5. N 1: Ecosystème
Un écosystème comprend
un milieu, les êtres vivants
qui le composent et toutes
les relations qui peuvent
exister et se développer à
l'intérieur de ce système.
L'écosystème est la plus
grande unité d'étude de
l'écologie, elle peut même
s'appliquer à la terre qui peut
être considéré comme le
plus gros écosystème
terrien contenant toute la vie
sur la planète terre.
7. N 2: Membrane
Une membrane (XVIe siècle, mot
savant du latin membrana : sorte de
« peau » recouvrant les
« membres », de membrum
XIe siècle, « toute partie du corps »)
désignait l'enveloppe souple et mince
entourant un organe quelconque.
Une deuxième acception savante par
analogie avec le grec Hymen
désigne une mince couche de
matière souple séparant deux
milieux, plus ou moins poreuse et
perméable.
Le mot est employé avec un sens
particulier dans différents domaines
tantôt voisin, tantôt opposé à celui de
paroi.
8. N3
SIMON VOUET, 1634 Enfants du Bouthan
Allégorie de la richesse,
9. N 3 : Richesses
A la définition limitée
traditionnelle : La richesse est
l'abondance de biens ou de
revenus, il faut inclure un sens
et une conception beaucoup
plus large au mot richesses…
richesses humaines, du cœur,
réseau relationnel, culture,
enfants, biens immatériels …
11. N 4 : Symbiose
La symbiose est une
association intime et
durable entre organismes
hétérospécifiques ( qui
appartiennent à des
espèces différentes), et
parfois plus de deux. Les
organismes sont qualifiés
de symbiotes, ou, plus
rarement symbiontes (par
utilisation de la traduction
de symbiote en Anglais) ;
le plus gros peut être
nommé hôte.
13. N 5 : Résilience
La résilience écologique est
la capacité d'un
écosystème, d'un habitat, d'une
population ou d'une espèce à
retrouver un fonctionnement et
un développement normal
après avoir subi une
perturbation importante (facteur
écologique).
On évoquera par exemple la résilience d'un écosystème forestier pour décrire
sa capacité à se reconstituer suite à un incendie ; à partir de la banque de
graines du sol, des propagules apportées par l'air, l'eau ou des animaux ou à
partir de rejets, ou de la cicatrisation d'individus résistants au feu.
15. N 6: Intuition
L'intuition (du latin intuitio, désignant
l'action de voir une image dans une glace)
désigne :
un mode de connaissance, c'est-à-dire une
certaine faculté de l'esprit, ou
une proposition résultant d'une telle faculté.
L'intuition semble être un mode de
connaissance immédiat, ne faisant pas appel
à la raison.
Une intuition n'est pas « inférentielle » : elle n'est jamais la conclusion d'un
raisonnement conscient.
Elle prend la forme d'un sentiment d'évidence quant à la vérité ou la fausseté
d'une proposition, qu'on ne peut pas toujours justifier.
On parlera ainsi d'intuition pour désigner une proposition proto-théorique
concernant un sujet quelconque.
On aura par exemple l'intuition que telle action est juste, sans savoir pourquoi
elle est juste.
17. N 7 : Organique
La matière organique (MO) est la
La part de la matière formée des est la
matière organique (MO)
part de vivants
êtres la matière formée des êtres
végétaux, animaux, ou micro-
vivants végétaux, animaux, ou micro-
organismes, formant ensemble la la
organismes, formant ensemble
La matière organique (MO) estbiomasse, oulalamatière résultant de
la part de la matière
matière
biomasse,décomposition. Elle se
ou résultant
de leur
formée des êtres vivants végétaux, animaux,Elle matière –
leurdistingue du reste deouse distingue
décomposition. la micro-
organismes, formant ensemblereste de -, à matière –titres : une -, à
la biomasse, ou la
du minérale la plusieurs minérale
plusieursproportion dansse
faible titres :
Ellele l'univers ;; le
matière résultant de leur décomposition. une faible proportion
rôle central joué par carbone
distingue du reste de la matière – minérale -, à sein joué au
dans l'univers ; le rôle central de par
une évolution rapide au
le carbone ; une évolution rapide
plusieurs titres : une faible proportion dans dans lespar des les
cycles notamment
l'univers ;
sein de cyclesoù elle passe dans
écosystèmes notamment
le rôle central joué par le carbone ; uneoù elle passe par des
étapes de évolution
écosystèmesdécomposition.
rapide au sein de cycles notamment décomposition.
étapes de dans les
écosystèmes où elle passe par des étapes de
décomposition.
19. N 8 : Impermanence
Anitya (sanskrit ; pali :
anicca), l'impermanence, est, selon le
bouddhisme, l'une des trois
caractéristiques de toute chose.
Selon Gautama
Bouddha, l'impermanence s'avère la
cause de la souffrance, dukkha, car ce
qui est impermanent n'est pas
satisfaisant.
L'impermanence est aussi promesse
de changement : le progrès sur la voie
spirituelle n'est possible que parce
que comme toute chose, notre état
présent non-éveillé est impermanent.
21. N 9 : réseau
L'étymologie du mot remonte au latin
«retiolus » diminutif de retis qui
signifie « filet ». Le terme proche de
« reticulum » signifiant « petit filet» a
donné le substantif réticule et les
adjectifs réticulé et
réticulaire, caractérisant les objets
ayant une structure de
filet, notamment les réseaux.
En premier ressort, un réseau désigne concrètement « un ensemble de
lignes entrelacées » et au figuré « un ensemble de relations »
Par extension, il désigne l'ensemble des composants et de leurs liens
autorisant la circulation de contenu ou de flux :
eau, air, huile, marchandises, informations, personnes, etc. Le Réseau peut
être « matériel » (comme le réseau sanguin), « semi-matériel » (comme le
réseau lymphatique), « immatériel » (comme le réseau
social), « abstrait, symbolique ou normalisé » (comme le Réseau Pert).
23. N 10 :: Complexité
N°12 complexité
• La complexité est une notion utilisée en
La complexité est une notion utilisée
en philosophie, épistémologie (par exemple par
philosophie, épistémologie (par
exemple par Anthony Wilden ou Edgar Morin), en physique, en
Anthony Wildenbiologie (par
ou Edgar
Morin), en physique, en
exemple par (par exemple par Henri Atlan), en
biologie Henri Atlan), en
sociologie, en informatique ou en sciences de
sociologie, en informatique ou en
sciences de l’information. La définition
l’information. La définition connaît des nuances
connaît des nuances importantes
selon ces différents domaines.ces différents domaines.
importantes selon
•
• Un système complexe est constitué d'unrétroaction, son
Un système complexe est constitué d'un grand nombre d'entités en
interaction qui empêchent l'observateur de prévoir sa
grand
nombre d'entités en interaction qui empêchent
comportement ou évolution par le calcul.
l'observateur de prévoir sa rétroaction, son
comportement ou évolution par le calcul.
25. N 11 : Reliance
Le concept a été proposé à l'origine par
Roger Clausse (en 1963) pour indiquer
un "besoin psychosocial (d'information) :
de reliance par rapport à l'isolement". Il
fut repris et réélaboré à la fin des années
1970 par Marcel Bolle de Balà partir
d'une sociologie des médias. À la notion
de connexions, la reliance va ajouter le
sens, la finalité, l'insertion dans un
système.
27. N 12 : Interdépendance
Etat de choses ou de personnes lorsqu'elles sont en interaction
Etat de choses ou de personnes qui dépendent les unes des
autres
Concept bouddhiste pour parler du fait que toutes les choses sont
en interactions et dépendent des autres pour exister.
29. N 13 : Bien commun
Le bien commun désigne le bien-être ou
le bonheur collectif (d'une communauté)
ou général (de ses membres) ; ou bien
l'ensemble des choses qui sont supposées
y contribuer : biens matériels, respect
d'autrui, justice sociale...
Un bien commun, où bien est à prendre
au sens concret, juridique ou
économique, et commun au sens de
collectif, est une instance pratique du bien
commun en tant que principe. Pour ce
second sens, voir bien public impur, bien
public et Bien de club.
31. N 14 : ADN
L'ADN est une macromolécule, polymère de nucléotides dont
la structure et les propriétés chimiques lui permettent de
remplir les fonctions suivantes :
Sa fonction principale est de stocker l'information
génétique, information qui détermine le développement et le
fonctionnement d'un organisme. Cette information est
contenue dans l'enchaînement non-aléatoire de nucléotides.
Une autre fonction essentielle de l'ADN est la transmission de cette information de
génération en génération. Cela permet l'hérédité.
L'information portée par l'ADN peut se modifier au cours du temps. Cela aboutit à
une diversité des individus et à une évolution possible des espèces. Cela est dû à
des mutations dues principalement à des erreurs lors de la réplication des
séquences de l'ADN (ajout, délétion ou substitution de nucléotides), ou bien à des
recombinaisons génétiques.
L'ADN est donc le support de l'information génétique mais aussi le support de ses
variations. En subissant les effets de la sélection naturelle, l'ADN permet l'évolution
biologique des espèces.
Il est intéressant de faire le parallèle et la métaphore avec ce que peut être l’ADN
d’un projet, d’une entreprise, d’une communauté…
33. N 15 : Métamorphose
En biologie : la
métamorphose est
une période de la vie
d'un animal qui
correspond au
passage d'une forme
larvaire à une forme
juvénile ou adulte.
37. N 17 :Holoptisme
L’holoptisme est la vision qu’un
individu a du collectif en tant qu’entité
unifiée et cohérente.
L’holoptisme est une propriété naturelle
dans les petits groupes : chaque acteur
peut pleinement décider de ses actions car
il possède cette connaissance immédiate
et sans cesse actualisée du tout. C’est ce qui lui procure une capacité d’action qui ne
repose pas sur l’obéissance à une chaîne de commandement en aveugle, mais sur
une perception directe qui va alors déclencher des actions issues de la souveraineté
personnelle et construites avec le contexte extérieur. Une équipe de sport, un groupe
de jazz en sont des exemples connus. Leur potentiel tient autant à la qualité technique
des joueurs que leur capacité à se représenter ce tout émergent du collectif.
L’holoptisme n’a été possible qu’à petite échelle, et lorsque les acteurs sont en
proximité sensorielle les uns des autres, en contexte d’intelligence collective originelle.
Avec internet un holoptisme « augmenté » est de nouveau possible.
39. N 18 Lâcher Prise
Lâcher-prise", c'est prendre du
recul, changer son regard sur les
événements. Cette attitude provoque des
changements, tout naturellement.
"Lâcher-prise" n'est pas "laisser-
tomber", ni "laisser-faire". C'est, au
contraire, accepter "ce qui est", et trouver
des solutions pour "faire avec"
autrement ! Du coup, le stress diminue, la
confiance se développe, la motivation
augmente, l'efficacité s'améliore et le
sourire revient. "Lâcher-prise", c'est
optimiser son énergie et l'utiliser au
mieux pour l'entreprise et les équipes.