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Les partis et groupes politiques
Au Yémen, en plus d'Ansarullah Al-Houthis, il existe quatre forces politiques
islamistes sunnites: 1- Les Frères Musulmans qui sont représentés par le
Mouvement de Réforme de Yémen; 2- Les Mouvements salafistes
wahhabites; 3- Mouvement l'Al-Qaïda, qui représente l'Al-Qaïda ; 4- Soufis.
1- Les Frères Musulmans
Les militaires et les étudiants qui ont fréquenté l'Egypte, ont transféré les
pensées des Frères musulmans au Yémen. Les Frères musulmans comme
le groupe le plus important parmi les tendances islamistes de Yémen, ont
fait leur apparition en ce pays, en 1960, et une fois Républicains
gagnants, ont joué un rôle important dans la rédaction de la Constitution
de Yémen. Les Frères Musulmans ont même appelé cette contribution
comme leur premier apport dans le processus d'infiltration au Yémen.
Pendant les décennies suivantes, l'Etat a donné le bon terrain aux
activités des Frères Musulmans, car l'islamisme était servi pour
confronter les Opposants socialistes. Les Frères Musulmans dominant les
établissements éducationnels et les universités, ont joué le rôle des
centres de la propagande wahhabite délaissant les écoles sunnites
shaféite et zaydite. Les Frères musulmans s'affirmaient à cette époque
comme le groupe le plus puissant dans les domaines politique,
éducationnel, social, économique, sécuritaire, médiatique et
diplomatique. Les chefs des tribus, les grands commerçants, les
commandants militaires et une partie des politiciens faisaient partie des
partisans des Frères musulmans.
2- Les Mouvements salafistes wahhabites;
Les salafistes yéménites dont les opposants les appellent les wahhabites
pour leurs liens avec l'Arabie Saoudite, malgré leurs rapports avec les
groupes djihadistes, ont des différences importantes avec ceux-ci. Cette
mouvance a été formée au début de la décennie 1980, autour de la
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personnalité de Moqbel Bin Hadi Alvadaei. Ce mouvement se distingue
dans la société contemporaine yéménite, par leurs traditions, modes
vestimentaires, coutumes sociales et les traits linguistiques. Ils déclarent
délibérément leur désir pour s'éloigner de la " société corrompue" et
pour cette raison s'abstiennent de participer dans les fêtes religieuses,
les festivals de musique traditionnelle, …La mouvance salafiste yéménite
est composée de trois groupes: 1- La tendance générale proche de
Moqbel Alvadaeii, fondateur de salafisme radicale; 2- Le mouvement de
l'Association Hikmat inspirée du Mouvement de Cheikh Abderrahmane
Bin Abdolkhalegh Alyousef en Kuwait et de l'Association de la renaissance
du patrimoine islamique de Kuwait; 3-Association Ihsan influencé par la
doctrine de Cheikh Mohammad Sarv.
3- Mouvement Ansar-ol-Charia et l'Al-Qaïda
Le Yémen est l'une des origines importantes d'Al-Qaïda et des Afghans
arabes yéménites dont leur présence remonte à l'époque de l'invasion de
l'URSS. A l'époque, Ali Abdullah Saleh, avec aide des Américains, des
Saoudites et des Pakistanais, envoyait les jeunes yéménites à
l'Afghanistan pour lutter contre les forces soviétiques. Une fois les
Soviétiques ont quitté l'Afghanistan, ils sont restés en ce pays et ont
fondé les Afghans arabes. Dans la foulée, les Taliban ont pris le pouvoir
en Afghanistan et Pakistan. Plusieurs membres des Talibans comme Bin
Laden étaient d'origine yéménite. Yémen donnait la terre propice à la
croissance de ces tendances, car le gouvernement central à Sanaa était
faible par rapport aux tribus puissantes. Ces groupes une fois ont
retrouvé le Yémen, se sont donnés aux opérations terroristes contre le
Parti socialiste et leurs dirigeants dont l'issue a été la guerre civile de
1994. Dans les années récentes, l'extrémisme a développé au Yémen
basé sur plusieurs raisons compliquées, dont la pauvreté comme la
raison principale. Le milieu politique fermé, l'ingérence étrangère, la
discrimination sociale, la propagande religieuse et l'apparition de chef ou
d'émir de l'Al-Qaïda sont les autres causes de ce phénomène. Al-Qaïda
continue incessamment sa domination au Yémen depuis 2011. Le
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groupuscule Ansar-ol-Charia, la branche de l'Al-Qaïda au Yémen, y est
active et a récemment développé ses liens avec EIIL.
4- Soufis
Les Soufis ne sont pas intéressés par l'Islam politique, autrement dit, au
lien de la religion et la politique. Installés majoritairement dans les
régions sudistes de Yémen, en particulier dans la province Hazarmout, ils
ont largement été réprimés par le Régime socialiste et ainsi leurs chefs
religieux se sont majoritairement exilés en Arabie Saoudite et en Yémen
du Nord. Depuis les années 1990, le mouvement Soufi a connu un
renouveau dont le symbole est l'Institut Dar-ol-Mostafa dans la province
Hazarmout. Les Soufis ont contribué de façon discrète dans les politiques
de Yémen pour de longues années et étaient fideles au Régime Saleh et
une grande partie d'eux ont préservé en cachet leur opinion. On peut les
repérer dans tous les groupes politiques du pays. Ils n'intéressent pas à la
constitution d'un parti politique indépendant et leur contribution sur la
scène politique est plutôt individuelle.
بسماهللالرحمنالرحیم
گروه و احزاب:سیاسی های
اس سیاسی نیروی چهار ،الحوثی انصاراهلل جنبش بر عالوه یمن درالمگراینیز سنیوجوددارد؛1)اخوان،المسلمینکهجنبشاصالحیمن
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اخوانالمسلمیننظامی :اندیشه مصر به اعزامی دانشجوهای و هااخوان هایاخنوان .آوردنند یمنن به را کشور این المسلمینکنه المسنلمین
بزرگاسالم طیف در گروه تریندهة اوایل ،بوده یمن گرایان۰۶۹۱اینرور ار ان ،گنروه اینن .کنرد ظهور شمالی یمن درنظنام طرفنداران ی
یمنن بنه نفنوه رونند در خنود دستاورد اولین را اساسی قانون حتی که جایی تا کرد؛ ایفا یمن اساسی قانون تدوین در مهمی نقش ،جمهوری
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Le mouvement Al-Houthis
Le mouvement Al-Houthis ou le mouvement Ansarullah, est une
mouvance chiite dont la formation remonte aux années 1980. Son
fondateur a été Seyed Badroddine Alhouthi, et s'installaient plutôt dans
les régions nordistes et la province Alssada. Le nombre des Houthis est
de l'ordre de 150000. La ville Saada ayant une importance stratégique et
religieuse pour les Houthis, est parfois appelée comme la capitale des
Chiites zaydites.
Le pouvoir politique au Yémen avant 1960 a été dans les mains des
Chiites qui ont été renversés suite au coup d'état. Avec l'arrivée
d'Abdullah Saleh au pouvoir, les décennies de la privation et de la
pression effectuées contre les Chiites ont commencé. Ces pressions
entaient à l'origine des protestations anti-régime des Chiites dans les
années 1980 sous la guidance de leur leader religieux, Seyed Badroddine
Alhouthi. Celui-ci en formant un réseau développé des jeunes dans les
dernières années de la décennie 1990, a mis une grande influence sur la
culture chiite. En 2004, Ali Abdullah Saleh a procédé à l'exécution de
Seyed Badroddine Alhouthi dont la grande réputation et popularité a
encore fait augmenter les partisans du mouvement; L'aile militaire du
mouvement comptait quelques 120000 après 5 ans. Seyed Badroddine
Alhouthi ainsi exécuté, son fils Abdolmalek a pris la direction du
mouvement et a changé son nom à Ansarullah. Il est toujours le leader
du mouvement et son frère Hossein est un membre du parlement
yéménite.
الحوثی جنبشها
