2. Complutum - Un poco de Historia (I)
La primera referencia a un asentamiento romano
en la Comunidad de Madrid es de Tito Livio
acerca de la huida de Quinto Sertorio de las tropas
de Pompeyo hacia Valencia, donde pasan por un
asentamiento llamado Complutum. Era el año 75
a.c.
Unos 150 años después, Complutum es
declarado municipio, acogiéndose a un
edicto de Vespasiano. Desde entonces, su
historia como ciudad romana se
prolongará hasta el final del Imperio
3. Complutum - Un poco de Historia (II)
Complutum sigue
creciendo hasta alcanzar su
máximo esplendor en los
siglos III y IV, gracias a una
amplia remodelación en el
siglo III.
A partir del siglo V comenzaría un lento y paulatino
abandono de la ciudad, que se desplaza hacia el este,
recuperando su importancia en epoca visigoda.
Se habla de los primeros obispos cristianos en época aún
romana, a finales del siglo IV
4. Complutum - Situación
Complutum se situaba cerca de
la actual Alcalá de Henares, en
la confluencia ("confluo" en
latín, de ahí su nombre) de los
ríos Henares, Torote y
Camarmilla.
Según Antonino en su
Itinerario, hasta 23 calzadas
permitían entrar en
Complutum.
Inicialmente perteneció a la Hispania Citerior, desde
Augusto a la Tarraconensis, y bajo Diocleciano a la
Cartaginensis dependiendo de Caesaraugusta.
5. Complutum - Restos actuales
Algunos de los restos conservados de Complutum, en especial
mosaicos y materiales suntuarios, se distribuyen actualmente
por varios museos (Arqueológico Nacional y Regional en Alcalá
de Henares), si bien se conservan restos de casas, villas y
edificios municipales en la actual ciudad y alrededores. A
destacar:
Casa de Hyppolitus
Villa del Val
El Foro (con la basílica civil y las termas)
Casa de Aquiles
Casa de Baco
Casa de Cupidos
Casa de Leda
6. Complutum - Casa de Hyppolitus
Era la sede del Colegio de Jóvenes de Complutum, y debe su
nombre actual al mosaico de gran tamaño hallado en su
interior, firmado por un tal Hyppolitus, probablemente de
origen norteafricano.
7. Complutum - Villa del Val
Situada a las afueras, era probablemente una villa señorial pero
dedicada a la cría de caballos de carreras.
Se encontró en su interior un
mosaico con un auriga, hoy en el
Museo Arqueológico Regional
Cuenta con una zona
palacial, termas privadas
y edificios dedicados a
establos y tareas
agrícolas
8. Complutum - Foro y edificios civiles
Se conserva gran parte de la superficie del foro, incluidas las
termas y la basílica civil. La reconstrucción virtual llevada a
cabo en 2002 por el Ayuntamiento de Alcalá de Hnares nos
permite disfrutar de su aspecto "cuasi-original."
9. Complutum - Otros restos
Se han encontrado restos de otras casas y edificios en Alcalá de
Henares y sus alrededores, así como los pilares del antiguo
puente romano y una fuente.
10. Complutum - Referencias
• Web de Complutum: aunque antigua, contiene mucha
información y reconstrucciones digitales de la ciudad y los
edificios
• Web del Ayuntamiento de Alcalá de Henares: gran cantidad
de información actualizada, con horarios y lugares de
acceso
• Complutum en NovaRoma: una visión menos oficial de
Complutum y lo que la rodea
• Complutum en ArqueoHispania: todo lo que se sabe sobre
Complutum y más cosas en la Web de referencia para los
aficionados a la arqueología en España
Hinweis der Redaktion
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.
Histoire « des arts » au pluriel et non « histoire de l’art » (discipline universitaire héritière des « Beaux arts » et qui concerne traditionnellement peinture, sculpture et architecture), tous les arts sont concernés et en particulier, au collège, la musique.
Il est important de ne pas concevoir cet enseignement comme une nouveauté absolue, les professeurs des disciplines artistiques, d’histoire géographie et de Lettres pouvant à juste titre affirmer qu’ils le pratiquent « depuis toujours ». Nous verrons (diapo suivante) qu’il s’agit en fait d’une nouvelle approche.
Il s’agit d’une commande politique émanant du plus haut niveau de l’Etat, à l’automne 2007. A cette date la réécriture des programmes des trois principales disciplines concernées (arts plastiques, histoire-géographie et éducation musicale) est quasiment achevée, de ce fait l’histoire des arts ne tient dans le texte de ces programmes qu’une place limitée.
Il faut donc se référer aussi au texte de cadrage paru au BO du 28 août 2008. Cet « arrêté d’organisation de l’enseignement de l’histoire des arts » transcende les disciplines puisqu’il définit les contours d’un « enseignement » partagé par toutes les disciplines, en particulier celles du « pôle des humanités » . Il transcende aussi les cycles scolaires puisqu’il concerne l’école primaire, le collège, le lycée.