1. CHANGEZ VOTRE VIE, CHANGEZ VOTRE MONDE.
LA BANQUE DU CIEL.
DÉCLARATION
D’AMOUR!
IL Y A UNE DIFFÉRENCE
ENTRE LA PITIÉ ET
LA COMPASSION.
BAMBOU
GAGNEZ EN
DONNANT
activé
3. activé numéro 8 3
La journée avait plutôt mal
commencé. J’avais attendu avec
impatience le soir où mon ami
Marek et moi devions prendre le
train pour nous rendre à Moscou,
mais, ce jour-là, tout semblait aller
de travers.
Lorsque nous sommes montés
en voiture pour nous rendre à la
gare, nous étions déjà en retard.
J’étais inquiète car je craignais de
rater le train. Et voilà que la voiture
ne voulait pas démarrer. Il ne nous
restait que peu de temps ! Nous nous
sommes donc précipités dans un
autre véhicule, et, enfin, avons pu
rouler en direction de la gare. Mais
comble de malchance, nous nous
sommes trompés de route et nous
avons dû revenir à notre point de
départ.
Je me mis à prier : “Seigneur,
pardonne-moi d’être en retard ! Tu
ne m’as jamais laissée tomber, alors,
je t’en prie, fais un miracle ! Retarde
le train !”
Arrivée à
la gare, je jetai
un coup d’œil à la
pendule : plus
qu’une toute petite
minute avant le départ.
J’allais manquer mon train !
“Jésus, jeT’en prie !”,
suppliai-je. Je me
précipitai pour
attraper le train,
avec Marek qui
courait derrière
moi.
Au moment où j’atteignis le quai,
les portes étaient en train de se fermer.
Le train était déjà en marche et prenait
de la vitesse.
“Non ! C’est impossible ! Pourquoi
n’arrêtes-tu pas ce train, Jésus ?”
Je sautai sur un des marchepieds,
pour m’apercevoir que les portes
étaient déjà verrouillées et qu’il n’y
avait personne pour m’ouvrir.
J’étais là, agrippée à la porte du
train qui accélérait. Ce n’était pas la
peine d’insister. Je me dis que je ferais
mieux de sauter du train en marche.
“Oui, mais le sol est verglacé, pensai-je
avec effroi, si je tombe par terre, je
risque fort de glisser sous les roues du
train !” Pourtant, je n’avais pas le
choix !
Au moment où je
sautai, mon
pied resta
accroché
“ Le train
prit de la
vitesse, il
ne me
restait
plus qu’à
attendre la
mort…”
DE MAGDA,
UKRAINE
Suite page 14
4. 4 activé numéro 8
Telle est la solution à tous les
problèmes de l’humanité, aujourd’hui
comme dans le passé : l’amour. L’amour
vrai, l’amour de Dieu et l’amour du
prochain. L’amour est toujours la solu-
tion de Dieu, même dans le monde où
nous vivons, aussi complexe, aussi
confus soit-il.
C’est lorsqu’il rejette l’amour de
Dieu et Ses lois fondées sur l’amour, que
l’homme devient égoïste et cruel vis-à-
vis de son prochain, inhumain envers
ses semblables. Comme il apparaît
clairement dans ce monde où règnent
l’oppression, la tyrannie et
l’exploitation. Par centaines de millions,
et sans raison, des hommes souffrent de
la faim et de la malnutrition, de la
maladie et de la pauvreté, du surmenage
et des abus de toutes sortes — sans
parler des tortures de la guerre et des
cauchemars dus à la peur et l’insécurité
permanente.Tous ces maux sont le
résultat d’un manque d’amour, de la part
de l’homme à l’égard de Dieu et de son
prochain, le résultat de son rejet des lois
de Dieu, qui signifient amour, foi, paix et
harmonie.
C’est aussi simple que ça : si notre
amour pour Dieu est vrai, alors il nous
est possible de nous aimer les uns les
autres. Et alors nous pouvons suivre Ses
règles de vie et de liberté qui conduisent
au bonheur. C’est ainsi que tous
connaîtront le bien-être et la joie du
Seigneur !
C’est pourquoi Jésus nous enseigne
que le premier et le plus grand
commandement, c’est d’aimer :“Tu
aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton
cœur et de toute ton âme et de toute ta
pensée... et voici celui qui vient en
second rang et qui lui est semblable”,
autrement dit, qui est presque pareil, qui
revient presque au même : “Tu aimeras
ton prochain comme toi-même !”
(Matthieu 22:37-39).
Si notre amour est vrai, nous ne
pouvons être confrontés à un besoin
sans faire quelque chose. Nous ne
pouvons pas simplement passer à côté
du pauvre homme sur la route de
Jéricho ! Comme le Samaritain, nous
devons agir ! (cf. Luc 10:25-37). À la vue
des nécessiteux du monde
d’aujourd’hui, beaucoup s’écrient :“Oh,
quel malheur ! Les pauvres ! Je les
plains !” Mais la compassion doit se
traduire par des actes ! C’est là toute la
différence entre la pitié et la compassion:
la pitié se lamente sur le sort d’autrui,
mais la compassion passe àl’action !
Notre foi doit se manifester par des
actes tangibles, et de même notre amour.
DAVID BRANDT BERG
Telle
est la
différence
entre la
pitié et la
com-
passion :
la pitié se
lamente
sur le sort
d’autrui,
mais la
com-
passion
passe à
l’action !
T
4 activé numéro 8
5. activé numéro 8 5
Dire que l’on aime quelqu’un sans
s’efforcer de lui venir en aide d’une
façon ou d’une autre, — qu’il s’agisse de
le secourir en lui procurant nourriture,
vêtements, ou abri, etc.— ce n’est pas
aimer ! S’il est vrai que le besoin d’un
amour véritable est un besoin spirituel,
en revanche, il doit se manifester
physiquement par des actes. La foi“se
traduit par des actes inspirés par
l’amourv !” (Galates 5:6). “Si un homme
riche voit son frère dans le besoin et lui
ferme son cœur, comment l’amour de
Dieu demeurerait-il en lui ? Mes enfants,
que notre amour ne se limite pas à des
discours et à de belles paroles, mais
qu’il se traduise par des actes, accomplis
dans la vérité !” (1 Jean 3:17,18)
Cependant, nous devons garder à
l’esprit que la plus grandemanifestation
de notre amour ne se limite pas au
partage de nos biens matériels, mais
réside dans le don de soiaux autres, le
don de notre amour et de notre foi. Jésus
Lui-même n’avait aucun bien matériel à
partager avec Ses disciples, seulement
Son amour et Sa vie, qu’Il n’a pas hésité
à donner à Ses disciples ainsi qu’à nous-
mêmes, afin qu’à notre tour, nous ayons
la vie et l’amour pour toujours !
“Il n’y a pas de plus grand amour
que de donner sa vie pour ses amis !”
(Jean 15:13) C’est pourquoi nous
considérons que le don de soi, de notre
amour et de notre vie, est le plus impor-
tant de tous les partages et notre but
ultime.
Vous ne pourrez trouver le vrai
bonheur dans la poursuite des plaisirs et
des satisfactions égoïstes, mais dans la
découverte de Dieu, et dans le partage de
Son amour avec les autres, en cherchant
à leurapporter le bonheur. C’est alors
que le bonheur vous poursuivra et vous
comblera de façon personnelle, sans
même que vous ayez à le rechercher
pour vous-même !
“On récolte ce que l’on a semé !”
(Galates 6:7). C’est en semant l’amour
que vous récolterez l’amour; et c’est en
semant l’amitié que vous vous ferez des
amis. Par conséquent, observez Sa loi
d’amour. Faites preuve d’un amour
désintéressé envers le Seigneur et envers
les autres, et donnez-leur cet amour
qu’ils attendent : c’est ainsi qu’à votre
tour, vous recevrez de l’amour.“Car on
emploiera, à votre égard, la mesure dont
vous vous serez servis pour mesurer”
(Luc 6:38).
Découvrez le pouvoir merveilleux de
l’amour ! Un tout nouvel univers, qui
n’existait que dans vos rêves, va
s’ouvrir à vous ! Vous pouvez
vivre un amour merveilleux
avec une autre âme solitaire
— si seulement vous essayez !
Si vous donnez de l’amour,
vous en recevrez !
L’Amour n’a pas été mis
dans votre cœur pour y rester :
L’amour n’est pas l’amour,
tant que vous ne l’aurez pas
donné !
(L’article ci-dessus est extrait de la brochure
Osez la différence, de David Brandt Berg)
Si notre
amour
pour Dieu
est vrai,
il nous
est
possible
de nous
aimer les
uns les
autres.
activé numéro 8 5
6. 6 activé numéro 8
QUAND ON DONNE
À DIEU…
— Extraits des écrits de David Brandt Berg.
La Bible nous raconte que lors d’une longue
période de sécheresse et de la terrible famine qui
s’ensuivit, à l’époque du prophète Élisée, une pauvre
veuve habitant la bourgade de Sarepta était sortie
ramasser quelques morceaux de bois pour faire du
feu : elle allait cuire un dernier gâteau, pour elle et
son fils, avant de mourir de faim. Le prophète de
Dieu, s’approchant d’elle, lui demanda : “Prépare-moi
d’abord, avec ce que tu as, une petite miche de pain,
et apporte-la moi ; ensuite, tu en feras pour toi et
pour ton fils. Car voici ce que déclare l’Éternel, le
Dieu d’Israël : “Le pot de farine ne se videra pas, et
la jarre d’huile non plus, jusqu’au jour où l’Éternel
fera pleuvoir sur le pays.”” Et c’est exactement ce
qui arriva ! (1 Rois 17:10-16).
Elle avait fait
passer Dieu et Son
prophète, son mis-
sionnaire, avant elle.
Parce qu’elle l’avait
nourri en premier,
elle survécut miracu-
leusement à trois
longues années de
famine. Durant tout
ce temps, elle conti-
nua à s’alimenter au
même pot de farine
et à la même jarre
d’huile !
Cela me rappelle
le temps où j’étais
étudiant : nous vivions
alors dans une petite
caravane de quatre
mètres. Avec pas plus
de 25 dollars par
mois, je devais
subvenir aux besoins
de ma femme et de
nos deux petits
enfants. Un jour, ma
femme suggéra que
Dieu nous bénirait
davantage si nous
donnions la dîme du
peu que nous avions.
Je protestai, tout d’abord, en faisant valoir que nous ne pouvions pas
nous le permettre. Mais, après avoir prié pour trouver la volonté de
Dieu, nous avons ouvert notre Bible en plein sur le passage de la
veuve qui déposa ses deux dernières petites pièces dans le tronc du
Temple (Marc 12:41-44). Jésus eut pour elle ces paroles élogieuses :
Ma foi, je n’avais rien à
redire ! J’avais soutenu que nous
ne pouvions pas nous permettre de
donner le dixième de nos revenus,
et voilà que, dans la Bible, une
pauvre veuve avait donné tout ce
qu’elle possédait ! C’est ainsi que,
le dimanche suivant, nous fîmes
don de 2 dollars et demi à
l’église de notre paroisse, car je
ne savais pas trop à qui d’autre
donner. Il se trouva que le lundi
matin, à la fin d’un cours, mon
professeur me dit :
“David, quelqu’un
m’a donné ça pour
toi !”
“Merci bien, Monsieur !
Mais, c’est un billet de vingt
dollars ! Cela représente
presque dix fois la dîme que
nous avons payée ! Merci
Jésus !”
C’est bien à cela qu’on
reconnaît Dieu : Il se plaît à
nous donner au-delà de ce
que nous Lui donnons, et Il ne
nous laissera jamais Le
“Dans sa pauvreté,
elle a donné tout ce
qu’elle possédait, tout
ce qu’elle avait pour
vivre.”
7. activé numéro 8 7
dépasser en générosité ! Il nous donne toujours plus,
beaucoup plus, surtout si notre geste est désintéressé. Je
ne suis pas du tout certain que le Temple ait eu besoin
des centimes de la pauvre veuve, mais Dieu n’en a pas
moins honoré son sacrifice. Jésus ne disait-Il pas :
“ Vraiment, Je vous l’assure, cette pauvre veuve a
donné bien plus que tous ceux qui ont mis de l’argent
dans le tronc. Car tous les autres ont seulement donné de
leur superflu, mais elle, dans sa pauvreté, elle a donné
tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre”
(Marc 12:43-44).
C’est Lui qui l’a promis ! Il a
dit : “Apportez donc vos dîmes
dans leur totalité dans le trésor
du temple pour qu’il y ait des
vivres dans Ma demeure ! De
cette façon mettez-Moi à
l’épreuve, alors vous verrez bien
si, de mon côté, je n’ouvre pas
pour vous les écluses des cieux,
et ne vous comble pas avec
surabondance de ma
bénédiction ” (Malachie 3:10).
“ Faites donc du Règne de Dieu
et de ce qui est juste à Ses
yeux votre préoccupation
première, et toutes ces choses
vous seront données en plus”
(Matthieu 6:33).
Dieu vous remboursera !
“ Tout ce que tu auras dépensé
en plus, je te le rembourserai ! ”
Vous rappelez-vous qui disait
cela ? C’est tiré de la très belle
histoire du Bon Samaritain : il
avait trouvé, sur le bord de la
route, un pauvre homme qui avait
été battu par des bandits de
grand chemin, qui l’avaient laissé
pour mort. Le Bon Samaritain le
releva et l’emmena à l’auberge,
où il dit à l’aubergiste :
“Tout ce que tu
dépenseras en plus, je te le
rembourserai.” (cf. Luc
10:30-37.)
Je pense que vous allez découvrir qu’en donnant à
Dieu et à Son œuvre, vous ne faites en aucun cas un
sacrifice ; vous ne faites qu’investir, et les dividendes
surpasseront de loin tout votre investissement !
Investissez en Jésus-Christ et dans l’œuvre de Dieu,
et vous récolterez des dividendes éternels ! Dieu vous
bénira et Il veillera à ce que vous retiriez de votre
investissement un bon bénéfice, le
meilleur bénéfice possible ! Vous
partagerez les récompenses
éternelles des âmes qui auront été
gagnées grâce à votre générosité.
Si vous mettez Dieu en premier et si vous Lui réservez votre dîme, Il a promis de vous mettre
en premier dans le partage de Ses bontés. Il vous comblera de tant de bénédictions que vous
n’aurez pas la place de toutes les contenir !
8. 8 activé numéro 8
vez-vous déjà remarqué que ceux qui ont pour habitude de donner, rayonnent
de sérénité et de bonheur ? En outre, il semble qu’ils aient toujours quelque
chose à donner et à partager avec les autres, qu’il s’agisse de leur temps, de leur
argent, ou tout simplement d’un peu d’encouragement. Jésus en explique la
raison : “Donnez et l’on vous donnera; on versera dans le pan de votre
vêtement une bonne mesure bien tassée, secouée et débordante.” ( Luc 6:38)
Si nous donnons aux autres, si nous sommes prêts à nous soumettre à eux
pour les rendre heureux, ou si nous plaçons leurs désirs avant les nôtres, nous
aurons quelquefois l’impression d’être perdants. Mais il n’en est rien. Une telle
générosité n’échappe pas à Dieu, et Il nous récompensera. On ne perd jamais
rien à donner.
Une dame riche d’un certain âge, qui était devenue chrétienne, marchait
dans les rues d’une ville en compagnie de sa petite fille, lorsqu’un mendiant
les approcha. La vieille dame écouta l’homme raconter son histoire. Puis elle
tira un billet de sa poche, qu’elle lui déposa dans la main. Un peu plus loin, au
coin de la rue, un bénévole collectait pour l’Armée du Salut. La vieille dame
laissa tomber une pièce de monnaie dans sa cagnotte. Sa petite fille, qui la
regardait avec surprise, lui dit d’un air intrigué :
—Grand-mère, j’imagine que tu as beaucoup perdu depuis que tu es devenue
chrétienne, pas vrai ?
—Oh oui, tu as raison !, répondit sa grand-mère, j’ai perdu ma mauvaise
humeur, mon habitude de critiquer les autres, ma tendance à perdre mon
temps en activités frivoles et en loisirs futiles. J’ai aussi perdu mon égoïsme et
mon avarice. C’est vrai, j’ai beaucoup perdu. Mais ce que j’ai gagné n’a pas de
prix ! J’ai acquis la paix intérieure, la force de prier. J’ai gagné un Ami qui sera
toujours à mes côtés, qui me connaît, qui m’aime et me protège. J’ai acquis
des richesses et un épanouissement dont j’ignorais même l’existence, une foi
qui me permet de surmonter toutes mes craintes. Et aussi, la promesse d’une
merveilleuse demeure céleste qui m’attend, et bien plus encore… Oui, je suis
très heureuse d’avoir perdu ce que j’ai perdu, car j’ai gagné l’inestimable !
La Bible fait remarquer : “Tel donne libéralement et ses richesses s’accroissent, tel
autre épargne à l’excès et se trouve dans la pauvreté. Celui qui est généreux
connaîtra l’abondance; qui donne à boire aux autres sera lui-même désaltéré”
(Proverbes 11:24,25). C’est ainsi que Dieu a prévu les choses : plus vous partagez,
plus Il vous comble en retour.Vous découvrirez qu’en donnant, vous ne sacrifiez
rien ! Vous faites un investissement, voilà tout, et les dividendes seront bien
supérieurs à votre investissement.
9. activé numéro 8 9
La Banque du Ciel
Dieu adore déverser Ses bénédictions en abondance. Il vous comblera toujours, bien au-
delà de ce que vous pourrez donner ! Plus vous donnez, plus Il vous rendra.
Dieu ne vous récompense pas toujours en espèces sonnantes et trébuchantes; parfois, ce
sera en vous protégeant d’un accident, d’une maladie ou d’un sinistre, lesquels vous auraient
coûté cent fois plus que votre offrande ! D’une façon ou d’une autre, Il vous récompensera !
— Va donc apporter ces légumes à la petite veuve qui habite à la sortie du bourg, demanda le
vieux cordonnier allemand à son jeune apprenti, en lui tendant un panier de légumes frais.
Le cordonnier avait du cœur à l’ouvrage, et il cultivait son petit jardin potager pour arriver à
joindre les deux bouts. Pourtant, il partageait toujours le peu qu’il avait.
Un jour, quelqu’un lui posa la question :
— Comment se fait-il que vous donniez autant ?
— Je ne donne rien, répondit-il, je prête au Seigneur et Il me rembourse généreusement. Je
crains que beaucoup de gens ne me croient généreux, alors qu’en fait je suis toujours payé en
retour. Il y a bien longtemps, à une époque où j’étais très pauvre, j’ai rencontré quelqu’un de
plus pauvre que moi. Je voulais lui donner quelque chose, mais je ne voyais vraiment pas
comment je pouvais me le permettre. Je l’ai fait néanmoins, avec le peu que j’avais, et le
Seigneur m’est venu en aide. En effet, je n’ai jamais manqué de travail, et mon jardin produit
bien. Depuis ce jour, je n’hésite jamais à faire quelque chose chaque fois que j’entends parler
de quelqu’un dans le besoin. Même si je donnais tout ce que je possède, le Seigneur ne me
laisserait sûrement pas mourir de faim. C’est un peu comme si j’avais un compte en banque,
sauf que la Banque du Ciel ne fera jamais faillite et que, chaque jour, je touche des intérêts.
LLLLLDonnez et il vous sera donné !
a légende raconte qu’il était une fois une abbaye dont l’abbé était très généreux.
Jamais il ne renvoyait un mendiant, et il donnait toujours tout ce qu’il pouvait aux
indigents. Or, plus il donnait, plus l’abbaye s’enrichissait.
Mais le vieil abbé vint à mourir. Son successeur était de nature très différente :
il était mesquin et avare. Un jour, un vieillard frappa à la porte du monastère pour
demander l’asile pour la nuit. Il expliqua que l’abbaye l’avait déjà hébergé. L’abbé
refusa de lui donner le gîte, prétextant que l’abbaye ne pouvait plus se permettre
son hospitalité passée.
— Notre monastère ne peut plus accepter les étrangers comme du temps où nous
étions riches, expliqua l’abbé, car aujourd’hui, plus personne ne nous aide.
— Vous savez, répondit l’étranger, je crois bien que c’est parce que vous avez
renvoyé deux frères du monastère.
— Je ne me souviens pas d’un tel incident, répondit l’abbé, soudain perplexe.
— Oh, mais moi, je m’en souviens très bien, répliqua l’étranger, même que c’était
deux frères jumeaux ! Le premier s’appelait Donnez, et le second Et-il-vous-sera-
donné ! Quand vous avez renvoyé Donnez, son frère l’a suivi.
10. 10 activé numéro 8
LA “MARQUE
DE LA BÊTE”
“Elle (la Bête) obligea tous les hommes, gens
du peuple et grands personnages, riches et
pauvres, hommes libres et pour les rendre
heureux, esclaves, à se faire marquer d’un signe
sur la main droite ou sur le front. Et personne ne
pouvait acheter ou vendre sans porter ce signe :
soit le nom de la Bête, soit le nombre
correspondant à son nom. C’est ici qu’il faut de la
sagesse. Que celui qui a de l’intelligence déchiffre
le nombre de la Bête. Ce nombre représente le
nom d’un homme, c’est 666” (Apocalypse 13:16-
18).
Cette prophétie est tout à
fait remarquable. Figurez-vous
qu’il y a près de 2 000 ans,
l’Apôtre Jean, qui n’était,
avant de rencontrer Jésus,
qu’un simple pêcheur, prédit
qu’il y aurait un jour un
système économique
universel et que tout le monde
serait forcé de recevoir un
nombre sans lequel on ne
pourrait ni acheter ni vendre.
Or, ce n’est que depuis l’apparition de
l’ordinateur et l’informatisation des banques
que cette prophétie est réalisable.
Il existe, à l’heure actuelle, plusieurs moyens
de faire ses achats. On peut payer en liquide, on
peut faire un chèque, ou encore se servir d’une
carte de crédit ou à débit immédiat.
Dans de nombreux pays, on cherche à
promouvoir un nouveau mode de transfert
d’argent, déjà en vigueur ici ou là : il s’agit de la
carte à puce. Elle ressemble à une carte de crédit
ou de débit ordinaire, à la seule différence
qu’elle dispose d’une puce qui peut contenir un
grand nombre d’informations. Ces merveilles
électroniques vous permettent, bien entendu,
d’avoir immédiatement accès à votre compte
bancaire. En outre, elles peuvent ou pourraient
contenir tout votre état civil, votre livret
médical, votre permis de conduire, votre photo,
vos droits sociaux et toutes sortes
d’informations vous concernant. À l’heure
actuelle, plus de 100 millions de ces cartes à
puce sont en circulation en France, au Canada,
en Allemagne et en Grande-Bretagne.
Nous sommes en passe d’éliminer l’argent
liquide. Les partisans d’une société qui aurait
éliminé l’argent liquide ont, il est vrai, des
arguments convaincants. Le premier et non le
moindre, c’est que l’argent liquide est la vache à
lait des trafiquants de drogue, qui le plus
souvent traitent leurs affaires avec des valises
pleines de billets de banque.
Sans argent liquide, ils
auraient beaucoup plus de
difficultés à vendre leurs
drogues illicites. En fait, les
autorités policières estiment
que la disparition des billets
de banque permettrait de
mettre fin à la plupart des
activités criminelles.
Votre implant électronique
personnalisé
Pour qu’on puisse se
passer définitivement des
billets de banque, des chéquiers et des cartes de
crédit, encore faudrait-il mettre au point un
système d’identification qui s’avérerait
totalement infaillible à l’usage. Les
commerçants doivent pouvoir être certains que
la personne qui leur présente une carte pour
régler un achat est bien le propriétaire de la
carte.
Une solution pratique et bon marché
consisterait à prendre une puce électronique,
semblable à celles que l’on trouve dans les
cartes à puces, et à vous l’implanter sous la
peau. Une fois que la puce est implantée, il
suffirait de la lire à l’aide d’un scanner peu
10 activé numéro 8
Une solution pra-
tique et bon marché
consisterait à
prendre une puce
électronique,
semblable à celle
des cartes à puces,
et à vous l’implanter
sous la peau.
11. activé numéro 8 11
coûteux, du genre de ceux qui lisent les codes
barres de supermarchés. Chacun deviendrait en
quelque sorte une carte à puce, et le problème,
extrêmement difficile et onéreux, de pouvoir
déterminer si le porteur de la carte en est bien le
propriétaire, se trouverait ainsi résolu !
Un monde sans argent liquide est donc sur
le point de voir le jour. Les fibres optiques, les
satellites et les bases de données informatiques
permettent de contrôler le monde d’une
manière qui défie l’entendement. Les
gouvernements de l’Australie, d’Israël, de
Singapour et de la Thaïlande ont pris la décision
d’éliminer à terme les billets de banque et les
chèques, tandis que de nombreux autres pays
sont en train de tester différentes méthodes qui
permettent de mener des opérations
commerciales sans utiliser
d’argent. Pour la première fois
de son histoire, l’homme
dispose de moyens
technologiques lui permettant
de réaliser la vision
extraordinaire que l’Apôtre
Jean reçut il y a près de 2000
ans.
L’éminence grise
Rappelez-vous que le dirigeant mondial
exigera d’être adoré par le monde entier, pas
seulement parce qu’il sera mégalomane, mais
parce qu’il sera possédé par Satan en personne.
“Le Dragon (le Diable) lui donna sa puissance,
son trône, et une grande autorité” (Apocalypse
13:2).
Satan a toujours rêvé d’être Dieu. N’est-ce
pas là ce qui a causé sa perte ? Le prophète Ésaïe
écrivait : «Comment es-tu tombé du ciel, astre
brillant, fils de l’aurore ? ... Tu disais en ton
cœur : “Je monterai au ciel, j’élèverai mon trône
bien au-dessus des étoiles divines. ... Je
monterai au sommet des nuages, je serai
semblable au Très-Haut”. Mais te voilà précipité
dans le séjour des morts, dans les profondeurs
de l’abîme !» (Esaïe 14:12-15).
Lorsque Satan inspire sa marionnette,
l’Antéchrist, à instaurer le système de crédit
universel, son véritable objectif est de forcer les
peuples de la terre à se prosterner à ses pieds
pour l’adorer.
Prenez garde à 666 !
Sachez que le fait d’accepter la marque de la
Bête sera bien plus qu’une simple décision
d’ordre économique. Même si la marque est
présentée comme une avancée technologique
majeure pour le bien de la société, l’accepter de
plein gré voudra dire qu’on prend aussi la
décision spirituelle d’accepter et d’adorer
l’Antéchrist, lequel sera démoniaque.
D’où la mise en garde biblique :“Celui qui
adore la Bête et son image et
qui accepte de recevoir sa
marque sur le front ou sur la
main, devra boire du vin de la
fureur de Dieu ... Quiconque
adore la Bête et son image,
quiconque accepte la marque
de son nom ne connaîtra aucun
repos, ni de jour, ni de nuit”
(Apocalypse 14:9-11). Dieu
n’infligerait certainement pas à
quelqu’un une punition aussi
sévère pour avoir simplement accepté une
marque d’identification et de crédit lui
permettant de faire ses courses !
Lorsque vous verrez s’installer un
gouvernement mondial et que son dirigeant
exigera votre allégeance absolue, votre loyauté
et même votre adoration, gardez-vous de
tomber dans le piège ! Quelles que soient les
promesses d’avantages économiques ou les
menaces exercées à l’encontre de ceux qui
refuseront de prendre sa marque et son nombre,
n’accordez votre amour et votre loyauté qu’au
vrai Dieu, à votre Créateur, Celui qui vous aime
et qui vous protège. Si vous Lui faites confiance,
vous verrez qu’Il vous aidera à affronter le futur !
(Extraits du Futur Dévoilé, de Michael Roy.)
activé numéro 8 11
Le fait d’accepter la
“marque de la
bête” sera bien
plus qu’une simple
décision d’ordre
économique.
12. 12 activé numéro 8
Q:
La solution la plus rapide et
la plus sûre, pour résoudre ce
genre de problèmes de commu-
nication, est si évidente qu’on y
pense rarement : il faut que l’un
des interlocuteurs fasse l’effort
d’arrêter de parler suffisamment
longtemps pour écouter ce que
l’autre cherche à communiquer.
Les gens aiment parler,
s’exprimer, et ils aiment qu’on
les écoute. Chacun de nous a
besoin de se sentir utile, d’être
réassuré que notre opinion a de
la valeur, qu’elle est originale.
Lorsque vous vous efforcez
d’écouter attentivement, même
si vous n’êtes pas toujours
d’accord avec le point de vue
exprimé, vous faites preuve de
considération et de respect.
Essayez de mettre ce conseil en
pratique vis-à-vis des collègues
avec lesquels vous avez du mal
à communiquer, et vous serez
surpris de constater qu’ils
réagiront de façon beaucoup
plus positive à vos idées et à vos
suggestions.
Comment devient-on un
bon interlocuteur ? Tout
d’abord, il faut avoir envie
d’écouter. Il faut s’intéresser
sincèrement à ce que l’autre
veut dire.
Si vous vous considérez
déjà comme quelqu’un qui
aime écouter les autres, vous
pensez peut-être à des situa-
tions sociales, le genre de
conversations où l’on parle
pour le plaisir et où l’on
échange des idées intéressantes.
Mais c’est lorsque votre
interlocuteur exprime une
opinion contraire à la vôtre qu’il
est très important d’écouter,
même si ce n’est pas facile. C’est
une forme d’écoute
désintéressée.
Écouter de façon
désintéressée, c’est mettre un
frein au désir irrésistible de
vouloir à tout prix vous
exprimer. Il faut faire
preuve d’une écoute
sincère et évaluer ce que
votre interlocuteur
essaie de vous dire,
avant de répliquer pour
exprimer votre point de
vue.
Cela demande un
effort de bien écouter.
Remarquez l’expression
des gens avec lesquels
vous aimez parler, ceux qui
savent écouter. Ils manifestent
leur intérêt dans l’expression de
leur visage, dans leur posture et
dans leurs réactions. Il y a, en
eux, un je-ne-sais-quoi qui vous
dit : “J’ai plaisir à t’écouter. Tu
comptes beaucoup pour moi.”
Ils communiquent une
tranquillité, une certaine qualité
de patience qui signifie : “Tu as
tout le temps. Je considère que
je n’ai rien de plus important à
faire que d’écouter ce que tu as
à me dire. ”
Bien écouter est une façon
de vivre “ la loi du Christ”, que la
Bible résume en ces termes :
“Aime ton prochain comme toi-
même” (Galates 5:14).
Que puis-je faire pour éviter d’avoir des accrochages avec
l’un de mes collègues de travail et pour apprendre à mieux
communiquer ?
à vos ?uestions…
RéponsesRéponsesRéponsesRéponsesRéponses
À VOTRE AVIS, POURQUOI DIEU
VOUS A-T-IL DONNÉ UNE SEULE
BOUCHE MAIS DEUX OREILLES ?
13. activé numéro 8 13
UUUUU
n jour, le maître s’approcha de Bambou pour
le contempler. Les yeux remplis de curiosité,
Bambou se courba jusqu’au sol en signe de
révérence. Le maître lui dit :
— Bambou, Bambou, j’aimerais me servir de toi.
— Maître, lui répondit Bambou, je suis prêt. Fais de
moi comme bon Te semble.
— Bambou, reprit le maître d’une voix grave, je
vais devoir te couper.
Un frisson d’horreur parcourut le tronc de
Bambou.
— Me...couper ? fit-il, alors que Tu as fait de moi la
plus belle plante de tout Ton jardin ? Me couper !
Oh non, je T’en prie, ne fais pas ça ! Utilise-moi
selon Ton bon plaisir, Ô Maître, mais ne me coupe
pas !
— Mon cher Bambou, continua le maître d’une
voix encore plus grave, si je ne te coupe pas, je ne
pourrai pas t’utiliser.
Tout s’immobilisa dans le jardin. Le vent
retint son souffle. Bambou, courbant lentement sa
tête fière, répondit tout doucement :
— Maître, si Tu dois me couper pour pouvoir
m’utiliser, alors qu’il en soit fait ainsi ! Coupe-moi !
— Bambou, mon très cher Bambou, je dois aussi te
couper les feuilles et les branches.
— Maître, Maître, je T’en supplie, épargne-moi cela
! Coupe-moi, étale ma beauté dans la poussière,
mais pourquoi me retirer les feuilles et les
branches ?
— Hélas, Bambou, si je ne les coupe pas, je ne
pourrai me servir de toi.
Le soleil se cacha la face. Un papillon qui avait
tout entendu s’envola de frayeur. Bambou
frissonna de tout son corps et finit par chuchoter :
— Maître, coupe-les !
— Bambou, Bambou, je vais devoir te couper en
deux et te tailler le cœur, sinon je ne pourrai pas
Il y a bien longtemps, au cœur du Royaume d’Orient, se trouvait un magnifique jardin. Chaque
matin, au lever du jour, le maître du jardin s’y promenait. De tous les habitants du jardin, le plus beau et
le plus précieux était notre noble et gracieux Bambou.
Chaque année, Bambou grandissait encore plus beau, encore plus gracieux. Il était conscient de
l’attachement que son maître éprouvait à son égard et du plaisir qu’il prenait à le regarder. Cependant,
il demeurait modeste et d’une grande gentillesse. Bien souvent, alors que son ami le vent venait se
divertir dans le jardin, Bambou oubliait sa dignité pour se mettre à danser : il se balançait joyeusement,
se courbant puis se relevant dans un abandon serein. À la plus grande joie de son maître, il menait la
grande danse du jardin.
t’utiliser.
— Maître, Ô mon Maître, coupe et taille comme il
Te plaît.
C’est ainsi que le maître du jardin prit
Bambou, le tailla, lui arracha les branches, le
dépouilla de ses feuilles, puis le fendit et lui retira
le cœur. Il le souleva gentiment et le porta jusqu’à
une source d’eau fraîche et pétillante, au milieu de
ses champs asséchés.
Le maître plongea alors une extrémité de
Bambou dans la source, et plaça l’autre au-dessus
du canal d’irrigation de son champ. Puis il posa
délicatement son bien-aimé Bambou. La source
l’accueillit avec joie. L’eau fraîche et pétillante
coula avec entrain et empressement le long du
corps déchiré de Bambou pour se répandre dans
les champs assoiffés.
Puis on planta le riz et les jours s’écoulèrent.
Les pousses grandirent. Ce fut le temps de la
moisson. Bambou, dont la beauté et la majesté
l’avaient autrefois couvert de gloire,
resplendissait à présent plus encore dans sa
souffrance et son humilité. Certes, du temps de sa
beauté, il respirait la vie. Mais maintenant qu’il
était brisé, il apportait la vie au domaine de son
maître.
— Auteur anonyme
«Là-dessus, Jésus appela la foule ainsi que Ses
disciples et leur dit : “Si quelqu’un veut Me suivre,
qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa
croix et qu’il Me suive. En effet, celui qui est
préoccupé de sauver sa vie la perdra; mais celui
qui perdra sa vie à cause de Moi et de l’Évangile, la
sauvera. Si un homme parvenait à posséder le
monde entier, à quoi cela lui servirait-il, s’il perd
sa vie ?”» (Marc 8:34-36)
activé numéro 8 13
14. 14 activé numéro 8
au marchepied et je me retrouvai en
dessous du train. En désespoir de
cause, je parvins à m’agripper à
quelque chose sous le train, lequel
continuait de prendre de la vitesse.
Ma tête, qui était suspendue, cogna
sur le sol entre les roues ! Mes cheveux
longs étaient défaits, et je n’ai toujours
pas compris par quel miracle ils n’ont
pas été happés par les roues qui
tournaient à toute vitesse. Le vacarme
assourdissant couvrait tous les autres
bruits; crier n’aurait servi à rien.
À ce moment-là, je perdis tout
espoir de m’en tirer. Je priai : “ Jésus,
dans quelques instants, je Te verrai face
à face. Que vais-jeTe dire ? À quoi ma
vie aura-t-elle servi ?” J’attendais
maintenant la mort. Je ne ressentais
aucune peur, mais je regrettais d’avoir
gâché ma vie, bêtement et inutilement.
Si seulement je pouvais avoir une autre
chance !
Mes mains étaient gelées, fatiguées,
et me faisaient affreusement souffrir !
Combien de temps pourrais-je encore
tenir ? Tout à coup, le train s’arrêta !
J’ai appris par la suite que le
contrôleur du train avait entendu un
bruit sur le quai et qu’en apercevant
ma bottine qui dépassait de dessous le
train, il avait déclenché les freins
d’urgence. Le drame n’avait duré en
tout que quelques minutes !
Je m’attendais à être grièvement
blessée, mais, à la surprise générale, je
m’en sortis avec quelques contusions
et égratignures.
“C’est Dieu qui l’a sauvée !”
s’exclama le contrôleur. Un
attroupement se forma autour de moi.
On me dévisageait ! Marek était dans la
foule. Il m’avait perdue de vue juste
avant que je ne saute sur le marchepied
du train, et, lorsqu’il avait vu le train se
mettre en marche, il était revenu sur ses
pas pour me chercher. Quand il avait
entendu les gens crier qu’une jeune
femme était tombée sous le train, il ne
lui était même pas venu à l’esprit que
cela pouvait être moi !
Nous montâmes dans le train, et le
lendemain matin, nous étions à
Moscou sains et saufs !
Quand je repense à tout ce qui s’est
passé ce jour-là, j’ai peine à croire que
c’est à moi que c’est arrivé ! Je suis sûre
qu’un ange était à mes côtés. Je ne l’ai
pas vu, mais je sais qu’il était là et que je
n’étais pas seule !
Maintenant je réalise que ma vie ne
m’appartient pas. Avant cet accident,
elle m’appartenait peut-être, mais je
l’avais gaspillée bêtement. Le Seigneur
a été assez bon pour s’en emparer et me
la rendre. Désormais, c’est à Lui que
j’appartiens !
suite de la page 3
Merci pour Ta protec-
tion, sous tous ses
aspects. Une protection
dont nous n’avons
même pas toujours
conscience. Parfois
nous ignorons que Tu
nous as protégés,
parce que nous ne
pouvons pas savoir ce
qui serait arrivé si Tu
n’avais pas été là. Nous
Te louons, et nous Te
remercions de veiller
sur nous.
Prière de
remerciement
15. activé numéro 8 15
Dieu pourvoit
miraculeusement
De la viande pour tout un
mois
Nombres 11:18-23, 31
Le Seigneur paie les dettes
d’uneveuve
2 Rois 4:1-6
Lamanneaudésert
Exode 16:12-15
L’eaus’écouledurocher
Exode 17:1-6
Nourripardescorbeaux
1 Rois 17:4
Le pot de farine et la jarre
d’huile
1 Rois 17:10-16
Jésus nourrit cinq mille
hommes
Marc 6:34-44
Quelques-unes de Ses
nombreusespromesses.
Matthieu 6:33
Philippiens 4:19
Psaume 23:1
Psaume 34:10
Psaume 37:25
Matthieu 7:7-11
Romains 8:32
J’ai lu le récit du“Voyage fantastique”, et je veux
que vous sachiez qu’il m’a rempli d’espoir, de cou-
rage et de joie ! C’est une histoire qui peut même
pour les rendre heureux, ouvrir les yeux et le cœur de
gens qui ne connaissent pas encore Jésus. Je vous en
remercie infiniment ! Continuez à écrire ce genre
d’histoires qui sonnent vrai et qui font chaud au
cœur.
— Kasey, Canada
Vous m’avez aidé à me sentir bien dans ma peau
lorsque vous m’avez révélé la nature de Dieu. Merci
d’avoir fait naître en moi l’espoir, et de m’avoir
permis de savoir que Dieu existe. Tout ce que je Lui
demande c’est de me guider, parce que j’aimerais
vivre dans la simplicité pour le restant de mes jours.
Vous m’avez donné un nouveau départ.
— Norman, Ukraine
Je suis tombé sur votre texte par accident, mais
j’en suis bien content ! Le “Voyage fantastique” m’a
donné envie de faire le même voyage lorsque je
mourrai. Puis-je vous aider en quoi que ce soit ?
J’aimerais tant vous aider à distribuer des tracts ou
autres publications ! Cela me ferait très plaisir !
— Lek, Thaïlande
Je suis un jeune homme qui a soif de vérité —
j’entends par là la pure vérité de la Bible, et non pas
la connaissance de ce monde qui n’est que confu-
sion. Il y a bien longtemps que je ne crois plus aux
dogmes de l’église de mes parents et grands-parents,
ce qui a suscité la colère de mon entourage. Cela ne
m’a pas fait peur. Au contraire, ça m’a incité d’autant
plus à rechercher la vérité.
J’aimerais me rapprocher de vous par
l’intermédiaire de vos publications. J’ai trouvé dans
vos écrits des réponses logiques à mes interroga-
tions. Je suis heureux de pouvoir correspondre avec
vous. Merci pour tout, et que notre Seigneur Jésus
vous bénisse ! — Anton, Russie
Nous serions très heureux d’avoir de vos nouvelles ! Si vous
souhaitez nous faire part de vos commentaires ou de vos réactions
à l’un des articles parus dans Activé, ou si vous souhaitez tout
simplement nous parler de vous, n’hésitez pas à nous écrire ou à
nous envoyer un mail aujourd’hui même.
CONNEXIONS—LecourrierdenosLecourrierdenosLecourrierdenosLecourrierdenosLecourrierdenoslecteurslecteurslecteurslecteurslecteurs
16. 16 activé numéro 8
Si seulement tu pouvais
voir les somptueuses demeures
que J’ai préparées dans Ma Cité
céleste pour ceux qui M’ont
donné leur vie !
Quelle splendeur les attend
lorsqu’ils arriveront aux portes
du Ciel !
S’ils pouvaient voir
l’expression de Mon visage —
cette expression d’amour qui
m’envahit lorsque je vois leur
labeur, leur persévérance, leur
fidélité — alors tous leurs
chagrins, toutes leurs douleurs,
toutes leurs peines, tous leurs
doutes, toutes leurs craintes et
tout leur désarroi s’effaceraient
de leur cœur et de leur esprit.
Les trésors et les récom-
penses du royaume de Dieu
sont réservés à ceux qui se sont
donnés aux autres — à
quelqu’un qui était perdu,
solitaire ou disgracieux, à un
enfant malheureux, un ami
nécessiteux, un exclu de la
société. Les honneurs et les
médailles sont destinés à ceux
qui vont au-delà de leurs
limites, qui donnent plus qu’ils
n’en sont capables, qui
partagent plus qu’ils n’en ont le
courage, et qui aiment plus
qu’ils n’en ont la force. Je
multiplie et J’amplifie leur
amour — et cet amour
touche, répare et guérit leur
cœur qui s’est brisé et tourné
vers les autres.
Mon amour pour toi