3. 3
Paul BARRERE
21 Janvier 1988
90 Avenue Mozart, 75016 Paris
pl.barrere@gmail.com
+33 6 26 33 80 75
Architecte de l’Ecole de Lyon
Spécialité Patrimoine
Ingénieur de l’Ecole Centrale de Lyon
Génie Civil et Développement Durable
Classes préparatoires MPSI / MP*
Baccalauréat Mention Très Bien
ARCHITECTURE INGENIERIE DESSIN
Projets de master au sein des
départements Histoire & Patrimoine ;
Pratiques et Processus de l’Innovation ;
Architecture, Formes et Transformations.
L’USINE DES SAVOIR-FAIRE 4
Projet urbain à Lyon de 10 Ha sur
une usine d’automobile 1900/1920
WORKSHOPS 12
A Istanbul sur le quartier de Karakoy
Au musée Gallo-Romain de Lyon
AUX PORTES DE l’ESS 14
Architecture événementielle à Cordoue
pour l’Economie Sociale et Solidaire
PART-DIEUVILLE-PAYSAGE 16
Projet urbain à Lyon de 30 Ha sur
un quartier des années 70 / 80
“LA LUMIERE DANS 21
LE DESSIN
D’ARCHITECTURE”
Mémoire
Projets d’ingénierie réalisés lors des
stages de 2ème (2 mois) et 3ème
années (5 mois) à l’école Centrale.
THERMOAERAULIQUE 22
D’UN ATRIUM
Bureau d’études HQE Etamine à Lyon
REINGENIERIE 23
DU LOGICIEL SOLENE
Laboratoire CERMA de l’Ecole
d’Architecture de Nantes
Sélectiondedessinsissusdemapratique
personnelle.
ENCRE OU CRAYON 24
DE PAPIER
ENCRE ET CRAYONS 25
DE COULEURS
4. ARCHITECTURE 4DESSININGENIERIE
L’USINE
DES SAVOIR
FAIRE
2013
AVEC MARION GERBEAUX
ET CLAIRE LEROY
PROJET URBAIN DE 10 HA
PATRIMOINE AUTOMOBILE
LYON 3EME
« La positivité [de Lyon et St-Etienne]
est condensée dans le «savoir-faire». [...]
dans ces deux villes, «on pense avec les
mains». »
P. Dujardin, politologue
L’activité industrielle de l’usine RVI s’est
terminée en 2000 et elle représente
un des derniers témoins de l’histoire
automobile lyonnaise. Le sujet
consiste à réfléchir à un autre projet
de reconversion que celui en cours de
réalisation. Nous considérons la nappe
de sheds à la hauteur des enjeux
urbains, et travaillons par strates en
réactivant le site sur le long terme par
l’installation d’un pôle des Savoir-Faire.
UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPS
Une gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine
Le Plan-Guide
Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»
Etat projeté en l’an 2000
Etat des lieux en l’an 2000
POSITION FACE AU PROJET REEL
L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le
Grand Lyon met en place un projet urbain
qui conduit au démantelement de l’usine.
Seule une épaisseur de 12m de sheds est
conservée.
Pour un ténèment représentant en
surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine
a été banalisée en un morceau de ville
quelconque. Cette orientation ne nous
semble pas pertinente pour un tel site, et
en conséquence nous réécrivons l’histoire
à partir de 2000.
PRENDRE LE TEMPS
Le Temps est notre concept-clé.
Nous proposons une histoire continue et
dans le dialogue.
C’est ainsi que nous pourrons exploiter au
mieux le potentiel de l’Usine et répondre
aux enjeux urbains. Le projet développe
donc une gestion particulière, afin de
s’affranchir des temporalités politiques et
économiques classiques.
Une gestion de
projet inspirée
de l’expérience
de l’équipe de
Chemetoff à l’Île
de Nantes
LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE
Un programme mixte Plan programmatique
Centre
sportif
Jardin
public
Café “Slow-food”
Maison du projet
Maison de quartier
Espace des mémoires
Bibliothèque
Centre de conférence
AFPIA FCMB
Recyclothèque
Laboration dépollution
Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché
Restaurant
inter-entreprise
202020162012200520001998
202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ
Dépollution par les plantes
Recherche d’investisseurs
Concours + lancement projet urbain
Implantation des programmes structurants
Implantation des autres programmes
Réhabilitation des sheds
Permanence à la maison du projet
Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP
Friche
Recherche d’investisseurs
Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB
PROJET REEL
Démolition de l’usine
Construction des autres programmes
SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE
manuel, dans une société mondialisée
où la production est déconnectée de la
consommation.
Nous reprenons du projet réel les
programmes des centres de formation :
la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents
dans le contexte de notre projet. Nous
faisons également la part belle aux
professionnels (entreprises et artisanat),
afin de connecter études et métiers et
de promouvoir les échanges. Au sein
de ce campus, les programmes communs
sont mutualisés : médiathèque, espaces
de restauration, centre sportif et locaux
associatifs.
Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures
Assylum Brassica
juncea
PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe
- financière (100 fois moins cher)
- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)
Ce campus combine deux styles de vie : le
Slow-Life et le High-Life. Le premier est
inspiré par le mouvement italien Citta-Slow
qui favorise la lenteur, les souvenirs, la
détente. Le second symbolise le travail,
l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états
permet l’épanouissement personnel.
Site
Vue d’ensemble du projet
ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 4Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
LOCALISATION ET ECHELLE DU SITE DE LA RUE FEUILLAT
Lyon 3
Villeurbanne
métro D
SITE
Lyon 8
Part-Dieu
Presqu’Ile
Une parcelle stratégique dans Lyon
Un îlot de 9.7 Ha
Gratte-Ciel de
Villeurbanne
Bellecour
Hôtel-DIeu
Musée Confluence
Halle Tony Garnier
Campus
ENTPE-ENSAL
Gare Perrache
ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enPaul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
PATRIMOINE ET RENOUVELLEMENT URBAIN
La nappe de shed, socle du proje
Source: Catalogue Rocher-Schneider Vé
L’USINE DES SAVOIR-FAIRE
ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 7Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
LE PROJET DU GRAND LYON
Plan masse en 2000
Les nouveaux acteurs :
SEPR
Société d’Enseignement Professionnel
du Rhône, fondée en 1864 par Arlès
DUFOUR
AFPIA SUD-EST
Aménagement de l’habitat
FCMB
Fédération Compagnonique
des Métiers du Bâtiment
Plan masse prévu en 2020
Jardin
Bibliothèque
Parc d’activités FCMB
SEPR
SEPR
Logements
AFPIA
ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 7Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
LE PROJET DU GRAND LYON
Plan masse en 2000
Les nouveaux acteurs :
SEPR
Société d’Enseignement Professionnel
du Rhône, fondée en 1864 par Arlès
DUFOUR
AFPIA SUD-EST
Aménagement de l’habitat
FCMB
Fédération Compagnonique
des Métiers du Bâtiment
Plan masse prévu en 2020
Jardin
Bibliothèque
Parc d’activités FCMB
SEPR
SEPR
Logements
AFPIA
Le site en 2000 après un siècle d’industrie
Le projet du Grand Lyon pour 2020Localisation du site de 10Ha de la Rue Feuillat La nappe de sheds est patrimoine
Projet du Grand Lyon
Temps fragmenté, saturation du site
Projet proposé
Temps continu, avenir ouvert
ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 10Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
LA VILLE SUR LA VILLE : UN PALIMPSESTE
NATURE
USINE
VILLE
« La ville de Lyon opère sur le mode du palimpseste. »
« C’est le paradoxe « lyonnais » : il naît d’une sédimentation urbaine [...] qui donne l’impression de la stabilité, quand
le renouvellement continu des activités [...] rend peu lisibles les conditions de la fortune passée et présente. »
P. Dujardin, politologue
Archéologie Industrielle n°54, 2009
NATURE
USINE
VILLE
UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPS
U
POSITION FACE AU PROJET REEL
L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le
Grand Lyon met en place un projet urbain
qui conduit au démantelement de l’usine.
Seule une épaisseur de 12m de sheds est
conservée.
Pour un ténèment représentant en
surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine
a été banalisée en un morceau de ville
quelconque. Cette orientation ne nous
semble pas pertinente pour un tel site, et
en conséquence nous réécrivons l’histoire
à partir de 2000.
PRENDRE LE TEMPS
Le Temps est notre concept-clé.
Nous proposons une histoire continue et
dans le dialogue.
C’est ainsi que nous pourrons exploiter au
mieux le potentiel de l’Usine et répondre
aux enjeux urbains. Le projet développe
donc une gestion particulière, afin de
s’affranchir des temporalités politiques et
économiques classiques.
Une gestion de
projet inspirée
de l’expérience
de l’équipe de
Chemetoff à l’Île
de Nantes
202020162012200520001998
202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ
Dépollution par les plantes
Recherche d’investisseurs
Concours + lancement projet urbain
Implantation des programmes structurants
Implantation des autres programmes
Réhabilitation des sheds
Permanence à la maison du projet
Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP
Friche
Recherche d’investisseurs
Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB
PROJET REEL
Démolition de l’usine
Construction des autres programmes
SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE
Ce campus combine deux styles de vie : le
Slow-Life et le High-Life. Le premier est
inspiré par le mouvement italien Citta-Slow
qui favorise la lenteur, les souvenirs, la
détente. Le second symbolise le travail,
l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états
permet l’épanouissement personnel.
La ville sur la ville : un palimpseste
5. 5
Le Pôle des Savoir-Faire regroupe
enseignement, activités économiques
et équipements pour le quartier.
Nous reprenons du projet réel les
programmes des centres de formation :
la SEPR, l’AFPIA et la FCMB. Ce campus
combine deux styles de vie : le Slow-
Life et le High-Life. Le premier favorise
la lenteur, les souvenirs, la détente. Le
second symbolise le travail, l’intensité,
l’action. L’équilibre de ces états
permet l’épanouissement personnel.
Pour metttre en place ce programme,
le Temps est notre concept-clé.
C’est ainsi que nous pourrons
exploiter au mieux le potentiel de
l’usine. Le projet développe donc
une gestion particulière, inspirée
par le plan guide de l’île de Nantes
de A. Chemetoff. Notamment, la
dépollution par les plantes, peu
coûteuse, efficace, est la technique de
dépollution retenue. La reconquête du
site est pensée dans un scénario global.
INTENTIONS
ET GESTION DE PROJET
UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPS
U
POSITION FACE AU PROJET REEL
L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le
Grand Lyon met en place un projet urbain
qui conduit au démantelement de l’usine.
Seule une épaisseur de 12m de sheds est
conservée.
Pour un ténèment représentant en
surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine
a été banalisée en un morceau de ville
quelconque. Cette orientation ne nous
semble pas pertinente pour un tel site, et
en conséquence nous réécrivons l’histoire
à partir de 2000.
LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE
Un programme mixte P
202020162012200520001998
202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ
Concours + lancement projet urbain
Friche
Recherche d’investisseurs
Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB
PROJET REEL
Démolition de l’usine
Construction des autres programmes
SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE
sont mutualisés : médiathèque, espaces
de restauration, centre sportif et locaux
associatifs.
Ce campus combine deux styles de vie : le
Slow-Life et le High-Life. Le premier est
inspiré par le mouvement italien Citta-Slow
qui favorise la lenteur, les souvenirs, la
détente. Le second symbolise le travail,
l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états
permet l’épanouissement personnel.
INTENTIONS
UNE STRATEGIE AU COURS DU TEMPS
BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire
Intentions et gestion de projet
Traiter la pollution
Plan programmatique
Centre
sportif Recyclothèque
Laboration dépollution
Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché
Restaurant
inter-entreprise
Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures
Assylum Brassica
juncea
PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe
- écologique
- paysagère
- financière (100 fois moins cher)
- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)
La phytoremédiation, une alternative :
Qté d’arbres
1
BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire
Intentions et gestion de projet
Traiter la pollution
Plan programmatique
Centre
sportif Recyclothèque
Laboration dépollution
Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché
Restaurant
inter-entreprise
Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures
Assylum Brassica
juncea
PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe
- écologique
- paysagère
- financière (100 fois moins cher)
- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)
La phytoremédiation, une alternative :
Qté d’arbres
1
Traiter la pollution
2000 Réhabilitation 2010 Jardin de quartier 2015 Reconquête 2020 Réactivation 2050 ? Vers le futur
L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire
Intentions et gestion de projet
LES INTENTIONS
Transmettre la mémoire
Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»
Traiter la pollution
Développer un projet durable
Le quartier
LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE
Un programme mixte Plan programmatique
Centre
sportif Recyclothèque
Laboration dépollution
Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché
Restaurant
inter-entreprise
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Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures
Assylum Brassica
juncea
PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe
- écologique
- paysagère
- financière (100 fois moins cher)
- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)
La phytoremédiation, une alternative :
Qté d’arbres
L’usine
1
L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire
Intentions et gestion de projet
3
LES INTENTIONS
Transmettre la mémoire
Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»
Traiter la pollution
Développer un projet durable
Le quartier
LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE
Un programme mixte Plan programmatique
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et locaux
Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures
Assylum Brassica
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PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe
- écologique
- paysagère
- financière (100 fois moins cher)
- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)
La phytoremédiation, une alternative :
Qté d’arbres
L’usine
1
Développer un projet durable
Abandon 2005
Valoriser le patrimoine
Partie 2 : Ambitions et programme 18aul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
Source: Catalogue Rocher-Schneider Véhicules Industriels, 1933
MOINE ARCHITECTURAL
Présence de détails touchants
Partie 2 : Ambitions et programme 18X / Claire LEROY
Source: Catalogue Rocher-Schneider Véhicules Industriels, 1933
ECTURAL
Présence de détails touchants
ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 2 : Ambitions et programme 31Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
GESTION DE PROJET : LES ACTEURS
Maîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre Urbaine
«Aménageur»
Choisie après un concoursChoisie après un concours
Maîtrise d’Ouvrage Urbaine
«Mission RVI»
Rattachée directement au
Grand Lyon
Maîtrise d’Œuvre
Particulier
Maîtrise d’Ouvrage
Particulier
Public
Ville de Lyon
Grand Lyon
cahier des charges
pour la MOE urbaine
Donne le
cap
Retour sur expérience
Participation
Information
CONCERTATION
Conception
architecturale
Choisit
conjointement
avec la MOE
urbaine
DIALOGUE
Droit de regard
Se porte candidat pour
l’acquisition d’un terrain
Aide à préciser
son projet
Fait évoluer le
projet architectural
Fait évoluer le
projet
urbain
Fait évoluer le projet urbain
Une gestion de
projet innovante
Un programme mixte
6. ARCHITECTURE 6DESSININGENIERIE
STRATEGIE
PATRIMONIALE
Tony Garnierorelle Zénith
Chapelle par L. Thomas
Sculpture G. Salendre Rockefeller, P. Bellemain Rockefeller, P. Bellemain de Recherche contre le Cancer le Hangar du Sytral (1902)
par la Citéde la Création
Hangar du Premier F
DES FACADES DE 500m EN DIALOGUE AVEC LA VILLE
Comparaison façades Feuillat / Rochaix
Rochaix, les artisans s’exposent
Eclaté structurel de la nouvelle façade Rochaix
structure acier
sheds existants
armature secon-
daire métallique
panneaux
de façade
gouttières
Hôpital E. Herriot
Tony Garnierorelle
Usines Rochet-Schneider et
Zénith
Chapelle par L. Thomas
Sculpture G. Salendre
Faculté d’infirmières
Rockefeller, P. Bellemain
Faculté de pharmacie
Rockefeller, P. Bellemain
Tour du Centre International
de Recherche contre le Cancer
Fresque des transports sur
le Hangar du Sytral (1902)
par la Citéde la Création
Restauration du
Hangar du Premier F
DES FACADES DE 500m EN DIALOGUE AVEC LA VILLE
Comparaison façades Feuillat / Rochaix
Rochaix, les artisans s’exposent
Eclaté structurel de la nouvelle façade Rochaix
structure acier
sheds existants
armature secon-
daire métallique
panneaux
de façade
gouttières
L’usine a été occupée pendant 100 ans.
Sa nappe de sheds s’étend sur 500m
par 200m. Cette résilience et cette
monumentalité constitue un socle
naturel à la réponse urbaine.
Pour maîtriser les transformations
engendrées par notre projet nous
créons une AVAP. Cette Aire de
Valorisation de l’Architecture et du
Patrimoine remédie aux protections
fragmentées. Elle valorise un ensemble
témoin du XXe siècle à Lyon. Un
repérage sur site a déterminé les limites.
L’usine vient communiquer avec
le quartier à travers un traitement
unitaire sur les façades. Sur Thomas
et Lacassagne, elles sont de véritables
portes sur le site, sur Rochaix et Feuillat
l’usine se donne à voir.
Plan local d’urbanisme projeté
Av.Lacassagne
RueRochaix
RueFeuillat
CoursA.Thomas
Plan local d’urbanisme actuel
AVAP GRANGE-BLANCHE : UNE CENTRALITE, UN SYSTEME TEMOIN DU XXe SIECLE
DES FAÇADES DE 500m
EN DIALOGUE AVEC LA VILLE
Façade Albert Thomas
Porte commerçante
Façade Feuillat
Uniformité mystérieuse
Façade Rochaix
Jeux de variations
Façade Lacassagne
Jardin derrière le mur
Façade Feuillat : 500m de façade historique
Façade Rochaix : 500m de façade contemporaine
Les artisans s’exposent Rue Rochaix
7. 7
Nous intervenons par stratification.
A la strate «Usine», nous ajoutons
les strates «Nature» et «Ville» pour
intégrer l’usine à la ville.
Les galeries existantes (High-Life)
sont étendues et complétées par des
ruelles en chicane. Elles fonctionnent
à la manière des passages couverts du
19e siècle. Un système de passerelles
(Slow-Life) est mis en place pour se
promener sur les sheds, qui est animé
par un ensemble de programmes (café,
jeux pour enfants etc).
Sous les sheds, les surfaces sont
réinvesties par des ateliers d’artisans,
et des extensions à structure béton
armé et façades légères sont ajoutées et
viennent investir les hauteurs.
L’attractivité du lieu est assurée
par trois pôles : un jardin public
avec un centre sportif ; une place
publique dénommée le Forum avec sa
Médiathèque des Savoir-Faire ; un
pôle marchand avec un Alter- Marché
de quartier et des bureaux.
SYSTEMES
URBAINS
Plan masse 2020
L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire
Systèmes urbains
L’attractivité du lieu est assurée par
trois pôles :
- un jardin public au nord avec notamment
un centre sportif ;
- une place publique, le Forum, au centre
avec la Médiathèque des Savoir-Faire
comme programme attracteur principal ;
- un pôle marchand au sud avec l’Alter-
Marché de quartier, des restaurants,
commerces et bureaux.
La continuité urbaine entre les trois
pôles et avec la ville est assurée par
la création de nouvelles circulations qui
viennent compléter l’ancien réseau de
l’usine.
Deux principes de cheminement sont
proposés et reprennent les deux ambiances
présentes sur le site : High-Life et Slow-
Life. Elles permettent deux types de
déambulation : de grands couloirs clairs
principaux et des ruelles secondaires dans
une logique de promenade et de surprise.
ORGANISATION DE LA STRATE DU REZ-DE-CHAUSSÉE
Trois polarités sur le site Hiérarchie des modes d’accès
Inscription de nouvelles galeries dans le réseau existant Deux types de circulation: grandes perspectives et ‘‘chicanes’’
Grandes galeries en perspective
Ruelles en chicane
Rues Circulations créées Circulations existantes
Réseau de passerelles
PFE AFT 2013
Accès voiture limité
Accès voiture interdit
Station Vélov’
Parking LPA
Accès piéton
Accès vélo
Accès voiture
Accès pompiers
Centre sportif
Médiathèque des
Savoir-Faire
Restaurants
ENtreprises
Marché de quartier
‘‘alter-marché’’
UNE NOUVELLE STRATE DE CIRCULATION : LES PASSERELLES
3L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire
Systèmes urbains
L’attractivité du lieu est assurée par
trois pôles :
- un jardin public au nord avec notamment
un centre sportif ;
- une place publique, le Forum, au centre
avec la Médiathèque des Savoir-Faire
comme programme attracteur principal ;
- un pôle marchand au sud avec l’Alter-
Marché de quartier, des restaurants,
commerces et bureaux.
La continuité urbaine entre les trois
pôles et avec la ville est assurée par
la création de nouvelles circulations qui
viennent compléter l’ancien réseau de
l’usine.
Deux principes de cheminement sont
proposés et reprennent les deux ambiances
présentes sur le site : High-Life et Slow-
Life. Elles permettent deux types de
déambulation : de grands couloirs clairs
principaux et des ruelles secondaires dans
une logique de promenade et de surprise.
ORGANISATION DE LA STRATE DU REZ-DE-CHAUSSÉE
Trois polarités sur le site Hiérarchie des modes d’accès
Inscription de nouvelles galeries dans le réseau existant Deux types de circulation: grandes perspectives et ‘‘chicanes’’
Grandes galeries en perspective
Ruelles en chicane
Rues Circulations créées Circulations existantes
PFE AFT 2013
Accès voiture limité
Accès voiture interdit
Station Vélov’
Parking LPA
Accès piéton
Accès vélo
Accès voiture
Accès pompiers
Centre sportif
Médiathèque des
Savoir-Faire
Restaurants
ENtreprises
Marché de quartier
‘‘alter-marché’’
UNE NOUVELLE STRATE DE CIRCULATION : LES PASSERELLES
3
Galeries : foire, brocante, marché
Ruelles : détour végétalIntervention par strates :
Construire la ville sur la ville
Organisation de la strate
du rez-de-chaussée
8. ARCHITECTURE 8DESSININGENIERIE
ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 3 : Systèmes urbains 51Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY
Promenade sur la mer de sheds
LE RESEAU DE PASSERELLES Concept
Concept : promenade sur la mer de shed Vie de nuit Vie de jour
SEQUENCES PLANS, ELEVATIONS ET DETAILS TECHNIQUES
LES CONNEXIONS VERTICALES
Depuis la verrière
Belle-Epoque
L’extension masque
une surprise
Choix d’une
direction
Eclaté structurel Plan et élévations
Traversée de la
Galerie d’Art
9. 9
Coupe Nord-Sud
SYSTEMES
ARCHITECTURAUX
Le Forum est la place publique au
coeur du projet. Ses bâtiments sont
réalisés en 2015. Au portail Feuillat
succède la verrière Belle-Epoque, qui
se prolonge en une galerie moderne.
Le Forum dessert les programmes
majeurs du site au rez-de-chaussée
et au niveau des passerelles. C’est un
lieu pédagogique pour le visiteur
puisque la structure est peu à peu mise
à nu. C’est aussi un endroit privilégié
pour la mise en relation visuelle du
rez-de-chaussée et des passerelles,
notammentavec l’escalier principal.
1. Médiathèque
2. Galerie d’Art
3. Recyclothèque
4. Café Slow-Food
5. Place du Forum
6. Maison du Projet
7. Maison de quartier
8. Espace des
Mémoires Berliet
9. Ateliers d’artisans
10. Cours communes
11. Boutiques
12. Escalier
13. Connexion
verticale
Le Forum : la structure se déshabille
Le portail Rue Feuillat, porte du Forum
Coupe Est-Ouest
10. ARCHITECTURE 10
LA MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE
La médiathèque est un exemple
de grandes extensions. Les formes
architecturales de celles-ci
contrastent avec l’usine par le
dynamisme géométrique des façades,
la variété des volumes, leur structure
porteuse en béton, massive, en
contrepoint avec la légèreté métallique.
Cette médiathèque présente
la particularité d’associer une
bibliothèque de campus et de
quartier. Le hall prolonge le forum
(accueil, un cybercafé etc.) Le premier
étage est Slow-Life (espace enfants,
musique, jeux vidéos), desservi par les
passerelles.
La structure en béton armé forme un
squelette quiprend racine dans le sol
en béton de l’usine.
INGENIERIE DESSIN
LEGENDE
1. Ecran en verre
2. Fixation métallique
3. Panneau massif bois
contrecollé 19mm
4. Montant bois massif
5. Double-vitrage
6. Dalle alvéolée
7. Béton de remplissage
8. Faux-plafond
9. Poutre en béton armé
H=1m au niveau du poteau
porteur
20m 0 2 5 10 20m
Détail de la façade double-peau Nord
+++
+ =
1 2
3 4
STRUCTUREL
rdage bois
Détail du système structurel
Vue du Hall d’entrée
1
2
6
3
4
5
8 97
123
0 10 20 50 100mm
0 10 20 50 100mm
0 2 5 10m
LEGENDE
1. Ecran en verre
2. Fixation métallique
3. Panneau massif bois
contrecollé 19mm
4. Montant bois massif
5. Double-vitrage
6. Dalle alvéolée
7. Béton de remplissage
8. Faux-plafond
9. Poutre en béton armé
H=1m au niveau du poteau
porteur
Au RDC, le grand hall de 7m de haut est
fortement connecté à la place du Forum.
Il présente ainsi une façade entièrement
vitrée avec des activités telles qu’un
cyber-café.
Le R+1 est en forte connexion avec le
réseau de passerelles, qui s’introduit
directement dans le bâtiment pour créer
un sous-espace de détente : un café-
lecture. De façon plus large, le R+1 en
entier est dédié au Slow-Life.
9. Espace enfance
10. Espace petite enfance
11. Espace BD
12. Espace CD
13. Films et jeux vidéos
14. Salle de projection
0 2 5 10 20m 0 2 5 10 20m
Détail de la façade double-peau Nord
+++
++ =
1 2
3 4
SYSTEME STRUCTUREL
ECLATE STRUCTUREL
1. Suppression des sheds à l’emplacement
du RDC, pour accueillir un large hall ;
2. Construction de la structure en béton
armé de l’extension : trois noyaux porteurs
sont composés d’éléments obliques qui
viennent se retourner à chaque niveau et
forment un réseau de poutres horizontales
à encorbellement qui porte les étages ;
3. Pose de dalles alvéolées en béton
préfabriquées pour former les planchers ;
4. Construction de façades en bardage
bois plus ou moins ajourées suivant
l’ambiance désirée.
LEGENDE
1. Substrat pour végétation extensive 80mm
2. Lé de protection
3. Lé d’étanchéité bi-couche
4. Panneau bois contrecollé 30mm
5. Isolation laine de bois 400mm
6. Contre-lattage
7. Sous-couverture
8. Isolation laine de bois 180mm
9. Montant 160mm
10. Panneau fibre de bois isolant
11. Lattage horizontal 30mm
12. Lambris vertical mélèze
Détail des façades à bardage bois
Détail du système structurel
Vue du Hall d’entrée
3. Accueil, emprunts
4. Cyber-Café
5. Lecture de
périodiques
6. Archives
Eclaté structurel
1
2
6
3
4
5
8 97
12
6
345
8
9
7
10
11
12
0 10 20 50 100mm
0 10 20 50 100mm
0 2 5 10m
La médiathèque : élément marquant du Forum
Le RDC prolonge le Forum
1. Structure existante
en acier
2. Noyaux porteurs béton 3. Poutres se ramifiant à
partir des noyaux
4. Poutres formant un
réseau à chaque étage
5. Planchers formés de
dalles alvéolaires
6. Les façades légeres
à ossature bois
La façade double-peau au nord
Coupe nord - sud, de la façade nord au puits de lumière
Le hall d’accueil : rapport structure ancienne / nouvelleLe R+1 est l’étage Slow-Life
LEGENDE
1. Ecran en verre
2. Fixation métallique
3. Panneau massif bois
contrecollé 19mm
4. Montant bois massif
5. Double-vitrage
6. Dalle alvéolée
7. Béton de remplissage
8. Faux-plafond
9. Poutre en béton armé
H=1m au niveau du poteau
porteur
cyber-café.
Le R+1 est en forte connexion avec le
réseau de passerelles, qui s’introduit
directement dans le bâtiment pour créer
un sous-espace de détente : un café-
lecture. De façon plus large, le R+1 en
entier est dédié au Slow-Life.
Détail de la façade double-peau Nord
+++
++ =
1 2
3 4
ECLATE STRUCTUREL
1. Suppression des sheds à l’emplacement
du RDC, pour accueillir un large hall ;
2. Construction de la structure en béton
armé de l’extension : trois noyaux porteurs
sont composés d’éléments obliques qui
viennent se retourner à chaque niveau et
forment un réseau de poutres horizontales
à encorbellement qui porte les étages ;
3. Pose de dalles alvéolées en béton
préfabriquées pour former les planchers ;
4. Construction de façades en bardage
bois plus ou moins ajourées suivant
l’ambiance désirée.
LEGENDE
1. Substrat pour végétation extensive 80mm
2. Lé de protection
3. Lé d’étanchéité bi-couche
4. Panneau bois contrecollé 30mm
5. Isolation laine de bois 400mm
6. Contre-lattage
7. Sous-couverture
8. Isolation laine de bois 180mm
9. Montant 160mm
10. Panneau fibre de bois isolant
11. Lattage horizontal 30mm
12. Lambris vertical mélèze
Détail des façades à bardage bois Vue du Hall d’entrée
Eclaté structurel
1
2
6
3
4
5
8 97
12
6
345
8
9
7
10
11
12
0 10 20 50 100mm
0 10 20 50 100mm
0 2 5 10
LEGENDE
1. Ecran en verre
2. Fixation métallique
3. Panneau massif bois
contrecollé 19mm
4. Montant bois massif
5. Double-vitrage
6. Dalle alvéolée
7. Béton de remplissage
8. Faux-plafond
9. Poutre en béton armé
H=1m au niveau du poteau
porteur
cyber-café.
Le R+1 est en forte connexion avec le
réseau de passerelles, qui s’introduit
directement dans le bâtiment pour créer
un sous-espace de détente : un café-
lecture. De façon plus large, le R+1 en
entier est dédié au Slow-Life.
Détail de la façade double-peau Nord
+++
++ =
1 2
3 4
ECLATE STRUCTUREL
1. Suppression des sheds à l’emplacement
du RDC, pour accueillir un large hall ;
2. Construction de la structure en béton
armé de l’extension : trois noyaux porteurs
sont composés d’éléments obliques qui
viennent se retourner à chaque niveau et
forment un réseau de poutres horizontales
à encorbellement qui porte les étages ;
3. Pose de dalles alvéolées en béton
préfabriquées pour former les planchers ;
4. Construction de façades en bardage
bois plus ou moins ajourées suivant
l’ambiance désirée.
LEGENDE
1. Substrat pour végétation extensive 80mm
2. Lé de protection
3. Lé d’étanchéité bi-couche
4. Panneau bois contrecollé 30mm
5. Isolation laine de bois 400mm
6. Contre-lattage
7. Sous-couverture
8. Isolation laine de bois 180mm
9. Montant 160mm
10. Panneau fibre de bois isolant
11. Lattage horizontal 30mm
12. Lambris vertical mélèze
Détail des façades à bardage bois Vue du Hall d’entrée
Eclaté structurel
1
2
6
3
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8 97
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6
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7
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0 10 20 50 100mm
0 10 20 50 100mm
0 2 5
LEGENDE
1. Ecran en verre
2. Fixation métallique
3. Panneau massif bois
contrecollé 19mm
4. Montant bois massif
5. Double-vitrage
6. Dalle alvéolée
7. Béton de remplissage
8. Faux-plafond
9. Poutre en béton armé
H=1m au niveau du poteau
porteur
Le R+1 est en forte connexion avec le
réseau de passerelles, qui s’introduit
directement dans le bâtiment pour créer
un sous-espace de détente : un café-
lecture. De façon plus large, le R+1 en
entier est dédié au Slow-Life.
Détail de la façade double-peau Nord
+++
++ =
1 2
3 4
ECLATE STRUCTUREL
1. Suppression des sheds à l’emplacement
du RDC, pour accueillir un large hall ;
2. Construction de la structure en béton
armé de l’extension : trois noyaux porteurs
sont composés d’éléments obliques qui
viennent se retourner à chaque niveau et
forment un réseau de poutres horizontales
à encorbellement qui porte les étages ;
3. Pose de dalles alvéolées en béton
préfabriquées pour former les planchers ;
4. Construction de façades en bardage
bois plus ou moins ajourées suivant
l’ambiance désirée.
LEGENDE
1. Substrat pour végétation extensive 80mm
2. Lé de protection
3. Lé d’étanchéité bi-couche
4. Panneau bois contrecollé 30mm
5. Isolation laine de bois 400mm
6. Contre-lattage
7. Sous-couverture
8. Isolation laine de bois 180mm
9. Montant 160mm
10. Panneau fibre de bois isolant
11. Lattage horizontal 30mm
12. Lambris vertical mélèze
Détail des façades à bardage bois Vue du Hall d’entrée
Eclaté structurel
1
2
6
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8 97
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6
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0 10 20 50 100mm
0 10 20 50 100mm
0
LEGENDE
1. Ecran en verre
2. Fixation métallique
3. Panneau massif bois
contrecollé 19mm
4. Montant bois massif
5. Double-vitrage
6. Dalle alvéolée
7. Béton de remplissage
8. Faux-plafond
9. Poutre en béton armé
H=1m au niveau du poteau
porteur
directement dans le bâtiment pour créer
un sous-espace de détente : un café-
lecture. De façon plus large, le R+1 en
entier est dédié au Slow-Life.
Détail de la façade double-peau Nord
+++
++ =
1 2
3 4
ECLATE STRUCTUREL
1. Suppression des sheds à l’emplacement
du RDC, pour accueillir un large hall ;
2. Construction de la structure en béton
armé de l’extension : trois noyaux porteurs
sont composés d’éléments obliques qui
viennent se retourner à chaque niveau et
forment un réseau de poutres horizontales
à encorbellement qui porte les étages ;
3. Pose de dalles alvéolées en béton
préfabriquées pour former les planchers ;
4. Construction de façades en bardage
bois plus ou moins ajourées suivant
l’ambiance désirée.
LEGENDE
1. Substrat pour végétation extensive 80mm
2. Lé de protection
3. Lé d’étanchéité bi-couche
4. Panneau bois contrecollé 30mm
5. Isolation laine de bois 400mm
6. Contre-lattage
7. Sous-couverture
8. Isolation laine de bois 180mm
9. Montant 160mm
10. Panneau fibre de bois isolant
11. Lattage horizontal 30mm
12. Lambris vertical mélèze
Détail des façades à bardage bois Vue du Hall d’entrée
1
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0 10 20 50 100mm
0 10 20 50 100mm
11. 11
C’est un autre
exemple de
grande extension.
Elle symbolise
la démarche
durable à travers
le recyclage
LES ATELIERS
Les sheds sont investis
par des ateliers. Les
cloisons en bois sont
flexibles et des joints
creux font ressentir la
continuité du sol et du
plafond
ESTAURANT SLOW-FOOD
pale par le Portail Feuillat Place du Forum Ateliers sous les sheds
ssée Niveau des passerelles
1 1
7
4
4
5
6 7 8
9
109
9
9
9
13 13
99
11 11
11
11
11
11 11 11 11 11 11 11
11
9
9
50 m 0 5 10 20 50 m
JARDIN LACASSAGNE Concept
Imaginaire d’un parc généreuxImaginaire d’un parc généreux
Le Café-Restaurant en allant vers le Forum Un atelier derrière la façade Feuillat
Façade principale vers LacassagneFonctionnement au niveau des sheds Atelier léger : apprendre à réparer les meubles
La végétation entre la structure L’entrée côté avenue Lacassagne
LE JARDIN
LACASSAGNE
Au nord du
site, c’est le lieu
témoin du jardin
de dépollution. Il
constitue un lieu
paisible.
SLOW-FOOD
C’est un exemple
de petite
extension. Le
restaurant se situe
sous les sheds et
le bar au R+1.
CAFE-RESTAURANT
LA RECYCLOTHEQUE
12. ARCHITECTURE 12DESSININGENIERIE
WORKSHOPS
ACCESSEABILITY
Parc le long de la Corne d’Or Pont de Karakoy
“Grand Magasin”
“Grand Magasin”
Hall public
“Grand Magasin” Place
Le port comme verrou Le port modernisé et rééquilibré
Médiathèque d’Istanbul Extension de l’université Mimar Sinan
Musée de la ville
Musée de la ville
Salle de Concert
Hall public
Musée de la ville
Vue sur la mer à travers
le Hall des PassagersConnexion
Hall des Passagers Médiathèque Extension de Mimar Sinan Port
LE QUAI CULTUREL
REPENSER
LE BORD
DE MER
Uskudar
Haydarpasa
Kadikoy
2013
AVEC BUSRA GUVEN (ISTANBUL)
MIRKO SISTO (TURIN)
ET OLCAY TIMUR (ISTANBUL)
PROJET URBAIN
ISTANBUL
Le sujet porte sur le bord de mer de
Galata, qui donne sur Sainte-Sophie.
Il s’inscrit dans un scénario plus large
où une promenade piétonne est
aménagée le long du Bosphore.
Le projet propose d’accéder à la mer.
Le port des bateaux de croisière est
reconfiguré pour mieux le connecter à
la ville moderne. L’espace dégagé est
investi par des fonctions culturelles
organisées autour de l’historique
Hall des Passagers. Il est proposé
d’y créer la première médiathèque
d’Istanbul. Des programmes culturels
sont implantés à l’emplacement des
anciennes fortifications génoises.
13. 13
2013
AVEC ALIX DUMAS
CLAIRE GALLEYRAND
FANNY LAGER
ET ANAIS LAMBERTON
PARC ARCHEOLOGIQUE
LYON 5ÈME
Il était proposé de travailler la
scénographie du musée Gallo-Romain
de Zehrfuss. Notre projet considère le
parc archéologique comme priorité.
Celui-ci est pensé comme étape
du Parc des Hauteurs. Un centre
d’interprétation est installé ainsi
qu’un café/boutique avec vue
panoramique, clarifiant l’accès au parc.
Un restaurant est créé dans la Maison
des Cèdres et le «temple de Cybèle»
est donné à la compréhension. Une
signalétique sobre mais présente,
ainsi que des oeuvres d’art exposées
à l’extérieur renforcent la lecture du
lieu et accompagnent le visiteur dans
l’ascension de Fourvière.
Basilique Fourvière
Antiquaille
Couvent de la Visitation
Cimetière de Loyasse
Fort de Loyasse
Centre Lugdunum
Boutique
Café
BALADES ROMAINES
SIGNALETIQUE
Guider, informer, cadrer Mettre en scène Textes en relief sur panneau métalComprendre Observer
1. Une entrée clarifiée
Accès
Fourvière12
3
Les pontons du
sanctuaire
de Cybèle
Restaurant “Les Cèdres”
Café / Boutique
et
Centre
LugdunumProlongement extérieur
Art contemporain / Art romain
Le Parc des Hauteurs : parcourir Lugdunum
Eglise Saint Paul
Musée Gadagne
Palais de justice
Cathédrale Saint Jean
Eglise Saint Georges
2. Rampe en cohérence avec le musée 3. Les pontons pour lire le “Sanctuaire de Cybèle”
AMBIANCES
Parcours Parc des Hauteurs
Parcours sur le site
Montées
Points de vues
Entrée
ParcArchéologique
14. ARCHITECTURE 14
AUX PORTES
DE L’ESS
2012
AVEC CLAIRE GALLEYRAND
ET CHAYMA OUESLATI
ARCHITECTURE EVENEMENTIELLE
CORDOUE
L’objectif de ce travail est de concevoir
un «objet spatial» pour promouvoir
l’Economie Sociale et Solidaire (ESS).
Nous voulons contribuer à unifier
la diversité de l’ESS. Dans ce but,
un projet d’utilité publique est
mené dans toute la ville de Cordoue,
impliquant les acteurs de l’ESS et
les citoyens. Dans un centre de
recherche, les premiers se rencontrent
pour mieux collaborer. Au sein des
Portes, architectures dispersées dans
le tissu urbain, les habitants viennent
participer au travail de coopération. Les
Portes sont animées d’un mouvement
perpétuel, présentent une forme
changeante, à l’image de l’ESS, et elles
s’ouvrent à l’approche d’une personne
pour délivrer leurs informations.
Un concept
désincarné ?
Une porte sur une place de Cordoue
NOTRE VISION DE L’ESS
DEROULEMENT DU PROJET PUBLIC
Une diversité
regroupée
arbitrairement ?
Des acteurs aux
valeurs communes
Une richesse
Présentation
CommunicationCoopération
Vote des habitants Réalisation du projet
Expression des besoins
DESSININGENIERIE
15. 15
UN PROGRAMME
INTERACTIF
UNE CINEMATIQUE
SURPRENANTE
UNE MATERIALITE
COMPLEXE
Polycarbonate
nid d’abeille
léger
résistant
perception changeante
MAQUETTE AUX GRANDS ATELIERS
DETAILS TECHNIQUES
SCENARIO
UNITEMOUVEMENTDIVERSITE
Charnières verticales
Charnières acryliques améliorées
Charnières non structurelles
Elastomère souple translucide
1. Roulement à billes
2. Tube télescopique
3. Cric pneumatique
4. Renforcement
5. Guidage du mât
6. Encastrement
7. Panneaux solaires
1. Vue en direct du centre de recherche
2. Plan interactif de l’ESS à Cordoue
3. Dépôt des propositions
4. Tapis sensitif de détection
Cycle ouverture et
fermeture
Consultation des
informations
1
2
3
4
Détection et
ouverture
16. ARCHITECTURE 16
Pour aborder le quartier de la Part-Dieu
dans son immensité, nous avons choisi
de travailler le site comme un élément
du paysage lyonnais pour pouvoir le
modeler avec liberté et le ramener à
une échelle respectueuse du piéton.
Cette position spatiale amène à deux
propositions principales : considérer
la ligne TGV comme un « fleuve
ferroviaire » et revaloriser l’ensemble
du carré Part-Dieu à travers une
intervention marquée sur le centre
commercial et la « dalle ».
2011
AVEC MAUD DUPHIL
ET GIORGIA CICALESE
PROJET URBAIN DE 30 HA
LYON 3ÈME
Fruit depuis les années 70 d’une histoire
tumultueuse, le quartier a aujourd’hui
une image négative : la gare est saturée,
le boulevard Vivier-Merle encombré, le
centre commercial désuet et la «dalle»
délabrée. La Part-Dieu fait actuellement
l’objet de nouvelles intentionsde la
part de la municipalité pour le doter de
plus de tours et d’un urbanisme de ville
générique et mondialisée.
Notre proposition considère
différemment les enjeux réels du lieu.
Notre analyse des échelles européenne,
française et régionale nous conduit à
penser le quartier comme une centralité
à destination de tous les citoyens. Cette
centralité doit être développée pour
servir de lien entre l’hyper-centre de
Lyon - la Presqu’île - et Villeurbanne.
Intentions
tier Part-Dieu Requalifier les liaisons
Cité Internationale
Transobordeur
Brotteaux
Part-Dieu
Manufacture des Tabacs
Parc Blandan
Jean Macé
Perrache
Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise
La Part-Dieu, c’est....
INFINI
=> La Part-Dieu,
c’est....
un morceau de la
Ville-Paysage
(A) Fourvière
(B) Croix-Rousse
(C) La Duchère
(D) Part-Dieu
“fleuveferroviaire”
Saône
Rhône
Les collines de L
(A) Fourvière
(B) Croix Rouss
(C) La Duchère
(D) La Part-Dieu
Intentions
Resituer l’échelle du quartier Part-Dieu Requalifier les liaisons
Cité Internationale
Transobordeur
Brotteaux
Part-Dieu
Manufacture des Tabacs
Parc Blandan
Jean Macé
Perrache
S’approprier la limite
Confluence
Gorge de Loup
Gare de Vaise
Confluence
phase 2
Oullins
Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise
ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2
Fourvière Presqu’Ile Part-Dieu Gratte-ciel
“fleuveferroviaire”
Saône
Rhône
Les collines de Lyon
(A) Fourvière
(B) Croix Rousse
(C) La Duchère
(D) La Part-Dieu
Part-Dieu Gratte-CielPresqu’ÎleFourvière
3. S’approprier la limite ferroviaire
2. Requalifier les liaisons
Intentions
Resituer l’échelle du quartier Part-Dieu Requalifier les liaisons
Cité Internationale
Transobordeur
Brotteaux
Part-Dieu
Manufacture des Tabacs
Parc Blandan
Jean Macé
Perrache
S’approprier la limite
Confluence
Gorge de Loup
Gare de Vaise
Confluence
phase 2
Oullins
Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise
ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2
1. Resituer l’échelle du quartier Part-Dieu
Cité Internationale
Transobordeur
Brotteaux
Part-Dieu
Manufacture des Tabacs
Parc Blandan
Jean Macé
Perrache
S’approprier la limite
Confluence
Gorge de Loup
Gare de Vaise
Confluence
phase 2
Oullins
Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise
ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2
Part-Dieu
Manufacture des Tabacs
Parc Blandan
Jean Macé
Perrache
Confluence
Confluence
phase 2
Oullins
ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL
4. Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise
PART-DIEU
VILLE-PAYSAGE
DESSININGENIERIE
17. 17
L’arrivée du
fleuve ferroviaire
Effritement
de la vallée
La conquête végétale
de Garibaldi
Emergence
d’une architecture
Cristaux mis à jour
par l’érosion
Formation tectonique
de Vivier Merle
La conquête végétale
de Garibaldi
Le site La butte
A l’échelle urbaine, la voie ferrée sépare
le quartier. En traitant ses abords
comme les berges d’un fleuve, nous
créons un lieu pratiqué par les habitants
(promenades, voies modes doux).
Le fleuve ferroviaire relie les espaces
verts majeurs. Des accès à la gare sont
rajoutés le long des voies pour remettre
le train au coeur de la ville.
A l’échelle du quartier, le centre
commercial s’ouvre sur la rue Garibaldi
par des pentes commerçantes ; le hall
principal devient un puits de lumière
qui permet d’accéder au toit. Là-haut,
des formes évoquant une nature
abstraite accueillent de nouvelles
boutiques du centre commercial.
Coupe-concept Est-Ouest
Axonométrie-concept
HISTOIRE GÉOLOGIQUELA VILLE-PAYSAGE
Le Fleuve
(la gare)
Le Fleuve
La Vallée
(Vivier-Merle)
La Vallée
Les Pentes
Les Pentes
Rue Garibaldi
Rue Garibaldi
Les Plateaux
(le centre commercial)
Les Plateaux
18. 18ARCHITECTURE
ATMOSPHERES
Les Plateaux (le Centre Commercial)
Les Berges Forestières du Fleuve Ferroviaire (la Gare)
Les Pentes Commerçantes (la Dalle) La Vallée Lumineuse (Vivier-Merle)
DESSININGENIERIE
19. 19
PLAN-MASSE
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Se déplacer vers toute l’agglomération lyonnaise
Se déplacer dans toute
l’agglomération lyonnaise
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Profiter des berges ferroviaires
Profiter des Berges Ferroviaires
Vue depuis le Sud-Est
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Descendre du train
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Rejoindre les halls
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Rejoindre les halls
Rejoindre les halls
Descendre du train
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Descendre du train
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Profiter des berges ferroviaires
ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL
Profiter des berges ferroviaires
UNE GARE RÉORGANISÉE
20. ARCHITECTURE 20
S’appuyant sur l’âme du lieu et les
éléments existants, ce paysage de
la Part-Dieu valorise le patrimoine
et équilibre nature et architecture.
C’est une nouvelle harmonie qui est
composée pour le quartier.
COUPE EST-OUEST
STRUCTURES, AMBIANCES
Parvis végétal de l’Auditorium Les pentes commerçantes Sur les quais de la gare
Perspective sur les pentes commerçantes
Coupe Est-Ouest
Nouvelle station de métro Rue Garibaldi verte
DESSININGENIERIE
21. 21
2011
MÉMOIRE DE MASTER
DIRECTRICE D’ETUDES ANTONELLA
MASTRORILLI
Pour la représentation de son projet,
l’architecte dispose aujourd’hui d’une
riche palette d’outils, analogiques ou
numériques. A travers la question
particulière de la représentation de la
lumière et de l’ombre dans le dessin
d’architecture, il s’agit de se demander
comment évolue une représentation
et quels sont les facteurs
conditionnant sa transformation.
Une approche historique est retenue.
Le mémoire a montré que deux
temps pouvaient être distingués : une
première période qui s’étend jusqu’au
début du XXe siècle, que nous avons
appelé «lumière Beaux-Arts», puis un
second temps, dans laquelle nous nous
inscrivons encore, et qui démarre au
début du XXe siècle en se juxtaposant
avec la fin de la première période. Nous
avons appelé ce moment «lumière
phénoménologique».
Dans la «lumière Beaux-Arts», l’enjeu
principal est de faire ressortir les jeux
de volumes des bâtiments. Ce qui
est en adéquation avec l’architecture
à l’antique qui est caractérisée par sa
richesse volumétrique. L’ombre est
alors au centre des préoccupations.
Les dessins sont en noir et blanc, ou
utilisent des couleurs légères. Le lavis
est une technique dominante, elle
consiste en la dilution d’encre dans
de l’eau, ce qui permet d’obtenir des
dégradés subtils d’ombres. L’école des
Beaux-Arts du XIXème siècle porte
cette représentation à sa perfection
et de nombreux traités sont écrits
pour constituer un savoir complet
autour de la question. Au début du
XXe siècle, l’architecture à l’antique
tombe en désuétude. Une nouvelle
représentation de la lumière émerge.
L’intérêt est désormais plutôt accordé
à la lumière qu’à l’ombre. Dorénavant,
la lumière est matérialisée dans les
dessins. Les couleurs sont utilisées avec
générosité, et de nouveaux moyens
graphiques sont introduits (aquarelle,
craies, pastel). Le dessin d’architecture
ne se contente plus de tracer les
ombres portées, il montre désormais
les réflexions, les effets de la lumière
sur les matériaux complexes comme les
laques. Cette évolution a été permise
par l’intérêt accordée à la perception
de l’architecture par l’individu.
Les changements apportés par les
moyens informatiques actuels sont un
prolongement naturel de ce mémoire.
La question peut aussi être étudiée dans
l’autre grand moyen de représentation
de l’architecte : la maquette.
BIBLIOGRAPHIE
BOULLE Etienne-Louis, Architecture :
essai sur l’Art. vers 1790-1800
DUBOY Philippe, Jean-Jacques Lequeu :
une énigme. Paris, Hazan, 1987
PILLET Jules-Jean, Traité de perspective
linéaire, Paris, Delagrave, 1885
SCHEERBART Paul, Glasarchitektur,
1914, trad. fr. L’Architecture de verre
LEBEL Jules, Principes rationnels du
lavis de relief, Paris, 1922
MINNAERT Marcel, The Nature of Light
and Colour in the Open Air, 1954
RASMUSSEN Steen Eiler, Experiencing
Architecture, 1960,
HOLL Steven, PALLASMA Juhani,
PEREZ-GOMEZ Alberto, Questions
of Perception : Phenomenology of
Architecture. A&U Special Issue, 1994.
ZUMTHOR Peter, Atmospheres
: Architectural Environments.
Surrounding Objects, 2006
LUMIERE BEAUX ARTS
Julien Guadet, 1867
LUMIERE PHENOMENOLOGIQUE
Steven Holl, 2000
LA LUMIERE
DANS LE
DESSIN
D’ ARCHI
TECTURE
22. 22
THERMO
AREAULIQUE
D’UN ATRIUM
2011
BUREAU D’ÉTUDES HQE ETAMINE
LYON
Ce travail de fin d’étude de l’Ecole
Centrale de Lyon s’est déroulé pendant
cinq mois au sein du bureau d’étude
ETAMINE (Lyon), spécialisé dans la
Haute Qualité Environnementale. Les
vingt ingénieurs de l’entreprise évaluent
les performances énergétiques et le
confort dans le neuf et la réhabilitation.
L’objectif de ce travail est de mieux
modéliser la ventilation naturelle
dans les grands volumes, à l’aide d’une
simulation thermoaéraulique. A la
différence d’une simulation thermique,
qui prend uniquement en compte les
capacités thermiques des matériaux,
une simulation thermoaéraulique
modélise aussi les déplacements d’air
entre les pièces et avec l’extérieur.
Or, le déplacement de l’air chaud vers
le haut dans un atrium vitré est un
phénomène physique déterminant, qui
nécessite un tel type de simulation. Les
logiciels TRNSYS (modèle thermique)
et CONTAM (modèle aéraulique) ont
été employés. Les bureaux d’étude
actuels utilisent majoritairement la
simulation thermique. Les modèles
thermoaérauliques sont, d’un côté,
plus respectueux de la réalité, et de
l’autre côté, plus lourds à manier.
Les avantages et inconvénients
de ce nouveau type de simulation
doivent donc être étudiés. Un projet
d’un établissement d’enseignement
supérieur et de recherche à Grenoble,
comportant un atrium ventilé
naturel est utilisé comme exemple
d’application. Dans un premier temps,
un modèle thermoaéraulique a été
choisi. Il a été validé sur le projet de
Grenoble. La simulation a établi des
résultats pour la conception générale
d’un atrium. Les questions techniques
et scientifiques rencontrées ont
été approfondies et les méthodes
développées résumées dans des
outils internes réutilisables. Une
capitalisation de la connaissance autour
de la ventilation naturelle a donc
été mise en place au sein du bureau
d’études.
L’atrium étudié
Effet de la modélisation de la ventilation naturelle sur le mois de juin
Effet de la modélisation de la ventilation naturelle sur une journée de juillet
DESSININGENIERIEARCHITECTURE
23. 23
REINGENIERIE
DU LOGICIEL
SOLENE
2010
LABORATOIRE CERMA
ECOLE D’ARCHITECTURE DE NANTES
NANTES
Ce stage de deux mois a pris place en 2e
année d’Ecole Centrale de Lyon. Il a été
réalisé au laboratoire CERMA de l’école
d’architecture de Nantes. Ce laboratoire
a développé un logiciel d’éclairage,
Solène, qui nécessite une réingénierie.
Solène calcule, par exemple, les
éclairements sur une géométrie en
tenant compte des matériaux, du
soleil, du ciel etc. Le calcul repose
sur la méthode de radiosité. Une
réingénierie consiste en un nettoyage
du code source et une réorganisation de
l’architecture logicielle. Le code source
actuel est issu de nombreuses années
où différents utilisateurs ont apporté
leur manière de programmer, leurs
fonctions, sans véritable harmonisation.
Les deux missions du stage s’inscrivent
dans cette démarche : étude du
potentiel du logiciel ParaView, dédié à
la visualisation de données complexes
(par exemple de mécanique des fluides)
pour les résultats Solène, et mise
en place d’une approche «métiers»,
proposant un formalisme XML pour
manipuler les fonctions du noyau de
calcul hors de son interface utilisateur
graphique. L’intérêt d’XML réside dans
son universalisme et sa simplicité,
il structure par exemple les pages
Internet.
Malgré quelques réserves, l’intérêt de
l’utilisation de ParaView a été confirmé.
De plus, un fascicule de
présentation destiné au laboratoire,
d’une cinquantaine de pages, a été
rédigé.
L’approche métiers a été
explorée de manière significative. Un
formalisme XML a été proposé, il doit
évoluer encore pour arriver à
une version définitive. Les principaux
métiers relatifs à l’éclairage ont été
recensés, une quarantaine de
fonctions élémentaires ont été écrites,
ainsi qu’une dizaine de feuilles de
transformation XSLT. XSLT permet de
transformer un document XML en un
autre document du même type, ou
texte, HTML etc.
Résultats de simulations sur la pelouse du stade Marcel Saupin à Nantes, visualisés dans ParaView
Représentation d’un processus standard de calcul de flux lumineux
Interface du logiciel ParaViewInterface du logiciel Solene
24. DESSIN 24
ENCRE OU
CRAYON DE
PAPIER
ARCHITECTURE INGENIERIE
Sélection de dessins réalisés pour ma
pratique personnelle.