Le texte Silent weapons for quiet wars prétend faire le point sur ce qui y est appelé la « Troisième Guerre mondiale » – guerre de l'élite contre les peuples, par laquelle la première cherche à prendre le contrôle des seconds – pour les vingt-cinq ans de cette dernière. Une entrée en matière comporte une mise en garde sur la démarche d' « automatisation de la société » au moyen d' « armes silencieuses » et sur le caractère sine qua non du non-respect de la vie humaine impliqué par une telle démarche ; le texte engage ensuite le lecteur au silence (« un tel écrit doit être tenu à l'abri du regard du public ») et à la négation de toute morale (« La solution aux problèmes de notre temps requiert une approche impitoyablement cynique, sans s'embarrasser d'une quelconque valeur »), avant de dresser le contexte historique à l'origine des « armes silencieuses », puis d'entrer réellement dans le protocole, lequel mêle des concepts de physique, de cybernétique et d'économie, en comparant les composantes de la société humaine à des structures informatiques, « programmables » en vue d'une fin.
Le texte Silent weapons for quiet wars prétend faire le point sur ce qui y est appelé la « Troisième Guerre mondiale » – guerre de l'élite contre les peuples, par laquelle la première cherche à prendre le contrôle des seconds – pour les vingt-cinq ans de cette dernière. Une entrée en matière comporte une mise en garde sur la démarche d' « automatisation de la société » au moyen d' « armes silencieuses » et sur le caractère sine qua non du non-respect de la vie humaine impliqué par une telle démarche ; le texte engage ensuite le lecteur au silence (« un tel écrit doit être tenu à l'abri du regard du public ») et à la négation de toute morale (« La solution aux problèmes de notre temps requiert une approche impitoyablement cynique, sans s'embarrasser d'une quelconque valeur »), avant de dresser le contexte historique à l'origine des « armes silencieuses », puis d'entrer réellement dans le protocole, lequel mêle des concepts de physique, de cybernétique et d'économie, en comparant les composantes de la société humaine à des structures informatiques, « programmables » en vue d'une fin.