S51 revue de presse kylia - semaine du 7 au 13 décembre 2015
1. La revue de Presse KYLIA
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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 7 au 13 décembre 2015
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
Ces prêts immobiliers qui deviennent gratuits
Le 07/12/2015
Profitant de bonnes conditions de crédit, il y a quelques années, lors de la souscription d’un prêt à
taux révisable, certains particuliers ont eu la douce surprise de voir leur taux d’emprunt passer à 0 %
ces derniers mois.
Il fallait de l’audace en 2007 pour emprunter à taux révisable. À l’époque, seuls 10 % des Français ont
franchi le pas. Mais ceux qui ont eu ce courage reçoivent aujourd’hui de sympathiques courriers de
leur banquier. «Cher client, nous vous informons que le nouveau taux de votre prêt pour les douze
prochains mois est de 0 %», a ainsi écrit en substance le Crédit agricole à l’un de ses bons clients, le
mois dernier. Déjà, l’année précédente, la lettre l’informant des nouvelles conditions de son crédit
avait amusé cet investisseur immobilier: le taux de cet emprunt, souscrit initialement à 4,20 %, était
tombé à 0,05 %. Indexé sur l’Euribor, il a cette année suivi la nouvelle baisse des taux d’intérêt de la
zone euro.
2. La revue de Presse KYLIA
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Vers des taux négatifs?
«Un prêt révisable tombé à 0 %, c’est très rare. Mais la plupart des Français qui ont souscrit de tels
crédits ne paient désormais plus que la marge de la banque, entre 0,80 % et 2 %. Car l’indice de
référence du crédit, lui, est devenu nul ou négatif», souligne Sandrine Allonier, responsable des
relations banques de Vousfinancer.com. Par exemple, l’Euribor 3 mois, utilisé pour indexer de
nombreux crédits révisables, est descendu à - 0,12 % début décembre. Insuffisant pour amener un
prêt à 0 %? Pas si la banque avait sacrifié sa marge à l’époque. Justement, pour son très bon client,
le Crédit agricole en 2007 avait accepté d’accorder ce prêt un peu en deçà de l’Euribor (4,50 %). Si
les taux poursuivent en 2016 leur glissade, ce crédit révisable pourrait donc lui aussi afficher un taux
négatif. Mais l’histoire ne dit pas si la banque devrait alors payer des intérêts à son client.
Source : Le Figaro.fr
3. La revue de Presse KYLIA
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Vers des taux négatifs?
«Un prêt révisable tombé à 0 %, c’est très rare. Mais la plupart des Français qui ont souscrit de tels
crédits ne paient désormais plus que la marge de la banque, entre 0,80 % et 2 %. Car l’indice de
référence du crédit, lui, est devenu nul ou négatif», souligne Sandrine Allonier, responsable des
relations banques de Vousfinancer.com. Par exemple, l’Euribor 3 mois, utilisé pour indexer de
nombreux crédits révisables, est descendu à - 0,12 % début décembre. Insuffisant pour amener un
prêt à 0 %? Pas si la banque avait sacrifié sa marge à l’époque. Justement, pour son très bon client,
le Crédit agricole en 2007 avait accepté d’accorder ce prêt un peu en deçà de l’Euribor (4,50 %). Si
les taux poursuivent en 2016 leur glissade, ce crédit révisable pourrait donc lui aussi afficher un taux
négatif. Mais l’histoire ne dit pas si la banque devrait alors payer des intérêts à son client.
Source : Le Figaro.fr
4. La revue de Presse KYLIA
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LeBonCoin.fr vient de publier une carte indiquant les prix de l’immobilier médians au mètre carré
constatés dans les grandes villes françaises au 9 juin 2015, calculés à partir des annonces déposées
par les professionnels (agents et mandataires) immobiliers : 8.274 €/m² à Paris, 4.820 €/m² à Nice,
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3.548 €/m² à Lyon, 3.510 €/m² à Bordeaux, 3.350 €/m² à Toulouse, suivies dans un mouchoir de
poche par 3.193 €/m² à Marseille, 3.178 €/m² à Nantes, 3.175 €/m² à Rennes, 3.141 €/m² à
Strasbourg et , nettement plus modéré, 2.840 €/m² à Lille.
Si l’on se réfère aux cartes de prix publiés par le Conseil Supérieur du Notariat au 2ème trimestre
2015, on constate que les transactions s’effectuent à des niveaux parfois sensiblement inférieurs à
ceux demandés par les vendeurs : si les prix à Paris (7.880 €/m²) et à Lille 2.800 €/m² sont identiques,
et légèrement inférieurs à Lyon (3.230 €/m²) et Bordeaux (3.100 €/m²), ils sont en revanche nettement
inférieurs dans les autres grandes villes, avec des écarts pouvant dépasser les 1.000 €/m² entre les
prix proposé et le prix signé : 3.510 €/m² à Nice (plus de 1.200 €/m² d’écart !), 2.440 €/m² à Toulouse,
2.240 €/m² à Marseille, 2.470 €/m² à Nantes, 2.290 €/m² à Rennes et 2.340 €/m² à Strasbourg.
Source : L’Obs.com
6. La revue de Presse KYLIA
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Les Européens chauffent trop leur logement
Le 08/12/2015
INFOGRAPHIE - Selon un sondage mené à travers 5 pays, la plupart des Européens ont la main trop
lourde sur le thermostat. La majorité dépasse les 19° préconisés par l’ADEME et une large part des
Allemands se sent bien à 22°.
Retour aux basiques: l’isolation, les énergies renouvelables c’est bien mais si l’on commençait par
consommer moins d’énergie tout le monde serait gagnant. Selon une étude réalisée par Harris
interactive pour le groupe Spie (services dans les domaines de l’énergie et des communications), les
Européens associent surtout l’efficacité énergétique à l’isolation et dans une moindre mesure à
l’énergie solaire, aux équipements à basse consommation et aux appareils intelligents de gestion de
l’énergie. Et lorsqu’on leur propose une liste de ce que peut représenter l’efficacité énergétique, ils
pensent tous en premier lieu à éviter le gaspillage que ce soit en France (52 %), en Allemagne (52 %),
en Belgique (52 %), aux Pays-Bas (46 %) ou au Royaume-Uni (60 %).
Cependant, s’ils se déclarent très majoritairement attentifs à la réduction des consommations
d’énergies à leur domicile (à 85 % aux Pays-Bas, 88 % au Royaume-Uni, 91 % en Belgique et même
95 % en France et en Allemagne), ils ont du mal à baisser la température de leur chauffage. Ils
considèrent globalement que les magasins sont trop chauffés, que ce soit en France (67 %), en
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Allemagne (62 %), en Belgique (60 %) ou dans une moindre mesure au Royaume-Uni (54 %) et aux
Pays-Bas (49 %) mais chez eux, la température est réglée comme il faut (78 % des Néerlandais, 70 %
des Français, 69 % des Allemands, 66 % des Belges et 56 % des Britanniques).
Prêts à suivre les recommandations
A y regarder de près, les personnes interrogées situent très majoritairement la température intérieure
idéale au-dessus de 19°, la température recommandée en France par l’Ademe (Agence de
l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). C’est le cas de 64 % des sondés au Royaume-Uni,
68 % aux Pays-Bas, 79 % en Belgique et même 85 % en Allemagne. Quasiment un tiers des
Européens (32 %), situe cette température idéale de chauffage à 20° et une moyenne de 21 % à 21°.
Ils sont même 21 % chez les Allemands et 15 % chez les Belges à la situer à 22°. Tous se déclarent
cependant prêts à suivre des recommandations en la matière, de manière plus importante sur leur lieu
de travail qu’à leur domicile.
Et qu’est-ce qui pourrait inciter les sondés à avoir la main moins lourde sur le thermostat? Le porte-
monnaie toujours, la première réponse étant «le montant trop élevé de sa facture d’énergie» (de 85 %
aux Pays-Bas à 93 % en Belgique). Vient ensuite l’opportunité de bénéficier d’avantages fiscaux,
cependant moins évoquée par les Britanniques (75 %) que par les autres populations européennes:
92 % en Belgique, 90 % en France, 89 % en Allemagne et 81 % aux Pays-Bas. Quant aux motivations
environnementales, la volonté de réduire la pollution autour de soi surtout est évoquée au minimum
par 73 % des sondés (Pays-Bas) et au maximum par 89 % d’entre eux (France), tout comme la à
73 % aux et également une certaine «conscience écologique» (citée par 73 % des Britanniques et
85 % des Français).
Source : Le Figaro.fr
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Immobilier : les prix ne baissent presque plus
Le 08/12/2015
INFOGRAPHIE - Les ventes repartent et les prix ne baissent quasiment plus. Cette tendance devrait
se poursuivre en 2016.
Depuis le printemps, les acquéreurs sont de retour sur le marché immobilier. «En province, nous
avons observé une reprise des volumes de ventes à partir du mois de juin, alors qu’à Paris c’était dès
mars-avril», relève Thierry Thomas, président de l’Institut notarial de droit immobilier. «Il n’y a pas eu
de tassement à l’automne, ce qui nous fait tabler sur une hausse de 5 à 6 % des transactions sur
l’année 2015», poursuit-il. Le Nord (ventes en hausse de 18 % sur un an), le Calvados (+20 %), la
Gironde (+18 %) et les Alpes maritimes (+17 %) ont été particulièrement actifs. Résultat, le niveau des
ventes de logements anciens (753 000 transactions entre septembre 2014 et septembre 2015) se
rapproche désormais de celui des années fastes de 1999-2007. Autre fait marquant, le marché des
résidences secondaires, complètement sinistré ces dernières années, a redémarré, les vendeurs
ayant enfin accepté de revoir leurs prétentions à la baisse.
Les maisons résistent mieux
Grâce à cette embellie, la baisse des prix s’atténue dans de nombreuses régions françaises. Fin
septembre, les prix des appartements reculaient de 1,7 % par rapport à la même période de 2014, la
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baisse étant plus marquée en province (-2,1 %) qu’en Île de France (-1,3 %). Un peu partout, les
maisons résistaient mieux (-1,4 % en province et -1,1 % en Île de France).En cette fin d’année, les
prix continuent à se stabiliser. Les avant contrats signés pendant l’automne indiquent en effet qu’en
janvier, au niveau national, les prix des appartements anciens progresseront légèrement de 0,2 % sur
un an et les maisons de 1,1 % (+ 0,4 % et + 0,7 % en province). D’après les projections des notaires
parisiens, on s’apercevra en janvier que les prix ont augmenté de 1,2 % sur un an dans la capitale, où
l’offre est inférieure à la demande.
L’année 2016 s’annonce pour l’heure sous de bons auspices. La reprise du marché immobilier devrait
se confirmer. «La demande reste soutenue. Le premier semestre 2016 devrait être aussi dynamique
que ces derniers mois», prévoit Thierry Thomas, notaire en Loire-Atlantique. L’élargissement et
l’assouplissement du prêt à taux zéro (PTZ) à partir du 1er janvier, devrait également permettre à
davantage de jeunes et de ménages modestes de devenir propriétaires de leur premier logement neuf
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ou ancien (à rénover, les travaux devant au moins représenter 25 % de la valeur du bien). Pour
autant, les prix ne devraient pas vraiment grimper. «Il ne faut surtout pas penser que les prix vont
flamber dans les mois à venir, ce n’est pas du tout notre analyse», insiste Thierry Thomas. La hausse
pourrait être comprise entre 0,5 % et 1 % en moyenne. Elle pourrait être un tout petit peu plus forte à
Paris. «Beaucoup de stocks d’appartements à vendre ont fondu», pointe Thierry Delesalle, notaire à
Paris.
Malgré le trou d’air dû à la crise, certaines grandes villes, en plus de Paris, ont vu leurs prix fortement
augmenter au cours des dix dernières années: Bordeaux (+57 %) arrive en tête, suivie de Lyon
(+42 %), Lille (+36 %), Nice (+31 %), Strasbourg (+29 %) et Toulouse (+22 %). A l’inverse, les prix ont
reculé entre 2005 et 2015 à Saint-Étienne (-6 %) et Toulon (-2 %), tandis qu’ils restaient à peu près
stables à Grenoble, Angers et Reims. Ces dernières années, les écarts se sont aussi creusés entre
les zones urbaines et les campagnes, où le marché immobilier reste atone, malgré une chute des prix
pouvant atteindre 20 % à 40 %.
Ce que l’on peut acheter selon son budget
Source: Le Figaro.fr
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LeBonCoin.fr publie sa carte des prix
immobiliers
Le 07/12/2015
Le site de petites annonces est devenu incontournable pour les annonces immobilières.
LeBonCoin.fr publie sa carte des prix immobiliers Franconlon Xavier Sipa
Près de 10 ans après son lancement, le site de petites annonces LeBonCoin.fr est devenu l’un des
sites les plus consultés pour ses annonces immobilières, de vente ou de location. Le site revendique
d’ailleurs jusqu’à 10 millions de visiteurs uniques par mois (en juillet 2015) selon Mediametrie) pour 2
millions d’annonces, tous types de biens confondus. A l’instar des autres sites d’annonces
immobilières, LebonCoin.fr a mis en place un système d’alerte en fonction des critères de recherche
renseignés et annonce vouloir géolocaliser les annonces pour améliorer la prospection des
internautes.
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Même le marché des résidences secondaires, sinistré ces dernières années, repart car les vendeurs
consentent désormais à baisser leurs prix, tandis que les acquéreurs, craignant un relèvement des
taux de crédit immobiliers, actuellement au plus bas, concrétisent leur projet. Quant aux prix, ils
demeurent en légère baisse, sur les 12 mois écoulés à fin septembre : -1,7% en France, -1,3% en Ile-
de-France, -2,1% en province.
Si de juillet à septembre 2015 les prix ont légèrement progressé (+0,5% en France, +1% en Ile-de-
France, +0,4% en province) cette hausse est en partie "mécanique" car les stocks de biens à vendre
baissent, tant dans les agences immobilières que chez les notaires, précisent ces derniers. "Mais il ne
faut surtout pas penser que les prix vont flamber dans les mois à venir, ce n'est pas du tout notre
analyse", a conclu Me Thomas.
Bordeaux, Lyon et Lille en tête des hausses
Ces dix dernières années, en dehors de la capitale, Bordeaux, Lyon, Lille et Nice sont les villes où les
prix du marché immobilier ancien ont le plus augmenté, ont observé les notaires de France mardi, en
publiant leur bilan 2015. "De 2005 à 2015, six villes françaises de plus de 150.000 habitants ont vu les
prix de leurs appartements anciens grimper d'au moins 20%", a précisé Me Thomas.
Il s'agit de Bordeaux (+57% à 3.080 euros le m2), Lyon (+42% à 3.275 euros), Lille (+36% à 2.840
euros), Nice (+31% à 3.515 euros), Strasbourg (+29% à 2.420 euros) et Toulouse (+22% à 2.500
euros), a-t-il précisé. "Dans ces villes, ceux qui ont acheté en 2005 ont fait une belle opération, mais
ils vont être rattrapés par l'impôt sur les plus-values immobilières, de 34,5%, s'ils vendent dès
aujourd'hui", note Me Thomas.
A l'inverse, depuis 2005 les prix ont baissé dans deux villes: St Etienne (-6%) et Toulon (-2%), tandis
qu'ils restaient à peu près stables dans trois autres, Grenoble, Angers et Reims. Du côté des maisons
anciennes, les prix ont augmenté de 20% à Lyon et Nice, de 23% à Nantes, 25% à Marseille et 30% à
Lille et Bordeaux.Pour les notaires, la décision de la plupart des collectivités locales de relever de
3,8% à 4,5% les droits de mutation - dont les "frais de notaire" ne constituent qu'une part - sur les
transactions immobilières, pourrait ralentir le marché.
Parmi les départements, seuls le Morbihan, la Mayenne, l'Isère, l'Indre et la Martinique n'ont pas
relevé leurs droits de mutation, comme le gouvernement leur en a donné la possibilité, a précisé Me
Thomas. Les notaires souhaitent que les droits de mutation soient abaissés pour les ménages qui
accèdent à la propriété et ont parfois des difficultés à boucler leur budget.
Source: Challenges.fr
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Copropriété : cette mesure va faire fondre les
factures de chauffage !
Le 10/12/2015
A compter du 31 mars 2017, les copropriétés dotées d’un chauffage collectif devront avoir installé des
appareils de mesure de consommation d’énergie individuelle dans chaque logement. Une manière
d’inciter chacun à faire des économies
L’information est passée jusqu’ici quasi-inaperçue. Or, d’ici le 31 mars 2017, toutes les copropriétés
dotées de chauffage collectif devront avoir équipé leurs logements d’appareils de mesure individuels.
Ainsi, les charges liées au chauffage ne seront plus mutualisées mais différenciées pour chaque
appartement. Objectif de cette règlementation inscrite dans la loi sur la transition énergétique : inciter
chacun à prendre conscience de sa consommation réelle d’énergie.
L’enjeu est important car selon le Syndicat de la mesure*, qui lance une campagne de sensibilisation
sur le sujet, 4,5 millions de ménages sont concernés !
Concrètement, il s’agira d’équiper tous les appartements d’appareils permettant de relever, grâce à
des ondes radio, la consommation propre de chaque ménage. En faisant appel à des installateurs
spécialisés (Ista, Océa, Proxiserv, Proxhydro, Techem…), les particuliers pourront installer des petits
répartiteurs sur chaque radiateur, ou pour les logements les plus récents (datant du début des années
2000) se contenter d’un compteur individuel d’énergie thermique.
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L’investissement ne sera pas indolore : comptez 4 euros par logement et par mois pour 4 ou 5
répartiteurs installés dans un logement moyen de 67 mètres carrés ! Le coût est quasi-identique pour
un compteur individuel.
A la clé, les économies escomptées sont toutefois bien réelles : "Elles pourront atteindre en moyenne
20% sur la facture de chauffage", calcule Vincent Béranger, délégué général du Syndicat de la
mesure.
Gare aux sanctions ! Passé mars 2017, les copropriétés qui ne seront pas aux normes s’exposeront à
des amendes pouvant aller jusqu’à 1.500 euros par logement et par an.
(* Syndicat qui rassemble les entreprises spécialisées dans l’installation d’instruments de mesure
énergétique)
Source : Capital.fr
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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Prosecco : ces petites bulles italiennes qui
montent
Le 22/10/2015
Depuis deux ans, les ventes de prosecco, ce vin blanc pétillant produit dans le nord-est de
l’Italie, dépassent celles du champagne. Et la croissance se poursuit. Un miracle pour une
région vénitienne durement frappée par la crise.
Il y a encore quelques décennies, personne n’en voulait de ces vignes. On les laissait en héritage aux
cadets ou à ceux qui avaient émigré. Aujourd’hui, c’est une mine d’or… » Manuela désigne du doigt
les flancs abrupts d’une colline verdoyante couverte de sarments. Cette enfant du pays, fille et petite-
fille d’agriculteurs, travaille depuis plus de quinze ans pour la Villa Sandi, principale maison
productrice et exportatrice de prosecco. Le cœur de la « mine d’or », dont parle Manuela, se situe
entre les villes de Conegliano et Valdobbiadene, les deux poumons d’un terroir de 27.000 hectares de
vignes dans la province de Trévise, dans le nord-est de l’Italie. Ce sont elles qui produisent ce vin
16. La revue de Presse KYLIA
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blanc pétillant qui a conquis le monde. Près d’un demi-milliard de bouteilles sont prévues pour la
cuvée 2015, trois fois plus qu’il y a à peine six ans.
« La vendange vient tout juste de se terminer, et on s’en souviendra : elle a été exceptionnelle », se
réjouit Giancarlo Moretti Polegato sur le seuil de son domaine. Lui aussi est un enfant de la Vénétie,
terre fertile en grands marchands et entrepreneurs. Les vignes, sa famille s’en occupe depuis trois
générations et ne les a jamais considérées comme un fardeau. C’est son grand-père qui fonde
l’entreprise viticole la Gioiosa. Son père la fera prospérer, diffusant dans toute la région les célèbres
bouchons au motif Vichy de ses bouteilles. Son frère aîné Mario lui transmettra la gestion du domaine
familial préférant, malgré ses études d’œnologie, se dédier à l’entreprise de chaussures Geox, qu’il
fonde en 1995. Un héritage que Giancarlo Moretti Polegato a su faire fructifier. Le vigneron-homme
d’affaires prend des allures de stratège en indiquant avec fierté une grande maquette de ses terres
trônant au milieu d’une pièce, dont les murs sont couverts de diplômes et d’un planisphère. «
Regardez, là, ce sont les médailles gagnées dans les concours et les foires en Italie et à
l’international. Là, ce sont les pays dans lesquels nous vendons, plus de 90 dans le monde entier. »
Avant de traverser les océans, son vin frais et pétillant a franchi les Alpes. Au cours des années 1960,
il séduit les touristes allemands, suisses ou autrichiens en vacances sur la lagune ou sur la côte
Adriatique. Ils en assurent le succès dans leurs pays respectifs, qui deviennent rapidement le premier
marché ouvert à l’étranger. Des tables de Vénétie aux rayons des supermarchés, le prosecco passe
les frontières, aidé par l’obtention en 1969 du statut de DOC (« Denominazione di Origine
Controllata »). La montée en gamme et celle des exportations ne se démentiront plus.
Des barriques de vin à la place des barils de poudre
Si la Gioiosa fait la richesse de la maison qui contrôle 1.500 hectares et en possède 90 en propriété,
Villa Sandi en fait la renommée. Au début des années 1980, les Moretti Polegato achètent une villa de
style palladien du XVII
e
siècle, en ruines. Au cours des travaux, un plancher s’écroule. Sous la
demeure, qui abritait pendant la Première Guerre mondiale le commandement italien, est mis au jour
1,5 km de galeries qui servaient à l’époque à stocker les munitions. Giancarlo Moretti Polegato,
encore ébloui par un voyage effectué quelques années plus tôt dans les caves champenoises, décide
d’y entreposer ou faire vieillir ses plus belles bouteilles. Entourée de son jardin à l’italienne et de ses
vignes en paliers, la Villa ne repose plus sur des barils de poudre mais sur des barriques de vin, ses
armes pour la conquête des restaurants et bars de luxe. Elle est maintenant le siège d’un groupe avec
un pied dans la grande distribution (la Gioiosa) et un autre dans la restauration de haut niveau (Villa
Sandi). Un groupe qui s’est mis à courir au rythme de la croissance exponentielle des exportations de
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prosecco. Avec en guise de consécration, la reconnaissance en 2009 par Bruxelles de la DOCG
(l’appellation d’origine garantie et protégée) Valdobbiadene Prosecco Superiore.
« Nous avons, ainsi, pu mieux protéger mais surtout vendre le fruit de notre terroir, explique Giancarlo
Moretti Polegato, comme c’est le cas depuis longtemps pour le champagne. Nous sommes alors
partis enthousiastes le proposer dans le monde entier en vendant un produit “Made in Italy”. J’ai pris
ma valise et fait le tour des foires aux vins. Le problème était juste de le faire connaître. Déguster du
prosecco, c’est l’adopter. »
En 2014, il a ainsi vendu 24 millions de bouteilles de ce vin simple et fruité qui peut accompagner
toutes les cuisines. 65 % d’entre elles ont pris la route de l’Europe, de l’Amérique du Nord, du Brésil,
de la Chine ou encore de l’Australie.
« Ces dernières vendanges nous permettent d’envisager l’avenir avec confiance et de nous
développer encore plus sur ces marchés », prévoit le discret Giancarlo Moretti Polegato en arborant
un large sourire lorsqu’il s’agit d’égrener les chiffres de la santé florissante de sa maison. « Notre
chiffre d’affaires cette année sera de 70 millions d’euros en progression de 18 %. L’euro faible par
rapport au dollar et à la livre sterling nous a aidés. Sur le podium de nos exportations les Etats-Unis
devancent la Grande-Bretagne juste devant l’Allemagne qui est un marché saturé. Les marges de
progression sont néanmoins encore grandes dans les pays anglo-saxons mais aussi en Extrême-
Orient et en France. »
Son regard pétille lorsqu’on évoque le champagne comme un concurrent. « Ce sont deux produits
complètement différents : raisins, méthode de fabrication, prix… Ouvrez une liste de vins dans un
restaurant à New York ou à Tokyo, le prosecco est maintenant présent aux côtés du champagne. Il ne
l’a pas remplacé, il l’accompagne. » Il l’a même dépassé en 2013, avec 307 millions de bouteilles
vendues dans le monde contre 304 millions pour son cousin français. Premier vin effervescent importé
aux Etats-Unis, ses ventes ont par ailleurs bondi de 75 % cette année en Grande-Bretagne, les faisant
passer pour la première fois devant celles de champagne (479 millions d’euros contre 353 millions).
La « carte du voyage »
Mais le chemin reste encore long avant qu’il ne le rattrape sur ses terres. En 2014, environ
500.000 caisses sont arrivées dans l’Hexagone soit moins de 3 % de la consommation française de
vins effervescents. Sur le papier, le Groupe Villa Sandi dispose, donc, d’une belle marge de
progression. Il a déjà signé des partenariats avec de grandes enseignes françaises et un accord de
distribution en juin dernier avec les Grands Chais de France pour le réseau CHR. Jérôme Grosjean
est chargé de promouvoir le prosecco de Villa Sandi en France et, comme son client, il ne le perçoit
18. La revue de Presse KYLIA
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pas comme un rival du champagne : « L’italien est plus simple, de consommation quotidienne avec un
bon rapport qualité/prix et il plaît aux femmes. Ce sont elles qui lancent les modes. Le français est
plus élaboré et sophistiqué, destiné à des événements particuliers ou aux grandes occasions. Ce sont
deux produits proches mais avec des instants de consommation différents et le consommateur ne s’y
trompe pas. »
Outre le prix (environ 9 euros pour une bouteille de prosecco contre 20 euros en moyenne pour un
champagne), c’est « la carte du voyage » qui est jouée pour pénétrer un marché français rétif aux
intrusions étrangères, lorsqu’il s’agit d’un symbole du patrimoine national. « Lorsque l’on vend du
cava, ce vin pétillant catalan, c’est l’image de Barcelone qui est proposée au client, explique Jérôme
Grosjean. C’est la même chose avec le prosecco. On vend de l’Italie, de la convivialité et tout
l’imaginaire culinaire et culturel qui va avec. Quand vous débouchez une bouteille de prosecco avec
des amis, ce n’est pas le champagne du pauvre que vous leur servez, mais un peu de dolce vita. »
Ce vin a rendu en tout cas la vie plus douce en Vénétie, durement frappée par la crise. Depuis 2008
ce sont 26.000 entreprises dans les secteurs de l’industrie et des services qui ont fermé et plus de
130.000 emplois qui ont été supprimés dans les environs. Le président de la région, Luca Zaia,
œnologue de formation et ancien ministre de l’Agriculture de 2008 à 2010, est l’artisan de la
reconnaissance par Bruxelles de l’appellation DOCG, qui a suscité l’engouement que l’on connaît
pour le prosecco. Certains prédisent une production d’un milliard de bouteilles d’ici à quinze ans, mais
cette croissance exceptionnelle ne sera pas infinie. Luca Zaia souhaiterait maintenant valoriser et
structurer une filière qui est devenue la deuxième contributrice au PIB de sa région. Plus qu’un rival, le
champagne est ainsi présenté comme un modèle, y compris concernant le classement au Patrimoine
mondial de l’Unesco de ses coteaux, caves et maisons. Les vignerons italiens ont déposé leur
candidature pour l’y rejoindre et une commission se rendra sur les collines du prosecco en mai
prochain. La mine d’or a encore de beaux jours devant elle. D’autant qu’elle recèle de nouveaux
filons : des visites œnogastronomiques y sont désormais organisées – 20.000 touristes visitent le
domaine de la Villa Sandi chaque année. Et l’auteur d’un roman policier bientôt adapté à Hollywood y
a même situé son intrigue… Son titre prête à sourire, mais pourrait être la devise de la région : « Tant
qu’il y a du prosecco, il y a de l’espoir. »
Source : Les Echos.fr
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Evaluer les zones d'ouverture le dimanche
Outre lutter contre "l’uniformisation des centres-villes et la désertification commerciale", la maire de la
capitale, Anne Hidalgo, souhaite contrôler les effets des douze "Zones touristiques internationales",
auxquelles elle est hostile. Créées par la loi Macron, ces zones offrent la possibilité aux magasins d’y
ouvrir le dimanche et la nuit. L'élue socialiste pourrait ainsi mettre en place un "observatoire parisien
des ZTI", selon le JDD. Cette structure ferait directement concurrence à "l'observatoire du commerce
du dimanche", souhaité par le ministère de l'Economie.
Source : Direct matin.fr
21. La revue de Presse KYLIA
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Cession de bail commercial : gare aux
dégradations commises par les précédents
locataires !
Le 20/10/2015
Dans un arrêt du 30 septembre 2015, la 3e chambre civile de la Cour de cassation est venue préciser
l’étendue de la transmission des obligations de l’ancien locataire d’un bail commercial au nouveau
locataire, suite à des opérations de cessions successives du bail.
Dans cette affaire, suite à une cession de fonds de commerce portant sur un café/brasserie et incluant
donc la cession du bail commercial portant sur local, le nouveau locataire avait assigné le syndicat
des copropriétaires afin de le faire condamner à remettre en état le plancher entre le bar et la cave
(partie commune). Le syndicat avait demandé reconventionnellement la condamnation du nouveau
locataire à la prise en charge desdits travaux, en invoquant le fait que la dégradation du plancher était
due à une fuite provoquée par un précédent locataire. La cour d’appel de Caen lui a donné raison.
Le locataire a fait valoir devant la Cour de cassation que les dettes du précédent locataire à l’encontre
du bailleur pour les dégradations qu’il a commises ne lui avaient pas été transmises avec la cession,
que seul ce précédent locataire était tenu de réparer ces dégradations et que lui même ne pouvait
donc pas être condamné à remettre en état ce qui se trouvait de plus être une partie commune. La
Cour de cassation n’a pas retenu ces arguments et a confirmé l’arrêt rendu par la cour d’appel selon
plusieurs motifs :
- elle exclut tout d’abord brièvement la responsabilité du syndicat. En effet, le syndicat ne peut être
tenu responsable que des dommages dont l’origine se trouve dans une partie commune. Or, bien que
le plancher en cause dans cette affaire soit une partie commune, sa dégradation était due à une fuite
d’eau provenant de l’évier du bar, qui constituait un équipement privatif et se trouvant donc sous la
responsabilité du locataire. L’arrêt rappelle ensuite que le syndicat, en tant que tiers au contrat de bail,
pouvait invoquer sur le fondement de la responsabilité délictuelle un manquement contractuel du
locataire dès lors que ce manquement lui avait causé un préjudice, illustrant là une jurisprudence
désormais bien établie.
- la Cour affirme ensuite que les cessions successives d’un bail commercial entraînent la transmission
des obligations en découlant au dernier locataire, y compris des obligations liées à la réparation des
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dégradations commises par les précédents locataires. Le dernier locataire en date devient de ce fait
débiteur envers le bailleur de la réparation des dégradations effectuées par les anciens locataires.
- en outre, dans ce cas particulier, l’acte de cession de fonds de commerce comportait une clause par
laquelle le locataire acceptait de « prendre le fonds avec tous ses éléments corporels et incorporels
en dépendant dans l’état dans lequel il se trouvait, sans recours contre le cédant pour quelque cause
que ce soit ».
Ainsi, qu’une clause le précise ou non, sachez qu’en tant que titulaire d’un bail commercial, vous êtes
responsable pour les dégradations dues à un ancien locataire, même si elles sont constatées sur des
parties communes. Cette responsabilité ne concerne pas en revanche les dégradations dont l’origine
se trouve dans les parties communes (tel un vice de fabrication par exemple) : seules les
dégradations dont le précédent locataire était effectivement tenu peuvent être transmises au nouveau
locataire. Prudence donc lors de l’acquisition d’un contrat de bail commercial ou d’un fonds de
commerce !
Source : Lavieimmo.com
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"En salle : accueillir, conseiller, servir" : les
métiers
Le 10/12/2015
Écailler
Dans les restaurants dotés d'un étal extérieur présentant fruits de mer et crustacés, l'écailler est en
charge de la préparation des produits de la mer commandés par les clients (en salle ou à emporter). Il
ouvre les huîtres, prépare les différents mollusques et coquillages, dresse les plateaux de fruits de
mer et autres préparations de langoustines, tourteaux, crevettes…. Il connaît parfaitement les
différents produits de la mer et conseille la clientèle dans leur choix. Avant chaque service, il dresse
l'étalage des fruits de mer, en veillant à en faire une belle présentation, il veille également à la bonne
réfrigération des produits et à leur état de fraîcheur, puis range son étale et les produits à la fin du
service.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : du smic à 1850 € brut
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Hôtesse d'accueil
L'hôtesse d'accueil est chargée d'accueillir les clients d'un établissement. Selon l'organisation de
celui-ci, l'hôtesse pourra également être en charge du vestiaire, du standard téléphonique ou d'autres
tâches liées à l'accueil des clients.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : 2050 à 2300 € brut
Garçon de café
Dans un café, un bar, une brasserie, le garçon de café est en charge de servir la clientèle ; il travaille
derrière le comptoir, en salle ou en terrasse. Il est également chargé de nettoyer les tables et la salle,
qui doivent restées toujours propres et accueillantes. Lorsqu'il est au comptoir, le garçon prépare les
boissons commandées que ses collègues vont ensuite servir aux clients en salle, il encaisse les
additions et fait la plonge. Lorsqu'il est en salle ou en terrasse, le garçon présente la carte aux clients,
prend leur commande, effectue le service en salle des boissons commandées et préparées par le
barman, apporte les additions à la fin du service, encaisse le règlement des clients, débarrasse,
nettoie et remet en place les tables pour les prochains clients.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : du smic à 1850 € brut
Sommelier
Le sommelier est un spécialiste dans l'art de servir et de boire le vin : ouverture, décantage,
présentation et commentaires, dégustation, puis service au verre. Pour devenir un bon sommelier, il
faut d'abord être un professionnel du service en salle. En pratique, le titre de sommelier est utilisé
dans les restaurants gastronomiques. Dans certains restaurants traditionnels, la fonction peut-être
assumée par le maître d'hôtel. Selon le portrait sectoriel du Fafih, environ 1 500 personnes en France
exercent le métier de sommelier.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : 1950 à 2500 € brut
Barman
Dans un restaurant, un hôtel, une brasserie, un bar ou une boîte de nuit, le barman sert les boissons,
réalise les cocktails et propose des compositions de son choix. Il doit savoir créer une atmosphère
chaleureuse adaptée à l'établissement et contribuer ainsi à sa renommée. Il assure également la
tenue de la caisse, la gestion des stocks des boissons (commandes auprès des fournisseurs, la
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réception et le rangement des bouteilles). Il gère la préparation des boissons et cocktails et leur
distribution auprès des clients. Il est également chargé du nettoyage et de la maintenance des
machines et des équipements du bar. Selon le Fafih, environ 28 000 personnes en France exercent le
métier de barman.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : 1950 à 2500 € brut
Commis de salle
Le commis de salle participe aux tâches simples de dressage des tables et du service, et se forme
aux métiers du service en salle sous la direction d'un chef de rang.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : du smic à 1800 € brut
Chef de rang
Responsable d'un rang, c'est-à-dire d'un groupe de tables, le chef de rang doit veiller au bon
déroulement du service sur l'ensemble de ces tables. Sous l'autorité du maître d'hôtel, le chef de rang
fait le service à table et débarrasse, aidé par des commis. Lors de la mise en place des tables, il
vérifie que rien ne manque ; au moment du service, il doit parfaitement bien connaître la carte et les
plats pour être en mesure de répondre aux questions des clients, maîtriser toutes les techniques de
présentation et de découpage, voire de flambage. À la fin du repas, il s'assure de la satisfaction des
clients, établit l'addition et encaisse leur règlement.
Éléments qui tirent le salaire vers :
• la fourchette haute : standing de la clientèle, fréquentation et chiffre d'affaires du restaurant ;
• la fourchette basse : fermeture de l'établissement le week-end ou le soir.
Avec le serveur, le chef de rang est celui qui, en salle, bénéficie le plus souvent de pourboires.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : 1950 à 2250 € brut
Maître d'hôtel
Le maître d'hôtel accueille les clients, les installe à la table, leur remet le menu et la carte des vins. Il
les conseille sur le choix des plats et doit savoir en parler en détail. Il prend la commande avant de
laisser la place au chef de rang et au sommelier. Il peut intervenir ponctuellement dans le déroulement
du service pour remplacer un sommelier, pour apporter un conseil culinaire ou encore assister un chef
de rang dans une tâche complexe de découpage ou de flambage. Enfin, en qualité de chef de salle, il
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est généralement associé au gérant ou au propriétaire du restaurant lors du recrutement et de la
formation du personnel de salle. Il joue également le rôle d'intermédiaire entre la salle, la cuisine et la
direction.
Selon Macarons Conseil & Recrutement : 2600 à 3250 € brut
Responsable de salle
Le responsable de salle dirige toute l'équipe de salle : organisation du travail, planning et gestion des
embauches, parfois en étroite collaboration avec le directeur du restaurant. Il doit contrôler la marge
brute d'exploitation et veiller à ce qu'elle soit toujours excédentaire. Cela implique notamment de gérer
les approvisionnements, la tenue des stocks et les commandes relatives au bar et à la cave, et de
choisir des fournisseurs en collaboration avec le directeur du restaurant en fonction de l'organisation
interne de l'établissement. Il accueille et salue la clientèle pendant le service. Éventuellement, il
organise les réceptions et négocie les prix des réservations de groupe en collaboration avec le
directeur de restaurant. Dans tous les cas, le directeur de salle est avant tout un professionnel doté de
connaissances approfondies de l'accueil, du service et du travail en salle.
Source : lhotellerie-restauration.fr
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A propos de Kylia
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle
Génération : Le 1
er
réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.
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