4. aa.. LL’’hhiissttooiirree ddee llaa pprreessssee ééccrriittee
La presse écrite est d’abord apparue sous différentes
formes comme les nouvelles qui était manuscrites; les
occasionnels; les bibles les placards; les almanachs.etc,
Souvent il s’agissait de simple feuilles volantes,
Cette presse plus ou moins clandestine était vendue en
librairie et par colportage.
5. Dés la renaissance et aux 17éme et 18 siècle une
partie de l’information se faisant par voie
manuscrite plus particulièrement dans le domaine
de la presse clandestine ;mais non exclusivement
ces ateliers de copistes ;dont l’exemple parisien
le plus célèbre reste la paroisse doublet ;
produisaient des journaux que l’on nommait
(nouvelles a la main )
Le premier périodique imprimé au monde un
hebdomadaire de quatre page fut lancé a
Strasbourg en décembre 1605 par jonham
carolus
6. bb..LLaa pprreessssee ssoouuss llaa rréévvoolluuttiioonn
Les évolutions techniques comme l’invention de
l’imprimerie date des années 1450 et la révolution
française ne permissent pas un réel développement de la
presse en raison des mesures politiques qui furent prises
pour en bloquer sa liberté
La révolution industrielle :
Il faudra attendre le milieu du 19 siècle pour ce
développement soit effectif .
8. L'âge d'or de la presse écrite (1858-1950)
Le recul actuel de la presse écrite
Typologie de la presse
9. ((11885588--11995500))
La presse écrite a connu une véritable explosion
comme vecteur d'information à la fin du XIXe
( 19e siècle) et au début du XXe (21e siècle) . Elle
occupa une position de monopole de fait, avant
que la radio et la télévision ne s'imposent, à leur
tour, sur le marché des médias. La loi sur la
liberté de la presse est enfin promulguée le 29
juillet 1881.
10. Le recul aaccttuueell ddee llaa pprreessssee ééccrriittee
La presse écrite tend à reculer à la fin du xxe
(21e siècle) et au début du XXIe (20siècle),
malgré le lancement de nouvelles formes (la
presse gratuite, les magazines destinés à des
segments de population ciblés) face à la fois à
d'autres médias de masse, mais aussi aux médias
citoyens.
11. Selon l'OJD, organisme de référence sur la diffusion de la
presse, la diffusion des quotidiens et des magazines a
perdu 2 % en 2003. Sur dix ans, la diminution est de 8 %.
Mais cela cache des disparités profondes : la presse
magazine progresse lentement tandis que la presse
masculine, ou celle liée au spectacle, concurrencée par le
Web, perd des lecteurs.
12. Pour le contexte nord américain, une étude de 2006 du
chercheur Robert G. Picard a établi : « La diffusion des
quotidiens était de 53,829 millions d’exemplaires vendus
chaque jour en 1950, contre 54,626 millions en 2004, alors que
la population totale a augmenté de 131,2 millions dans la même
période,
On est ainsi, passé de 353 exemplaires vendus pour 1 000
habitants à 183 pour 1 000 à peine, soit une chute de 48,1 %2.
». Les difficultés touchent l'ensemble de la presse, même la
presse régionale ou la presse gratuite, qui avaient un temps pu
faire penser qu'elles s'en sortiraient un peu mieux que la presse
nationale.
13. TTyyppoollooggiiee ddee llaa pprreessssee
La presse écrite regroupe différentes catégories de publications
qui peuvent être classées en fonction :
De leur rythme de parution (quotidiens, hebdomadaires,
mensuels, bimestriels etc.),
De leur contenu (presse spécialisée et presse généraliste)
Selon leur nature par famille de presse (information,
divertissement, publications scientifiques, etc.).
On distingue la presse quotidienne (les quotidiens) et assimilée
(comme les hebdomadaires), imprimée sur papier souvent bon
marché, de la presse magazine (publications périodiques), plus
luxueuse et plus illustrée. Cette dernière a connu une grande
diversification qui lui permet d'être plus ciblée, de favoriser la
fidélisation de ses lecteurs et de mieux résister à la
concurrence des autres médias (dont les médias électroniques).
14. En 1914 éclate la guerre la plus sanglante que la
France n'ait jamais connu. Première Guerre d'un
genre nouveau, elle se veut être novatrice,
puisque c'est une "guerre totale" utilisant tout les
secteurs d'activités de la société. Ainsi, alors que
l'affrontement s'étend àtoute l'Europe et s'éternise,
l'État emploie tout ses moyens pour se battre : il
mobilise donc l'économie, l'industrie et tout les
hommes en âge et état de se battre La guerre est
dans tout les esprits, et la seule source
d'information pour le peuple se veut être la Presse
Écrite.
15. Cette presse, forte d'une liberté d'expression acquise après la
révolution, sedoit d'informer la population de l'actualité, et ce
neutralement.
Mais, est-ce que en temps de guerre le rôle de la presse
reste le même ?
Où est-ce que le devoir de défense prend le pas sur la
vérité ?
16. A/ L'importance de llaa pprreessssee ddaannss uunn ccoonnfflliitt
mmoonnddiiaall
Le contexte de 1914 n'est plus le même que celui
de toutes les guerres d'auparavant, et l'on voit
encore ici que c'est une guerre de conception
nouvelle. En effet, de tout temps, alors que les pays
se livraient des batailles de conquêtes, les
monarques, qui dirigeaient en maîtres absolus, ne
devaient guère de comptes à leurs sujets.
A cette époque, la notion d'"information" n'était
pas d'actualité et ce n'est que depuis le début du
siècle que la presse se développe avec pour objectif
un réel besoin, car les populations commencent à
émettre le souhait de se tenir au courant de ce qui
se passe dans leur pays, mais aussi dans le monde.
17. B/ L'information de l'arrière
Avec le conflit qui s'éternise et l'arrivée de la guerre de
position, les états majors de chaque pays s'aperçoivent qu'il est
temps de prendre le contrôle de l'opinion public et de le
rendre plus malléable à une campagne qui devient de plus en
plus meurtrière.
C'est pourquoi la presse commence peu à peu, et au fur et à
mesure que la guerre se prolonge, à perdre de son autonomie
pour être contrôlée par les gouvernements. Ainsi, alors qu'en
temps de paix son but est de diffuser l'information de manière
objective, lors de ce conflit armée, il en fut tout autrement, le
de voir des journaux "n'était pas tant de fournir des infos telles
qu'elles arrivées que de les voiler, de les nier, et de les
fabriquer avec habileté.
18. En effet, la priorité du pays était de gagner la guerre et
il ne fallait ni favoriser l'ennemi par inadvertance, ni
encourager des sentiments défaitistes dans son propre
camp, et galvaniser les énergies en était bien le
principal objectif. Mais cette information propagandiste
avait également pour but de renforcer le sens du "bon
droit", c'est-à-dire la conviction optimiste d'avoir
entièrement raison et d'être destiné à l'emporter.
De cette façon, l'information de l'arrière se fait dans un
cadre d'une volonté précise qui est de vaincre les
allemands même s'il faut bafouer les règles du
journalisme.
Ainsi, et en parallèle à cette presse mensongère, les
véritables nouvelles sur le déroulement de la guerre au
front arrivent par le biais de la correspondance des
poilus avec l'arrière.
19. C/ Les différents types d'informations ddee llaa pprreessssee
ppeennddaanntt llaa gguueerrrree
Le nombre des journaux dans la presse écrite française
était élevé. Sur le front, les poilus éditaient eux-mêmes
des journaux qui circulaient dans les tranchées et de
fronts en fronts, mais sans jamais atteindre l'arrière
puisque la censure était présente.
A l'arrière, il existaient plusieurs types de presse, ainsi on
pouvait aisément reconnaître la presse d'opinion, la presse
satyrique, et d'autres journaux destinés à des classes
sociales différentes.
20. Ces différentes catégories d'informations, qui en temps de paix se
distinguaient chacune par des opinions différentes, étaient durant la
grande guerre unis et rangés derrière les états majors. Ainsi, les
journaux se voulaient être des outils des gouvernements
politiquement responsables des effets qu'ils pouvaient avoir sur les
populations.
Ainsi, à l'image de l'"Union Sacrée", tout les types de journaux se
réunirent pour diffuser une information absurde dans un seul et
même but final : faire croire aux lecteurs à une victoire française
imminente.
21. D- Les conséquences d'une ppoolliittiiqquuee mmeennssoonnggèèrree,,
ll''aaccttiioonn ssuurr lleess éévvéénneemmeennttss
Cette décision qu'a prise la presse de diffuser une
fausse information dans le but de rassurer la
population fut prise alors que la guerre se
prolongeait, pour éviter les risques de lassitude
générale du peuple, qui aurait pu, à termes, anéantir
les chances de victoires.
C'est ce qui s'est passé en Russie en 1917, alors que
le peuple ne voyait rien de la guerre, les mouvements
de paniques et de protestations ont commencés à se
faire sentir. Même phénomène en Allemagne où la
situation de l'armée était totalement inconnue des
citoyens. Toutes ces mises en scènes et tout ces
mensonges ont servis un "bourrage de crânes"
intensifs, aidé par la censure et la propagande.
22. E/ Les moyens dd''aaccttiioonn ddee llaa pprreessssee ::
En effet, pour agir en temps de guerre, la presse peut
avoir recours à différentes méthodes. Ces moyens
employés sont souvent obligatoires, parce qu'ils sont
dictés par les gouvernements. Il s'agit là de censure. Mais
deux sortes de censure existent.
Ainsi, la presse sera forcée d'appliquer la censure d'État,
mais s'efforcera également de pratiquer parfois l'auto -
censure. La propagande est aussi l'un des moyens d'agir de
la presse et ce sera cette forme d'information de la
population qui s'avérera être la plus utilisée, appuyant ou
complétantla censure.
23. Censure:
On peut dire que, en ce qui concerne la presse, le moyen le plus
argument employé pour faire passer une fausse information était la
censure. L'État interdisait aux journaux de divulguer certaines
informations provenant du front. Cela pour plusieurs choses, la
plus importante étant de ne pas démoraliser les lecteurs restés à
l'arrière. Cette censure se présentait sous plusieurs formes.
Premièrement, le "mensonge patriotique", né durant cette guerre.
Ces informations diffusées relevaient totalement de l'intox. En effet,
au début de la guerre, les informations des fronts Russes et
Français filtraient mal, mais de manière à ce que la population ne
s'inquiète pas, les journaux prenaient la liberté de raconter des
mensonges à la place de faits réels qui n'étaient pas parvenus
jusqu'aux oreilles des journalistes. Ainsi, le 24 Août 1914, le
quotidien Le Matin titrait : "Les cosaques à cinq étapes de Berlin",
information qui n'était évidemment pas fondée !! Mais la population
y croyait puisque la guerre, à son début s'annonçait courte.
24. Selon le gouvernement, ce genre de mensonges est "l'écran qui
dissimule les revers." C'est-à-dire que, puisqu'aucune nouvelle sur la
situation militaire n'est dévoilée, cette censure est la seule forme de
soutient Mora donnée aux civils. La censure protège également
l'opinion publique contre les déroutes des alliés. Puis, intervient la
censure de tout ce qui provient du front mais sans parler de
retranscriptions sous forme de journaux. Les lettres que les soldats
envoyaient à leurs familles passaient par l'état major qui, si la lettre
était jugée trop suggestive, se donnait le droit de la détruire ou de la
modifier. Mais certaines passaient malgré tout mais sans éveiller les
soupçons du fait de leur trop faible quantité.
Enfin, l'auto - censure était également fortement présente. Les
journalistes, de par leur professionnalisme, camouflaient
automatiquement certaines informations, qu'ils jugeaient eux-mêmes
trop dures pour être diffusées aux grand public. La censure sous
toutes ses formes a donc été présente tout au long de la guerre,
laissant place à nombres de mensonges et d'histoires invraisemblables.
25. Propagande:
Pour appuyer la censure, la propagande était également présente.
Fortement diffusée par la presse dans les journaux, la propagande
pouvait revêtir différentes formes telles les tracts ou les affiches
publicitaires, les photos ou les dessins. La propagande existait,
comme la censure, sous deux aspects. D'abord, elle agissait à
l'intérieur du pays. Dans ce mode d'action, son but principal est de
rassurer la population au même titre que la censure. Mais sa
diffusion à plus grande échelle, tandis que les journaux ne touchent
respectivement que leur régions, donne plus de poids à son
discours.
Toutefois, son principal et plus efficace mode d'action est sans
conteste l'influence à l'extérieur des frontières. En effet, une
certaine propagande agissait au coeur des lignes ennemies. Son but
était de faire perdre confiance aux adversaires en racontant des
mensonges sur des pertes de terrains, par exemple, ou sur des
offensives ennemies, soi-disant, dévastatrices.
26. Mais comment faire passer cette propagande alors que les frontières sont
bloquées par les fronts ? Et bien, plusieurs moyens étaient employés. Le plus
courant était le bombardement de tracts au-delà des lignes de fronts. Dans ce
domaine, les plus redoutables étaient sans nuls doutes les Allemands.
En effet, certaines personnes et entreprises allemandes possédaient des
capitaux en France, capitaux qui avaient été investis avant guerre dans des
journaux français. Ce point constitue un net avantage dans le pouvoir qu'ils
ont de contrôler l'information, et de diffuser leur propagande en France, et
cela en passant outre la censure française. Enfin, les allemands possèdent un
autre avantage, et qui n'est pas le moindre : ils disposent d'une situation
géographique idéale pour ce qui est de diffuser des informations et
documents en tout genres.
27. En effet, ils occupent une position centrale en Europe, et
possèdent des zones frontalières avec tout leurs alliés. Et la
France se retrouve une nouvelle fois désavantagée.
Certes, la communication avec les anglais et les américains est
facile, mais les empires centraux sont un vrai barrage à la
communication avec la Russie, qui est pourtant un allié clé qui
permettait aux pays de l'entente de prendre en tenaille ma
triple alliance.
Au final, on peut dire que même si la propagande appuie la
censure elle s'avère autant, si ce n'est plus efficace que cette
dernière du fait de son impact à l'étranger. Mais il est clair que
ce genre de politique et son pouvoir d'action dépend
grandement des moyens et de la position de chaque agent
concerné.
28. Au final, il est remarquable que la presse fut un élément
important de la victoire de par son impact psychologique sur le
moral des troupes, et des personnes restées à l'arrière. Les
informations, bien que faussées par une censure exigeante,
furent largement diffusées, lues et parfaitement intégrées par
les lecteurs, alors très crédules. Mais la presse n'agissait pas
seul et la propagande la servait avec force grâce a une action
au-delà des lignes ennemies, pour un impact sur les étrangers à
la censure du pays d'origine. Toutefois, on peut se demander
si, avec une évolution des moyens de communications et des
mentalités, comme l'on connaît aujourd'hui la guerre aurait
connue le même dénouement. Et cette évolution à petite
échelle peut ce voir dans le déroulement de la Seconde Guerre
Mondiale.
29. La deuxième guerre mondiale :: pprreessssee aauuttoorriissééee eett
pprreessssee ccllaannddeessttiinnee
Lors de la seconde guerre, les journalistes souhaitant être certains de
ne pas être censurés devaient accepter – et servir – l’idéologie
officielle. Un journal comme Le Cri du Peuple, organe de doctrine créé
par Jacques Doriot, voyait ainsi sa diffusion protégée par la sécurité
militaire allemande et encouragée par la Propaganda- Abteilung.
Le Figaro, quant à lui, refusant de respecter les consignes dictées par
l’Allemagne après l’invasion de la zone Sud, souhaite annoncer sa
disparition dans le numéro du 11 novembre 1942, mais celui-ci est
saisi et sa diffusion empêchée.
30. La presse clandestine se met en place dès 1940, polycopiée en
secret, dactylographiée, ronéotypée, multigraphiée, distribuée
dans les boîtes aux lettres la nuit souvent par ses auteurs eux-mêmes.
Ceux-là s’assurent également de la complicité de certains
imprimeurs et ouvriers du livres, linotypistes, typographes, clicheurs, etc.
« Une fois fabriqués, les journaux sortent discrètement des imprimeries,
dans une voiture à bras ou dans la camionnette du boulanger. Ils
parviennent aux membres de la Résistance par la poste, en petits paquets,
sous une fausse étiquette, par le train, en valises non accompagnées, grâce
à la complicité des cheminots. Une chaîne complexe s’organise jusqu’à
l’affichage sur les murs des villes et la distribution dans les boîtes aux
lettres, le métro, les vestiaires des usines, les files d’attente, chaque
lecteur étant invité à faire circuler le journal le plus possible. Défense de la
France organise même des commandos de diffuseurs, les « Volontaires
pour la liberté », étudiants et lycéens qui, armés de feuilles clandestines,
surgissent à la sortie d’un cours, dans le métro, dans un cinéma, et
s’enfuient avant l’arrivée de la police. » (D’Almeida, Delporte, 2003, p.
140)
Ceci est une belle concrétisation de la mise en garde promulguée par
Renaudot trois-cents ans plus tôt, lorsqu’il demanda aux princes et aux
Etats étrangers de « ne perdre point inutilement le temps à vouloir fermer
le passage [aux] nouvelles dont le commerce ne s’est jamais pu défendre
et qui tient en cela de la nature des torrents qu’il se grossit par la
résistance ».
31.
32. Etant donné les coûts et les difficultés d’approvisionnement en papier, les journalistes de
l’ombre doivent faire bref et percutant. Les poèmes sont notamment une forme
d’expression très utilisée par les Résistants, parmi lesquels on trouve de nombreux
grands écrivains comme Aragon et ses Strophes pour se souvenir écrites en réaction à
« l’affiche rouge » (photo) placardée après l’arrestation de 23 résistants des FTP-MOI.
A la libération, les résistants reprochèrent à Brasillach d’avoir écrit et publié les Poèmes
de Fresnes car c’était selon eux une forme d’expression qui, en quelque sorte,
leur appartenait. On comprend ainsi comment des contraintes liées à la distribution
peuvent aboutir dans certains cas à l’appropriation d’une forme d’expression,
d’un style, d’une langue et d’une façon d’aborder la critique du pouvoir en
place.
Bien sûr le cas de l’occupation allemande est « extrême » dès lors que le pouvoir est
concentré dans les mains d’un groupe d’acteurs désireux de pratiquer une censure
systématique. Mais il nous montre comment et pourquoi les journalistes et les éditeurs
ne peuvent éviter de composer avec leurs intermédiaires dans de telles conditions,
ou au moins d’agir en fonction de ce qu’ils savent de la manière dont agissent
les intermédiaires.
33. 4- La partie critique de l’histoire ddee llaa pprreessssee ééccrriittee
Domination de la presse écrite par les groupes de
pressions
En Grande - Bretagne : la presse écrite contrôlé dés sa
naissance«
En France : toute publication est sous contrôle "
l'AIPAC " domine la plupart des journaux
34. -Fin-
Merci pour votre attention
Cours Histoire des médias
Enseignante: Nouha Belaid