2. La revue de la littérature rappelle que les certitudes en
nutrition sont difficiles à établir et qu’il faut être prudent
avant de passer à des recommandations fermes
La plupart des connaissances sont issues d’études
d’observations dont la valeur de preuve est suffisamment
faible pour rendre fragiles et contestables les
recommandations nutritionnelles dont elles sont tirées.
Il est dangereux de réduire un problème à un seul produit
alimentaire
La Nutrition rentre dans le champ de la médecine
fondée sur les preuves
3. ALIMENTS QUI FONT
GROSSIR ALIMENTS QUI FONT MAIGRIR
Le sucre, les produits sucrés
Les fritures
Le beurre
Les viandes rouges
Les féculents (+ sauces)
La banane, les carottes
Les glaces, les desserts
Les cochonneries…..
Les légumes
Les produits allégés (en gras , en
sucres)
Les yaourts natures
les viandes blanches
Le pain,les féculents (ça
calle)
Les fruits
…….
Les sushis
4. « Je me sens tout à fait responsable pour
autant je ne me sens pas coupable » G.
Dufoix 1992
LE SUCRE
EST IL
RESPONSABLE?
5. NON
SUCRE(s) ET DIABETE
le sucre est-il responsable ?
Diabète T2 : le lien direct entre la consommation de sucre(s) et la prévalence du diabète n’est pas établi scientifiquement.
AFSSA 2004, EFSA 2010, ADA (US), Société Française de Pédiatrie :
No associations (Colditz et al., 1992; Janket et al., 2003)
or inverse associations (Meyer et al., 2000) for sugars and diabetes risk
autres references ?
OUI
However, sugar-sweetened beverages positively associated with increased type 2 diabetes risk (Schultze et
al., 2004; Montonen et al., 2007).
goran
autres références
6. PEUT-ÊTRE, INDIRECTEMENT ?
Diabète T2 est une maladie qui se forme sur
plusieurs années.
• Quel effet long terme d’une alimentation à IG élevé
? Fatigue du pancréas ? Résistance à l’insuline ?
Rôle de l’inflammation?
Si apports en excès (boissons, gras/sucrés),
prise de poids augmente risque de diabète T2
7. En 2009, la prévalence du diabète traité
atteint 4,4 % de la population française,
dont 2 700 000 personnes diabétiques de
type 2.
Soit une progression de 69 % entre 2000
et 2009 1
Changer les chiffres
.
7
8. Prédisposition primaire
Gènes
Environnement intra-utérin
indésirable
• Épigénétique
• DO hAD
• Perturbateurs endocriniens
Élément précipitant secondaire
Obésité
Faible niveau d’activité physique
Âge
Troubles du sommeil
Perturbateurs endocriniens
Stress chronique
Autres (Tabagisme)…
Accélération tertiaire
Toxicité glucidique et lipidique
9.
10. Pathogénie du diabète de type 2
Augmentation
de la lipolyse
Augmentation de la
réabsorption
de glucose
Diminution du
recaptage
de glucose
Cellule b des îlots de
Langerhans
Sécrétion d’insuline
abaissée
Cellule a des îlots
de Langerhans
Augmentation
de la sécrétion de
glucagon
Augmentation
de HGP
Diminution de l’effet de
l’incrétine
11. Activité physique
• Exercice intense diminue le risque de MCV et DT2
quelque soit IMC ( graisse abdominale)
• Rôle de la lutte contre la sédentarité quelque soit
le poids
• Amélioration de l’insulinorésistance et
insulinosécrétion
• Diminue les marqueurs de l inflammation
• Améliore le profil cardio vasculaire
12. Alimentation
• Suralimentation ?
• Mauvaise alimentation ?
• Encore un débat
Pauvre en graisses saturés et riche en AG insaturés
Riche en glucides
( diminue IR)
Riche en Fibres
Micronutriments
Diabetes Metab Research Rev 2014 résultats des études
d’intervention
13. « Après tout, le sucre est un plaisir. Le sucre
est délicieux. Et c'est facile de jeter la pierre
aux obèses et de dire que c'est de leur
faute ».
Il existe un énorme fossé entre dire aux gens
qu'ils mangent peut-être trop de sucre à
l'heure actuelle et suggérer que le sucre est
une substance toxique responsable de la
majorité d'une grande variété de troubles
physiques.
14. Dr Lustig condamne le sucre sous toutes ses formes;
• sucre de canne, de betterave, de sucre brun ou du sirop de maïs
à haute teneur en fructose (HFCS).
• Il va plus loin que d’autres critiques qui pointent surtout du doigt
les HFCS
• les HFCS ne sont pas plus mauvais que les autres formes de
sucre.
• Comme il le dit: tous les sucres sont mauvais et, surtout, ils sont
tous «toxiques».
• Le danger c’est le fructose du sucre ou des HFCS
Foie
Mcv
Cancer
15. - le sucre (écrit sans « s ») appelé
aussi le saccharose : blanc ou roux,
il est extrait de la betterave ou de la
canne à sucre
- les sirops de glucose, obtenus à
partir de l'amidon de maïs ou de blé,
utilisés surtout en confiserie, en
biscuiterie
- les sirops de glucose-fructose,
préparés à partir de sirops de glucose
(une partie du glucose est
transformée en fructose1), ils sont
utilisés surtout aux Etats-Unis dans
les boissons, les glaces,…
- le miel, issu du nectar des fleurs
16.
17. Juillet –août 2014 Am j clin Nutr (RABEN )
• IG et MCV
• IG ET DIABETE
• IG ET OBESITE ET REGIME
• INDEX GLYCEMIQUE et CHARGE
GLYCEMIQUE
• En attente PREVIEW STUDY étude européenne
• Prediabete
18.
19. Composition en glucides
Facteurs physiques: fruit entier ou en
morceau ou jus, pommes de terre entière, en
petits morceaux, en purée
Cuisson
Présence de lipides ou proteines: pates,
pates au parmesan, pates carbonara
Mode de consommation, à jeun, en post
prandial, en début ou fin de repas
Vidange gastrique
…
20.
21. Recommandations: 50 % de glucides , 30 % de lipides et
20 % de protéines.
Les associations canadienne, américaine et européenne du diabète
font preuve d’une remarquable unanimité à ce chapitre : jusqu’à
10 % des calories quotidiennes peuvent provenir du sucre ajouté1,2
10 % des calories, c’est quelle quantité de sucre? Pour une
personne qui consomme 2 000 calories par jour, cela équivaut
à 200 calories, soit 50 g de sucre ou 12 c. à thé.
il ne s’agit pas d’un objectif à atteindre, mais bien d’une limite
à ne pas dépasser.
EST CE QUE C’EST ENCORE VRAIE ,
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41. Obésité facteur +++ chez les jeunes
Tissu adipeux secrète
• Acides gras libres
• Protéines de inflammation
• Cytokines
• Adiponectine plus basse dans obésité DT2 et
MCV source d’inflammation +++
42. Glycémie AJ anormale et Post prandiale
Rôle de la perte de poids et de l’activité
physique