Les moeurs ont changé et les mentalités ont évolué et nous constatons dans notre société un passage d’une économie de biens et de services à une économie du lien. En effet, aujourd’hui nous vivons dans une économie au sein de laquelle les liens sociaux sont favorisés et où la découverte d’un territoire se fait par l’échange, la réciprocité et le dialogue. Une économie au sein de laquelle la consommation devient de plus en plus sensorielle et symbolique aux travers de personnages phares, d’évènements particuliers, de sons, de goûts, de modes de vie.
D’un côté, nous avons ce voyageur en quête d'expériences authentiques et de destinations atypiques, un voyageur actif voire interactif qui ne demande qu’à être impliqué à destination et en relation avec les individus qui façonnent la destination. De l’autre, nous avons la population locale qui n’a pas forcément conscience de son potentiel, et qui pourrait séduire le voyageur en mettant en valeur ses atouts culturels. Une rencontre de l’offre et de la demande qui peut dans bien des cas satisfaire chacune des parties prenantes. De ce fait, des acteurs tentent de développer ces relations dans leurs produits en faisant intervenir la population locale dans leur conception. La créativité est alors devenue une composante forte que ce soit dans la production ou dans la promotion touristique. Elle est de plus en plus utilisée comme un aspect stratégique pour valoriser l’image des destinations.
Évolution du comportement client et développement de nouvelles technologies induisent forcément de nouveaux préceptes et de nouvelles techniques à adopter. De par cette problématique, nous démontrerons que les destinations s’appuient de plus en plus sur les habitants pour promouvoir leur territoire et que grâce à la co-création, il est possible de développer des expériences qui bénéficient davantage à la communauté hôte, tout en satisfaisant le désir d’authenticité du visiteur. Nous parlerons pour cela essentiellement de crowdtourism qui comprend trois aspects : crowdfunding, crowdsourcing, crowdlearning.
L’association de ces trois concepts laisserait entrevoir une nouvelle forme d’organisation entre organismes privés et publics dans laquelle les interactions entre les locaux et les visiteurs seraient omniprésentes, et où les acteurs de la culture et du tourisme détiendraient un rôle de médiation et d’organisation de cette rencontre.
Sources : Veilletourisme - Travelonmove - Frederic Gonzalo - ChairedetourismeTransat - Skift - Souple/Hop! - DMAI - UNWTO - Etourisme - UNESCO - L’Echo Touristique - Destination Think - Cap’Com - Influencia - Zones Mutantes - OCDE - Crowdsourcing.org
5. Une restructuration nécessaire
Sujet 1 : La gouvernance et les modèles de partenariats possibles
Sujet 2 : La préservation de la culture
Sujet 3 : Les cultures vivantes et industries créatives
Sujet 4 : Les routes culturelles
Sujet 5 : La régénération urbaine grâce au tourisme culturel
12. Crowdfunding, nouvelle dynamique du territoire
Corrélation entre le type, la popularité et la ville dʼoù sont lancés les projets.
Plus la communauté de créatifs est forte, plus le projet a des chances
d’aboutir.
Le territoire a une valeur proéminente dans les projets.
19. Le local a un rôle primordial dans la culture et la créativité
& présente de réelles opportunités de développement et
de promotion pour les destinations
20. « Dis-moi et j'oublierai, montre-moi et je me
souviendrai, implique-moi et je comprendrai ».
Amandine Aubriet
Hinweis der Redaktion
Pertinent de revenir sur les termes clés du sujet de ce travail de Desk Study et de clarifier les notions pour comprendre orientation.
Evolution de la culture à la créativité dans notre société : mutations et enjeux.
Concentrerai sur l’approche du Crowdtourism en tant que nouvelle approche de promotion et développement et est permise grâce à la créativité des locaux.
Créativité
Capacité à créer, imaginer et innover. Autrement dit les atouts, les savoirs et les expertises qui traduisent la culture d’une destination.
Locaux
Individus qui vivent sur le territoire et qui font vivre ce lieu d’une telle manière qu’ils se révèlent comme les représentants de leurs terres.
Développement & Promotion
Distinction : dev = référence à l’essor d’actions multiformes VS com = évoque davantage des actions de communication.
Destinations
Lieux de vie sur lesquels il est pertinent de mener des actions. : ville, région, quartier, pays. Constitue une échelle de vie et de décision géographique sur laquelle la culture peut avoir une influence.
On entend alors par destination, cet écosystème dynamique et complexe dans lequel interagit un ensemble d’interlocuteurs ayant tous pour motivation de rendre leur territoire attractif.
Auparavant, la culture tenait une signification assez académique dans le tourisme qui limitait son aspect à l’héritage de la destination.
1996 : sens beaucoup plus large dans l’attrait touristique et ne pas se limiter aux sites culturels
1999 : on considère de nouveaux attraits : artisanat, arts vivants, manifestations culturelles, architecture et design et patrimoine immatériel. Dès lors la culture renvoie davantage à des valeurs d’apprentissage et de rencontres.
>> Patrimoine immatériel prend peu à peu une place prépondérante dans le tourisme culturel et la concurrence que se livrent les destination.
2003 : UNESCO a pris conscience de l’importance de ce patrimoine culturel immatériel : mise en place d’une liste représentative.
2006 : définition du tourisme créatif comme une expérience « engagée et authentique avec des apprentissages participatifs.
Aujourd’hui, chaque destination à sa carte à jouer pour dynamiser son territoire et se différencier au niveau de l’offre.
- Cette évolution nécessite une réorganisation dans le sens où les secteurs été considérés comme des concurrents. Les acteurs ont compris qu’il y’avait une réelle nécessite à se regrouper et à agréger leurs forces.
Première conférence mondiale sur le tourisme et la culture organisée par l’OMT et l’UNESCO. Cet évènement a réuni des ministres du tourisme et de la culture ainsi que divers professionnels afin d’explorer de nouvelles synergies entre ces deux secteurs, d’identifier les enjeux à relever et les perspectives pour renforcer cette coopération. Cinq grands sujets ont été abordés.
- Le public et le privé doivent se concerter pour aller dans un même sens et avoir une influence bien plus importante sur l’offre culturelle > Partenariats, adhésion à des réseaux, démarches globales tenant compte des logiques du public et du privé.
- Cette évolution nécessite une réorganisation dans le sens où les secteurs été considérés comme des concurrents. Les acteurs ont compris qu’il y’avait une réelle nécessite à se regrouper et à agréger leurs forces.
Première conférence mondiale sur le tourisme et la culture organisée par l’OMT et l’UNESCO. Cet évènement a réuni des ministres du tourisme et de la culture ainsi que divers professionnels afin d’explorer de nouvelles synergies entre ces deux secteurs, d’identifier les enjeux à relever et les perspectives pour renforcer cette coopération. Cinq grands sujets ont été abordés.
- Le public et le privé doivent se concerter pour aller dans un même sens et avoir une influence bien plus importante sur l’offre culturelle > Partenariats, adhésion à des réseaux, démarches globales tenant compte des logiques du public et du privé.
- Cette évolution nécessite une réorganisation dans le sens où les secteurs été considérés comme des concurrents. Les acteurs ont compris qu’il y’avait une réelle nécessite à se regrouper et à agréger leurs forces.
Première conférence mondiale sur le tourisme et la culture organisée par l’OMT et l’UNESCO. Cet évènement a réuni des ministres du tourisme et de la culture ainsi que divers professionnels afin d’explorer de nouvelles synergies entre ces deux secteurs, d’identifier les enjeux à relever et les perspectives pour renforcer cette coopération. Cinq grands sujets ont été abordés.
- Le public et le privé doivent se concerter pour aller dans un même sens et avoir une influence bien plus importante sur l’offre culturelle > Partenariats, adhésion à des réseaux, démarches globales tenant compte des logiques du public et du privé.
Les destinations intègrent peu à peu les enjeux et tentent de déployer un politique culturelle participative. La théorie de l’économiste et philosophe indien Amartya Sen a réfléchit à sa mise en oeuvre qui reposerait sur 3 axes : liberté, capabilité et responsabilité.
De ce fait, les destinations tentent de se forger une réelle identité culturelle et se livrent une véritable bataille à la créativité pour rendre leur destination attractive.
Passage d’une économie de biens et de services à une économie du lien qui a fait évoluer la culture vers la créativité.
Ajd, nous vivons dans une économie : liens sociaux favorisés, découverte d’un territoire se fait par l’échange, réciprocité et le dialogue - consommation devient de plus en plus sensorielle et symbolique aux travers de personnages phares, d’évènements particuliers, de sons, de goûts, de modes de vie.
Voyageur en quête d’expériences authentiques qui demande à être en relation avec les individus qui façonnent la destination.
Population locale, pas forcément conscience de son potentiel, et qui pourrait séduire le voyageur en mettant en valeur ses atouts culturels.
>> Rencontre de l’offre et de la demande.
Comment les acteurs peuvent-ils impliquer les locaux et tirer profit de leur créativité afin de promouvoir et développer leur territoire ?
Évolution du comportement client et développement de nouvelles technologies induisent forcément de nouveaux préceptes et de nouvelles techniques à adopter.
De par cette problématique, nous démontrerons que la créativité est devenue une composante forte que ce soit dans la production, dans le développement ou dans la promotion touristique et qu’elle est de plus en plus utilisée comme un aspect stratégique pour valoriser l’image des destinations.
Nous parlerons pour cela de crowdtourism qui comprend trois aspects.
Crowdfunding
Crowdsourcing
Crowdlearning
L’association de ces trois concepts laisserait entrevoir une nouvelle forme d’organisation entre organismes privés et publics dans laquelle les interactions entre les locaux et les visiteurs seraient favorisées, et où les acteurs du tourisme et de la culture détiendraient un rôle de médiation et d’organisation de cette rencontre.
Au niveau de la culture, l’Etat se désengage et les subventions allouées sont moindres.
Pour faire face à cela, les acteurs réfléchissent à de nouvelles manières de financer leurs projets de valorisation via l’essor du web 2.0 et l’apparition de plateformes.
En démocratisant le financement, on voit naître une nouvelle forme de mécénat qui a rendu l’investissement plus transparent et plus efficace en impliquant chaque partie prenante dans une dynamique collaborative.
Kickstarter : Par là, nous comprenons la nécessité d’encourager la population locale à faire connaître leur talent, à devenir partie prenante du développement économique et de la promotion de la destination.
Le lien établi nʼest pas celui dʼun investissement classique mais bénéficie dʼune portée symbolique plus forte.
Au niveau de la culture, l’Etat se désengage et les subventions allouées sont moindres.
Pour faire face à cela, les acteurs réfléchissent à de nouvelles manières de financer leurs projets de valorisation via l’essor du web 2.0 et l’apparition de plateformes.
En démocratisant le financement, on voit naître une nouvelle forme de mécénat qui a rendu l’investissement plus transparent et plus efficace en impliquant chaque partie prenante dans une dynamique collaborative.
Kickstarter : Par là, nous comprenons la nécessité d’encourager la population locale à faire connaître leur talent, à devenir partie prenante du développement économique et de la promotion de la destination.
Le lien établi nʼest pas celui dʼun investissement classique mais bénéficie dʼune portée symbolique plus forte.
Les destinations se tournent vers les locaux et voient en eux une source d’idées innovantes et leur délèguent un rôle primordial dans l’élaboration de nouvelles stratégies pour toucher les voyageurs.
Campagnes de communication
Le Canada vu par les Canadiens invitait les résident à partager leurs plus beaux moments dans le pays au travers de vidéos
Depuis 2011, la Suède, communiquer sur la destination à travers les yeux de ceux qui y vivent. Poursuite cette logique avec d’autres projets.
Au travers de ces exemples, nous comprenons que l’efficacité de ces campagnes dépend de plusieurs paramètres.
Communauté autour de la destination et de ses valeurs est essentielle, d’où la nécessité de créer des réseaux d’ambassadeurs comme le font très bien la région Alsace ou la ville de Lyon par exemple.
Les réseaux sociaux sont des leviers de communication primordiaux
Avoir une démarche collaborative avec l’ensemble des parties prenantes (commerces, organisations, association, ambassadeurs, médias…)
Une complémentarité ON/OFF permet de renforcer la campagne
La destination doit devenir une marque partagée de tous ; la stratégie doit véritablement s’inscrire dans une démarche de co-construction.
Campagnes de communication
Le Canada vu par les Canadiens invitait les résident à partager leurs plus beaux moments dans le pays au travers de vidéos
Depuis 2011, la Suède, communiquer sur la destination à travers les yeux de ceux qui y vivent. Poursuite cette logique avec d’autres projets.
Au travers de ces exemples, nous comprenons que l’efficacité de ces campagnes dépend de plusieurs paramètres.
Communauté autour de la destination et de ses valeurs est essentielle, d’où la nécessité de créer des réseaux d’ambassadeurs comme le font très bien la région Alsace ou la ville de Lyon par exemple.
Les réseaux sociaux sont des leviers de communication primordiaux
Avoir une démarche collaborative avec l’ensemble des parties prenantes (commerces, organisations, association, ambassadeurs, médias…)
Une complémentarité ON/OFF permet de renforcer la campagne
La destination doit devenir une marque partagée de tous ; la stratégie doit véritablement s’inscrire dans une démarche de co-construction.
Très lié au crowdsourcing et parfois même fondu à cette notion, le crowdlearning se distingue quelque peu par le fait d’apprendre des individus. Dans cette approche, l’individu contribue à renforcer la connaissance de la destination pour améliorer sa qualité et l’expérience. Ceci peut passer par de l’intelligence collective, de l’évènementiel ou encore la technologie.
Outils qui leur permettent une compréhension de la relation qu’entretient le résident avec sa destination. L’objectif est de sensibiliser l’ensemble des citoyens dans cette démarche afin d’établir une analyse de qualité.
Nantes a récemment entrepris cette démarche en invitant les habitants et acteurs du territoire à répondre à la question “A quoi ressemblera la métropole nantaise dans 20 ans?”. Ils ont jusqu’au 15 Mars prochain pour donner leur avis sur les forces et faiblesses du territoires ainsi que sur l’avenir qu’ils envisagent pour la ville.
Il est inutile de rappeler que l’événementiel s’inscrit véritablement dans une optique d’attractivité de la destination et fait même parfois l’objet d’un voyage. Néanmoins, il est utile de rappeler que les résidents ont parfois une réelle implication dans l’organisation des évènements. En effet, les destinations ne manquent pas de tirer profit du savoir des locaux pour concevoir des événements.
En Caroline du Nord, la ville de Raleigh : communauté artistique locale est mise en lumière.
Le voyageur aurait idéalement besoin de réponses à ces questions et ce, de manière instantanée : Quoi faire? Quoi voir? Où manger? Où dormir? Toutes ces questions qui surviennent spontanément lors d’un voyage nécessiteraient des réponses et seraient davantage appréciées si elles venaient des locaux. Avec toutes les technologies mobile, nous pouvons émettre des idées qui permettrait aux voyageurs d’avoir accès à ce contenu en temps réel via des sites mobiles ou des applications.
Wherever, encore peu connue, semblerait répondre à cette problématique. A l’instar de Tinder ou Happn, elle se focalise sur la voyage et permet de chercher des utilisateurs grâce à un système de géocalisation, de découvrir leurs centres d’intérêts, de tchater via l’application et pourquoi pas d’organiser des rencontres avec eux.
Très lié au crowdsourcing et parfois même fondu à cette notion, le crowdlearning se distingue quelque peu par le fait d’apprendre des individus. Dans cette approche, l’individu contribue à renforcer la connaissance de la destination pour améliorer sa qualité et l’expérience. Ceci peut passer par de l’intelligence collective, de l’évènementiel ou encore la technologie.
Outils qui leur permettent une compréhension de la relation qu’entretient le résident avec sa destination. L’objectif est de sensibiliser l’ensemble des citoyens dans cette démarche afin d’établir une analyse de qualité.
Nantes a récemment entrepris cette démarche en invitant les habitants et acteurs du territoire à répondre à la question “A quoi ressemblera la métropole nantaise dans 20 ans?”. Ils ont jusqu’au 15 Mars prochain pour donner leur avis sur les forces et faiblesses du territoires ainsi que sur l’avenir qu’ils envisagent pour la ville.
Il est inutile de rappeler que l’événementiel s’inscrit véritablement dans une optique d’attractivité de la destination et fait même parfois l’objet d’un voyage. Néanmoins, il est utile de rappeler que les résidents ont parfois une réelle implication dans l’organisation des évènements. En effet, les destinations ne manquent pas de tirer profit du savoir des locaux pour concevoir des événements.
En Caroline du Nord, la ville de Raleigh : communauté artistique locale est mise en lumière.
Le voyageur aurait idéalement besoin de réponses à ces questions et ce, de manière instantanée : Quoi faire? Quoi voir? Où manger? Où dormir? Toutes ces questions qui surviennent spontanément lors d’un voyage nécessiteraient des réponses et seraient davantage appréciées si elles venaient des locaux. Avec toutes les technologies mobile, nous pouvons émettre des idées qui permettrait aux voyageurs d’avoir accès à ce contenu en temps réel via des sites mobiles ou des applications.
Wherever, encore peu connue, semblerait répondre à cette problématique. A l’instar de Tinder ou Happn, elle se focalise sur la voyage et permet de chercher des utilisateurs grâce à un système de géocalisation, de découvrir leurs centres d’intérêts, de tchater via l’application et pourquoi pas d’organiser des rencontres avec eux.
Très lié au crowdsourcing et parfois même fondu à cette notion, le crowdlearning se distingue quelque peu par le fait d’apprendre des individus. Dans cette approche, l’individu contribue à renforcer la connaissance de la destination pour améliorer sa qualité et l’expérience. Ceci peut passer par de l’intelligence collective, de l’évènementiel ou encore la technologie.
Outils qui leur permettent une compréhension de la relation qu’entretient le résident avec sa destination. L’objectif est de sensibiliser l’ensemble des citoyens dans cette démarche afin d’établir une analyse de qualité.
Nantes a récemment entrepris cette démarche en invitant les habitants et acteurs du territoire à répondre à la question “A quoi ressemblera la métropole nantaise dans 20 ans?”. Ils ont jusqu’au 15 Mars prochain pour donner leur avis sur les forces et faiblesses du territoires ainsi que sur l’avenir qu’ils envisagent pour la ville.
Il est inutile de rappeler que l’événementiel s’inscrit véritablement dans une optique d’attractivité de la destination et fait même parfois l’objet d’un voyage. Néanmoins, il est utile de rappeler que les résidents ont parfois une réelle implication dans l’organisation des évènements. En effet, les destinations ne manquent pas de tirer profit du savoir des locaux pour concevoir des événements.
En Caroline du Nord, la ville de Raleigh : communauté artistique locale est mise en lumière.
Le voyageur aurait idéalement besoin de réponses à ces questions et ce, de manière instantanée : Quoi faire? Quoi voir? Où manger? Où dormir? Toutes ces questions qui surviennent spontanément lors d’un voyage nécessiteraient des réponses et seraient davantage appréciées si elles venaient des locaux. Avec toutes les technologies mobile, nous pouvons émettre des idées qui permettrait aux voyageurs d’avoir accès à ce contenu en temps réel via des sites mobiles ou des applications.
Wherever, encore peu connue, semblerait répondre à cette problématique. A l’instar de Tinder ou Happn, elle se focalise sur la voyage et permet de chercher des utilisateurs grâce à un système de géocalisation, de découvrir leurs centres d’intérêts, de tchater via l’application et pourquoi pas d’organiser des rencontres avec eux.