Le monde des sociétés de service v3

Senior Project Manager at AT&T um AT&T
12. Jan 2015
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
Le monde des sociétés de service v3
1 von 30

Más contenido relacionado

Was ist angesagt?

Projet les fondamentauxProjet les fondamentaux
Projet les fondamentauxMohamed DAHANI
Projet les fondamentauxProjet les fondamentaux
Projet les fondamentauxRémi Bachelet
Gestion de Projet Gestion de Projet
Gestion de Projet Echecs & Stratégie
Gestion de projetGestion de projet
Gestion de projetEchecs et Stratégie
Analyse de processus et workflowAnalyse de processus et workflow
Analyse de processus et workflowEchecs & Stratégie
Project Management Introduction (1/5) for Gobelins studentsProject Management Introduction (1/5) for Gobelins students
Project Management Introduction (1/5) for Gobelins studentsEric DI POL

Similar a Le monde des sociétés de service v3

Business plan pour traducteurs - interprètesBusiness plan pour traducteurs - interprètes
Business plan pour traducteurs - interprètesJean-Marie Le Ray
GW•NEWS #1, le magazine de GW international consultantGW•NEWS #1, le magazine de GW international consultant
GW•NEWS #1, le magazine de GW international consultantgwatwork
Acheter vendre ce_qui_n_existe_pasAcheter vendre ce_qui_n_existe_pas
Acheter vendre ce_qui_n_existe_pasedouardrichemond
Recruter pour ma startup 052015 by ExternaticRecruter pour ma startup 052015 by Externatic
Recruter pour ma startup 052015 by ExternaticBenjamin Casseron
Présentation cci   cerner son offrePrésentation cci   cerner son offre
Présentation cci cerner son offreEcobiz 37
Externatic recrutement pour startup 303tour 05022016Externatic recrutement pour startup 303tour 05022016
Externatic recrutement pour startup 303tour 05022016Benjamin Casseron

Último

화순전지역출장가능☜텔레/ssx166☜화순출장샵/오피출장안전이용☜화순노콘가능#화순출장/청순한여자☜화순부비출장샵-230706213251-7a5...화순전지역출장가능☜텔레/ssx166☜화순출장샵/오피출장안전이용☜화순노콘가능#화순출장/청순한여자☜화순부비출장샵-230706213251-7a5...
화순전지역출장가능☜텔레/ssx166☜화순출장샵/오피출장안전이용☜화순노콘가능#화순출장/청순한여자☜화순부비출장샵-230706213251-7a5...nedawol795
태백출장마사지♪카톡 OPp369↔태백셔츠룸 카라오케/출장가능θ태백출장φ태백출장홈타이φ태백페이만남φ태백오피스북 -230706213251-7a...태백출장마사지♪카톡 OPp369↔태백셔츠룸 카라오케/출장가능θ태백출장φ태백출장홈타이φ태백페이만남φ태백오피스북 -230706213251-7a...
태백출장마사지♪카톡 OPp369↔태백셔츠룸 카라오케/출장가능θ태백출장φ태백출장홈타이φ태백페이만남φ태백오피스북 -230706213251-7a...nedawol795
함안노콘출장♤talk//카톡 OP399 ♤함안무한샷출장♤죽여주는 몸매♤함안출장스웨디시☜함안오피스북♤함안수위무제한♤-230706213251-...함안노콘출장♤talk//카톡 OP399 ♤함안무한샷출장♤죽여주는 몸매♤함안출장스웨디시☜함안오피스북♤함안수위무제한♤-230706213251-...
함안노콘출장♤talk//카톡 OP399 ♤함안무한샷출장♤죽여주는 몸매♤함안출장스웨디시☜함안오피스북♤함안수위무제한♤-230706213251-...nedawol795
장수출장마사지↘LINE/라인 sx166¥장수여대생출장?장수출장샵후기♨장수수위무제한↘장수출장서비스↘장수출장샵▼-230706213251-7a5...장수출장마사지↘LINE/라인 sx166¥장수여대생출장?장수출장샵후기♨장수수위무제한↘장수출장서비스↘장수출장샵▼-230706213251-7a5...
장수출장마사지↘LINE/라인 sx166¥장수여대생출장?장수출장샵후기♨장수수위무제한↘장수출장서비스↘장수출장샵▼-230706213251-7a5...nedawol795
하남출장안마♤최고샵♡LINE/라인 58OSS♡㎚하남출장스웨디시◁하남출장전문업소?하남여대생출장만남∬하남레깅스룸♩-230706213251-7a...하남출장안마♤최고샵♡LINE/라인 58OSS♡㎚하남출장스웨디시◁하남출장전문업소?하남여대생출장만남∬하남레깅스룸♩-230706213251-7a...
하남출장안마♤최고샵♡LINE/라인 58OSS♡㎚하남출장스웨디시◁하남출장전문업소?하남여대생출장만남∬하남레깅스룸♩-230706213251-7a...nedawol795
영덕출장샵전문♠텔레/ssx166♠영덕여대생출장▷영덕부비출장㎚영덕출장샵가격∬영덕출장샵추천함니다Ω영덕출장 썸?-230706213251-7a5e...영덕출장샵전문♠텔레/ssx166♠영덕여대생출장▷영덕부비출장㎚영덕출장샵가격∬영덕출장샵추천함니다Ω영덕출장 썸?-230706213251-7a5e...
영덕출장샵전문♠텔레/ssx166♠영덕여대생출장▷영덕부비출장㎚영덕출장샵가격∬영덕출장샵추천함니다Ω영덕출장 썸?-230706213251-7a5e...nedawol795

Último(15)

Le monde des sociétés de service v3

Hinweis der Redaktion

  1. La révolution technologique du XXème siècle a fait de la Technologie de l’Information et de la Communication (TIC) un élément central de nos sociétés, et ce sont elles qui, parfois déterminent le facteur de réussite d’une entreprise. Il se dit d’ailleurs que le monde des TIC est un des facteurs majeurs de la croissance économique et des mutations sociales. Ne dit-on pas que le taux de chomage réduit outre manche est en partie dû au choix de son gouvernement de l’économie de Service?
  2. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  3. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  4. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  5. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  6. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  7. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  8. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  9. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  10. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  11. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  12. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  13. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  14. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  15. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  16. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  17. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  18. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  19. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  20. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  21. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  22. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  23. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  24. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  25. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  26. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.
  27. On entend souvent parler de Conseil en Haute Technologie ou de SSII (société de Service en Ingénierie Informatique), de SCI (Société de Conseils en Ingénierie), ou encore de SSTR (Société de Services en Télécoms Réseaux). La dénomination n’étant qu’une affaire de style, car la substance est la même. On s’accordera pour dire qu’il s’agit de sociétés de services en ingénierie informatique et télécommunications, ou encore en électronique, etc., nébuleuse qu’on peut grouper sous l’appellation TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Tout au long de ce livre, on retiendra donc la dénomination SSTIC pour Société de Service en Technologie de l’Information et de la Communication. Ainsi, aucun secteur, de l’informatique aux télécommunications en passant par les réseaux et l’électronique, ne sera oublié. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. On notera que certaines SSTIC importantes, devenues un peu prétentieuses, préfèrent qu’on se réfère à elles par l’utilisation jugée subtile des mots comme consulting, conseil international ou encore conseil en innovation… Derrière tout cela se cache toujours la même réalité, les mêmes méthodes de travail, c’est-à-dire fournir un service précis dans un temps délimité. Définition générale de la SSTIC Une SSTIC est donc une société du secteur tertiaire, dont l’objectif est d’apporter à un client un service qui relève du domaine des TIC. Ces services, réalisés par les ingénieurs ou consultants de la SSTIC, consistent à assurer la réalisation de diverses tâches temporaires, jusqu’à leur finalisation. Au sens économique, le client est donc un acheteur de services, et la SSTIC un fournisseur.Parmi les clients, on rencontre beaucoup de « grands comptes », il s’agit du nom donné aux grandes entreprises telles que THALES, SIEMENS, BNP Paribas, AIRBUS, AIR FRANCE, etc…   Les SSTIC offrent certaines ressemblances avec les agences d’intérimaires, mais le statut des employés y est fondamentalement différent. En effet, le consultant touche un salaire fixe qui ne s’interrompt pas avec la fin de sa mission, et il bénéficie également des avantages sociaux relatifs aux contrats à durée indéterminée. On peut légitimement se demander pourquoi le client n’embauche pas directement, surtout quand on sait que la durée d’une mission varie entre trois et dix-huit mois. Personnellement, je connais des consultants appartenant à des SSTIC qui sont toujours chez le même client. Un élément de réponse est peut être à trouver du côté du processus d’embauche long et coûteux, mais surtout dans la spécialité française de la fameuse flexibilité, qui pousse à se défaire plus facilement d’un prestataire que d’un employé. Cette valeur centrale dans notre système présente des avantages pour les employés déjà en place, et des inconvénients pour les jeunes diplômés à la recherche de travail. Mais mon but n’est pas de faire de politique dans ce livre.   Il n’est néanmoins pas rare qu’au bout de quelques mois, un consultant reçoive une offre d’engagement d’un client. Les clauses du contrat interdisent généralement à l’ingénieur d’intégrer le grand compte pour lequel il a travaillé, mais la plupart des SSTIC laissent faire, afin de ne pas se brouiller avec le client important. Mais pour éviter la fuite des consultants, elles disposent d’une arme redoutable : les formations. Parfois très onéreuses, celles-ci sont offertes au consultant qui devra toutefois les rembourser s’il s’en va avant un certain laps de temps (en général, trois ans après la formation). Il s’agit donc d’un point du contrat auquel le consultant doit se montrer particulièrement attentif.