1. Niveau : débutant avancé expert
Public : technique manager métier
Comment le WEB 2.0 change le monde
« Réseaux Sociaux, e-Business et multimédia Web»
« créativité, utilisabilité, ouverture, collaboration »
Publication : avril 2009
Catégorie : conférence
Auteur : Jimmy SIMEON
Version éditoriale : 2.0 du 040409
2. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
AGENDA
Définition du WEB 2.0
Genèse des Réseaux Sociaux
Terminologies à l’époque du WEB 2.0 & Réseaux Sociaux
WEB 2.0, Nouvelles terminologies et protections
Une nouvelle approche e-Business avec WEB 2.0
Accessibilité favorisée par le WEB2.0
3. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Définition du Web 2.0
Évolution des médias de l’information
WEB 2.0 un concept non technique !
Définition du Web 2.0
Historique des versions du concept « WEB »
Applications Web 2.0
Web 1.0 comparé au Web 2.0
Web actuel (Web 2.B) et l’avenir (Web 3.0+)
Périmètre des fonctionnalités du WEB 2.0
4. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Évolution des médias de l’information
5. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
WEB 2.0 un concept non technique !
Le Web 2.0 décrit des fonctionnalités pour l’utilisateur !
6. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Définition du Web 2.0
L'expression Web 2.0 a été proposée pour désigner ce qui est
perçu comme un renouveau du World Wide Web[. L'évolution ainsi
qualifiée concerne aussi bien les technologies employées que les
usages.
On qualifie de Web 2.0 les interfaces permettant aux internautes
d'interagir à la fois avec le contenu des pages mais aussi entre eux,
faisant du Web 2.0 le web communautaire et interactif.
Expression lancée par Tim O'Reilly en 2004, « Web 2.0 » s'est
imposé à partir de 2007.
7. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Historique – Web 1.0 et 1.5
Dans sa conception initiale, le web (nommé dans ce contexte le
« web 1.0 ») comprenait des pages web statiques qui étaient
rarement mises à jour, voire jamais.
Une première évolution fut réalisée par des solutions se basant sur
un web dynamique (parfois appelé web 1.5), où des systèmes de
gestion de contenu servaient des pages web dynamiques, créées à
la volée à partir d'une base de données en constant changement.
Le web était considéré principalement comme un outil de diffusion
et de visualisation de données, où des aspects comme le nombre
de pages vues et l'esthétique revêtaient une très grande
importance.
8. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Historique – Web 2.0
Les partisans de l'approche web 2.0 pensent que l'utilisation du
web s'oriente de plus en plus vers l'interaction entre les utilisateurs,
le crowdsourcing et la création de réseaux sociaux rudimentaires,
pouvant servir du contenu et exploitant les effets de réseau, avec
ou sans réel rendu visuel et interactif de pages web. En ce sens,
les sites web 2.0 agissent plus comme des points de présence, ou
portails web centrés sur l'utilisateur plutôt que sur les sites web
traditionnels.
L'évolution des supports permettant de consulter les sites web,
leurs différents formats, amène en 2008 une approche plus
centralisée sur le contenu que sur l'aspect.
Les nouveaux gabarits web 2.0 tentent d'apporter un soin
graphique, des effets, en restant compatibles avec cette diversité
de supports. Dans le Web 2.0, l'internaute est acteur. Il contribue à
alimenter en contenu les sites, blogs, wikis...
9. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Applications Web 2.0
le web en tant que plate-forme,
les données comme « connaissances implicites »,
les effets de réseau entraînés par une « architecture de
participation », l'innovation comme l'assemblage de
systèmes et de sites distribués et indépendants,
des modèles d'entreprise poids plume grâce à la
syndication de contenu.
10. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Web 1.0 comparé au Web 2.0
Web 1.0 Web 2.0
(taxonomie sociale)
11. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Web actuel (Web 2.B) et l’avenir (Web 3.0+)
L’avenir
12. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Périmètre des fonctionnalités du WEB 2.0
13. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Réseaux Sociaux
Définition des Réseaux sociaux
Segmentation « Application Web » & « Réseau Social »
Présentation des fonctionnalités du « Réseau Social »
« Viadeo » : réseau professionnel
« LindkedIn » : réseau professionnel
« FaceBook » : politique et société civile participative
« MySapce »
« A Small World » : réseau social de la Jet-Set
« ExitReality » : Monde virtuel et Réseaux Sociaux
« Second Life » : Recrutement dans un monde 3D
Partager de l’information avec le Web 2.0
« Share Partners » de FaceBook
AddThis : application de Partage de vos informations
Partage de contenu « eHow » vers « FaceBook »
Abonnement à « twitter », SMS, RSS
14. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Définition des Réseaux sociaux
Groupe formés suivant des affinités thématiques
Pertinence des contenus via une recherche
Recommandations
15. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Segmentation Application Web & Réseau Social
16. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« FaceBook » : politique et société civile participative
18. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Viadeo » : réseau professionnel
parue dans le journal du Net(du 15/05/07), 48,2% des
usagers utilisent ces réseaux pour recruter ou changer
d’entreprise. Avec plus de9 millions de membres pour
Linkedln, un million pour Viadeo, les entrepreneurs
peuvent effectivement accéder en quelques clics à tout
type de profil et se montrer exigeants.
Journal du Net(du 15/05/07) :
48,2% des usagers utilisent ces réseaux pour recruter ou changer
d’entreprise.
Avec plus de 9 millions de membres pour « Linkedln », un million
pour « Viadeo », les entrepreneurs peuvent effectivement accéder
en quelques clics à tout type de profil et se montrer exigeants.
19. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« LindkedIn » : réseau professionnel
20. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« A Small World » : réseau social de la Jet-Set
21. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« ExitReality » : Monde virtuel et Réseaux Sociaux
22. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Second Life » : Recrutement dans un monde 3D
23. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Partager de l’information avec le Web 2.0
24. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Share Partners » de FaceBook
Récupération d’un petit code pour bénéficier d’un « bonton » d’échange.
25. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
AddThis : application de Partage de vos informations
Bibliothèque de « boutons » d’échanges.
26. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Partage de « eHow » vers « FaceBook » (1/3)
27. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Partage de « eHow » vers « FaceBook » (2/3)
Le site web « eHow » se connecte avec ma permission à mon « FaceBook »
28. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Partage de « eHow » vers « FaceBook » (3/3)
Le site web « eHow » publie son contenu vers « FaceBook »
après m’avoir demandé l’autorisation via mon compte « FaceBook »
29. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Abonnement à « twitter », SMS, RSS
RSS & SMS
30. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
WEB 2.0, Nouvelles terminologies et protections
« Bookmarking » social
Digg : « Bookmarking » social
« Buzz » du Marketing multi-canal
« Buzz » et Web 2.0
« Profitation » sur les réseaux Sociaux
« Crowdsourcing » = OutSourcing gratuit
Protection de la vie privée des utilisateurs
Loi informatique et libertés, LiL et la CNIL
Protection des œuvres intellectuelles
Wikipédia : droit des auteurs
Aspect juridique avec « Creative Common »
« Creative Common » du site de l’ENS de LYON
31. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Digg : « Bookmarking » social
Digg est un site Internet communautaire qui a pour but
de faire voter les utilisateurs pour une page web
intéressante et proposée par un utilisateur.
Typique du phénomène « Web 2.0 », il combine social
bookmarking, blog et syndication. Il dispose de
plusieurs catégories, telles Politique, Divertissement,
Vidéos et Technologie.
Les nouveaux articles et les sites web soumis par les
utilisateurs sont notés par d'autres utilisateurs. Si une
proposition remporte le succès nécessaire, elle est
affichée sur la page d'accueil.
32. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Partager et noter le contenu sur InterNet
33. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Buzz » : Marketing multi-canal
Le buzz (anglicisme de bourdonnement) est une technique
marketing consistant, comme son nom l'indique, à faire du bruit
autour d'un nouveau produit ou d'une offre. Proche du marketing
viral, il en diffère par la maîtrise du contenu (message publicitaire).
« le buzz marketing » c’est le bouche à oreille « multi-canal ».
Le buzz n'utilise pas un média spécifique mais occupe tous les
canaux de communication afin d'arriver à faire parler d'un objet.
C'est une sorte de publicité sauvage qui passe par le
consommateur et le fait devenir vecteur du message.
Enfin, le buzz repose sur un principe de surprise puisque les
moyens utilisés doivent être sans cesse renouvelés pour faire
sensation et donc faire parler. C'est un cas très intéressant où le
média est l'objet de la communication et non son moyen.
34. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Buzz » et Web 2.0
Le buzz marketing s'appuie en outre sur l'aspect web 2.0
(notion de participation) avec l'utilisation :
Des réseaux sociaux quot;textequot; (Facebook, LinkedIn, Viadeo)
Des réseaux communautaires interactifs (MySpace, Youtube,
Dailymotion)
Du blogging (reprise de l'information par les leaders d'opinions,
l'utilisateur lambda, les communautés)
Des outils participatifs (Wikipedia)
Du marketing conversationnel afin de créer une relation fiable
et durable entre un artiste ou une marque et son public.
À ces vecteurs s'ajoutent également les outils plus classiques tels
que le mail, le forum, l'événement, etc.
35. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Crowdsourcing » = OutSourcing gratuit
Utiliser le temps disponible d'amateurs, professionnels ou
chercheurs (mais à titre personnel...) pour développer une idée,
créer du contenu, résoudre des problèmes, faire de la R&D dans
des domaines scientifiques de pointe.
Les perspectives sont intéressantes pour les entreprises qui
cherchent systématiquement à réduire les coûts puisque le
crowdsourcing permet:
de ne pas employer de personnel
de ne pas faire appel à de couteux prestataires professionnels
de mettre en concurrence un très grand nombre (potentiel) de
travailleurs indépendants ou de simples amateurs
36. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Loi informatique et libertés, LiL et la CNIL
La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL)
est une autorité administrative indépendante française chargée de
veiller à la protection des données à caractère personnel et de la
vie privée.
La CNIL a été créée en 1978 par la Loi informatique et libertés, votée
suite au scandale du projet SAFARI
loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et
aux libertés.
Les « lois Informatique et libertés » (aussi appelées LiL) sont des
lois destinées à garantir la protection de la vie privée des citoyens
face aux moyens de traitement automatisés de données numériques.
37. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Wikipédia : droit des auteurs
Licence de documentation libre GNU
Licence « Creative Commons » attribution « ShareAlike »
38. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Aspect juridique avec « Creative Common »
39. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Fondation de « Creative Commons »
L'organisation Creative Commons a pour symbole général « CC ».
Le mouvement Creative Commons propose des contrats-type
d’offre de mise à disposition d’œuvres en ligne ou hors-ligne (rien
ne vous empêche de créer un CD ou un livre sous une licence
Creative Commons). Inspirés par les licences de logiciels libres et
le mouvement open source, ces textes facilitent l’utilisation et la
réutilisation d’œuvres (textes, photos, musique, sites Web...).
Au lieu de soumettre toute exploitation des œuvres à l’autorisation
préalable des titulaires de droits, les licences Creative Commons
permettent à l’auteur d’autoriser à l’avance certaines utilisations
selon des conditions exprimées par lui, et d’en informer le public.
40. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
But de « Creative Commons »
L’objectif recherché est d’encourager de manière simple et licite la
circulation des œuvres, l’échange et la créativité. Creative
Commons s’adresse ainsi aux auteurs qui préfèrent partager leur
travail et enrichir le patrimoine commun (les Commons) de la
culture et de l'information accessible librement. L'œuvre peut ainsi
évoluer tout au long de sa diffusion.
Pour les personnes qui souhaitent autoriser la communication au
public de leur œuvre uniquement contre une rémunération, le
système général du droit d’auteur sera plus adapté que les licences
Creative Commons.
Toute personne qui a créé une œuvre (texte, musique, vidéo, site
Web, photographie, etc.) et qui a la capacité de signer un contrat
portant sur cette œuvre peut utiliser l’un des contrats Creative
Commons. A contrario il n’est pas possible d’utiliser un contrat
Creative Commons pour une œuvre sur laquelle on ne dispose pas
de l’ensemble des droits.
41. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Creative Common » du site de l’ENS de LYON
42. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Droits des utilisateurs des réseaux sociaux (1/2)
43. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Droits des utilisateurs des réseaux sociaux (2/2)
44. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Technologies Informatique du Web 2.0
« Widget » - intégrer des mini-applications
« Mashup » : agrégation d’applications
« Syndication » de flux avec RSS
« AJAX » : complétion automatique, syndication
Authentification unique
45. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Widget » - intégrer des mini-applications
46. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Mashup » : agrégation d’applications
47. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« Syndication » de flux avec RSS
48. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
« AJAX » : complétion automatique, syndication
WEB 1.0
synchrone
WEB 2.0
asynchrone
49. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Authentification unique
OpenID est un système d’authentification décentralisé qui permet
l’authentification unique, ainsi que le partage d’attributs.
Il permet à un utilisateur de s’authentifier auprès de plusieurs sites
(devant prendre en charge cette technologie) sans avoir à retenir
un identifiant pour chacun d’eux mais en utilisant à chaque fois un
unique identifiant OpenID.
Le modèle OpenID se base sur des liens de confiance
préalablement établis entre les fournisseurs de services (sites web
utilisant OpenID par exemple) et les fournisseurs d’identité (OpenID
providers).
Il permet aussi d'éviter de renseigner à chaque fois un nouveau
formulaire en réutilisant les informations déjà disponibles.
50. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
e-Business Web 2.0
e-business & Réseaux Sociaux
e-Business & Réalité Virtuelle sur InterNet
PayPal : Solution de paiement en ligne
51. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
e-business & Réseaux Sociaux
52. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
e-Business & Réalité Virtuelle sur InterNet
Organiser des réunions virtuelles sur Second Life.
Relier, grâce au téléphone mobile, les différents participants.
Grâce à un applicatif de Comverse, la solution d'IBM permet d'initier
des connexions entre un téléphone mobile et Second Life, ce qui -
concrètement - permet d'envoyer du contenu depuis la vie réelle
vers Second Life. Dans l'exemple d'IBM, un utilisateur évoluant
dans Second Life pourra ainsi envoyer un SMS à l'une de ses
connaissances quot;dans le monde réelquot;.
Un utilisateur évoluant dans le monde réel aura la possibilité
d'envoyer du contenu (audio, image ou vidéo) sur Second Life.
53. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
PayPal : Solution de paiement en ligne
54. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Accessibilité Web 2.0
Web Accessibility Initiative
Niveaux d’accessibilité « WCAG » du W3C
Niveaux d’accessibilité « AccessiWeb » de BrailleNet
55. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Web Accessibility Initiative
L'accessibilité du Web c’est aussi la problématique de
l'accès aux services et contenus en ligne pour les
handicapés et les seniors (capacités diminuées).
droit universel, selon l'article 9 de la Convention relative aux
droits des personnes handicapées adoptée en 2006 par l‘ONU.
La définition de l'accessibilité du Web de Tim Berners-
Lee, directeur du W3C et inventeur du World Wide Web
est la suivante :
quot;Mettre le Web et ses services à la disposition de tous les
individus, quel que soit leur matériel ou logiciel, leur infrastructure
réseau, leur langue maternelle, leur culture, leur localisation
géographique, ou leurs aptitudes physiques ou mentales.quot;
Le label AccessiWeb
qualifie l'accessibilité d'un site Web et non pour un type de
technologie ou pour une population spécifique.
56. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Niveaux d’accessibilité WCAG du W3C
WCAG : Web Content Accessibility Guidelines
WCAG1.0 comporte 14 directives
dont les 11 premières visent à assurer une transformation élégante du contenu dans les différents
contextes utilisateurs
Exemple : Fournir des alternatives équivalentes aux contenus visuels et auditifs (images statiques ou animées,
contenus audio et vidéo).
les 3 dernières visent à rendre le contenu compréhensible et navigable:
Fournir des informations de contexte et d'orientation
Fournir des mécanismes de navigation clairs
S'assurer que les pages sont claires et simples
ATAG : Authoring Tools Accessibility Guidelines
Outil de production du contenu (CMS) accessible
Production de contenu accessible
57. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Niveaux d’accessibilité AccessiWeb de BrailleNet
Travaux de l'association BrailleNet dans l'accessibilité du Web depuis
1997 a conduit au label Qualité : quot;AccessiWebquot; certifiant l'accessibilité
des sites Web.
recommandations internationales du W3C/WAI (World Wide Web
Consortium / Web Accessibility Initiative) : les WCAG 1.0.
liste de 92 critères AccessiWeb et une méthode d'évaluation.
3 niveaux (Bronze, Argent et Or) :
niveau Bronze : le site a pris en compte les recommandations
essentielles de l'accessibilité. Le site Web a un bon niveau d'accessibilité
qui permet en particulier aux personnes handicapées de le consulter via
des aides techniques (plage Braille, logiciel lecteur d'écran, synthèse
vocale, ...).
niveau Argent : en plus des recommandations essentielles
d'accessibilité, le site a respecté des recommandations facilitant la
navigation. Le site a un très bon niveau d'accessibilité.
niveau Or : le site a respecté toutes les recommandations
d'accessibilité. Le site a un excellent niveau d'accessibilité.
58. Les Réseaux Sociaux et le WEB 2.0 Jimmy SIMEON, mars 2009
Vos Questions
http://www.antilloo.com
Jimmy.simeon@antilloo.com