Web ontologie language (par RAFEH Aya et VAILLEUX Arnaud)

27. Dec 2013
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Web ontologie language (par RAFEH Aya et VAILLEUX Arnaud)

Hinweis der Redaktion

  1. Création du Web en 1990, par Tim Berners Lee,Il était exclusivement destiné à partager des informations sous forme de pages html, affichables par un logiciel «navigateur web», et généralement destinées à être lues par un utilisateur humain. L'arrivée de XML en 1998, a donné un cadre à la structuration des connaissances, rendant ainsi possible la création de nouveaux langages web destinés non plus à un rendu graphique à l'écran pour un utilisateur humain, mais à un réel partage et à une manipulation des savoirs. W3C publie deux technologies clés du Web sémantique RDF et OWL en 2004RDF et OWL, standards du Web sémantique, fournissent un cadre de travail pour la gestion des ressources, l'intégration, le partage et la réutilisation des données sur le Web.
  2. RDF est au centre de la plupart des travaux du Web Sémantique. Il permet de décrire des ressources, et de définir les règles et les relations entres elles, en leur affectant des métadonnées. Comme ça les machines pourront classer ces ressources et modéliser les liens entre elles. RDF est simplement une structure/modèle de données concret (ce n’est pas un langage), qui définissent une information sous forme de triplet (sujet - prédicat /verbe - objet).
  3. Ce modèle est très flexible pour la représentation des donnéesL’élément principal (fondamental) en RDF est le “statement”Ce “statement” est définit par un triplet <sujet > <prédicat > <objet>Expl : <http://exemple.com/film/TheDarkKnightRises> <http://filmyontology.net#hasStar> <http://example.com/personne/acteur/ChristianBale>Le sujet est la ressource, c’est une ressource identifiée par un URI unique (Uniform Resource Identifier ) (peut être un URL (UR Locator) qui est un cas spécial d’URI, mais un URI ne représente pas toujours des pages web)L’objet peut être aussi une ressource identifiée par un URI, ou même une valeur littérale (chaine par exemple)Le prédicat détermine la relation entre le sujet et l’objet. Il est identifie aussi par un URI.
  4. puisque c’est une structure, alors pour échanger ces graphes RDF , ils doivent être interprétés ou encodés pour qu’ils soient compris par la machine. XML est un des syntaxes de sérialisation RDF le plus commun (on a aussi Turtle et N3)Pour résumer : RDF est un modèle de données basé sur des triplets et indépendant de toute syntaxe particulière, RDF/XML est la syntaxe créée par le W3C pour utiliser RDF au sein du Web Sémantique.
  5. Quelques propriétés du RDFtype : détermine qu’une ressource appartient à une classesubClassOf : exp <Acteur> <subClassOf> <Personne> Dans ce cas tous les membres de la classe  Acteur  héritent les propriétés de Personne en plus de celles d’Acteur.subPropretyOf : crée des propriétés parents Exp <hasStar> <subPropretyOf><hasActor>Donc qd n defonot un « statement » …<http://exemple.com/film/DarkKnightRises> <http://filmyontology.net#hasStar> <http://example.com/personne/acteur/ChristianBale>Celaimplique aussi <http://exemple.com/film/DarkKnightRises><http://filmyontology.net#hasActor> <http://example.com/personne/acteur/ChristianBale>
  6. Domain, range : définit l'étendue d'une propriété , c-a-ddéfinissent le type des ressources (sujet et objet) qui utilisent une certaine propriété (prédicat) Exp: <hasStar> <domain> <film> et <hasStar><range><Acteur> **comme ca si on crée le « statement » <TheDarkKnightRises><hasStar><ChristianBale>, le système va considérer que TheDarkKnightRises (le sujet) est un « film » et ChristianBale (l’objet) est un « Acteur ». label, Comment : pour ajouter des nom à des ressources ou des descriptions respectivement.
  7. On a aussi d’autre propriétés : Disjonction des classeson veut parfois exprimer que des classes sont disjointes (par ex. mâleet femelle)CombinaisonsbooléennesOn veut parfois construire de nouvelles classes en combinant d'autres classes par union, intersection et complémentpar ex.personneest l'union disjointe des classes mâleet femelleRestrictions de cardinalitépar ex., une personne a exactement deux parentsCaractéristiquesparticulières des propriétésPropriété transitive (comme "plus grand que")Propriété unique (comme "est mère de")Propriété inverse d'une autre (comme "mange" et "est mangé par")
  8. 1) Ce qui se traduit par « janeknowsjhon »2)jane a le nom janeDoe3)janr est une personne
  9. Rdf:Description : un sous élément qui décrit la source et ses propriétés, c.-à-d. il va traduire (encoder) un ou des RDF statements, (dans ce cas il encode 3 )rdf:about : est le « sujet » du  statement, c.-à-d. la ressourcerdf:resource spécifie « l ’objet » du statement (on note que dans la 2eme prédicat l’objet est un littéral « janeDoe »)P:know  “http://example.org/pers-schema#knows”Qualified names are used with XML namespaces to provide shorthand references for URIs.Qualified names have the form prefix:local_name. To construct the full URI for a qualified name, simply append the local name part to the namespace that corresponds to the prefix.
  10. Quand on travaille avec des données qui seront traiter par la machine (et non pas destinées seulement vers l’utilisateur humain) on a besoin de définir des ontologies pour la définition et la classification des concepts et des entités et les relations entre eux.D’où l’OWL , qui est utilisé pour représenter explicitement le sens et les relations entre les informations du web, ce qui permet de les manipuler et les intégrer automatiquement et facilement par les machines.
  11. OWL est une extension du RDF et du schéma RDF (donc OWL repose sur RDF et utilise la syntaxe XML de RDF)Aux concepts de classes et des propriétés déjà présents dans RDF et RDFS (dans RDF on a aussi les sous-classes et sous-propriétés), OWL ajoute plus de vocabulaires pour décrire les classes et les propriétés. Alors on a par exemple : les concepts de relation entre des classesExp : disjointWith : les ressource appartenant à une classe ne peuvent pas appartenir à l’autre ( <Personne> < disjointWith><Plante>)complementOf : les membres d’une classe sont tous ceux qui n’appartiennent pas à l’autres (<personneVivente><complementOF><personneMorte>)L’egalite(ce qui peut être très intéressant en regroupant des données avec des différents schémas)sameAs : deux ressource sont identique (<RDFS><sameAs><RDFSchema>)equivalentClass : deux classes équivalentesRelation entre les propriétésSymmetric : <A> <relation> <B>  <B> <relation> <A> (exp : mariéà)Transitive : <A> <relation> <B> et <B> <relation> <C>  <A> <relation> <C>InverseOF…….RDF, RDFS and OWL can be serialized in RDF/XML syntax => they can be queried using SPARQL
  12. une ontologie commence par une déclaration d'espace de nom (ou « de nommage ») contenue dans une balise rdf:RDF, et cela pour indiquer de quels vocabulaires les termes qu’on est en train d’introduire proviennentExpl …..Ces déclaration introduisent le vocabulaire d'OWL et les objets définis dans l'espace de nommage de RDF, du schéma RDF et des types de données du Schéma XML.
  13. owl:imports est une propriété transitive ????
  14. Declaration d’une classeUne classe définit un groupe d'individus (« instances » ) qui sont réunis car ils ont des caractéristiques similaires* (*L'ensemble des individus d'une classe est désigné par le terme « extension declasse », chacun de ces individus étant alors une « instance » de la classe.)Les classes se définissent avec owl:Classet ilexisteplusieursmanieres de les declarées (6), uneest “l'indicateur de classe »**(**Il est à noter que ce type de description de classe est le seul qui permette de nommer une classe. Dans les cinq autres cas, la description représente une classe dite « anonyme », crée en plaçant des contraintes sur son extension.)***un ecadrant est une sous-classe de prof
  15. les faits concernant l'appartenance à une classe :Un fait concerne généralement la déclaration de l'appartenance à une classe d‘un individu et les valeurs de propriété de cet individu :<Faculterdf:ID=« UFR"><aPourDirecteurrdf:resource="#Jannet" /></Faculte> *les faits concernant l'identité des individus La non-unicité des noms attribués aux individus peut etre un probleme lors du nammage de ces individus (Par exemple, un même individu pourrait être désigné de plusieurs façons différentes). Alors OWL propose un mécanisme permettant de lever cette ambiguité, à l'aide des propriétés comme : owl:sameAs, owl:diffrentFrom et owl:allDifferent. <rdf:Descriptionrdf:about="#SIGLIS"><owl:sameAsrdf:resource="#" /></rdf:Description>* Ce fait decrit l’existance d’une faculte UFR dont le directeur est jannet
  16. propriétés objet , qui relient des objets (instances/individus) à d'autres objets (instances) (cette proprieté est une instance de la classe owl:ObjectProperty)propriétés de type de données, reliant les objets aux valeurs des types de données
  17. 1-dans cet exp on relie une instance de la classe professeur à une instance de la classe faculte, en precisant que la propriété « aPourDirecteur » a pour domaine la classe facute et pour image la classe professeur(on note que domain et range sont definit dans le rdfs)2-dans cet exemple, on définit la propriété de type de données anneeDeNaissance. Dans ce cas, anneDeNaissance fait correspondre aux instances de la classe de dateDeNaissance des entiers positifs.
  18. Extraire les sémantiques des données non-textuelles (images, audio …) peuvent être difficile. Ces données peuvent être indexées par des légendes ou metatags, ce qui peut être fait d’une manière différente (des différentes personnes peuvent décrirai un objet non-textuel de plusieurs façons), donc un recherche basé sur la correspondance des mots-clés n’est pas toujours efficace. C’est dans ce but alors qu’on utilise l’ontologie qui améliore (favorise) la recherche des info multimédia (comme les images par exp) et qui fournir des annotations sémantiques à ces données.On a deux types des ontologies Multimédia : media-specific (décrit le type et les propriétés du media, exp la taille d’une image, format …)content-specific (décrit le sujet et le contenu du media, cette ontologie est indépendante alors du type media, et peut alors être réutilisée (ce qui permet d’avoir une recherche plus avancée quand on cherche des info concernent un sujet précis sans précisant le type du media )
  19. Modules et importsL'outil d'importation de OWL est des plus simples: sert à importer uniquement des ontologies entières, et non des parties de celles-ciModules en langages de programmation basés sur le masquage des informations : déclarent les fonctionnalités, cachent les détails de l'implémentationQuestion ouverte de la définition du mécanisme adéquat des modules pour les langages d'ontologies du web Valeurs par défautDe nombreux systèmes pratiques de représentation des connaissances permettent de contourner les valeurs héritées par des classes plus spécifiques dans la hiérarchietraite les valeurs héritées comme valeurs par défaut Aucun accord n'a été trouvé sur une formalisation correcte du comportement non monotone des valeurs par défaut Hypothèse des noms uniquesLes applications classiques des bases de données supposent que les individus dont les noms sont différents sont en effet des individus différents OWL suit le paradigme logique habituel où ceci n'est pas le casplausible sur WWW On peut vouloir indiquer les parties d'une ontologie pour lesquelles l'hypothèse vaut ou ne vaut pas