Cette présentation a été faite dans le cadre du worshop de l'AFPCN "Les risques à l'heure du numérique : quels changements dans leur gestion?" Elle s'accompagne d'un discours non disponible sur SlideShare.
Les Services d'Incendie et de Secours face aux Nouvelles Sources d'Information Géographique
1. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les Services d’Incendie et de
Secours face aux nouvelles sources
d’information géographique
ou de la remise en question des habitudes de travail
2. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Arnaud Demontis
Géographe de formation
Spécialisé dans l’information géographique
Ecole d’Application de Sécurité Civile
Formateur ECASC et ENSOSP
SIG Community sourcing
Crowdsourcing
Outils collaboratifs Médias Sociaux
GPS
OpenData
INSPIRE
Partage
Mobilité
MSGU
www.entente-valabre.com
4. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Une méthode de travail éprouvée
5. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Fluidité de circulation de l’information
Une méthode de travail éprouvée
6. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Des partenaires identifiés
Une méthode de travail éprouvée
ETC.
7. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Des objectifs précis
8. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Atlas
Des objectifs précis
9. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Schéma Départemental d’Analyse et de Couverture
des Risques
Des objectifs précis
10. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Suivi des hydrants
Des objectifs précis
11. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Centre de Traitement de l’Alerte
Des objectifs précis
12. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Des habitudes bousculées
13. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
L’avènement des outils mobiles
Les raisons
2010 : 64,4M cartes SIM
actives
Fin 2012 : 70,5M
d’abonnements mobiles
2013 : + de 6M de
tablettes vendues
14. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
La disponibilité du réseau
Les raisons
Couverture 3G – Fin 2013
98% de la population
Couverture 4G - Juillet 2014
47% de la population
15. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
La disponibilité du réseau
Les raisons
Le WWW pour tous…
680 satellites pour Virgin
16. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
La dimension sociale des TIC
Les raisons
+ de 600 réseaux sociaux référencés
68% des français sur réseaux sociaux
17. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
La dimension sociale des TIC
Les raisons
18. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Aspects règlementaires et démarche d’ouverture
Les raisons
14 mars 2007
Infrastructure de données géographiques européenne
Droit français : Article L127 du code de l’environnement 21 octobre 2010
19. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Aspects règlementaires et démarche d’ouverture
Les raisons
Juin 2013 : Les Chefs d'Etat du G8 signent une Charte pour l'Ouverture des Données
Publiques
21. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les faits
Une plus grande disponibilité de l’information géographique
22. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les faits
L’information géographique a des sources de plus en plus
variées (pas toujours institutionnelles)
http://www.raildar.fr
23. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les faits
L’information géographique a des sources de plus en plus
variées (pas toujours institutionnelles)
https://www.marinetraffic.com/fr/
24. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les faits
http://www.radarvirtuel.com/index-fr.html
L’information géographique a des sources de plus en plus
variées (pas toujours institutionnelles)
25. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les faits
Les citoyens produisent et disposent d’au moins autant de
« données » que les institutions
26. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les faits
Le citoyen dispose d’outils pour inter-agir avec ses pairs, les
médias et les institutions
27. Workshop AFPCN 23 janvier 2015 – Arnaud Demontis
Les faits
Le citoyen dispose d’outils pour capturer, traiter et diffuser
l’information
Bonjour à tous, je vais vous présenter les nelles sources d’information géographique pour les SIS.
J’espère que vous n’êtes pas venus pour une présentation d’OSM ? On va essayer de balayer plus large -> on va essayer de voir les enjeux de ces nelles sources d’info pour les pompiers, dont OSM fait d’ailleurs partie. Vous allez voir, on va poser bcoup de question…et il y aura peu de réponses…
Alors attention, je vais vous faire cette présentation selon un plan très complexe : dans un premier temps je vais vous présenter les habitudes de travail et ensuite la remise en question de ces habitudes
Je suis bla bla bla
Je travaille pour ECASC
J’interviens ds les 2 écoles de Sécurité Civile : l’Ecole des Officiers (l’ENSOSP) et l’Ecole des spécialités (l’ECASC). Je prêche la bonne parole dans le domaine de l’information géographique.
Mes thématiques de travail sont écrites en bas à gauche.
Alors, pour vous présenter les habitudes : ce sont des habitudes d’utilisation de l’info géo établies depuis + de 15 ans pour certains SDIS. Les SDIS disposent d’ailleurs quasiment tous d’un service SIG.
En premier lieu, on a une méthode de travail éprouvée, une organisation rodée.
Pour exemple : le schéma de circulation de l’information pour le SDIS84. Il est floutté volontairement car les éléments techniques qu’il contient n’ont aucun intérêt pour aujourd’hui.
Ce qu ies timportant de retenir c’est que toute la circulatio nde l’information est prévue, dirigée : Qui crée l’information, Qui l’administre, qui la met à disposition, qui l’utilise, qui la met à jour, etc. Tout est organisé
De la même manière, les partenaire sont bien identifiés et on sait très bien où aller chercher l’information et ds quel but.
On retrouve ici les partenaires classiques. La liste n’est pas exhaustive.
Si cette méthodologie est éprouvée c’est aussi qu’au départ il y a des objectifs précis. Il y a des enjeux pour les SIS très clairs qui sont réunis autour d’un même objectif : disposer d’informations géographiques pour la prévision, la prévention et l’opération.
Parmi les objectifs, le premier est de disposer d’une cartographie de son secteur d’intervention
C’et extrait d’atlas concerne la DFCI mais on retrouve aussi des Atlas pour les interventions urbaines : on parle aussi de parcellaires.
La vocation de l’atlas DFCI : guider, donner les accès, les enjeux et les éléments d’aide à la réponse ops : citernes, aires de retournement, etc.
En guise de deuxième objectif, on a l’information géographique pour la réalisation du SDACR. En fait, le but est d’aider à la réflexion du SDACR, par l’optimisation du positionnement des centres de secours par exemple, l’illustrer et l’argumenter : un croquis vaut mieux qu’un long discours.
On peut aussi évoquer pour la Prévision : le suivi des hydrants ou encore l’identification ERP, plan ETARE, etc. Dans ce cas le SIG permet de connaître l’état des hydrants, optimiser les visites de contrôle, etc.
Enfin, un dernier but du SIG, et non des moindre :équiper le CTA en outil d’aide à la décision. Il s’agit du dernier besoin qui a émergé et l’équipement du CTA est souvent arrivé après la mise en place d’un service SIG solide au sein du service prévision du SDIS.
Il y a d’ailleurs de nouvelles questions qui se posent avec la notion de géolocalisation en tps réel ou encore de fréquence de mise à jour de l’information. Mais on n’est pas encore dans les grandes remises en question.
Tout va bien?
Bon, on y arrive!!
Aujourd’hui, les sources d’informations ont changé.
Les habitudes sont bousculées par l’arrivée de 3 nouvelles technologies complémentaires. Elles ne st d’ailleurs plus tt à fait nelles, il s’agit des outils mobiles (smartphones en tête), de la disponibilité du réseau (4G, WIFI) et des outils TIC à dimension sociale. Maisen fait c’est cet ensemble qui change la donne
Donc le premier élément c’est l’arrivée des outisl mobiles.
Quelques chiffres pour donner une dimension de cette TIC.
Chiffres en France Source ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes) et emarketer (http://www.emarketer.com/Article/Smart-Connected-Device-Shipments-France-Pass-35-Million-2013/1010698/2)
Le deuxième élément est la performance des réseaux mobiles.
Quelques chiffres la encore
Les chiffres contredisent un peu la carte de couverture de Bouygues, mais il me semble que la carte du réseau bouygues fait la part par rapport à ses abonnés.
Et demain, enfin, bientôt la 5G : 1000 fois plus rapide que le réseau mobile en 2010!
En plus de ça, de plus en plus de hotspots (donc WIFI) st disponibles et gratuits : bar, restaurants, hôtels, aéroports, etc.
Carte d’orange et bouygues
(http://www.lemonde.fr/technologies/article/2014/02/25/la-5g-devrait-vous-faire-rever_4372801_651865.html et http://fr.wikipedia.org/wiki/5G#cite_note-2) Stats couverture réseau : http://www.arcep.fr/index.php?id=12433#c80777 et http://www.arcep.fr/index.php?id=12433#c80797
Mais c’est pas fini!
Google et Virgin veulent couvrir l’ensemble de la planète avec leur réseau mobile.
Richard Branson, patron de Virgin, est en discussion avec Arianespace pour un marché de 680 lancements de satellites. Ils permettront d'accéder à internet de n'importe quel point du globe (forum économique mondial de Davos) source : www.franceinter.fr
ASSURER UNE CONNEXION INTERNET A L’ENSEMBLE DES TERRIENS
AUJOURD’HUI : 3milliards sans connexion
GOOGLE A LA MÊME AMBITION
Enfin, la 3ème raison qui bouscule les habitudes est la dimension sociale des TIC avec en tête de pont Les médias sociaux et les outils collaboratifs.
Aujourd’huin, toutes les applications incitent le grand public à collaborer, à contribuer.
L’information géographique n’y échappe évidemment pas : les sociétés privées comme Google, les projets citoyens, collaboratifs, comme OSM proposent à chacun d’améliorer l’information géographique existante.
Contribuer, partager est d’ailleurs l’essence même des réseaux sociaux.
Quelques chiffres trouvés sur le net à propos des réseaux sociaux (+ de 600 réseaux sociaux : http://blog.internet-formation.fr/author/admin/ / chiffre 68% = Etude de http://wearesocial.sg/ via http://www.hdh-digitalcommunication.com/fr/what-use-of-social-networks-in-the-world-2014-socialedia-usage/)
Bref, la tendance aujourd’hui est de construire l’information ensemble.
A cela s’ajoutent les aspects règlementaires et l’impulsion d’une démarche nationale voire mondiale : la démarche d’ouverture des données.
En 1er lieu, On ne la présente plus mais il faut qd même la citer : la directive INSPIRE : 14 mars 2007. Restranscrite dans le droit français!
L’idée est d’assurer l’interopérabilité entre bases de données et faciliter la diffusion, la disponibilité, l'utilisation et la réutilisation de l’information géographique en Europe.
Parmi Les grands principes :
Les données géographiques doivent être collectées une seule fois; ON INCITE DONC AU PARTAGE !
Il doit être possible de combiner facilement et de manière cohérente des informations géographiques provenant de différentes sources;
Une information collectée par une autorité publique doit pouvoir être partagée par l’ensemble des autres organismes publics;
L’information géographique doit être disponible dans des conditions qui ne fassent pas indûment obstacle à une utilisation extensive;
Il doit être facile de connaître quelles sont les informations géographiques disponibles.
En France c’est la mission ETALAB qui est chargée de l’OpenData. La plateforme d’échange data.gouv.fr permet aux services publics de publier des données publiques et à la société civile de les enrichir, modifier, interpréter en vue de coproduire des informations d’intérêt général.
C’est la aussi une démarche d’ouverture.
Qui peut partager des données sur la plateforme “data.gouv.fr” ? Tout le monde ! Citoyens, services publics ou toute organisation enregistrée sous son identité de personne physique ou de personne morale. L’inscription et l’utilisation de la plateforme sont gratuites.
Source : data.gouv.fr
Pourquoi publier et partager des données ?
Pour un service public : l’ouverture et le partage de données publiques contribuent à rendre des comptes sur le fonctionnement des institutions et à encourager l’innovation. Data.gouv.fr renforce la visibilité des données par leur référencement national et fournit des outils qui facilitent les conversations avec chaque communauté gravitant autour du service public (associations, journalistes, chercheurs, étudiants, citoyens...).
Pour un individu, une entreprise, un chercheur, une association : produire des données d’intérêt public, les publier en Open Data et en partager les interprétations avec le public permet d’enrichir le débat public et de renforcer la liberté d’information.
Juillet 2013 : Rapport Trojette : Ouverture des données publiques, les exceptions au principe de gratuité sont-elles toutes légitimes?
http://fr.scribd.com/doc/181731583/Rapport-Trotjette
Donc, après les raisons du changement des habitudes, quels sont les faits? Quel est le paysage qui est en train de se dessiner?
Aujourd’hui, il y a donc une plus grande disponibilité de l’information géographique. On est d’accord, la plus part des informations diffusées ont une dimension géographique : Une carte, une photo, une vidéo, des coordonnées sont des informations géographiques. Ces informations sont aujourd’hui plus nombreuses! Par contre, un traitement est nécessaire pour les rendre utilisable.
Par exemple : un tweet d’information contient souvent une géolocalisation -> l’intégration ds un SIG est possible mais pas évidente pour le moment ds les SIG « classiques » des SIS.
Ici je me suis amusé à chercher dans Youtube les mots clé « FDF France » : 2M de résultats !
Un autre fait, l’info géo a des sources de plus en plus variées.
On peut imaginer vouloir utiliser cette information, à propos des trains, dans le cas d’inondations importantes ou évènements plus graves (sésime) dans le Sud Est de la France, par exemple. Des trains bloqués? Ca veut dire prévoir l’hébergement et la restauration des voyageurs.
De mêm L’information sur le positionnement des bateaux, intéressant en cas de tempête, pollution, recherche de disparu, mouvement social dans un port (ex : supertanckers dans le golfe de fos).
La encore la source n’est pas un partenaire habituel : PREMAR ou Marine nat ou SHOM.
Ou encore dans le cas d’un feu de forêt, connaître les avions en transit en complément d’information pour la gestion des moyens aériens.Alors, je vous rassure, il y a des procédures très strictes, mais cela donne une 1ère information en cas de départ de feu. Et vu que la politique de lutte conte les FDF est la priorité à l’attaque des feux naissants, les ABE seront dirigés très rapidement dessus.
Un autre état de fait : Les citoyens produisent et disposent d’au moins autant de « données » que les institutions
D’ailleurs les médias vont chercher l’information directement au citoyen. Cet exemple est assez représentatif, les médias ont appelé le twittos qui a commuyniqué en premier cet ammerrissage. l’ammerissage du Airbus A320 – Baie d’Hudson – Etats-Unis – US Airways
2009
Les outils disponibles permettent au citoyen d’inter-agir avec ses pairs, les médias et les institutions.
Le citoyen dispose d’outils pour capturer, traiter et diffuser l’information.
Il peut même la commenter ! C’est d’ailleurs un des usages premiers des MS !
Je pense à une vidéo qui a été postée sur YouTube par une touriste à propos de l’intervention de pompiers ds le haut Rhin. Bad buzz!
Bref, un nouveau type d’information fait son apparition : « l’information massive » où la quantité prend peut-être le pas sur la qualité(Médias Sociaux). On peut d’ailleurs se demander si la quantité ne garanti pas la qualité?
A tous ces éléments il y a donc des effets, positifs et négatifs.
Parmi les effets, on voit apparaître une offre de service basée sur l’information citoyenne.
Waze, application collaborative rachetée par Google propose ses services à des collectivités
Ensuite, L’information institutionnelle ou « officielle » est parfois moins pertiente.Dans le domaine du trafic routier, Google trafic reste ce qui se fait de mieux sur el tps réel.
Quelle est la place de l’information institutionnelle?
Bison futé : Consultez l’état des routes pour optimiser vos trajets.
En fait les diapos que nous venons de voir posent une question majeure : A-t-on encore le droit d’ignorer une information sous prétexte qu’elle n’est pas institutionnelle ? C’est un premier enjeu.
Parmi les nouveaux enjeux, on identifie aussi la garantie de qualité, le traitement de la quantité d’informations et le besoin d’immédiateté.
Avant tout, on voit très bien l’arrivée d’un nouvel acteur : le citoyen! Et cela crée de nouveaux enjeux.
la question qui se pose est : QUELLE EST LA PLACE DU CITOYEN? QUELLE EST SA place dans SA sécurité!?
Pour l’acteur des secours, c’est une question cruciale puisqu’il est la en priorité pour la sauvegarde des personnes : c’est d’ailleurs une question légale depuis 2004!
Je vous cite qques passages de la loi de modernisation de la Sécurité Civile :
[…]La sécurité civile est l'affaire de tous. Tout citoyen y concourt par son comportement.[…]
[…]II. - Affirmer la place du citoyen au coeur de la sécurité civile[…]
[…]Mais c'est aussi pouvoir compter sur le comportement de citoyens informés et responsables, préparés[…]
Loi n° 2004-811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile
Par le biais des projets collaboratifs par exemple, le citoyen va apporter une information capitale sur la description de son territoire. Le projet OpenStreetMap représenté ici permet de disposer d’une carte mise à jour par tout un chacun.
Plus précisément dans la Sécurité Civile, le projet OSMhydrant permet une mise à jour de la BDD des PI BI par les citoyens.
En cas de crise également, le citoyen concours à sa sécurité par la mise à disposition d’informations sur des projets collaboratifs. Ici c’est l’association VISOV, qui vous sera présentée tout à l’heure par Gilles Martin, qui partage en tps réel l’information sur l’évènement en cours.
De la même manière sur une crise internationale, à savoir l’épidémie de la maladie Ebola.
On y revient, de plus en plus de sociétés proposent des services à l’aide d’informations citoyennes. C’est un des objectifs de l’OpenData d’ailleurs, JE CITE LA CHARTE DU G8: « Nous arrivons à un tournant qui marque le début d’une nouvelle ère au cours de laquelle il sera possible de se servir des données ouvertes pour acquérir des connaissances, générer des idées et produire des services afin de créer un monde meilleur pour tous. »
Un des exemple est l’utilisation des données de santé : par leurs services, les sociétés privées vont arriver à obtenir plus de données de santé que les institutions -> ce sont des services qui seront revendus.
http://www.lemonde.fr/sante/article/2013/01/30/bataille-autour-de-l-acces-aux-donnees-de-sante_1824447_1651302.html : LIBERER OU NON LA MEGA BDD DE SANTE FRANCAISE (basée entre autres sur les feuilles de soin).
Ds les enjeux, se pose la question du traitement de la quantité d’information. Où la trouver? Qui pour la traiter? Comment la traiter? On peut aller plus loin dans la réflexion et faire référence au BigData : une question déjà économique mais peut-être sécuritaire pour ces prochaines années.
La qualité de l’information reste également un enjeu majeur
Aujourd’hui l’enjeu n’est plus de trouver l’information mais il est de choisir la bonne information et donc de définir la qualité :
L’exemple le plus parlant, est le cas des FAKE. ICI DERAILLEMENT DE TRAIN RUSSE.
Les fake sont parfois même repris par les médias « classiques » dans la course à l’information. Il faut donc VERIFIER l’information, croiser les sources.
Cette photo a été reprise par un grand média télévisuel français.
Enfin, le temps réel reste un enjeu primordial.
Intégrer l’information tps réel du trafic sur le départ des moyens de secours est l’exemple le plus parlant.
Dans un paysage ou l’information géographique est disponible en quantité, l’identification de nouveaux partenaires est essentielle pour les SIS : et peut-être le premier partenaire vers qui se tourner est le citoyen.
En guise d’outils, l’OpenData apparaît comme une garantie de qualité évidente. Les médias sociaux et les outils collaboratifs (type OSM) demandent à être mieux compris puis utilisés pour tirer tout le bénéfice de cette évolution technologique sociale.
THX
Question?