hygiène et de
la salubrité vise les actions suivantes :
1. Assurer la salubrité dans l'ensemble des lieux composant le
bâtiment.
2. Assurer l'asepsie dans les lieux considérés endroits à risques.
3. Contrôler la prolifération des micro-organismes.
4. Participer activement à l'obtention et à l'amélioration de la qualité
de vie des usagers de l'établissement.
4. Mission du service d’hygiène et salubrité auMission du service d’hygiène et salubrité au
sein des établissementssein des établissements (suite)(suite)
5. Assurer l'entretien préventif de l'ensemble des finis architecturaux
et du mobilier en leur donnant l'entretien et les traitements requis
assurant ainsi une durabilité de vie pour laquelle ils ont été
conçus.
6. Agir à titre de conseiller auprès des personnes responsables de
la sélection des nouveaux revêtements architecturaux (lors de
nouveaux aménagements) afin de pouvoir définir les produits
chimiques et les équipements requis de même que les budgets
nécessaires à prévoir pour assurer la salubrité de ces nouveaux
revêtements.
5. La gestion des produits, des équipements et
accessoires
La salubrité repose sur l’assainissement tant des diverses surfaces
que de l’atmosphère ambiante. L’atteinte de la performance exige
donc que toute personne qui œuvre dans ce domaine, que ce soit
à titre d’exécutant ou de gestionnaire, maîtrise l’ensemble des
éléments qui composent ce métier dans le respect des politiques et
des procédures qui y sont associées.
Les produits, les accessoires et le parc d’équipement constituent
indéniablement des éléments importants pour assurer l’efficience
lors du nettoyage et de l’asepsie de l’environnement de tout
établissement. Il devient donc essentiel d’associer étroitement les
actions quotidiennes de la main-d’œuvre, en matière d’hygiène,
avec une gamme de produits, d’accessoires et d’équipement qui
favorisent la qualité de leur prestation.
8. Principaux types de produits chimiquesPrincipaux types de produits chimiques
• Antimousse
• Bloc désodorisant
• Crème nettoyante
• Décapant à action rapide
• Décapant à fini
• Décapant en aérosol
• Décapant en gel
• Dégraissant
• Désinfectant (chloramine)
• Désinfectant (chlore)
• Désodorisant liquide
• Détergent d'usage général
• Détergent désinfectant (quaternaire)
• Détergent désinfectant (amphotère)
• Détergent désinfectant (phénolique)
• Eau de javel
• Émulsion à poli-vaporisation
• Enleveur de gomme
• Enleveur de taches à tapis
• Fini à plancher (12 %)
• Fini à plancher (18 à 25%
• Fini à plancher (25 à 30 %)
• Fini à plancher (30 % et plus)
• Fini à plancher à polymère thermal
• Huile à vadrouille
• Nettoyeur à joints de céramique
• Nettoyeur à tapis
• Nettoyeur à vitre
• Nettoyeur acide
• Nettoyeur et relustrant à plancher
• Pain de savon
• Pastilles désinfectantes
• Poli à meuble
• Poudre à balayer
• Poudre à récurer
• Savon liquide pour les mains
• Scellant à plancher
• Solution neutralisante
10. Renseignements concernant les programmesRenseignements concernant les programmes
de certification des produits environnementauxde certification des produits environnementaux
(suite)(suite)
Il existe également des organismes qui certifient des produits « verts » de
toutes sortes incluant les produits d’entretien et de nettoyage tout en
assurant l’efficacité de ceux-ci.
Programme ÉcoLogoProgramme ÉcoLogo
www.ecologo.org
L’ÉcoLogo est un symbole de certification environnementale. Le
programme permet de certifier des produits dans plus de 250 catégories.
La catégorie « produits de nettoyage et d’entretien » compte plus de 1 500
produits d’entretien, de nettoyage et de désinfection. L’ÉcoLogo appartient
au gouvernement du Canada (Environnement Canada) et est l’un des
membres fondateurs du « Global EcoLabelling Network ». Le programme
est régi par « TerraChoice Environmental Marketing » qui est basée à
Ottawa.
12. Renseignements divers concernant la
fonctionnalité des remises d’entretien sanitaire
Voici quelques renseignements concernant la fonctionnalité d’une remise d’entretien
sanitaire qui devraient être tenus en compte lors de rénovations, réaménagements
ou autres.
Particularités d’un local fonctionnel
Voici les éléments dont est constitué un local fonctionnel :
bac d’entretien au sol
robinetterie avec filetage facilement adaptable à un tuyau d’arrosage
accès à l’eau froide et chaude
support à vadrouille humide localisé au-dessus du bac d’entretien
support à vadrouille sèche situé au mur près de la porte d’accès
tableau en liège pour l’affichage des routes de travail, entre autres
13. Renseignements divers concernant la
fonctionnalité des remises d’entretien sanitaire
(suite)(suite)
Accessoires pour bac d’entretien
robinetterie avec filetage et porte-seau
tuyau de ±1 mètre facilement adaptable à la robinetterie et muni d’une
poignée de modèle pistolet à débit contrôlable
support à vadrouille humide
pare-chocs en vinyle
Avantages d’un bac au sol par rapport à un évier profond
facilite la vidange et le remplissage des seaux, aspirateurs et auto-laveuses
facilite le nettoyage des vadrouilles ainsi que des tampons de récurage et
de décapage.
permet de suspendre l’outillage mouillé pour l’égouttement et le séchage
Un évier profond est un facteur de risques de dorsalgie pour les préposés à
l’entretien sanitaire. Le bac au sol constitue un aménagement plus sécuritaire.
14. Renseignements divers concernant la
fonctionnalité des remises d’entretien sanitaire
(suite)(suite)
Autres caractéristiques
système de ventilation adéquat afin d’éviter que la remise ne soit
génératrice d’odeurs désagréables qui s’infiltreraient dans les espaces
avoisinants
présence d’étagères
sortie électrique nécessaire à l’intérieur de certaines remises susceptibles
d’abriter une auto-récureuse afin d’alimenter le chargeur électrique des
batteries, en tenant compte du code de l’électricité à cet effet
système d’éclairage adéquat
porte d’accès à la remise munie d’une serrure.
Capacité de rangement de la remise d’entretien sanitaire
Une capacité de rangement suffisante et un accès facile aux étagères aurait une
influence certaine sur l’efficacité et le niveau de rendement des préposés de
l’entretien sanitaire. Des espaces restreints sont à l’origine d’accidents.
15. Brèves réflexions concernant les tapis d’entrée
Nous vous présentons ici nos réflexions concernant les tapis d’entrée. Il est généralement
admis que les charges d’entretien sanitaire soient considérablement augmentées en période
hivernale. À cet effet, des moyens préventifs doivent être envisagés pour maximiser, durant
cette longue période, les chances de réussite associées au maintien et à la sauvegarde de la
salubrité, particulièrement aux diverses entrées et lieux environnants. La propreté des lieux
commence à l’entrée du bâtiment, à votre établissement ce n’est pas le cas.
Moyens préventifs
Tout au long de la période des neiges, on doit installer des tapis gratte-pieds et/ou
des tapis absorbants pour retenir la saleté aux entrées.
Dimensions minimales requises
Les tapis gratte-pieds dans les halls d’entrée doivent recouvrir la largeur complète
des aires de circulation et être déployés en longueur minimale de cinq (5) m et plus
(quand cela est possible). Les tapis absorbants seront déployés à la suite des gratte- pieds
sur des largeurs et des longueurs calculées selon la densité de la circulation
piétonnière.
16. Brèves réflexions concernant les tapis d’entrée
(suite)(suite)
Actions préventives également à envisager
• Déblayer les surplus d’abrasifs rendus inutiles lorsque les conditions
climatiques sont favorables à l’assèchement des trottoirs et des marches
d’entrées. Au besoin, assécher et débarrasser les surfaces des tapis des
abrasifs au moyen d’un aspirateur industriel de type sec et liquide;
• Enlever la gomme à mâcher à l’aide d’un durcisseur;
• Laver périodiquement (au besoin) ces surfaces pour conserver aux fibres la
qualité originale d’absorption;
• Ne jamais appliquer sur les fibres des tapis absorbants un produit antitache
et antistatique;
• Alimentation d’un système air comprimé pour un séchage rapide;
• Le bac de lavage au sol de la salle de contrôle doit être d’une dimension
suffisante pouvant contenir à titre d’exemple une chaise roulante ou un
chariot.
18. Types de risquesTypes de risques
Transmission des infectionsTransmission des infections
19. Agents infectieuxAgents infectieux
Virus InfluenzaVirus Influenza
• Transmission par contacts: directs avec des sécrétions infectées, et
indirects par des objets contaminés par des sécrétions infectées.
• Transmission par gouttellettes: projetées à un mètre ou moins par toux
ou éternuements.
• Voie aérienne: mode inhabituel et dans certaines circonstances
particulières.
• Survie du virus: 5 minutes sur les mains, 8 à 12 heures sur les
vêtements et le papier, 24 à 48 heures sur les surfaces dures.
• Incubation: courte de 1 à 3 jours
• Contagiosité: 24 heures avant le début des symptômes et jusqu’à 7
jours après le début des symptômes.
20. DésinfectantsDésinfectants
Types de désinfectants de surfaces duresTypes de désinfectants de surfaces dures
• Désinfectants de surfaces dures et non poreuses
les plus communs (DIN*):
- Composés d’ammonium quaternaire («Quat»)*
- Peroxydes d’hydrogène*
- Composés dégageant du chlore (Eau de javel)
* Le DIN (drug identification number) est inscrit sur l’étiquette d’un produit qui
a été évalué et approuvé pour la vente au Canada
21. DésinfectantsDésinfectants
Utilisation, Efficacité et ConcentrationUtilisation, Efficacité et Concentration
• Composés d’ammonium quaternaire («Quat»)
- Bonne activité nettoyante
- Certains quaternaires sont efficaces contre les hépatites et le
virus du VIH.
• Peroxyde d’hydrogène
- Le peroxyde d’hydrogène (stabilisé) est utilisé dans certains
désinfectants de surface.
- Très bonne capacité d’action antimicrobienne.
- Fréquemment utilisé en milieu hospitalier.
23. Méthodologies d’exécutionMéthodologies d’exécution
DésinfectionDésinfection
Principes de désinfection
• Respecter le dosage suggéré par le manufacturier.
• Favoriser l’utilisation de la bouteille (1 litre) et d’un bouchon verseur.
• Utiliser des linges imbibés de désinfectant.
• Ne jamais remettre les linges utilisés dans la solution désinfectante
(chaudière) --> qualité de la solution et risque de contamination croisée.
• Pré nettoyer les surfaces (souillées) avant l’étape de désinfection.
• Respecter le temps de contact (± 10 min.) (effet rémanence)
• Planification stratégique du travail (ex: de gauche à droite du local).
• Toutes surfaces susceptibles d’avoir été touchées (contaminées) ou
souillées.
24. Méthodologies d’exécutionMéthodologies d’exécution
DésinfectionDésinfection (suite)(suite)
• Porter attention aux surfaces plus à risque (toilette, poignée de porte,
etc.).
• Changer de linge régulièrement (utilisation des huit surfaces).
• Utilisation statégique des linges lors de l’entretien (désinfection) d’une
salle de toilette (la salle de toilette versus les cuvettes et sièges).
• Port de gants jetables (nitriles).
• Se laver régulièrement les mains.
• Ne jamais faire de mélange de produits.
25. Méthodologies d’exécutionMéthodologies d’exécution
FréquenceFréquence
Entretien lors de l’éclosion d’une infection
• Délestage des activités non-urgences.
• Respecter les fréquences de l’entretien préventif régulier dans les secteurs moins à
risque.
• Respecter les Principes de désinfection.
• Utilisation d’un détergent désinfectant (DIN).
• Augmenter la fréquence de correctif/désinfection des locaux à potentiel
élevé de contamination (ex: vestiaires, douches, salles de toilette, salle à
manger, etc.).
26. Mesures de protectionMesures de protection
• Porter des gants (nitrile) en tout temps lors de l’utilisation des
désinfectants.
• Après avoir enlevé les gants, se laver les mains.
• Aucun matériel de protection particulier n’est nécessaire.
• Outre, matériel requis selon les produits utilisés. (voir
instructions du manufacturier)
27. Types de locaux prioritairesTypes de locaux prioritaires
• Vestibule d’entrée
• Corridor
• Vestiaire et salle de douche
• Salle de toilette
• Salle à manger
• Piscine
• Lieu de rencontre:
- Agora
- Auditorium
- Salle de repos
• Etc.
28. Surfaces à potentiel élevé de contaminationSurfaces à potentiel élevé de contamination
29. Surfaces à potentiel élevé de contaminationSurfaces à potentiel élevé de contamination
(suite)(suite)
31. Brèves réflexions entourant l’organisation duBrèves réflexions entourant l’organisation du
travailtravail
Objectifs principaux
• Définir les actions à réaliser au moment opportun.
• Maximiser l’efficacité et la qualité des actions à exécuter.
• Minimiser ses déplacements et les dérangements auprès de la clientèle.
• Distribuer la charge de travail de façon équilibrée.
• Préciser et faciliter la compréhension du travail à accomplir.
Principales contraintes
• Début de l’horaire non approprié aux besoins du secteur.
• Locaux non disponibles.
• Tâches pouvant relever de d’autres services transférés au sanitaire.
• Défectuosités physiques.
• Manque de contrôle des occupants.
• Participation minimale des occupants aux systèmes mis en place.
• Négligence et désintérêt du personnel.
• Manque d’information et de communication.
38. Sous-traitanceSous-traitance
Le mode de sous-traitance ne doit pas être considéré comme une solution, mais
bien comme une alternative.
Nul doute que cette avenue offre parfois plus de flexibilité pour le gestionnaire et
un pouvoir élargi d’agir, mais aussi limité, si des contrariétés contractuelles se
présentent.
Il ne faut pas oublier que depuis les dernières années, les firmes spécialisées
connaissent des problèmes de recrutement de personnel et donc beaucoup de
rotation de main d’œuvre.
Retenons que si le budget est précis, que la structure opérationnelle correspond
aux besoins du milieu et bien sur que le personnel est supervisé (c’est la recette
des firmes spécialisées), on peut aussi obtenir une formule gagnante.
À vrai dire, c’est souvent une question de culture des établissements, un choix
administratif qui nécessite toutefois une personne-ressource mandatée à la
supervision et au support.
39. Notions de base pour un appel d’offres enNotions de base pour un appel d’offres en
hygiène et salubritéhygiène et salubrité
• Vision macro des composantes du bâtiment (réf.: prototypage
d’espaces).
• Identification chiffrée des types de revêtements de sol.
• Devis technique : tâches et fréquences exigées pour chaque
prototype (routine et travaux périodiques).
• Ventilation détaillée des coûts proposés.
• Liste de travaux forfaitaires au cas où…
• Procédure d’analyse des soumissions.
40. Exemple d’un formulaire de ventilation annuelle des coûts soumissionnés: __________________Exemple d’un formulaire de ventilation annuelle des coûts soumissionnés: __________________
45. Modèle d’un contenu de formationModèle d’un contenu de formation
L’ASPECT PRODUITS/ÉQUIPEMENTS
L’hygiène
Le pH
La dilution
Certaines substances incorporées
Le SIMDUT
La standardisation du matériel
FICHES D’ACTIVITÉS (MÉTHODOLOGIES)
Balayage des sols et des escaliers
Lavage des sols
Lavage mécanique des sols avec une
autorécureuse
Polissage et vaporisation des sols
Récurage à sec des sols résilients et non résilients
Décapage et récurage des sols
Pose de fini sur les sols
Entretien général des bureaux
Entretien des accessoires dans les espaces
sanitaires
PLANIFICATION ORGANISATIONNELLE
Brèves réflexions entourant l’organisation du travail
Principales contraintes
Les dérangements qui affectent le niveau de
salubrité
L’ORGANISATION DU TRAVAIL
Service quotidien
Service hebdomadaire
Travaux périodiques
LA PRÉVENTION DES INFECTIONS
Lignes directrices entourant la prévention des risques
infectieux en milieu scolaire.
Différences entre un virus et une bactérie
Modes de propagation
Rôles et types de désinfectants pour les milieux
scolaires
Entretien régulier préventif
Entretien lors d’une éclosion d’une infection
Protection de travailleur
EXIGENCES TEMPORAIRES (CSST)
Entretien des sols (amiante)
46. ConclusionConclusion
Comme nous venons de le voir dans les pages précédentes, l’hygiène et la salubrité
demeure une activité bien à elle avec de multiples variables et des incidences importantes
sur plusieurs composantes.
Considérant le nombre de personnes qu’elle touche : personnel, visiteurs et autres de
même que les incidences budgétaires qu’elle entraîne; salaires des employés, achats de
produits, équipements et autres... elle se doit d’être considérée à sa juste valeur.
Le succès d’une réorganisation de travail passe inévitablement par des étapes précises.
Bien sûr, elles doivent être acceptées au préalable en concertation avec les instances
concernées du milieu.
Ces étapes sont nécessaires à la réussite de la démarche. L’élaboration du plan d’action
proposé constitue un cheminement progressif et il est souhaitable pour sa réussite qu’il soit
suivi dans des délais continus.
Bien sûr, les difficultés d’une telle démarche sont en relation de la nature et de l’ampleur
des correctifs à générer. Considérant qu’elle favorise généralement certains changements,
elle doit être réalisée dans un cadre positif qui permet d’engendrer en cours, une situation
sécurisante d’amélioration.