2. 1- Entraînement de la
force des muscles
respiratoires
2- entraînement de
l’endurance des
muscle respiratoire
(hyperpnée)
3.
4.
5. Déterminer l'effet de l'entraînement des
muscles respiratoires (RMT) sur la
performance d’un exercice intermittent, la
force respiratoire musculaire (PI (max)), de
la fatigue des muscles respiratoires (RMF),
et la dyspnée chez les athlètes de soccer
6. Des athletes de football (20 males, 7
femelles) ont été divisés d’une façon
aléatoire en deux groups, RMT group et
control group durant la preparation physique
de la periode de hors saison.
Le groupe RMT a effectué un protocole de
30RM (10 fois par semaine) pendant 5
semaines
Tandis que le group de contrôle n’a pas fait
RMT
7. La performance a été mesurée par
l’intermédiaire du niveau 1 du Yo-Yo
Intermittent Recovery Test (IRT)
La dyspnée a été mesurée durant, et
immédiatement après le test de IRT
Le RMF(fatigue des mucles respiratoires) a
été mesuré 2 minutes ( RMF2 ) puis 10
minutes ( RMF10 ) après avoir terminé l'IRT
8. Après l’entrainement, le groupe qui a fait le RMT a
augmenté considérablement les performances de l’IRT
par 216,6 +/- 231,0 mètres (p = 0,008 ),
Tandis que l'augmentation de 49,2 +/- 75,1 mètres
observée dans les contrôles n'a pas été significative.
La force des muscles respiratoires PI ( max ) dans le
groupe 1 a augmenté de 138,1 +/- 19,6 jusqu’à 165,3 +/-
23,5 cmH ( 2 ) O ( p < 0,001 ) , sans changement
significatif observé dans les contrôles .
RMT n'a pas affecté significativement sur le RMF ou
sur la dyspnée.
9. L’entrainement des muscles respiratoires a
amélioré la performances des exercices
intermittents pratiqués par les athlètes de
football qui ont participé dans cette étude .
10. But:
Examiner l’influence de l’entraînement
spécifique des muscles inspirateurs durant
un exercice de répétition de sprint.
24 personnes ont participé dans cette étude
11. IMT(inspiratory muscle
training)= 12 participant
Performance de 30
mouvements d’inspiration,
2 fois/jour
Durée: 6 semaines
Avec une résistance de 50
% de l’inspiration maximal
Placebo =12 participants
Pratique de 60 inspirations
d’une fois/jour
durée 6 semaine
Avec une resistance de 15
% du maximum
Cette resistance est très
negligeable
On sait que cette
resistance n’affecte pas
les muscle respiratoires.
12. Groupe 1:IMT
Amélioration du temps
de récuperation par
6.2+/- 1.1 % durant un
test de répétition de
sprint
Les concentrations du
lactate sanguin après
un exercice
d’endurance
submaximal sont plus
faible que chez le
groupe de placebo
Groupe 2:Placebo
pas de changement
13. L’entraînement spécifique des muscles
inspirateurs peut diminuer la lactatémie
après un exercice d’endurance submaximal
L’IMT améliore le temps de récupération
durant un exercice intermittent intense de
répétition de sprint
14. Groupe1:
-les participants ont pratiqué
l’IMT;
-8 semaines d’entrainement
des muscles de l’inspiration
à une intensité de 80 % du
maximum
Les 2 groups n’ont pas
participé à aucune activité
physique
Groupe 2 :
-pas d’entrainement
respiratoire
15. Les participants ont reçu des tests de
mesures des différents qualités avant et
après l’entrainement respiratoire.
16. -Groupe 1: qu’il a fait l’IMT il y a eu :
pression d’inspiration maximale)
raideur du diaphragme
capacité totale des poumons
- Groupe 2: pas de changements de ces
paramètres
17. L’IMT avec haute intensité:
raideur du diaphragme
volume du poumon
capacite de l’exercice
Ceci est chez les sujets normaux et de bonne
santé
18. Les forces spaciales allemagnes ont pensé à
integrer l’entrainement respiratoire à leur
entrainement physique.
Objectif: -examiner l’effet d’un entrainement
respiratoire de haute intensité(6 semaines)
sur la performance de course et la VO2 max
19. 17 participants divisés en 2 groupes d’une
façon aléatoire Groupe 1: fait l’entrainement
Groupe 2: controle (témoin)
L’entrainement est performé chaque jour pour
une durée de 6 semaines avec une intensite de
90 % de PI(max), 2x30 respiration en utilisant
‘ULTRABREATHE LUNG TRAINER’
20. Les tests faits avant et après l’entrainement
sont:
Ramp test
Test de vo2 max sur tapis roulant
Prélèvement sanguin pour savoir la
concentration sanguine de la lactate
Test de la pression d’inspiration et expiration
maximales, PI(max) PE(max))
21. Pas de difference des paramètres testés
entre les 2 groupes
22. L’entrainement des muscles respiratoires
avec haute intensité n’a pas amelioré la vo2
max ni la performance d’endurance chez les
participants.
L’RMT semble ne pas être benéfique dans
les programmes d’entrainement d’endurance
chez les militaires
23. Objectif: examiner les effets de l’entrainement
des muscles d’inspiration (IMT) sur:
la force des mucles inspiratieurs
Le Vo2 max
L’accumulation maximal de la lactate
La sensation de dyspnée
La performance des avirons chez les
rameurs
24. Groupe 1: IMT (T)
Entrainement normal
d’aviron chaque jour
Entrainement
respiratoire avec
resistance h.d(-1), 5
fois par semaines en 6
semaines
Groupe 2: Control (C)
Entrainement normal
d’aviron chaque jour
25. IMT:
Pimax au repos
- Pimax durant le test de vo2 max
Pas de differences significatives
entre les valeusr du test de vo2
max avant et après
l’entrainement
Pas de changement de la
sensation de dyspnée
Pas de changement du Temps de
course de 2000 m
Control group
Pas de changement de la Pimax
Pas de differences significatives
entre les valeurs du test de vo2
max avant et après
l’entrainement
Pas de changement de la
sensation de dyspnée
Pas de changement du temps de
course de 2000 m
26. 6 semaines de IMT fait augmenter la force
des muscles de inspirateurs d’environ 28 %
chez les athlètes de haut niveau d’aviron
Tandis que, cette amélioration ne semble
pas améliorer le VO2 max, la sensation de
dyspée durant l’exercice ou la performance
de l’aviron
27. Objectif:
-determiner si l’endurance des muscles
respiratoires (RME) des athlètes cyclistes
peut etre ameliorée
Si RME a été ameliorée, peut-elle ameliorer la
performance des cycliste ?
28. 10 cyclistes ont participé
5 sujets ont completé un entrainement de
l’hyperpnée isocapnique (16 sessions)
5 sujets controle
Des tests (vo2max, RME mesurement,
enduramce cylcling test) ont été faits avant
et après l’entrainement .
29. RME
La capacité ventilatoire
maximale soutenable
Pas changement de la
vo2 max
Pas changement de
l’endurance maximale de
l’exercice
Controle
Pas de changement de
la capacité ventilatoire
maximale
Pas changement de la
vo2 max
Pas changement de
l’endurance maximale de
l’exercice
30. 4 semaines d’entrainement d’endurance des
muscles respiratoires a amelioré l’endurance
des muscles respiratoires
mais
n’a pas affecté positivement la performance
des cyclistes de haut niveau
31. But: examiner les effets de l’entrainement
d’endurance des muscles respiratoires sur l
performance des cyclistes de niveau moyen.
32. L’entrainement d’endurance des muscles
resipiratoires améliore l’endurance des
muscles respiratoires
mais
n’affecte pas la vo2 max ni la perforamnce
des cyclistes masculins de niveau moyen
33. Objectif: évaluer les effets specifiques de
l’entrainement des muscles inspirateurs sur
le temps et la performance chez les athlètes
cyclistes bien entrainés .
34. 2 groupes ont participé:
Les participants du premier group ont fait
l’IMP (pressure-threshold insparatory muscle
training)
Les participants du deuxième groupe sont
des placebo- controle participants (sham-
training)
Des différents tests ont été faits sur les 2
groupes
35. Les resultats indiquent que l’entrainement
specifique des muscles inspirateurs
améliorent la performance chez les cyclistes
competiteurs.
36. 20 cyclists (vo2 max 56.0 ml/kg/min) sont
divisés en 3 groups
1- Groupe 1 n=10: participe a un entrainement
respiratoire de 20 a 45 min session de la
hyperpnée
2- Groupe 2 n=4: placebo ( sham training)
3-Control groupe n=6: pas d’entrainement
37. Après entrainement:
-Groupe 1:
augmentation de 12 % de la capacité
musculaire respiratoire
Augmentation du temps de performance d’un
evènement de 40 min de 4.7 % (9 de 10 sujets
sont ameliorés)
Chez les groupes 2 et 3 pas de changement
38. L’entrainement d’endurance des muscles
respiratoires améliore la performance des
cyclistes jeunes et qui ont une bonne
experience dans le sport.
39. Objectif: -savoir les effets de l’entrainement
volontaire de l’ hyperpnée isocapnique
(VIH,10 h en 4 semaines, 30 min par jour)
sur le système respiratoire à la performance
de course.
40. 15 males competiteurs coureurs ont participés:
Group 1 : training group
Group 2: placebo (sham VIH training)
plusieurs paramètres ont été testés (vo2 max,
temps de course de 4 mile, lactate, treadmill
run time to exhaution at 80 %...)
41. La pression maximale d’inspiration et d’expiration ,
saturation de O2 artérielle , debit cardiaque n’ont pas
changé après l’entrainement VIH
L’Endurance respiratoire (+208%) et le temps de course
(+50%) sont ameliorés significativement et il y a eu une
réduction significative de la frequence respiratoire (-6%),
V(E) (-7%), Vo2 (-6%) et lactate (-18%) durant la course
sur le tapis roulant.
Le temps du 4 mile run n’est pas amelioré dans le group
controle MAIS il y eu amelioration dans le group 1 (-4%)
42. L’entrainement de VIH peut affecter
positivement la performance des coureurs
competitives.
43. Objectif: -trouver les effets de l’entrainement
IMT sur la performance en natation.
44. Il y eu comparaison de la performance en 3
distances competitives.
16 paarticipants de niveau du club compétitif ont
participé
2 groupes:
1- groupe 1 : IMT(30 repetion, 2 xjour, 6 semaines)
2- group 2 : placebo
Les participants ont fait un série de tests
physiologiques avant et après l’IMT(100 200 400 m
distance de nage
45. le groupe IMT a montré la modification
suivante de % du temps de natation:
100m (-1.7%)
200m (-1.5%)
400m (-0.6%)
46. 6 semaines de IMT a un léger effet positif
sur la performance de natation chez les
nageurs de niveau de club pour les
distances moins de 400 m
47. Objectif: examiner l’efficacité de
l’entrainement ventilatoire en utilisant un
masque afin d’améliorer la filière aérobique
et anaérobique chez ROTC cadets.
48. 2 groupes:
1- expéricence test avec masque (n=9)
2- expérience témoin sans masque (n=8)
49. Pas de changement chez les 2 groupes
concernant :
-l’indice de fatigabilité
-la capacité anaérobique
-la puissance optimale
-le VO2 max
-le temps de fatigue
50. La présence de masques n’ a pas aboutit à
des améliorations d’endurance qui
apparaissent lors de l’entrainement en
altitude.
51. RMT peut améliorer l’endurance chez les sujets
normaux plus que chez les athlètes
RMT améliore l’endurance des muscles
respiratoires ce qui peut améliorer la
performance de tout type de sport d’endurance
de longues durées comme le marathon et le tri-
athlon.
Le RMT peut améliorer le temps de
recupération après un exércice de repetition de
sprints.
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