5. 2. Les moyens nécessaires à la réalisation de cette anesthésie

6. 3. Une surveillance continue après l’intervention

7. 4. Une organisation permettant de faire face à tout moment à une complication liée à l’intervention ou à l’anesthésie effectuée.

9. Qui ne se substitue pas à la visite pré-anesthésique qui doit avoir lieu dans les heures précédant l’intervention

10. Programmation opératoire conjointe entre anesthésistes et chirurgiens

11. Monitorage: comprend la mesure de la concentration des gaz inspirés et expirés

12. Passage obligatoire en SSPI

14. L’évaluation du risque périopératoire vise à minimiser le risque de mortalité et de morbidité post-opératoire

16. Évaluation des traitements en cours

17. Examen physique (cardiorespiratoire, intubation)

18. Prescription d’examens complémentaires

19. Information (anesthésie, analgésie, risques, TS…)

20. Classification ASA

21. Décision pour le type d’anesthésie et d’analgésie postopératoire

24. Chirurgie intrapéritonéale ou thoracique non vasculaire

26. Chirurgie du sein

28. Rechercher et équilibrer une hypertension artérielle

29. Rechercher et équilibrer un asthme

30. Rechercher une allergie médicamenteuse

31. Rechercher des critères d’intubation difficile

33. de la tolérance à l’effort (le patient peut il monter un étage?)

35. Contexte d'urgence

37. II : limitation modeste de l'activité physique

38. III : réduction marquée, signes pour un effort modeste

39. IV : symptomatique au repos

41. Distance thyro-mentonnière : > 65 mm

42. Classification de Mallampati

46. Sexe féminin

47. Non fumeur

48. Utilisation de morphiniques en post op

50. Passage en SSPI

56. Le risque de déséquilibre de la maladie initiale est supérieur au risque d’interférences médicamenteuses avec les agents de l’anesthésie .

58. ECG : non systématique avant 40 ans (H) ou 50 ans (F)

59. Examens biologiques : selon risque hémorragique, traitement, histoire clinique

60. Avis spécialisé (cardio, neuro, hépato…)

62. ASA 2: maladie systémique non invalidante

63. ASA 3: maladie systémique invalidant les fonctions vitales

64. ASA 4: maladie systémique sévère avec menace vitale permanente

65. ASA 5: moribond

67. Amnésie

71. Accidents très rares, mais gravissimes

73. Critères médicaux

75. Conditions d’hygiène au logement comparables à l'hôpital

76. Accompagnant pour retour et 1° nuit à domicile

77. Eloignement < 1h d’une structure hospitalière

81. Liquides clairs (thé, café non sucrés) autorisés jusqu’à 3h avant l’intervention

82. But : prévention du syndrome de Mendelson

85. sédaté, mais réveillable

88. Analgésie (éventuellement)

89. Tamponnement de l’acidité gastrique ( si risque d’inhalation)

90. Diminution des besoins en anesthésiques

92. Entretien

95. Amnésie

96. Blocage des réactions nociceptives (douloureuses)

97. ± curarisation (blocage jonction neuromusculaire)

99. Objectif: obtenir les bénéfices de chaque médicament sans les effets indésirables

100. Anesthésie générale: balance (équilibre) entre morphiniques et anesthésiques

103. Oxygène mural et bouteille de secours

104. Matériel d’intubation et de ventilation

105. Drogues pour l’anesthésie et la réanimation

106. Matériel de surveillance : Scope, PNI, SaO2, gaz expirés, curamètre, température

108. Vérifier le je ûne préopératoire

109. Vérifier l’absence de dentier, lentilles…

110. Voie veineuse de bon calibre

111. Remplissage par RL

112. Installation du patient : vérifier les points de compression

114. Troubles du rythme

116. Permet une mesure de la PA à chaque battement cardiaque (et des prélèvements sanguins faciles)

119. Repérage de la bonne position de la sonde d’IOT

120. Dépistage de l’embolie gazeuse, de la diminution du débit cardiaque ou de l’arr êt cardiaque (  PetCO2)

123. Curarisation suffisante en per opératoire (confort chirurgical)

126. Morphiniques: antinociception

127. Curares: myorelaxation, relâchement musculaire

131. Morphiniques très puissants, agissant très vite (pic d’effet en 1 à 5 min) et de plus en plus courts (rémifentanil: disparition de l’organisme en 10 min)

132. Morphine: uniquement pour l’analgésie postopératoire

134. Différents curares: succinyl choline (court et très bref), vécuronium, rocuronium, atracurium, cisatracurium, mivacurium

135. Mécanisme d’action: blocage de la transmission synaptique neuromusculaire par action sur la plaque motrice

137. Antagonisation des morphiniques: naloxone

138. Antagonisation des BZD: flumazénil

141. Après curarisation

144. But : protéger le plus vite possible les voies aériennes pour éviter l’inhalation

145. Induction par Thiopental et Célocurine et intubation sous manœuvre de Sellick

146. cf. cours sur césarienne et Mendelsonn

148. Morphinique par voie IV

150. Eviter les réactions neuroendocriniennes

151. Eviter toute mémorisation

153. Mouvements, diamètre pupillaire

162. Le bon fonctionnement du matériel de la SSPI est vérifié au quotidien et consigné sur un registre.

166. Dépistage des complications chirurgicales précoces

168. PA non invasive

169. SpO2

170. FR

171. Température

172. EVA ou EVS

173. Curamètre

175. Atélectasies

176. Troubles de déglutition

177. Dépression du réflexe de la toux (morphiniques)

180. Dépression du baroréflexe

183. Rechercher une cause évidente: douleur, agitation sur le tube…

185. Titrer les hypotenseurs (Loxen)

188. Agitation, confusion

190. Hypotension artérielle

191. Troubles métabolique (Na, glycémie, Ca)

192. Sepsis

193. Médicaments

194. Pathologie neuropsychiatrique décompensée (Parkinson)

195. AVC

196. Delirium tremens, syndrome de sevrage

198. Risque = frissons au réveil avec augmentation de la consommation d’O2 (grave chez le coronarien) + inconfort pour le patient

199. Réchauffement systématique en salle de réveil, voire poursuite de l’anesthésie jusqu’à température ≥ 36°C

201. Il est souhaitable que le patient se réveille analgésié

202. Sinon: mesure de la douleur, administration de plusieurs analgésiques agissants sur des sites différents (analgésie multimodale)

203. Paracétamol, AINS et morphinomimétiques

204. Le patient doit quitter le réveil analgésié

207. Vérifier l’absence de globe urinaire avant de quitter la SSPI (très fréquent)

209. 1h30 pour un patient qui a été intubé

213. Score de 8 = sortie