Aujourd’hui, nous recevons qu’en 1986.
Nous produisons chaque jour l’équivalent de d’informations.
Nous consommons quotidiennement ou mots en dehors du
travail.
Mais…
Nous ne lisons que présents sur une page internet.
On lit à l’écran.
Et, lisent en diagonale.
Selon une théorie développée par , spécialiste de l’ergonomie et
du design des sites web,
publié sur une page web.
En général, . Le
deuxième paragraphe est lu rapidement et le reste de la page est simplement
et ainsi
relancer l’attention du lecteur (il pourra alors relire attentivement cette partie).
Le texte sera ensuite scanné jusqu’à la fin de la page, décrivant
.
. Un coup d’oeil suffit pour
avoir une idée d’ensemble.
, un gaspillage. En revanche,
Le titre est dans l’article. C’est avec lui qui le lecteur établit
en général le . Il est donc primordial, pour être lu, que le titre
soit suffisamment pour ne pas produire l’effet contraire de celui
attendu. Il y a deux façons de formuler un titre d’article :
Il contient dans l’article.
Un titre informatif est donc une sorte de .
L’avantage du titre informatif est qu’ de l’article,
vu que la plupart des mots clés s’y retrouvent.
● Cameroun : Paul Biya élu avec 71.28% des voix à l’issue d’un scrutin
contesté
● La ministre des enseignements secondaires crée de nouveaux
établissements
Le titre incitatif . Il révèle plus l'esprit de
l'article que sa matière et s'appuie souvent sur des pour captiver
l’attention. Le titre incitatif peut aussi répondre à une question, donner un chiffre,
faire une révélation etc.
S’il est moins efficace pour le référencement, il a l’avantage de
(clics, partages, commentaires) sur les réseaux sociaux.
● La coupe du monde a du mal à parler arabe
● Tout ça pour Sa’a ?
● Voici les membres du gouvernement des grandes opportunités
(s’écrit également ), permet d’accrocher le lecteur. C’est un
texte court et qui a pour objectif de donner
au lecteur l’envie d’en savoir plus.
Visuellement, : il peut s’afficher
dans une police différente, avec une taille de police plus grande que le reste du
contenu, ou alors avec un formatage différent (gras, italique, couleur de texte etc).
Mais . On peut bien s’en passer, mais on doit
retenir qu’il est également utile pour le référencement de l’article.
Il existe trois types de chapôs, en fonction de l’intention du rédacteur :
: Il répond en partie ou totalement aux 5W ( ho, hat,
here, hen, hy).
: Il attire l’attention du lecteur sur les éléments les plus
percutants du texte.
: Il s’utilise dans le cadre d’une série d’articles, ou dans le
cas d’un article qui s’inscrit dans la continuité d’un ou de plusieurs autres.
L’introduction de l’article est l’une des parties les plus importantes,
. C’est dès l’introduction, c’est-à-dire le premier
paragraphe de l’article proprement dit, que le lecteur va décider s’il continue à lire
ou non. Il est donc primordial que cette partie soit soignée.
En général, l’introduction permet de et d’entrer dans le vif du
sujet en répondant à un certain nombre de questions ou en donnant quelques
informations sur le sujet à aborder.
Une bonne introduction doit , , d’en savoir
plus.
La pyramide inversée et le teasing sont deux façons de formuler une introduction.
consiste à hiérarchiser l’information
en commençant par l’essentiel pour ensuite rajouter les détails ou apporter des
information supplémentaires.
quant à lui a pour but d’éveiller la curiosité du lecteur en créant une
sorte de suspens qui le pousse à s’intéresser à la suite de l’article.
Quelle que soit la technique utilisée,
pour ne pas disperser l’attention
du lecteur.
Les intertitres fonctionnent . Ils permettent de
structurer l’article en en ressortant clairement les différentes parties et
sous-parties.
Les intertitres guident le lecteur, lui permettant éventuellement de
ou qui
suscitent sa curiosité (au lieu de tout zapper par paresse).
L’usage des sous-titres permet au rédacteur d’ et
l’oblige à se focaliser sur l’essentiel dans chaque partie.
Quand le lecteur a parcouru le premier paragraphe d’un article (et décidé de
continuer la lecture), , mais parcourt rapidement
le texte
.
C’est le rôle que jouent les intertitres : ils attirent le regard car
. Généralement ils sont d’une police
différente avec une taille de police plus grande que le reste du texte. Ils
permettent au lecteur de savoir à l’avance ce qu’il va découvrir dans les
paragraphes qui suivent.
Comme les titres, .
Les intertitres ne servent pas qu’aux lecteurs. Ils sont également utiles pour
qui s’en servent pour
de l’article.
À ce niveau il est important dans notre éditeur de
au premier niveau, des au deuxième
niveau, et ainsi de suite. Autrement, et même si on les met en gras,
et le référencement ne sera pas
impacté.
On distingue , le plus élevé étant le
.
● l’information : donner l’information en commençant par les
plus importantes.
● le texte : faire de courts paragraphes pour éviter de fatiguer ou de
décourager le lecteur
● l’article : utiliser des images, des vidéos ou des infographies pour
enrichir le contenu.
● Mettre l’article : appliquer les styles appropriés aux différents
éléments du contenu (Titres, citations, gras, listes à puces etc)
● Ouvrir dans un nouvel onglet pour ne pas perdre le
lecteur.
● Les titres ou : c’est le meilleur moyen de perdre sa
crédibilité et la confiance du lecteur.
● L’utilisation de dans le texte : ça gène la lecture et enlève
tout sérieux au texte.
● Les paragraphes : ça fatigue rapidement le
lecteur et le décourage à lire le reste de l’article.
● L’utilisation de : ça risque de
stopper la lecture et de faire perdre le fil des idées au lecteur
● Les fautes en excès : ça gène la lecture, rend difficile la compréhension et
décrédibilise l’auteur.