Et si on participait tous ensemble comme collecteur de l'état du trafic routier de façon libre. Extrêmement peu de données de trafic sont disponibles librement. Aujourd'hui seules de grandes compagnies sont capables d'agréger les informations collectées et de produire des informations sur le trafic. Chaque fourmi que nous sommes peut être un capteur pour produire un flux libre de données trafic. La solution technique existe déjà : c'est "Open Traffic", mais il faut l'alimenter.
3. Données trafic - OpenData
● Collectivité hors OpenData
– Statistiques d’autoroutes
– Comptages routiers/urbains temporaires ou permanents
– Résultat d'un décret du gouvernement
– Bison Futé : 12 villes en temps réel, Bordeaux, Caen, Grenoble, Lille,
Limoges, Marseille, Nantes, Rennes, Rouen, Saint-Étienne, Strasbourg, Toulouse
● OpenData
– Paris : données historiques
– Bordeaux : données historiques et temps réels
4. Le problème
● Pas d’accès simple aux données existantes
● Peut de données
● Manque d’historique et de finesse
→ et si nous collections tous un peu le trafic -
mais librement
5. ● Besoin d’une masse critique d’information
● Besoin d’agglomérer
– Beaucoup de capteurs
– Beaucoup de lieux
– Beaucoup de temps
→ agréger des données individuelles, de
professionnels de la route et d’institutions
6. Projet Open Traffic
● World Bank
● Réalisé par Mapzen (RIP)
– Reprise du code en cours
– Techno toujours active, chez Mapbox (Valhalla)
8. Open Traffic
● Osmlr : graphe routier de référence
● Capteur : collecte GPX
● Reporter
– Map matching
– Anonymisation
● partage des temps sur des segments du graphe
● partage au-dessus d'un certain seuil de collecte par segment
● Agrégateur
– Consolide les données des reporters
– Publie les statistiques