2. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 2
2014 9
ATLANTICO – 18/11/2014 9
Interview de Cédric Monnier, CEO de FlameFy, dans Atlantico 9
LE JOURNAL DU GRAND PARIS – 20/11/2014 11
Présentation de FlameFy dans le Journal du Grand paris 11
WELCOME CITY LAB – 25/11/2014 12
Actualités de FlameFy publiées sur le site web du Welcome City Lab 12
2015 13
TOURMAG – 13/02/2015 13
Le magazine « Tourmag » mentionne FlameFy pour notre participation au Welcome City Lab
qui s’est tenu le 4 Février à Paris 13
TOURMAG – 08/03/2015 16
Cédric Monnier est cité dans le magazine Tourmag pour son expertise à propos du brand
content en Asie 16
ECRAN TOTAL – 15/04/2015 19
L’hebdomadaire référent de l’audiovisuel français Ecran Total mentionne la participation de
FlameFy à la publication du Livre Blanc « Production 2.0 » 19
LIVRE BLANC AENA – 15/04/2015 20
Interviewé pour le livre blanc de l’AENA, Cédric Monnier explique comment les outils
révolutionnent la production médiatique 20
OFFRE MEDIA – 30/04/2015 22
Le magazine online Offre Media mentionne la participation de FlameFy au Startup Project de
l’AACC, l’UDECAM et CAP DIGITAL à Paris 22
PUBLICATION SCIENTIFIQUE I2D – 15/06/2015 23
FlameFy signe la co-publication avec le chercheur Hakim Hachour (Paris 8) pour la revue I2D
23
SUNNY SIDE OF THE DOC OFFICIAL GUIDE – 23/06/2015 25
Invité en tant que conférencier du panel « data » au festival Sunny Side of the Doc (festival
international du marché du documentaire), FlameFy est présenté dans le guide officiel de
l’événement 25
SATELLIFAX – 09/07/2015 26
Interview de Cédric Monnier dans le magazine Satellifax 26
STRATÉGIES – 09/07/2015 27
Le magazine Stratégies publie un article sur la collaboration entre FlameFy et le producteur de
contenus 100% digitaux Spicee Media. 27
OUEST-France – 18/10/2015 28
Dans un article sur le développement digital du tourisme du Mont-Saint-Michel, le journal
Ouest-France mentionne FlameFy comme une « pépite technologique » 28
LE PARISIEN – 02/11/2015 29
Dans un article sur les Startups parisiennes qui s’installent à New York, le journal Le Parisien
interview Cédric Monnier 29
3. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 3
MIND – 30/11/2015 30
Le magazine Mind présente FlameFy, startup choisie par TF1 pour intégrer son programme
d’incubation 30
TALENT DAY – 31/12/2015 31
Après la participation de FlameFy à Talent Day, et la conférence donnée sur le Big Data, le site
web de l’événement reporte cette participation dans un article 31
COMMUNIQUÉ DE PRESSE INCUBATION TF1 – 12/2015 34
De nombreux médias reprennent et commentent le communiqué de presse qui annonce
l’incubation de FlameFy au sein du programme de TF1 : Business Immo, CBNews, Digital
Business News, FrenchWeb, ITespresso, ITRNews, Offre Media, Next Finance, Top Outremer 34
2016 36
SILEX-ID – 01/2016 36
Le magazine Silex-Id présente FlameFy parmi un panorama de Startups qui constitueront les
médias de demain 36
NEWSTANK – 18/01/2015 37
Le site web Newstank publie une sélection de ce qu’il faut retenir des conférences de
l’événement « International Museums, Cilture and Tourism exhibition », où FlameFy est
intervenu en tant qu’invité 37
LE JOURNAL DU NET – 28/01/2016 38
Le journal online spécialisé dans l’économie digitale Le Journal du Net publie un article exclusif
pour annoncer la levée de fond de FlameFy 38
ECRAN TOTAL – 29/01/2016 39
Le magazine spécialisé dans l’audiovisuel Ecran Total publie un article sur la levée de fond de
FlameFy 39
MADDYNESS – 29/01/2016 40
Publication de deux articles à propos de FlameFy dans le magazine référent des Startups
françaises qui mentionnent la levée de fond de FlameFy 40
STARTUP365 – 29/01/2016 43
Publication d’un article à propos de la levée de fond de FlameFy 43
WIDOOBIZ – 29/01/2016 44
Publication d’un article sur le site Widoobiz pour annoncer la levée de fond de FlameFy 44
IT-ESPRESSO – 01/02/2016 45
Le site web IT-espresso publie un article qui présente FlameFy et sa levée de fond 45
PARIS&CO – 01/02/2016 46
L’incubateur de startups Paris&co publie l’annonce de la levée de fond de FlameFy sur son site
web 46
FRANCE INTER – 05/02/2016 47
La radio nationale France Inter mentionne FlameFy et sa participation au documentaire
« ConspiHunter » dans une chronique et dans un article sur leur site web 47
MEDIAKWEST – 12/02/2016 50
Publication d’un article sur le site web de Mediakwest pour annoncer la levée de fond de
FlameFy 50
UNIVERSDOC – 17/02/2016 51
Dans un article sur la data visualisation, le blog UniversDoc mentionne FlameFy 51
4. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 4
ZUMA – 10/03/2016 52
Interview de Cédric Monnier sur le blog de Zuma Paris 52
MY BUSINESS PLAN – 22/03/2016 55
Le site web My Business Plan publie une interview de FlameFy à propos de l’expérience de la
levée de fond 55
THE RABBIT HOLE – 06/04/2016 57
Le site web The Rabbot Hole met en ligne une interview de Cédric Monnier qui mentionne la
participation de FlameFy à l’événement MIPtv 57
MIPtv – 06/04/2016 58
Mise en ligne de l’allocution de FlameFy pendant « l’innovation show » de l’événement MIPtv
2016 sur la chaîne Youtube officielle de l’événement 58
COMMUNIQUÉ DE PRESSE CNC – 18/05/2016 59
Pendant le festival de Cannes, le CNC annonce une conférence durant laquelle FlameFy est
invité à intervenir 59
CINEUROPA – 21/05/2016 60
Le site web Cineuropa publie un article sur la conférence du CNC et mentionne FlameFy 60
THOT CURSUS – 31/05/2016 62
Dans une interview donnée au site de la culture numérique Thot Cursus, le journaliste Thomas
Huchon mentionne FlameFy 62
COMMUNIQUÉ DE PRESSE « les Vilains » - 01/06/2016 69
Diffusion du communiqué de presse pour le lancement du film « les Vilains » en e-cinema, pour
lequel FlameFy s’est associé au service de VOD Okast 69
CB NEWS EXPERT – 02/06/2016 72
Publication d’un article sur le site CB News Expert qui mentionne le 1er prix remporté par
FlameFy aux trophées de la vidéo online 2016 72
CB NEWS – 02/06/2016 73
Article sur le trophée en or de FlameFy aux TVOL2016-10-18 73
CLUBIC – 03/06/2016 74
Le 1er prix de FlameFy aux Trophées de la Vidéo Online 2016 est mentionné dans un article sur
le site de Clubic 74
COMMUNIQUÉ DE PRESSE TF1 – 15/06/2016 76
Le groupe TF1 annonce la présence de FlameFy parmi les startups du TF1 Media Lab à
l’événement Viva Technology 2016 76
CB NEWS – 15/06/2016 77
Mention de FlameFy dans un article du magazine CB News 77
ISTORYLAB – 08/08/2016 80
Le site web Istorylab mentionne l’application de réalité virtuelle de la cité interdite présentée
par FlameFy pendant le festival « Sunny Side of the Doc » 80
MEDIAKWEST – 06/10/2016 81
Le magazine spécialisé dans l’audiovisuel Mediakwest mentionne FlameFy dans un article sur
les nouvelles stratégies de monétisation des plateformes SVOD 81
L’ADN – 09/11/2016 82
Le site web « l’ADN » publie un article pour annoncer le lancement de l’offre conjointe de
FlameFy et de Saooti pour développer les webradios 82
5. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 5
NPA Le Figaro – 17/11/2016 83
Durant le salon « NPA le Figaro 2016 » une interview de Cédric Monnier fût publiée sur la
chaîne officielle de l’événement. 83
2017 84
LA LETTRE DE L’AUDIOVISUEL – 15/02/2017 84
Le quotidien spécialisé dans le secteur des médias et des nouvelles technologies « La Lettre de
l’Audiovisuel » annonce le rachat d’Okast par FlameFy. 84
OFFRE MEDIA – 15/02/2017 85
Dans sa newsletter du mois, le site web spécialiste des médias « offre media » se fait l’écho de
l’acquisition d’Okast au portefeuille de FlameFy. 85
ADVANCED TELEVISION – 15/02/2017 86
Le site web publie une brève annonçant l’achat par FlameFy de la startup Okast. 86
ÉCRAN TOTAL – 15/02/2017 87
Le mensuel culturel « Écran Total » annonce le rachat de la startup Okast par FlameFy 87
MEGAZAP – 15/02/2017 88
Le site web « Megazap » reprend l’annonce de l’achat d’Okast. 88
LES ÉCRANS – 15/02/2017 89
Le site web spécialisé dans l’industrie audiovisuelle « les Ecrans » publie un article sur
l’acquisition d’Okast par FlameFy 89
PARIS&CO – 16/02/2017 90
L’incubateur Paris&Co publie un article sur son site web à propos de la fusion entre FlameFy et
Okast 90
WIDOOBIZ – 21/02/2017 91
Le site web qui traite de l’actualité de l’entreprenariat annonce le rachat de Okast par FlameFy
91
MEDIAKWEST – 21/02/2017 92
Le site web Mediakwest décrypte le rachat de Okast par FlameFy et le nouveau service
proposé aux producteurs de contenus 92
MADDYNESS – 24/02/2017 94
Le site web Maddyness revient sur les actualités financières des startups françaises et
mentionne la fusion entre FlameFy et Okast 94
BFM BUSINESS – 28/02/2017 95
Le site web de BFM Business présente la solution Okast 95
MM RADIO – 03/03/2017 97
Cédric Monnier est l’invité de l’émission « Lunch Show » sur MM Radio pour parler du marché
de l’audiovisuel. 97
SATELLIMAG – 13/03/2017 99
Le magazine spécialisé du monde des médias Satellimag publie un dossier qui présente les
marques FlameFy et Okast. 99
ALLOWEB – 09/04/2017 103
Le site Web spécialisé dans l’actualité des technologies et du web français publie un
classement des « Tops startups 2017 » et y inclut FlameFy. 103
LE FILM FRANÇAIS – 18/04/2017 105
6. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 6
Le magazine des professionnels de l’audiovisuel publie un dossier sur les technologies
innovantes qui ont engagé le virage de la production 2.0 et mentionne OKAST et FlameFy 105
MEDIAKWEST – 19/05/2017 108
Le magazine Mediakwest mentionne FlameFy et OKAST dans un article traitant de l’utilisation
du Big data dans le pilotage des audiences. 108
ÉCRAN TOTAL – 17/07/2017 111
Le media spécialisé Écran Total évoque dans sa newsletter de juillet la participation de
FlameFy et OKAST dans le lancement de la plateforme de contenus musicaux Qwest TV. 111
BROADBAND TV NEWS – 18/07/2017 112
Le site web spécialisé dans l’actualité de la télévision digitale Broadband TV news mentionne
FlameFy et OKAST dans un article consacré au lancement de la plateforme Qwest TV. 112
ADVANCED TELEVISION – 19/07/2017 113
Dans un article annonçant le lancement de Qwest TV, le site web Advanced Television évoque la
participation de FlameFy et OKAST dans le projet. 113
STREAM2ME – 19/07/2017 114
Le site web polonais Stream2me publie un article sur le lancement de la chaîne Qwest TV et
mentionne FlameFy et OKAST. 114
MEDIAKWEST – 27/08/2017 115
Dans un dossier consacré à dresser un tour d’horizon des cas d’usage de la révolution big data
au service du marketing, le magazine spécialisé de l’audiovisuel Mediakwest mentionne
FlameFy. 115
PARIS&CO – 19/09/2017 116
Le site web de l’incubateur Paris&Co fait echo du choix de FlameFy comme partenaire
technologique de la plateforme jazz Qwest TV. 116
IRMA – 3/10/2017 117
L’association IRMA (Centre d’Information et de Ressources pour les Musiques Actuelles)
publie un article spécial consacré à FlameFy : un focus sur notre histoire, sur notre vision et
nos projets futurs. 117
GUANGXI TV – 10/10/2017 119
Pendant le sommet « China ASEAN OTT & Connected media », la télévision officielle de la
province du Guangxi interviewait Cédric Monnier pour en savoir plus les solutions FlameFy &
OKAST. 119
ANIMATION MAGAZINE – 15/10/2017 120
Le site web Animation Magazine publie un article mentionnant l’annonce du lancement de
Zokast TV, créée par le partenariat entre MEI group et Zoland Animation. 120
PRENSARIO INTERNACIONAL – 16/10/2017 121
Le site web argentin spécialisé dans l’actualité des médias et de la diffusion publie un article
pour annoncer le lancement de Zokast TV. 121
WORLDSCREEN – 16/10/2017 122
Le site web Worldscreen publie un article qui mentionne le lancement de Zokast TV. 122
BROADBAND TV NEWS – 16/10/2017 123
Le site web Broadband TV News mentionne MEI group dans un article consacré au lancement
de Zokast TV. 123
ADVANCED TELEVISION – 16/10/2017 124
7. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 7
Le site web Advanced Television mentionne MEI group dans un article consacré au lancement
de Zokast TV. 124
TELEVISION ASIA – 16/10/2017 125
Le site web du magazine Television Asia mentionne MEI group dans un article consacré au
lancement de Zokast TV. 125
TRB ZONE – 16/10/2017 126
Le site web TRB Zone mentionne MEI group dans un article annonçant le lancement de Zokast
TV. 126
RAPID TV NEWS – 17/10/2017 127
Le site web Rapid TV news mentionne MEI group dans un article annonçant le lancement de
Zokast TV. 127
ANIMATION XPRESS – 17/10/2017 128
Le site web Animation Xpress mentionne MEI group dans un article qui annonce le lancement
de la plateforme Zokast TV. 128
IPTV GREECE – 17/10/2017 130
Le site web IPTV Grèce mentionne MEI group dans un article consacré au lancement de Zokast
TV. 130
SATELLIFAX – 17/10/2017 131
La magazine Satellifax mentionne MEI group dans un article traitant du lancement de Zokast
TV. 131
BEIJING BUSINESS TODAY – 19/10/2017 132
Le site web Beijing Business Today mentionne MEI group dans un article sur le lancement de
Zokast TV. 132
KK NEWS – 19/10/2017 134
Le site web KK news mentionne MEI group dans un article annonçant le lancement de Zokast
TV. 134
TECH CHINA – 19/10/2017 136
Le site web Tech China mentionne MEI group dans un article annonçant le lancement du
service de vidéos Zokast TV. 136
PR NEWSWIRE – 20/10/2017 138
Le site web PR Newswire mentionne MEI group dans un article annonçant le lancement du
service de vidéos Zokast TV. 138
SOHU – 20/10/2017 140
Le site web Sohu mentionne MEI group dans un article annonçant le lancement du service de
vidéos Zokast TV. 140
SINA – 20/10/2017 141
Le site web Sina mentionne MEI group dans un article annonçant le lancement du service de
vidéos Zokast TV. 141
SATIS EXPO – 8/11/2017 143
Lors du Salon des Technologies de l’Image et du Son, Cédric Monnier donnait une conférence sur
le thème « Big data et audiovisuel : un tandem pour optimiser la valorisation des contenus ». 143
SATIS EXPO – 8/11/2017 144
Lors du Salon des Technologies de l’Image et du Son, Cédric Monnier donnait une conférence
ayant pour thème « L’intelligence artificielle s’attaque aux médias ». 144
8. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 8
SATIS EXPO – 9/11/2017 145
Cédric Monnier, CEO de FlameFy, participait à une conférence portant sur le thème
« Métadonnées et données personnelles dans un cadre audiovisuel » durant le Salon des
Technologies de l’Image et du Son. 145
2018 146
MEDIAKWEST – 4/01/2018 146
Le magazine spécialisé Mediakwest interviewe le créateur de la plateforme OTT Qwest TV qui
partage son expérience de partenariat avec FlameFy. 146
9. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 9
2014
ATLANTICO – 18/11/2014
Interview de Cédric Monnier, CEO de FlameFy, dans Atlantico
L'interview Atlantico Business
Publié le 18 Novembre 2014
Cédric Monnier - FlameFy : "Nous sommes au seuil d’une vraie
révolution dans l’univers du web"
FlameFy est un logiciel permettant de créer des stratégies
marketing numériques grâce aux nombreux outils du web. Lancée
au printemps dernier, la start-up française existe depuis un an et
demi et peut se targuer de discuter déjà avec clients et
investisseurs chinois et américains.
Dans quel contexte de marché intervient la solution FlameFy ?
Notre volonté, c’est d’aider toutes les entreprises à communiquer de façon numérique. Ces canaux
numériques (web, applications, réseaux sociaux…) se développement à vitesse grand V et sont très
segmentant. Lorsqu’une entreprise a un message à faire passer, il faut donc trouver un chemin à
travers tous ces canaux afin de toucher les bonnes personnes. FlameFy permet de revenir au concept
fondamental du marketing : le storytelling.
Le but de notre plateforme, c’est d’aider nos clients à faire abstraction des difficultés technologiques
de ces canaux et de recentrer leur attention sur le message. On va donc leur proposer, grâce à notre
logiciel, de tracer une histoire, ce que l’on appelle des "arcs narratifs", à l’aide de tout ce qu’ils
veulent, un livre, un tweet, un site web, des vidéos…et on s’occupe du reste.
Quel est le business model ?
Nos clients, comme toutes entreprises, ont besoin de seulement 4 ou 5 données pour prendre des
décisions au jour le jour. Notre business model est basé sur cette notion. Derrière l’offre du logiciel
FlameFy, notre cœur de métier c’est de manipuler des données sur ce que l’on récolte des
utilisateurs. On va faire ce que l’on appelle de la smart data, c’est-à-dire utiliser des informations
pertinentes. Collecter des milliers d’informations c’est facile, donner du sens à ces données, c’est plus
difficile. On va faciliter le storytelling et on va récolter des données permettant de construire
automatiquement ce storytelling. Plus on amène des gens dans l’interaction, plus on rapporte des
données, de la notoriété, du trafic. C’est cette offre globale que l’on monnaie aux entreprises.
FlameFy œuvre dans le secteur du "transmédia", quelles sont les perspectives de ce marché ? Est-
on en train de franchir une nouvelle étape de l’internet ?
Je pense que nous sommes au seuil d’une vraie révolution dans l’univers du web, dans le sens où la
technologie elle-même est suffisamment avancée pour que l’on puisse en faire abstraction et donc de
revenir sur des notions de base, comme les notions de service. En effet, le "transmedia" est un peu le
nouveau mot à la mode, mais derrière il y a une idée très précise : collecter tous les points de contact
10. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 10
qu’ont les gens avec un annonceur ou une marque et être capable de redonner du sens à cela afin de
créer de la proximité.
Bien loin de ce big-bang, votre première difficulté n’est-elle pas de devoir évangéliser le marché
tout en essayant de vendre la solution ?
C’est extrêmement compliqué en effet. Nous rencontrons chaque jour beaucoup d’entreprises qui se
cachent derrière la technologie et ont perdu la finalité originelle de leur stratégie marketing. Dès lors
qu’on leur propose avec FlameFy de se recentrer uniquement sur leur métier, elles se retrouvent
devant "une page blanche". Certaines industries se sont égarées dans la technologie et ont oublié que
la priorité de base, c’est d’expliquer à leurs clients pourquoi ils sont différents, quelle est leur valeur
ajouté sur le marché. On leur explique donc que notre offre, c’est avant tout de revenir sur une
communication plus simple, plus vertueuse basée sur l’engagement, la volonté.
Vous avez lancé FlameFy simultanément en France et sur le marché chinois. Vous tentez à présent
une implantation aux États-Unis. A quoi doit-on cette internationalisation accélérée ?
Tout d’abord parce que nous sommes une start-up, nous avons besoin de trouver une croissance
rapidement. Ensuite, parce que la plupart de ces mécanismes sont nés aux États-Unis. Quand on parle
avec des Américains, au bout de 2 minutes ils comprennent de quoi on parle. Les US, c’est un marché
beaucoup plus mature. En France on voit beaucoup de possibilité mais c’est un plus long et la culture
marketing est un peu différente…Je vais clore un deal aux US en une semaine et ça va me prendre 4
mois en France. Ces relais de croissance nous permettent d’aller plus vite, on a besoin de construire
rapidement pour valoriser rapidement et attirer des investisseurs. Enfin la Chine parce que mon
associée est chinoise et parce que le marché mobile devient le premier du monde, les opportunités
sont très importantes.
Quelles sont vos perspectives de développement ?
Nous venons d’ouvrir nos bureaux FlameFy à Pékin et à Shangaï. Nous pourrons annoncer d’ici
quelques mois un certain nombre de gros comptes intéressants. En France, nous nous développons
notamment grâce à PI France et à Cap Digital. Certains clients intéressants sont dans les cartons, nous
allons notamment lancer une opération avec HEC. Nous avons aussi été contactés par une très grosse
agence de publicité. Notre équipe va continuer de grandir. Nous sommes pour l’instant 8 et devrions
passer à 10. 2015 devrait nous offrir de beaux relais de croissance.
Source : http://www.atlantico.fr/decryptage/cedric-monnier-flamefy-sommes-au-seuil-vraie-
revolution-dans-univers-web-atlantico-business-1860084.html - 2eYYIXJz4tyZL3Zz.01
22. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 22
OFFRE MEDIA – 30/04/2015
Le magazine online Offre Media mentionne la participation de FlameFy au Startup
Project de l’AACC, l’UDECAM et CAP DIGITAL à Paris
Source : http://www.offremedia.com/voir-article/havas-media-mindshare-et-mec-parmi-les-12-duos-
agencesstartups-selectionnes-pour-le-startup-project-de-laacc-ludecam-et-cap-
digital/newsletter_id=201115/
31. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 31
TALENT DAY – 31/12/2015
Après la participation de FlameFy à Talent Day, et la conférence donnée sur le Big
Data, le site web de l’événement reporte cette participation dans un article
Cette année 2015 aura marqué un tournant dans l’histoire du Talent Day avec la mise en exergue d’un
axe éditorial fort autour de deux thématiques en vogue dans l’univers de l’innovation et de la création
numérique : la DATA et l’IMMERSION.
Cela se traduisait par une forte fréquentation dès les premières heures de la manifestation à
l’occasion d’une conférence de haute volée consacrée aux enjeux de la nouvelle industrie des images
immersives co-animée par deux experts Marc Bourhis (Istorylab.com) et Alexandre Jenny,
cofondateur de Kolor. Ce dernier, dirigeant d’une société grenobloise rachetée au printemps 2015 par
GoPro, pilote désormais la destinée des logiciels édités par le leader mondial des « action-cams ».
Lors du Talent Day, il a pu distiller auprès d’un public de professionnels avertis un peu de sa
connaissance très fine du marché actuel des images 360. Pour Alexandre Jenny : « tous les ingrédients
sont notamment réunis pour que l’année 2016 soit celle de l’explosion de la vidéo 360 et d’un réel
marché des contenus immersifs de qualité qui pourront être vu à l’aide de casques virtuels grand
publics plus que confortables que jamais ».
Les images immersives dans lesquelles le spectateur plonge et déambule à sa guise nécessitent
également une nouvelle forme de narration, qu’elle ait la forme linéaire du récit ou celle plus
interactive du jeu. Le Talent Day 2015 a aussi permis d’explorer cette nouvelle grammaire des images
au travers des témoignages de pionniers du genre comme Pierre Zandrowicz, cofondateur d’Okio
Studio sans doute l’agence de production audiovisuelle la plus en pointe sur les tournages de
documentaires et fictions basées sur des prises de vues à 360 ou encore celui de Sylvain Joly,
Directeur artistique d’Apelab, un studio d’animation genevois qui peaufine actuellement une fiction
animée interactive de plusieurs épisodes dont le scénario varie selon les actions du « spect-acteur » à
l’intérieur des scènes.
Les images immersives étaient aussi au cœur de l’espace d’exposition via différentes démonstrations
comme celle du logiciel Klynt qui, après avoir permis pendant plusieurs années aux professionnels de
réaliser des vidéos interactives sur le web en HTML5, offre dorénavant la possibilité de construire une
navigation interactive parmi des vidéos 360.
32. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 32
De même, le talent Day 2015 était l’occasion de découvrir les dernières innovations techniques en
matière de simulation de mondes virtuels évolutifs et collaboratifs réservées aux applications
industrielles via le démonstrateur Nucleus VR. Les utilisateurs de Nucleus VR situés d’un bout à l’autre
de la planète peuvent en effet se réunir et interagir au cœur d’un environnement virtuel via l’une des
plateformes VR en ligne déjà disponibles comme Oculus, Gear VR, Android VR, Google Tango VR ou
castAR.
La Données au cœur de la valorisation des contenus
Un autre domaine investi autant par les acteurs de la création de contenus numériques que de
l’industrie est celui de l’analyse et de la visualisation des données. Les éditeurs de contenus ont
aujourd’hui recours à des algorithmes d’analyse d’audience de plus en plus sophistiqués et
dynamiques permettant de disposer de Dataviz qui facilitent la valorisation des contenus en temps
réel et via une multitude de vecteurs de distribution.
La start-up Flamefy, présente au Talent Day 2015, offre de ce point de vue une des approches les plus
avancées en la matière, car sa plateforme SaaS n’occulte aucun medium dans son corpus d’analyse
algorithmique. Flamefy propose une approche globale de monétisation des contenus comme
récemment au portail VOD dédié aux reportages Spicee. Autres acteurs de ce domaine de la
monétisation des audiences, Righster, et Vidcoin étaient venu quant à eux au Talent Day pour
montrer chacun leurs approches respectives plus ciblées sur le datamining des audiences
respectivement des réseaux de partage vidéo et des plateformes de jeux en ligne. Il était intéressant
en particulier de voir comment, d’acteur traquant les usages illicites des vidéos de grandes marques
sur youtube, Righster est devenu un agrégateur de contenus capable de créer de véritables portails
audiovisuels autour des thématiques fortes du web en se basant principalement sur les performances
des « youtubeurs »…
Les données sous forme de Dataviz facilitent également le travail des grands acteurs de l’industrie
traditionnelle. Ainsi, l’agence Bakasable, spécialisée dans le design d’interactivité et les Dataviz sur-
mesure, présentait au Talent Day sur un grand écran tactile ses dernières cartographies dynamiques
d’interactions qui relient les acteurs d’un marché ou les participants d’un événement entre eux. Sur la
base de ces visualisations, Bakasable propose ensuite aux institutions publiques ou aux entreprises
d’optimiser leur prospection commerciale, de cartographier des compétences ou de faire de la
recherche documentaire plus efficacement. Pour mieux faire connaître ses « Smart Data », Bakasable
vient d’ailleurs de lancer un nouveau service en ligne opensource baptisé Backamap qui permet de
tester gratuitement ses outils à partir de ses propres données.
Le Talent Day 2015 était un véritable « hub » pour les acteurs de l’analyse et de la visualisation des
données, puisque d’autres agences talentueuses spécialisées dans la Dataviz comme 10h11, auteur
entre autres d’un Livre blanc de la DATAVIZ étaient venues à Lyon parler de leur métier. De même, le
spécialiste de l’analyse sémantique et de la rédaction automatique Syllabs venu expliquer le
fonctionnement de ses robots rédacteurs qui furent utilisés récemment par le Journal Le Monde lors
des élections régionales afin de rédiger une bonne partie des articles de synthèse autour des
résultats. Pas de doute, le Talent Day 2015 était le lieu de confluence des données et des contenus…
Marc Bourhis
Vous voulez aller plus loin ? Découvrez le billet d’étonnement de notre partenaire l’ARDI Rhône-
Alpes sur le Talent Day 2015.
34. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 34
COMMUNIQUÉ DE PRESSE INCUBATION TF1 –
12/2015
De nombreux médias reprennent et commentent le communiqué de presse qui
annonce l’incubation de FlameFy au sein du programme de TF1 : Business Immo,
CBNews, Digital Business News, FrenchWeb, ITespresso, ITRNews, Offre Media, Next
Finance, Top Outremer
Liste des articles : Business Immo, CBNews, Digital Business News, FrenchWeb, ITespresso, ITRNews,
Offre Media, Next Finance, Top Outremer
Huit start-ups sélectionnées pour intégrer le programme d’incubation lancé par le
Groupe TF1 et Paris&Co
Huit start-ups ont été sélectionnées dans le cadre de l’appel à candidatures du programme
d’incubation « Nouveaux produits et services de TF1 ». Les start-ups de cette première promotion
seront accueillies dès la mi-décembre 2015 dans le tout nouvel incubateur de Paris&Co, LE CARGO,
dédié aux industries numériques culturelles et créatives.
Les huit entreprises sélectionnées proposent des services ayant tous une résonnance forte avec au
moins l’une des divisions métiers du groupe :
Beyable, amélioration, conversion et optimisation du trafic e-commerce :
BEYABLE est une suite d’outils d’engagement et de reciblage sur-site qui permet aux e-commerçants
et aux marques d’augmenter la conversion de leur site web/mobile grâce à une personnalisation
d’offres en temps réel, y compris pour les visiteurs inconnus. La technologie de BEYABLE offre des
solutions Big Data d’analyse comportementale et prédictive.
Flamefy, solution de recommandation et diffusion d’audience transmédia :
Insightful Audience Activation – Flamefy développe une solution logicielle pour permettre de mieux
comprendre son audience pour l’engager avec intelligence. Face à une audience de plus en plus
fragmentée, comment trouver les utilisateurs qui s’intéressent véritablement et durablement à vos
contenus ? FlameFy répond à cet enjeu en détectant et convertissant, depuis les canaux online et
offline, les intérêts de multiples audiences. Le secret réside dans l’analyse de smart data permettant
la distribution en temps réel de vos contenus contextualises et personnalisés. L’ensemble de ces
données récoltées est accessible dans notre plateforme SaaS afin de vous permettre de piloter votre
communication, prendre les bonnes décisions et optimiser votre monétisation.
Gaminho, le mobile gaming pour communiquer différemment :
Gaminho est un studio de développement de jeux de sport sur mobile fondé par deux frères
entrepreneurs et grands amateurs de sport. La société souhaite devenir un acteur majeur de ce
marché, en développant des jeux innovants et immersifs, au plus proche de l’écosystème sportif. Le
studio met d’ailleurs ses jeux à disposition des acteurs et annonceurs du sport qui souhaitent profiter
de l’essor exponentiel du mobile gaming pour communiquer, vendre leurs produits ou faire vivre
leurs communautés. Plusieurs partenariats ont été conclus dans le cadre d’événements sportifs
majeurs avec des médias français (ex : l’Equipe, TF1) ainsi que plusieurs clubs professionnels (ex : Top
14). Au-delà des sports dits traditionnels (ex : football, rugby, tennis), Gaminho reste très attentif aux
tendances sportives émergentes (ex : e-Sport, foot à cinq..) et leurs écosystèmes spécifiques. Les
projets de demain sont déjà en préparation !
Glory4Gamers, conjuguer la passion du sport, du jeu vidéo et des nouvelles technologies
Glory4Gamers est le spécialiste des compétitions de jeux vidéo en ligne dites « e-sport ».
Concrètement, il s’agit d’une transposition de l’univers des compétitions sportives au monde des jeux
vidéo. Grâce à la technologie développée depuis plus de 3 ans, Glory4Gamers propose à tous les
joueurs de découvrir l’e-sport dans les mêmes conditions que les joueurs professionnels.
Glory4Gamers est en charge de l’e-sport de Sony PlayStation et de Micromania en France et touche
déjà plusieurs millions de joueurs.
35. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 35
Lucette, cosmétique & beauté pour une communauté qualifiée :
Lucette.com est le premier site qui propose des recommandations de produits cosmétiques et de
routine beauté personnalisées et indépendantes, grâce à un algorithme. Notre algorithme calcule le
score d’affinité de chacune de nos utilisatrices avec tous les produits cosmétiques des différentes
marques pour les aider à choisir ceux qui leur correspondent le mieux.
My Hobby Box, de l’initiation à la formation en passant par le coffret découverte :
La start-up My HobbyBox veut devenir l’acteur de référence sur différents segments du marché des
loisirs : la dégustation de vin, la cuisine, le théâtre, le chant, la danse, l’aventure. Elle propose pour
cela 3 types de produits et services à ses clients : le discovery e-commerce (abonnement box), les
cours et ateliers en présentiel, et l’e-learning. My HobbyBox a commencé par se lancer sur la verticale
Oenologie et s’est déjà imposé en 3 ans comme le leader de l’initiation à la dégustation de vin en
France avec trois activités : les abonnements vins My VitiBox, les cours d’oenologie Prodégustation, et
l’e-learning My VitiAcademy (au total, 20 000 clients formés à la dégustation de vin en 2015).
Nunki, vivre et partager l’information autrement
Grâce à son application mobile, Nunki propose au grand public de vivre l’actualité aux côtés de ceux
qui sont sur place, au cœur des événements. La technologie repère, agrège et organise en temps réel
les meilleurs contenus visuels qui font l’actualité. Au-delà de son application mobile, Nunki propose
une technologie de détection de contenus postés sur les réseaux sociaux ayant une valeur
informative ou un intérêt marketing à destination des entreprises.
Tiltology, la vidéo interactive et partageable :
« Créez & Partagez des vidéos interactives » Tiltology est une solution vidéo qui permet d’interagir et
de créer une nouvelle expérience.
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FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 37
NEWSTANK – 18/01/2015
Le site web Newstank publie une sélection de ce qu’il faut retenir des conférences de
l’événement « International Museums, Cilture and Tourism exhibition », où FlameFy
est intervenu en tant qu’invité
Source : http://culture.newstank.fr/fr/article/printable/59980/sitem-inscrire-musee-territoire-
dehors-expositions-temporaires-pierre.html
38. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 38
LE JOURNAL DU NET – 28/01/2016
Le journal online spécialisé dans l’économie digitale Le Journal du Net publie un
article exclusif pour annoncer la levée de fond de FlameFy
Source : http://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing/1172023-confidentiel-flamefy-leve-
700-000-euros-pour-automatiser-les-campagnes-marketings/
41. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 41
#MaddyMoney : L’écosystème startup français a levé près de 42 millions d’euros
cette semaine
Chaque vendredi, Maddyness vous propose un récapitulatif des levées de fonds qui ont agité
l’écosystème startup français durant la semaine. Cette semaine, 14 opérations ont permis de lever
41,78 millions d’euros, notamment grâce à la plus importante levée de la semaine : celle de
Cedexis.
La plus importante levée de la semaine est donc celle de Cedexis, avec 22,8 millions de dollars. La
solution de monitoring et d’amélioration de la qualité d’expérience des sites et applications web
entend bien accroître sa présence internationale avec ce tour de table auquel ont participé des
investisseurs comme Ginko Ventures, la branche financière de Foxconn Technology, NGP, Citrix
Systems Ventures mais également les investisseurs historiques que sont Advanced Technology
Ventures et Madrona Ventures.
Viennent ensuite celles de Weekendesk (5 millions d’euros) pour devenir le leader européen de la
réservation de courts séjours, d’Aircall (2,75 millions de dollars) pour développer son call center en
cloud, ou encore celle d’ECO GTB (2,3 millions d’euros) pour que ce spécialisée de l’efficacité
énergétique des bâtiments et de leurs équipements poursuive son développement commercial. La
plus récente est la levée de Cariboo – une société qui met en relation touristes et locaux – que les
fondateurs ont annoncée à Maddyness aujourd’hui avec 170 000 euros obtenus auprès de
trois investisseurs dont Sébastien Forest, fondateur d’Allo Resto et Klaus Nyengaard (ex-pdg de Just
Eat).
Les autres actualités financières qui ont marqué la semaine :
• Programmatique : AOL a annoncé l’acquisition de la plateforme programmatique AlephD,
spécialisée dans l’optimisation de la monétisation publicitaire et l’analyse des données pour
les éditeurs
• Après ISAI, un autre fonds d’entrepreneurs a vu le jour : Side Capital, qui embarque 17
entrepreneurs tels que Charles Egly (Prêt d’Union), Olivier Mathiot (PriceMinister), Frédéric
Mazzella (BlaBlaCar) ou encore Thierry Petit (ShowroomPrive.com). Leur premier
investissement : la startup Regaind avec un apport de 400 000 euros
42. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 42
• Le groupe HighCo a fait l’acquisition de la jeune entreprise innovante CapitalData, spécialiste
de la data marketing automation
• Le Français JohnPaul fusionne avec l’Américain Les Concierges pour développer davantage
les services de conciergerie
• Le groupe Menway rachète la start-up Yupeek, une société lorraine dédiée à l’insertion
professionnelle des étudiants et jeunes diplômés français.
• IdInvest partners participe à un tour de 4 millions d’euros pour la startup Peakon, une
plateforme qui permet de mesurer et d’améliorer l’engagement des employés
• BrandTech : FiftyFive, l’agence spécialisée dans le data marketing, rejoint le projet You & Mr
Jones, premier groupe de BrandTech au monde, lancé il y a moins d’un an.
Source : http://www.maddyness.com/finance/levee-de-fonds/2016/01/29/maddymoney-29-janvier/
44. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 44
WIDOOBIZ – 29/01/2016
Publication d’un article sur le site Widoobiz pour annoncer la levée de fond de
FlameFy
FlameFy lève 700 000 euros pour asseoir son leadership à l’international
La startup franco-chinoise FlameFy annonce une levée de fonds, d’un montant de 700 000 euros
pour accélérer sa croissance et se développer à l’international.
FlameFy fait rêver les médias du monde entier. La startup créée en 2013 a conclu en décembre 2015
une levée de fonds de décollage (seed funding) de 700 000 euros auprès de plusieurs serials
entrepreneurs asiatiques. L’objectif : consolider la R&D et développer les ventes à l’international.
Soutenue par BPI, FlameFy est également lauréate de Scientipole. Elle est incubée au sein de la
nouvelle structure de Paris & Co, lancée en partenariat avec TF1. Elle intègre également l’incubateur
de Pékin. Une double culture qui l’a poussée à développer ses équipes à la fois à Paris et à Pékin. La
startup prévoit d’ouvrir un bureau à Singapour dans les mois à venir.
La plateforme SaaS FlameFy permet aux médias de mieux comprendre leur audience. Sa technologie
basée sur les smart data calculée en temps réel, identifie les différentes communautés en un temps
record. Résultat, les chaînes peuvent automatiser l’orchestration de stratégie marketing sur tous les
canaux mis à sa disposition. En clair, elle distribue le bon contenu, à la bonne personne, au bon
moment.
Alibaba et The Economist au comité stratégique de FlameFy
Ce qui donne à la startup franco-chinoise une force de frappe exceptionnelle. Aujourd’hui, FlameFy a
déjà séduit de nombreux médias, agences, marques et producteurs de contenus TV, web et cinéma,
tels que France Télévisions, Canal+, Spicee, l’INA, BFM TV, MEC, Glory Paris. Avec cette levée de
fonds, d’autres chaînes devraient succomber à l’offre de FlameFy. C’est en tout cas ce qu’on lui
souhaite. Fondée par Jessica Xu et Cédric Monnier, vétérans de l’industrie du jeu et de la télévision,
FlameFy s’est dotée d’un comité stratégique constitué de personnes influentes du métier des médias
et des nouvelles technologies. On retrouve notamment l’entreprise Alibaba de Jack Ma et le journal
The Economist.
Source : http://www.widoobiz.com/a-la-une/flamefy-leve-700-000-euros-pour-asseoir-son-
leadership-a-linternational/66181
51. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 51
UNIVERSDOC – 17/02/2016
Dans un article sur la data visualisation, le blog UniversDoc mentionne FlameFy
Visualiser pour mieux comprendre
La visualisation des données est un processus ancien, dont la cartographie est l'une des disciplines
fondatrice. Le développement du big data et de l'open data ont apporté un nouvel engouement pour
datavisualisation qui devient un outil incontournable d'accès aux données, d'analyse de l'information et
de la communication. Les camemberts statistiques et autres représentations graphiques ont fait place
aux graphes de connaissances et cartes heuristiques...
Les outils de visualisation facilitent l'exploration et l'interprétation des résultats des données de masse
dans tous les domaines. Comment contribue-t-elle à améliorer la prise de décision, à communiquer plus
clairement, à faciliter la médiation documentaire, à développer la stratégie marketing ou l'e-réputation ?
La revue I2D a fait un état des lieux très complet qui présentent les principes, les usages et les outils.
La formalisation et l'accessibilité des données s'est fortement développée : les données deviennent de
nouvelles entités à comprendre et explorer grâce aux outils de datavisualisation dont l'enjeu principal
est de traduire des données sous forme visuelle pertinente, simple et didactique.
La datavisualisation est très répandue en entreprise pour l'aide à la prise de décision. Les graphiques
permettent aux décideurs d'examiner rapidement les données et de réduire le temps de compréhension
des informations essentielles. La startup Flamefy développe un service marketing pour assister la prise
de décision grâce à la collecte, corrélation et consolidation de tous les contenus accessibles sur un
média numérique afin de les analyser dans le cadre d'un modèle économique de valorisation et de
monétisation des données. Comme le dit Etienne Armand Amato "la démultiplication des gisement de
données, impose de rendre tangibles et utilisables toutes ces informations que produit la complexité des
mondes numériques et physiques".
La recherche de créativité dans la représentation des données se retrouve dans l'essor du journalisme
de données ou datajournalisme inspiré de l'infographie. La presse s'empare de ces nouvelles écritures
comme The Guardian ou Le Parisien qui a mis en place au sein de sa rédaction une équipe chargée de
datavisualisation. La plateforme IRL des Nouvelles Ecritures de France Télévisions propose un
programme court hebdomadaire également disponible sur YouTube exemplaire : "Datagueule". En
quelques minutes, chaque vidéo utilise des données animées pour décrypter un fait de société
méconnu ou qui dérange. Le mécanisme d'un problème est déconstruit pour comprendre pour quoi
nous en sommes arrivés là, le tout traité avec un humour incisif.
Le 11 avril prochain sera l'occasion de faire le point sur ces enjeux de traitement de l'information : le
GFII propose son 5ème séminaire DIXIT consacré au panorama des usages de visualisation de
données. Les professionnels de la veille et de la business intelligence partagerons leurs expériences.
Les compétences mobilisées seront également questionnées : de l'ergonomie de l'information à la
qualité des données choisies ? Comment faire le bon choix entre simplification des données et
compléxité des phénomènes ? Comment articuler ces nouveaux livrables avec les livrables traditionnels
de l'analyse stratégiques ?
La démocratisation des données ouvertes et des outils implique une attention capitale à la transparence
et à la fiabilité des données et à leur interprétation. La dataviz est un regard avec un point de vue et
ouvre des perspectives de connaissances immenses. Pour les Parisiens quelques exemples parlants
: DataParis et Apur.
Source : http://bloguniversdoc.blogspot.fr/2016/02/visualiser-pour-mieux-comprendre.html
52. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 52
ZUMA – 10/03/2016
Interview de Cédric Monnier sur le blog de Zuma Paris
FLAMEFY UTILISE LA SMART-DATA POUR FACILITER LE STORYTELLING
Article du 10 Mar 2016 par Marie Frezel
Rencontre avec Cédric Monnier, CEO de FlameFy, start-up franco-chinoise qui a lancé en 2013, une
solution optimisée pour la construction d’une audience durable.
1. Bonjour Cédric, peux-tu nous expliquer comment vous est venu l’idée de créer Flamefy et pour
répondre à quels besoins ?
FlameFy est né d’une immense frustration dans notre travail quotidien, lorsque notre co-fondatrice et
moi même travaillions dans d’importantes sociétés éditant du contenu (TV et jeux en ligne). Tous les
jours, nous voyions disparaître des parts d’audience, aspirées par le web et les nouveaux usages
mobiles. La surabondance de contenus gratuits (Youtube, Facebook, etc) concurrençait en
permanence notre cœur de métier et les ad-blockers mettaient en péril notre business model.
Nous nous sommes aperçus du réel manque de solutions qui s’offraient à nous, c’est pourquoi nous
avons fait le choix de créer nous même un outil pour redonner du sens et une vraie valeur à la
relation entre les entreprises et leurs clients lors de leurs actions de communication.
Education, information, divertissement, jeux, tous les contenus vidéo et interactifs ont une valeur qui
doit justifier le coût de leur production. Nous avons alors adopté et transformé en logiciel le vieil
adage : « on ne peut pas plaire à tout le monde » : notre idée étant d’utiliser des technologies big
data pour trouver les bonnes audiences et les engager intelligemment, sur tous les réseaux et
plateformes numériques.
2. Quels sont vos principaux clients et sur quelles problématiques travaillez-vous ?
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FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 53
À l’image de mon associée et moi-même, nos clients peuvent venir d’horizons très larges. La
problématique à laquelle répond FlameFy se pose à toutes sortes d’organisations d’univers et de
tailles très différentes car aujourd’hui tout le monde est producteur de contenu !
Toutefois, notre principal marché vise les médias professionnels (TV, radio, presse, cinéma,
plateforme VaD), ainsi que, de plus en plus, des marques qui font produire par ces même medias du
contenu dédié (brand content).
La solution FlameFy s’adresse alors à chaque acteur de la chaine de valeur : auteurs, créateurs,
producteurs, diffuseurs, etc. Notre objectif principal est de rendre les milliers de données collectées
« intelligentes » pour permettre à nos clients de les exploiter sans avoir besoin d’être des experts en
informatique.
En simplifiant l’aspect technologique, le logiciel permet à nos clients de se reconcentrer sur leur
message et de construire un storytelling cohérent, multi-canal, et qui intervient au plus proche de
chacun de leurs consommateurs. Nous travaillons à rendre cela de plus en plus simple et rapide, et à
imaginer de nouveaux moyens d’enrichir le besoin d’information de nos clients, notamment en axant
nos recherches sur la prédiction.
3. Flamefy vient d’annoncer avoir levé 700 000 euros dans le but d’atteindre son objectif : la
croissance à l’étranger. C’est une success story ?
Sans doute est-ce précipité de parler de success story. Nous sommes avant tout une startup, et nous
tâchons d’apporter des solutions innovantes dans un environnement sans cesse plus complexe.
Jusqu’à aujourd’hui nous nous sommes développés depuis l’Île-de-France, avec le fort soutien de BPI,
de notre incubateur Paris & Co et nous sommes depuis décembre entrés dans l’incubateur du groupe
TF1. Cette assise française nous permet de construire l’avenir en étendant notre offre à l’international
sur les marchés les plus prometteurs.
D’abord à l’Est en Asie : car mon associée chinoise connaît bien le contexte local, la spécificité de ses
réseaux, des usages, et les opportunités croissantes. Nous avons ouvert un bureau à Pekin et
Shanghai en 2015, avons des liens privilégiés avec les réseaux sociaux locaux et voyons les premiers
gros projets se développer.
Ensuite à l’Ouest avec les USA : car si la France n’est pas en reste quand il s’agit d’innovation, les
grands groupes restent frileux et peinent à sortir de l’immobilisme de recettes traditionnelles. La
culture marketing est différente aux Etats-Unis, mais au-delà de ça, le marché est bien plus
concurrentiel ! Cela les rend à la fois plus ouverts aux nouvelles solutions innovantes mais aussi
intransigeants en terme de résultats.
En faisant ce pari de l’international, FlameFy s’enrichit d’expériences, de pratiques, d’idées diverses et
nouvelles. Cela développe notre expertise et notre logiciel pour proposer une solution qui s’adapte
aux technologies et aux usages en direct ! Nous sommes confiants pour le futur, et la levée de fonds
traduit la même confiance des investisseurs envers le logiciel. Grâce à ces fonds notre société va
grandir plus vite, et peut-être alors pourrons nous parler de success story !
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FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 54
4. Un mot pour la fin ?
Je dirais simplement que nous sommes en train de vivre une réelle révolution dans l’univers du
digital. Il me semble essentiel pour les marques et les médias (qui n’ont de cesse de se confondre) de
comprendre et de s’adapter aux changements qui s’opèrent. Les audiences se fragmentent, les
contenus et leurs canaux se multiplient, la tension publicitaire se fait de plus en plus forte, les
consommateurs en rejettent les formes traditionnelles. Mais ils n’ont cependant sans doute jamais
autant éprouvé le besoin d’exprimer qui ils sont au travers de leurs choix ! Quelles séries ils
regardent, quelles chaussures ils portent… Les identités des consommateurs se structurent grâce à de
petits récits spécifiques aux différentes tribus, qu’elle soit culturelle, sportive, musicale, etc.
On comprend alors l’importance pour les marques de soigner leur storytelling. Elles doivent apporter
une réponse à cette demande et construire un rapport nouveau avec leurs audiences. Ce changement
de relation incite les marques à innover, à communiquer autrement, à jouer la transparence et le
parler vrai, à créer une connexion avec empathie et générosité afin de fidéliser leurs clients. Elles
cessent d’interrompre seulement les contenus que les consommateurs apprécient, elles doivent
devenir ce que les gens apprécient.
Mais tout cela n’est possible que si l’on connaît son audience, et si l’aspect technique des smart data
se simplifie et laisse la place à imaginer les scénarios qui tisseront les liens avec elle. Somme toute
une belle feuille de route pour FlameFy !
Twitter : @flamefycorp • http://flamefy.com
Source : http://info.zumaparis.com/blog/interview-flamefy
55. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 55
MY BUSINESS PLAN – 22/03/2016
Le site web My Business Plan publie une interview de FlameFy à propos de
l’expérience de la levée de fond
Un facteur humain à ne pas sous-estimer pour une levée de
fonds
Pour obtenir une levée de fonds, la valorisation relève d'un caractère important. Elle constituera la
base des discussions et des montants apportés par les investisseurs. Selon les entreprises, les critères
de la valorisation seront différents.
Flamefy a par exemple effectué cette démarche. Startup spécialisée dans l'édition d'un logiciel en
mode SaaS offrant une solution de marketing prédictif pour les médias et des marques, elle a levé 700
000 € en début d'année. Leur technologie, basée sur l’analyse temps réel de smart data, permet de
gérer et optimiser les audiences multi canales.
Cédric Monnier, CEO et fondateur de Flamefy, nous livre les secrets de cette levée de fonds.
Pas d'intermédiaire dans l'accompagnement de la levée de fonds
Pour notre levée de fonds pre-A, nous avons géré nous même le processus, mon associée fondatrice
ayant un background en finance. Nous avons privilégié notre réseau et ciblé des entrepreneurs ayant
réussi dans le monde digital. La nécessité d’un contact direct avec nos futurs investisseurs, afin
d’établir une forte confiance, nous a convaincu de ne pas prendre d’intermédiaires.
Une levée de fonds pour le développement à l'international
Cette levée s’inscrit dans le plan classique de la croissance d’une startup : ayant fait la preuve de
notre marché dans notre pays, nous levons pour commencer l’internationalisation. La croissance
étant liée directement au ‘time to market’, notre levée a pour principal but stratégique de pouvoir
recruter à l’étranger. C’est pour nous la dernière étape avant une levée ‘serie A’ où nous nous
adresserons alors à des capital risqueurs, pour une logique et des attentes de forte croissance. Pour le
moment, nous n'avons pas eu de propositions de rachat.
Pas seulement une relation d'argent avec les investisseurs
Sur toute levée, les apports doivent être multiples : l’argent bien sûr est important (et la valorisation
est donc extrement importante) mais il faut aussi que les investisseurs puissent apporter conseils et
donner un accès à leur carnet d’adresse. Nous établissons une relation à long terme, donc les apports
seront multiples et différents années après années.
56. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 56
La valorisation de l'entreprise qui dépend de l'équipe et du produit offert
La valorisation est toujours un calcul complexe et dépend largement du marché, de l’étape de
croissance dans la vie de l’entreprise (start-up, scale-up, etc). Outre les assets de base (revenus,
propriété intellectuelle, produit), il convient de bien démontrer la traction et de bien connaître son
marché. Il n’y a pas de formules miracles (seulement des bases de calcul !). Donc il faut bien valoriser
l’équipe et démontrer que la traction annoncée est non seulement réelle, mais due à la qualité de
l’équipe et au produit offert. C’est un couple gagnant et souvent indissociable.
Un facteur humain à prendre en compte pour réussir
Pour conclure, dans une levée de fonds, ce sont deux parties qui se choisissent ! Ne pas hésiter à «
être difficile » car l’association va durer plusieurs années, donc l’adéquation entre les parties doit
être forte. C’est une aventure humaine, donc il est impératif de bien estimer le facteur humain.
Source : http://www.my-business-plan.fr/levee-de-fonds-startup-flamefy
59. PRESS BOOK 2014/2017
FlameFy – une solution éditée par la société M.E.I. Group – SIRET 79058946900010 59
COMMUNIQUÉ DE PRESSE CNC – 18/05/2016
Pendant le festival de Cannes, le CNC annonce une conférence durant laquelle
FlameFy est invité à intervenir
New distribution and marketing models in the
on-demand age
Cannes Film Festival
May 18, 2016 from 3pm to 6pm
The emergence of Video on Demand has been a growing theme at the Cannes Film Festival
and the Marché du Film for the last two or three years. Everyone knows it will be an
essential part of the film economy and major global VOD platforms have begun to exert
their influence over sales and distribution. But the final shape of the market is not yet clear
and the balance between threats and opportunities for rights-holders is still hotly debated.
The French National Cinema Centre (CNC) brings together publishers, producers,
aggregators, distributors, international sales agents and marketing agencies to discuss the
emerging distribution and marketing models in the on-demand age.
Traditional theatrical distribution is no longer a high road to launch a film. Cinema is unique
in its way, but not necessarily more important to film audiences than any of the emerging
video-on-demand services. While the VoD marketing is maturing, the appetite for original
content is increasing. In that context, the line between the old world order and the VoD
industry is blurring. This phenomenon creates great opportunities for rights-holders, but also
challenges. Windows are collapsing and producers need to have a far better understanding
of how and where their work could be exploited in the best way.
First, direct distribution becomes an increasingly popular model that is now set against
traditional distribution through distributors. Secondly, new players emerge between
producers and VOD platforms, like content aggregators. How do sales agents and
distributors respond to the growing on-line market, and how do content aggregators and
digital platforms anticipate further growth? What is their impact on release strategies?
If audience demand for content is higher, it is also much more fragmented. In this context, it
becomes challenging to reach the right audience at the right moment. What are the best
marketing and promotional tools to build a digital audience? What are the key indicators to
take into account? How to use data to create targeted marketing campaigns? What is the
future of branded content? What about guerilla marketing?
Who is speaking?
Moderator
Michael Gubbins (Sampomedia, Film Agency for Wales)
Speakers
Bobby Allen (Mubi, VP of Content)
Ariane Buhl (Gaumont, Digital Sales Manager)
Jérôme Chung (Under The Milky Way, Co-Founder)
Ira Deutchman (Deutchman Company, professor at Columbia University)
Tristan du Laz (TF1 Studio, Manager)
Cédric Monnier (FlameFy , CEO)
Ridhima Lulla or Pranab Kapadia (Eros Itl)
Source : cnc_conference_-_new_distribution_and_marketing_models_in_the_on-demand_age.pdf
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CINEUROPA – 21/05/2016
Le site web Cineuropa publie un article sur la conférence du CNC et mentionne
FlameFy
“The medium is the message.” This stirring quote by visionary crackpot Marshall McLuhanopened
multi-talented Ira Deutchman’s enlightening introduction to a strategic discussion on new
distribution and marketing models in the on-demand age. The focus of this new meeting organised by
the CNC was on the media themselves, rather than the content they carry, and a quick excerpt
from Woody Allen’s Annie Hall was all it took for Deutchman to gain the audience’s attention. His
academic approach was key to an in-depth analysis of how HBO first, and Netflix and Amazon later,
revolutionised the way we think of television and how film distribution works. As Frank
Rose theorised: “If stories are universal, the way we tell them changes with the technology at hand.
Every new medium has given rise to a new form of narrative.” The transition from invention to art has
proven to require approximately 25 years, but new data-driven services such as Amazon or Netflix
have much more information to work with, so they will need less than that to complete the cycle – 27
years after HBO was founded, The Sopranos set the stage for what everybody called “the television
renaissance”, which was not television any more; it was HBO.
To showcase the diversity of VoD services available on the market, experienced analyst, journalist and
consultant Michael Gubbins moderated the panel focusing on how we get onto these channels, how
we integrate VoD into the way we sell, produce and make the films accessible, and finally, how we
connect to audiences once we are out of the festival markets. The starting point is to think differently
about content because, just like water, it will sit at a different level according to the platform. New
business models and delivery technology will inevitably lead to new forms of content but also to a re-
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categorisation of content. Within Europe, the rules put in place to protect theatrical distribution are
going to be an issue as VoD grows. But it is not a theatrical-vs-VoD or old-world-vs-new-world type of
market. In fact, Bobby Allen, VP content and business development at MUBI, uses the momentum
generated by the theatrical release to get a 30-day exclusive on his platform, adhering to the belief
that “great cinema has to exist both in the cinema and in your household, giving you the chance to
choose”.
Jason Ropell, worldwide head of motion pictures at Amazon Studios and Prime Video, knows only too
well that windows will evolve over time, and Amazon needs to look for strategies that work for its
customers and overcome the legal restrictions and variations within Europe. Gubbins joked about the
fact that “Amazon knows what my wife wants for Christmas better than I do”, introducing the key to
success in the VoD market: data that can be used to measure the interest of the audience. Cédric
Monnier, CEO of FlameFy, works in the area of empowering media to build and manage a solid
audience, and optimise their marketing strategy using data calculated in real time. His business model
is based on the notion that his clients need only four or five data references to make decisions on a
daily basis, and while collecting data is quite easy today, using it to reach your audience can be very
intricate.
To facilitate the process of releasing and exploiting feature films, Jérôme Chung co-founded Under
the Milky Way, a feature-film aggregator that ensures the operational, editorial, marketing and
financial interfaces between the rights holders and the VoD platforms. In a complex and crowded
international system with several distribution options like iTunes, the Sony Entertainment Network,
Google Play, Amazon Instant Video, Netflix and Xbox, to name the most commonly used, it’s
becoming very profitable to look at the domestic markets and use the data one collects to address a
specific niche, which sometimes means millions of people. Tristan Du Laz, deputy CEO at TF1 Studios,
launched a new label called E-Cinema, dedicated to the internet release of feature films. Supported
by Wild Bunch, one of the world’s leading players in the field of international sales, E-Cinema aims to
reach French film enthusiasts, wherever they may be, and allow them to enjoy a film without having
to worry about its fleeting theatrical life.
VoD releases have become increasingly strategic, and even big players like Spike Lee(Chi-Raq via
Amazon) and Paul Thomas Anderson (Junun via Mubi) have decided to make use of these platforms.
While a quick VoD release can help filmmakers to make the most of the momentum generated by the
awards and reviews received at film festivals, there is still a lot of scepticism from sales companies
that would rather try to maximise their deals. Many guests in the audience also pointed out that,
while DVDs took off extremely quickly, the small players in the VoD market are still struggling to
generate any profit. In order for this powerful system to really work, all the professionals in the film
industry have to look beyond the current models and be open to innovation, understanding that, in
Marshall McLuhan’s words, “The user is content.”
Source : http://cineuropa.org/nw.aspx?t=newsdetail&l=en&did=309788
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THOT CURSUS – 31/05/2016
Dans une interview donnée au site de la culture numérique Thot Cursus, le journaliste
Thomas Huchon mentionne FlameFy
Thomas qui êtes-vous ?
Je suis journaliste depuis 2002. J’ai commencé au départ par la presse. Au fur et à mesure de mes pérégrinations,
je me suis retrouvé à faire de l’image à la fin des années 2000. J’ai toujours travaillé sur internet. Et finalement,
pour moi, le média n’a pas beaucoup d’importance.
L’important ce sont les sujets que l’on arrive à porter et les histoires que l’on arrive à raconter.
Internet permet tout ça : du son, de l’image, de la photo et de l’écrit. Sur internet, il n’y pas que
des choses géniales et merveilleuses mais il y en a aussi.
Depuis un an et demi, je travaille pourSpicee.com. C’est un nouveau média totalement digital qui
ne fait que de la vidéo. Nous avons l'outrecuidance de penser que les gens sont intelligents et qu’ils veulent de
l’intelligence. Ils veulent des reportages intéressants qui vont au bout du monde. En plus, on est persuadé qu’ils
sont d’accord de payer pour s’informer.
C’est pour dire à quel point on remet en cause le discours dominant actuel mais aussi l’image d’Epinal des
journalistes du XIX ème siècle. Dans cette petite bande de punks un peu utopiste, qui essaye de réinventer le
métier de journaliste, surtout le métier de grand reporter, et chercher à lui rendre ses lettres de noblesse, je
m’occupe d’un projet un peu particulier. C’est, à la fois un documentaire, à la fois une série de documentaires et
un projet pédagogique. Il s’appelle Conspi-hunter et on ambitionne de donner des outils afin de mieux se
prémunir et potentiellement lutter contre les théories du complot qui se développent sur internet.
Un journal c’est une identité, une histoire et une personnalité. Est-ce que vous pourriez nous donner une
définition de ce qu’est Spicee, nous expliquer comment le projet est né et à quels besoins il répondait ?
TH : Spicee répond à plusieurs demandes de la société française et du monde car on essaye d’exister en dehors
de nos frontières. Premièrement, c’est du grand reportage international. Il y en a de moins en moins sur nos
écrans télévisuels. C’est donner une vision du monde qui ressemble un peu plus aux valeurs républicaines et
citoyennes de notre pays. On souhaite, surtout, apporter une petite «french-touch» sur le documentaire.
On n’a pas la même manière de faire de l’information que les anglo-saxons. Ils dominent très largement les
médias et le marché international. Nous, on essaye de raconter le monde avec nos yeux de français.
Spicee, ce sont des vidéos épicées pour pimenter votre esprit.
En interne, nous avons la certitude que le public est intelligent et qu’il faut lui donner des choses en
conséquence. Il faut travailler le fond des sujets, travailler très dur sur le terrain pour obtenir des infos.
Il faut raconter les choses avec beaucoup de liberté. Chez Spicee, tu as la liberté du ton, du sujet et surtout du
temps. Tu peux produire un cinq minutes, un trente minutes ou un une heure trente. Pour les journalistes, c’est
un immense espace de liberté et en même temps d’une d'extrême exigence.
“Chaque petit pas de liberté que nous faisons en plus, nous oblige à faire trois pas d’exigence de plus aussi.”
On nous enlève des contraintes souvent très désagréables quand on a un peu d’expérience dans ce métier. On
arrive à trouver cet espace mais cela a un prix. Pour nous, c’est celui de la qualité et pour nos abonnés le fait de
payer pour s’informer.
Quelle est la philosophie de Spicee ?
TH : Spicee c’est avant tout une communauté, nous, on travaille en interne pour produire du documentaire. On a
beaucoup de collaborateurs à travers le monde. On est “marié” avec Babel press qui a 45 journalistes sur la
planète avec 4 bureaux : Islamabab, New Dheli, Rio de Janeiro et Miami. Tous ces gens qui travaillent très, très
dur sur le terrain, il faut les payer.
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On compte sur notre communauté, on compte sur les gens qui sont abonnés à Spicee : déjà pour regarder nos
documentaires mais aussi pour nous soutenir.
Spicee est une expérience, une tentative de donner un coup de pied dans la fourmilière et de réinventer le
journalisme. On est persuadé, même si on nous traite d’utopiste, qu’il y a de la place pour cela et donner
réellement du contenu de très grande qualité au public. Il attend cela.
Le fait que le site soit sans pub reflète votre éthique de journaliste ?
TH : L’un des fondateurs de Spicee Jean Bernard Schmidt, ancien rédacteur en chef de complément d’enquête et
des magazines de M6, a créé Spicee pour se libérer de la contrainte de l’audimat.
De l’autre côté Antoine Robin, l’autre fondateur de Spicee, a fondé Havast production qui était un outil de
communication. Ils ont décidé de faire leur truc avec leurs savoir-faire, leurs qualités, leurs défauts et retrouver
une forme de liberté en tant que producteur et patron de média. C’est, aussi, donner la possibilité à tout un tas
de gens qu’ils voyaient autour d’eux d’exister et de se révéler.
On va lancer très bientôt une nouveauté qui va s’appeller : Spicers.
“Spicers : ce sera le premier réseau social de journaliste au monde.”
C’est une partie de Spicee sur lequel n’importe qui va pourvoir proposer ses sujets qui seront financés par la
communauté via du crowdfunding mis en place sur la page. Les meilleurs sujets, tous les mois, seront poussés sur
la plateforme, seront accompagnés éditorialement par le rédacteur en chef et notre équipe en interne, par nos
monteurs comme techniciens ou comme moi le cas échéant. Cela risque de créer un petit bouleversement très
prochainement.
Vous êtes en train de créer une nouvelle forme de journalisme ?
TH : Oui, même si beaucoup de gens ont tenté de créer cette nouvelle forme de journalisme depuis quinze ans.
Je pense à Acrimed et à tout un tas de sites indépendants d’informations ou d’informations citoyennes. La
différence chez Spicee, derrière les manettes, il y a de très grands professionnels de l’information et surtout de la
vidéo. On s’en est tous rendu compte.
C’est peut-être ce qu’internet a apporté de mieux à la presse audiovisuelle. Tous les collègues qui ont monté des
sites internet pour leurs journaux papiers ou radio se sont aperçus que faire de l’image est un vrai métier. Ils
n’arrivent pas à en faire. Produire de la vidéo sur internet, ce n’est pas aussi facile que ça. Cela demande de
vraies compétences et à chaque fois qu’ils ont été là-dessus, ils ont échoué. C’est rassurant, cela nous rend nos
lettres de noblesses et nous donne une forme de légitimité par rapport au reste de la profession.
L’avantage et l’inconvénient du journalisme digital c’est la multiplication des spécialistes et pas des
journalistes. L’avantage de Spicers, ne serait ce pas de professionnaliser les spécialistes pour les rapprocher du
journalisme?
TH : J’ai fait partie de la création de Rue89 en 2007. L’esprit du journal c’était :
“L’info à trois voies : journalistes, experts et internautes : parce qu’il faut plus qu’un bon journaliste pour faire un
bon papier”.
J'adhère à cela. Je crois que Rue89 a essayé de le faire mais qu'ils n’a pas réellement réussi.
Nous aussi on considère qu’il faut plus qu’un bon journaliste pour faire une bonne enquête et un bon sujet.
Quelque part Conspi-hunter s’inscrit dans cette démarche. C’est une équipe de journalistes derrière moi, c’est
une équipe de rédacteurs en chef et de directeurs de publication au-dessus de moi pour cadrer tout cela.
Ce sont des techniciens de l'audiovisuel comme dans n’importe quel “doc”. Mais c’est aussi une “dream team”
de spécialistes : Rudy Reichstadt, Gérald Bronner, Sophie Mazel, Donia Bouzar et Flamefy notre spécialiste de
l’audience sur le web avec qui on a beaucoup travaillé en data journalisme.
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“Ce sont les intérêts qui font les communautés et qui rapprochent les gens et non pas le hasard ou la force du
destin.”
C’est l’alliance de tout cela qui est très propre au web et qui est très propre à l’univers du digital. Comme le
dit Dominique Wolton au début du XXI siècle, ce sont les intérêts qui font les communautés, pas le web. Ce sont
eux qui rapprochent les gens et non pas le hasard ou la force du destin. Si on n’a pas ce quelque chose en
commun, c’est quasiment impossible que l’on se croise sur internet.
C’est notre intérêt commun qui nous a rapproché. C’est un peu vrai sur tous les sujets. Dans notre manière de
fonctionner, y compris dans notre communication, on essaye de cibler une communauté plutôt que de parler à la
totalité des internets. L’enjeu est de donner plus d’outils professionnels aux experts pour qu’ils puissent
s’exprimer. L'horizontalité totale crée des déformations dans le monde de l’information et l’une de celles-ci est le
conspirationnisme.
Je suis en train de lire le livre de Boris Cyrulnik : Ivres au Paradis, bonheurs héroïques. Un passage me fait
penser à ce que vous me dites sur la création de communautés et des déformations que peut provoquer
l’horizontalité “L’autre n’est pas donné quand on arrive, il faut cheminer vers lui”.
TH : Il y a quelque chose de cet ordre là, d’une nouvelle forme de lien social qui est pourtant dématérialisé. C’est
très bizarre mais cela existe vraiment et l’on peut le voir ressurgir. Le web est très étrange. On n’a pas fini de
l’analyser et surtout on n’a pas terminé de le comprendre.
On parle souvent de crise de la presse ou est-ce plutôt une mutation des médias ?
TH : Qu’est ce que cela veut dire crise du journalisme et crise des médias ? On parle de crise économique ou
culturelle ?
Je parle de crise économique car on dit que la presse papier va disparaître et d’une crise culturelle car il y a
beaucoup de journalistes qui sont en difficulté.
TH : Il y a plusieurs éléments. Il y a un ralentissement économique dans tous les secteurs d’activités. Depuis le
début des années 2000, les chiffres de la presse ne sont pas considérés comme de bon augure, les journaux se
vendent de moins en moins. L’audience télé baisse. Je pense qu’il y a un élément qu’on ne prend jamais en
considération quand on fait cette analyse-là. La presse est malgré tout un produit culturel.
Dans les années 90, dans le panier d’achat il y avait un pourcentage pour le culturel. De temps en temps, on
achetait un disque, un bouquin, une BD. A la fin des années 90, on a vu arriver des DVD et de nouveaux produits
culturels : les consoles de jeux vidéos, la consommation de produits en ligne et le téléphone portable.
L’enveloppe dont disposait, pour acheter des biens culturels, les citoyens français ainsi que ceux du monde
entier, n’a pas augmenté depuis quinze ans. Le problème est qu’il y a une multiplication des produits à
consommer. Ce n’est pas totalement anormal qu’au moment où toutes les autres industries culturelles tirent la
langue que la presse le fasse aussi.
La presse n’a pas mieux géré le virage du numérique que l’industrie du disque ou du cinéma. Pour continuer ce
parallèle, est-ce que les théoriciens du complot qui font des “sites d’informations” sur internet ne sont pas
l’équivalent, pour la presse, de Napster pour l’industrie de la musique ou Kasa pour l’industrie du cinéma ? Je
pense que tous ces gens sont des pirates de la presse quelque part ! Il faut ajouter une dimension
supplémentaire d’influence politique. Il y a une motivation politique à écrire des mensonges sur internet.
La presse est un enjeu stratégique ?
Bien sûr, il faut s’interroger sur les motivations de chacun et être conscient du monde dans lequel on vit.
Qu’est-ce qui vous a amené à travailler sur le complotisme spécifiquement ?
TH : J’ai toujours travaillé sur internet, je m’occupais du 18 heures qui était le quotidien de l’économie en ligne
du mensuel l'Expansion. Internet a toujours été un champ d’investigation pour moi.