2. SUR JOSÉPHINE MARCHAND-
DANDURAND
Journaliste et conférencière,
Joséphine publiera des articles
dans de nombreux périodiques
et défendra, sur plusieurs
tribunes, la place et les droits des
femmes dans la société.
En 1892, elle crée une des
premières revues féminines à
Montréal, Le Coin du feu dans
lequel elle fait connaître les
actions entreprises par les
féministes québécoises et
canadiennes.
Joséphine a grandi dans la
belle maison de type
Mansart que son père a fait
construire au 126, rue Saint-
Charles, en face au Palais de
justice.
En 1902, elle participe à la
fondation du Comité des
dames patronnesses de la
société Saint-Jean-Baptiste,
et en 1907 de la Fédération
nationale Saint-Jean-Baptiste.
3. SUR JOSÉPHINE MARCHAND-
DANDURAND
Elle née le 5
décembre 1861 à
Saint-Jean-sur-
Richelieu, Québec.
Elle était un
journaliste, écrivaine,
conférencière et
militante féministe.
Le 12 janvier 1886, elle
épousa au même
endroit Raoul
Dandurand et ils
eurent une fille.
Elle décédée le 2 mars
1925 à Montréal et
inhumée au cimetière
Notre-Dame-des-
Neiges de cette ville.
4. SUR LA FAMILLE DE JOSÉPHINE
MARCHAND-DANDURAND
Joséphine Marchand
était la fille de l’ancien
premier ministre du
Québec, Félix-Gabriel
Marchand et de Hersélie
Turgeon.
Elle faisait partie d'une
famille de 13.
Notaire, propriétaire
de journal,
littérateur et homme
politique, Félix-
Gabriel Marchand
élève sa famille dans
une grande aisance
tout en lui
communiquant son
goût pour la
littérature et l’action.
Quatre sœurs et un
frère y partageront
avec elle la vie
familiale.
5. Joséphine fait ses études chez les religieuses de la congrégation de Notre-Dame à Saint-Jean.
En 1879, Joséphine Marchand publie des textes, des contes et des nouvelles, dans Le Franco-
Canadien. Le Franco-Canadien est un journal fondé par son père.
En 1893, elle crée et dirige Le Coin du feu, la première revue féminine de langue française au
Canada. Joséphine écrit la majorité des textes du périodique, qui cesse de paraître en 1896.
Joséphine était à la tête de la section féminine de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal
et de la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste.
Elle était également vice-présidente provinciale du Conseil national des femmes du Canada
où elle donne des conférences dès 1894.
SUR JOSÉPHINE MARCHAND -
DANDURAND