1. Les jeux de mon enfance
Questions :
1. Regarde les images. Reconnais-tu les jeux?
2. Choisis un texte et lis attentivement.
3. Comment s’appelle ce jeu en espagnol ?
4. Souligne les verbes à l’imparfait.
5. Quel était ton jeu préféré quand tu étais petit(e) ?
Lorsque j’étais enfant nous jouions beaucoup avec mes amis durant la récréation ou avec mes
cousines pendant les vacances.
Nos jeux préférés étaient :
1. la marelle :
Le jeu commençait sur la case « terre », son but était de jeter le caillou sur les chiffres puis de sauter
à cloche pieds jusqu’au ciel en évitant la case où se trouvait le caillou. Une fois les derniers chiffres
faites nous devions faire demi-tour toujours à cloche pied, et nous répétions l’action jusqu’à ce que
le premier enfant atteigne la case « ciel ». C’était vraiment un jeu que j’aimais bien lorsque j’avais 6
ans. Nous y jouions surtout lors des récréations.
Il y avait un autre jeu sur le même principe mais il avait une autre forme, et il s’appelait l’escargot.
Moi je préférais quand même la marelle.
2. le cache- cache :
C’était également l’un de mes jeux préférés lorsque j’étais enfant. Il fallait désigner un enfant que
l’on nommait « le chercheur », celui ci devait compter jusqu’à un certain nombre, pendant que les
autres joueurs se cachaient. Après avoir compté le chercheur devait chercher les autres enfants.
Lorsque l’on trouvait quelqu’un il fallait crier « Trouvé » plus le nom de celui qu’on avait trouvé.
2. C’était un jeu auquel je jouais beaucoup, dans les parcs, à la récréation, dans la maison de ma grand-
mère aussi. Tout le monde aimait jouer à cache-cache.
3. chat :
Lorsque j’étais enfant je jouais également beaucoup à « chat ». Le principe était qu’un participant
était un chat les autres étaient des souris, et nous les souris ne devions pas nous faire attraper par le
chat sinon l’on devenait chat à notre tour. Le chat lui devait courir pour essayer d’attraper une souris
et devenir une souris à son tour.
Il y avait plein de variante à ce jeu. Nous jouions souvent à « chat glacé », si le chat touchait une
souris la souris devait s’immobiliser, et pour être déglacée, la souris glacée devait écartée les jambes,
afin qu’une autre souris passe et la délivre.
Il y avait aussi « chat perché », à ce moment là les souris pour ne pas être attrapées devaient
sortir de leur maison, et escalader, un banc, un mur, un trottoir pour être perchées et ne pas devenir
chat à leur tour.
4. Colin Maillard
Nous aimions également jouer à ce jeu qui est un dérivé du jeu « chat » mais le « chat » devenait
« colin Maillard » et il devait avoir les yeux bandés pour ne rien voir.
Il devait chercher les autres joueurs, et lorsqu’il en tenait un au toucher il devait reconnaitre de quel
joueur il s’agissait.
Avant qu’il ne cherche les autres, « colin Maillard » était tourné sur lui-même pendant 10 secondes,
les yeux bandés pour qu’il perde ses repères.
3. Nous chantions d’ailleurs une chanson lorsque l’on faisait tourner Colin Maillard. C’était un jeu très
amusant mais également très dangereux car Colin ne voyait rien et pouvait tomber et se blesser.
5. Le facteur n’est pas passé :
C’était un jeu pour les petits, j’y jouais lorsque j’avais entre ‘4 et 6 ans. Il fallait que tous les enfants
fassent une ronde et s’assoient par terre. Nous devions alors fermer les yeux et chanter la chanson :
« Le facteur n’est pas passé
Il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche !!”
Le facteur lui pendant la chanson était en dehors de la ronde et faisait le tour, et lorsque nous criions
tous dimanche, le facteur devait déposer un « colis » (un gant, des mouchoirs, une balle…) derrière
un enfant qui était assit dans la ronde. L’enfant qui avait reçu le colis devait courir après le facteur,
autour du cercle et essayer de l’attraper. Mais si le facteur s’asseyait à la place de l’enfant qui avait
reçu le colis, c’est cet enfant qui devenait facteur.
6. Poissons –Pêcheurs
C’était un jeu auquel je jouais lorsque j’avais 4-6 ans aussi, et j’aimais beaucoup. Il fallait faire deux
équipes, les poissons, et les pêcheurs.
Les pêcheurs décidaient entre eux d’un numéro (par exemple 15) ; puis se mettaient en ronde en
levant les bras, puis ils comptaient à voix haute, jusqu’au numéro choisi. Pendant ce temps là les
poissons devaient passer sous les bras des pêcheurs, entrer dans la ronde et en ressortir en passant
aussi sous les bras des pêcheurs.
Lorsque les pêcheurs disaient le numéro choisi, ils baissaient les bras, et les poissons qui n’avaient
pas eu le temps de ressortir de la ronde, qui était alors appelée « filet » étaient pêchés et devenaient
à leur tour des pêcheurs.