2. Contexte
• Dans le cadre des chantiers initiés par la CEF
• Analyse des pratiques des différents diocèses
3. Constat
• Être présent sur internet aujourd'hui ne signifie pas
seulement avoir un site : les possibilités offertes par
les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisées.
– Que permettent les réseaux sociaux en plus d'un site ?
– Comment rendre complémentaires le site et les réseaux
sociaux ?
– Faut-il impérativement être présent sur ces réseaux ?
• L'enjeu reste avant tout d'être là où sont les gens.
4. Quelle information pour quel canal de
diffusion ?
• Facebook : l’impact du visuel
– Intérêts : partager des photos, des événements… et aussi
des contenus d’autres pages Facebook, en cherchant
l’interactivité
– Public touché : toutes les couches de la population
– Enjeu : que les internautes « likent » vos statuts et les
partagent
– Risques : les internautes ne vont pas forcément aller « hors
» de Facebook pour lire un texte sur le site diocésain
– Ce qui marche : les albums photos
5. Quelle information pour quel canal de
diffusion ?
• Twitter : 140 caractères pour partager la vie de votre
diocèse
– Intérêts : partager des statuts en 140 caractères max, en
privilégiant l’immédiateté
– Public touché : de plus en plus de jeunes ; des journalistes
et des communicants
– Enjeu : être retweeté, pour être lu par d’autres cercles.
– Risques : lasser ses « followers » en publiant trop
– Ce qui marche : l’information insolite et l’effet scoop/buzz
6. Comptes institutionnels vs comptes personnels
• Sur Facebook et Twitter, diversité des comptes
institutionnels et des comptes personnels
• Pour un compte personnel
– Gérer des échanges interpersonnels / donc mesurer son
investissement en temps
– Si le compte personnel présenté comme représentant de
l’Église catholique, modération et exigence conseillées.
• Pour un compte institutionnel
– Positionnement plus transversal, d’apporteur d’informations
• Qu’il soit institutionnel ou personnel, un compte doit
être animé, pour faire vivre sa communauté.
7. Concurrence ? Surenchère ? Saturation ?
• Du réseau au média social
– À chaque média, son message
– Jouer sur la complémentarité des outils
• Exemple d’une conférence
– Sur Twitter, poster en direct des échanges-clés
– Sur Facebook, mettre en ligne l’album photos
– Sur le site diocésain, rédiger un article plus détaillé, en
ajoutant le texte du conférencier
8. Conclusion
• Facebook et Twitter sont de vrais + pour le site
diocésain, à condition de :
– Les considérer comme des médias c’est-à-dire déterminer
une ligne éditoriale, un planning rédactionnel, s’investir dans
les relations avec les internautes, en bordant ces relations
grâce à des chartes de modération par exemple.
– Varier les informations sur les différents supports, afin de
jouer avec leur spécificité.
– Ne pas se contenter du virtuel : donner à voir, témoigner,
inviter à des rencontres réelles.