Power - Fundador - Lugares

1. SUR LES TRACES
DE FRERE GABRIEL TABORIN
Evocation des lieux où il est passé

2. BELLEYDOUX, au nord du département de l’Ain, 900 m. d’altitude

3. FRERE GABRIEL TABORIN naît à Belleydoux le 01/11/1799

4. BELLEYDOUX fait partie du PARC NATUREL REGIONAL DU HAUT-JURA

5. L’église de Belleydoux, consacrée par Mgr. Devie en 1833

6. A l’intérieur de l’Eglise de Belleydoux, plaque en l’honneur de FGT

7. Hommage de reconnaissance des Frères
de la Sainte Famille à leur Fondateur

8. Font baptismal de l’église de Belleydoux

9. L’ancienne église, où FGT a été baptisé et où il a servi comme clerc,
se trouvait en ce lieu, cimetière actuel.

10. Lieu où se trouvait la maison familiale de FGT à Belleydoux :
Gabriel y a tenu l’école de 1817 à 1824

11. La famille Taborin (7 enfants, dont 3 morts en bas âge) possédait
une autre maison, en haut de la rue. Elle avait une petite auberge
et vivait de l’élevage, de la vente de fromage et de poterie.

12. Belleydoux au début du XX siècle

13. Belleydoux au début du XX siècle:
au centre du village, on aperçoit encore la maison Taborin
et, à côté du cimetière, l’ancienne école.

14. La rue principale de Belleydoux avant la guerre de 1939-45

15. L’ancienne maison Taborin, au centre du village, fut incendiée par les
Allemands en juillet 1944 de même que plusieurs autres maisons.

16. Les lieux des activités « pastorales » de FGT

17. La chapelle Sainte Anne, reconstruite après la Révolution

18. La chapelle de Sainte Anne: au fond, les maisons de Bellevoîte

19. Entrée de la chapelle de Sainte Anne

20. Intérieur de la chapelle de Sainte Anne

21. Statue de Sainte Anne, cachée pendant
la Révolution par une tante de FGT

22. FGT avait fait ériger la confrérie de Sainte Anne
et il avait écrit un livre pour l’Association

23. Des groupes de pèlerins aiment s’y arrêter

24. Le jour de la fête de Sainte Anne, en juillet

25. Ancienne église d’Oyonnax, où Gabriel a fait sa première communion en 1811,
le jour de la Sainte Trinité

26. En 1813, FGT commence ses études comme pensionnaire à Plagne,
non loin de Belleydoux

27. Maison Egraz (école-pensionnat) à Plagne, où étudiait Gabriel

28. Entrée de la maison Egraz à Plagne

29. En 1815, Gabriel arrive à Châtillon-en-Michaille
pour commencer des études de latin

30. Actuelle église de Châtillon-en-Michaille,
l’ancienne ayant brûlé en 1870

31. Châtillon-en-Michaille vers 1830

32. C’est à Châtillon-en-Michaille que FGT, découvrant sa vocation
religieuse, décide de rentrer à Belleydoux.

33. Acte d’engagement de Gabriel Taborin dans la confrérie de Marie Auxiliatrice

34. Ancien palais épiscopal, dit palais abbatial, de Saint-Claude
En juin 1824, Gabriel Taborin quitte Belleydoux pour suivre
sa vocation religieuse et se met au service de Mgr de Chamon.

35. Les Bouchoux (Jura)
Conseillé par Mgr. de Chamon Gabriel entreprend la fondation d’une communauté

36. Gabriel Taborin réunit cinq jeunes aux Bouchoux

37. Après une semaine de retraite, ils prennent l’habit religieux
sous le nom de Frères de Saint-Joseph

38. Intérieur de l’église des Bouchoux

39. Une grande foule se rassemble en octobre 1824
pour assister à la prise d’habit.
A gauche bâtiment de la Mairie-école

40. En début novembre1824, les Frères de Saint-Joseph
entrent au service de la cathédrale de Saint-Claude.

41. Intérieur de la cathédrale de Saint-Claude

42. Stalles du chœur de la cathédrale de Saint-Claude

43. Saint-Claude (rue de La Poyat)
En 1824, Mgr. de Chamon confie l’école de la Maîtrise
aux Frères de Saint-Joseph.

44. Au no
34 de la rue de la Poyat les Frères de Saint-Joseph
commencent leurs activités éducatives

45. L’école de la Maîtrise de la Cathédrale existe encore aujourd’hui

46. Un aspect de l’école de la Maîtrise de la Cathédrale
Abandonné par ses compagnons, FGT reste seul en mars 1825

47. FGT arrive à Jeurre (Jura) envoyé par Mgr. de Chamon le 04/04/1825

48. A Jeurre, FGT exerce les fonctions d’instituteur et de catéchiste

49. A Jeurre, FGT essaie la fondation d’une communauté,
mais la maison s’écroule

50. Conseillé par Mgr de Chamon, FGT se transfère dans un ancien couvent
à Courtefortaine (au nord du département du Jura)

51. A Courtefontaine, FGT, aidé par l’Abbé Roland, constitue une petite communauté

52. Le manque de ressources et la nomination de l’Abbé Roland
à un autre poste obligent FGT à quitter Courtefontaine

53. Le 15/10/1826, FGT, avec 5 Frères novices, quitte Courteforntaine

54. Le 18/10/1826, FGT et ses novices sont accueillis à Ménestruel
commune de Poncin, dans l’Ain)
par M. Bochard, fondateur de la Société de la Croix de Jésus

55. Fr. Gabriel est envoyé à Châtillon-sur-Chalaronne pour y enseigner le latin.

56. Les Halles de Châtillon-sur-Chalaronne.
FGT est heureux de travailler quelques mois sur les lieux mêmes
où Saint Vincent de Paul fut curé.

57. Aspect de la chapelle de Fourvière vers 1830.
FGT quitte la Société de la Croix de Jésus,
et, avec un Frère, se dirige à Lyon.

58. La Basilique de Fourvière

59. Abside de la basilique

60. Intérieur de la Basilique de Fourvière

61. Aspect de la chapelle de Fourvière dans l’actualité

62. Après une rencontre avec Mgr. Devie à Genay le 25/02/1827,
FGT est envoyé à Brénod (Ain)

63. A Brénod, FGT collabore comme catéchiste
avec l’Abbé Jacques Charvet, ancien curé de Belleydoux

64. De Brénod FGT passe à Champdor en 1827: il continue sa mission
de catéchiste et essaie la fondation d’une communauté
avec la collaboration de l’Abbé Gache

65. Le FGT revient à Champdor en 1830, au moment de la révolution de Juillet

66. En attendant des jours plus calmes, il se met au service
du baron Montillet de Champdor

67. En 1831, FGT abandonne le château de Champdor et rentre à Belmont

68. Le 30/10/1827, FGT est nommé par Mgr. Devie maître paroissial
à Hauteville

69. Intérieur de l’église de Hauteville

70. La maison d’école à Hauteville
FGT ouvre un pensionnat en1828

71. Chapelle de N. D. de Mazières près d’Hauteville:
FGT y conduit plusieurs fois les enfants en pèlerinage.

72. Dans la chapelle de Mazières a lieu
la prise d’habit d’un novice en 1829

73. Image de la Vierge Marie
près de la chapelle de Mazières

74. En 1829, FGT, avec l’aide de M. de Lauzière,
achète une maison à Belmont et y établit un pensionnat.

75. Eglise de Belmont: FGT vit dans cette paroisse
de 1829 à 1840

76. Une plaque à l’entrée de l’église fait mémoire du séjour de FGT à Belmont.

77. Belmont: « berceau » de l’Institut des Frères de la Sainte Famille

78. Sur la porte on peut encore lire:
ETABLISSEMENT RELIGIEUX DES FRERES DE LA SAINTE FAMILLE

79. En 1835, ont lieu, dans cette maison, les premières prises d’habit religieux
des Frères, envoyés immédiatement au service de la cathédrale de Belley

80. Mgr. Devie visite la maison de Belmont en juillet 1835

81. Le Valromey et le Grand Colombier vus dès la maison de Belmont

82. La source de Belmont, où l’on peut encore se rafraîchir aujourd’hui

83. Le four de Belmont, autrefois lieu du pain

84. La ville de Belley
FGT, avec sa communauté, quitte Belmont pour Belley en 1840.

85. La « vieille porte » de Belley

86. L’ancien couvent de La Visitation à Belley que FGT
avait envisagé d’acquérir (aujourd’hui école primaire)

87. Le bâtiment du clos de l’évêché cédé par Mgr. Devie

88. Dans ce petit bâtiment, une communauté de plus de 40
personnes est logée pendant plus d’un mois

89. Dans ces circonstances difficiles,
« pas un Frère ni un Novice ne proféra un mot de plainte »

90. Un aspect de la rue Saint-Jean (Belley) autrefois

91. Les Sœurs Maristes sont là depuis 1825

92. « La Tourelle » dans la rue du Chapitre (Belley):
Les Soeurs de Saint Joseph sont arrivées à Belley en 1823

93. La Cathédrale de Belley,
encore en construction au moment de l’arrivée des Frères

94. FGT voulait placer sa maison et son
œuvre à l’ombre de la cathédrale

95. La chapelle Sainte Anne de l’abside
de la cathédrale de Belley, vue de l’extérieur

96. L’ancien palais épiscopal de Belley.
FGT y était reçu souvent par Mgr. Devie et ses successeurs

97. Statue de la Sainte Vierge érigée par Mgr. Chalandon
en mémoire de la proclamation du dogme de l’Immaculée (1854))

98. La communauté des Frères de la Sainte Famille
s’établit au 7 rue du Chapitre le 06/10/1840

99. Croix sur le portail de la Maison Mère
érigée par FGT en 1852

100. Aspect du jardin et de la grange de la Maison Mère en 1932
On voit la statue de la Sainte Vierge érigée par FGT en 1854
dont l’original se trouve à Villa Brea (Italie)

101. La façade de la Maison Mère en 1963

102. La chapelle de la Maison Mère

103. La piscine et la statue de la Sainte Vierge
dans le jardin de la Maison Mère

104. Le « château branlant »,
résidence provisoire des FSF en 1903

105. La grande salle du réfectoire de la Maison Mère
lors du transfert des Restes de FGT

106. Travaux dans le bâtiment principal
de l’ancienne Maison Mère en 1980

107. Le dernier étage du bâtiment fut construit du temps
de Fr. Amédée, successeur de FGT

108. Le bâtiment principal de la Maison Mère fut vendu en 1980

109. Rue du Chapitre,le premier bâtiment occupé par FGT
demeure propriété des Frères.

110. La « Maison Gabriel Taborin »

111. La Maison Mère dans le quartier du Chapitre

112. La Maison Gabriel Taborin, abrite les archives du temps de la fondation,
une bibliothèque et une exposition sur le FGT.

113. La « Maison Gabriel Taborin » est aussi un lieu de rencontre et de recherche

114. La rue Frère Gabriel Taborin longe les murs de la maison actuelle des Frères

115. Résidence des Frères, rue de Savoie (Belley)

116. La maison des Frères

117. La chapelle de la maison des Frères

118. L’ancienne grange transformée en distillerie

119. Les Frères conservent le « secret » de l’élaboration du Kario

120. L’église d’Ars: l’abbé Vianney arrive à Ars en 1818
La première rencontre de FGT avec le Curé d’Ars se situe probablement en 1837.

121. L’amour de Dieu et le zèle pastoral du Saint Curé
transforment la paroisse et le village

122. La mairie et l’ancienne école d’Ars:
Les Frères de la Sainte Famille arrivent dans cette paroisse en 1849

123. Le bâtiment du pensionnat construit par Fr. Athanase,
aujourd’hui Maison Saint Jean.

124. La vie sainte et simple du Saint Curé attire des multitudes

125. Les Frères de la Sainte Famille ont été des collaborateurs du Saint Curé

126. La basilique d’Ars

127. Les FSF continuent leur présence à Ars

128. Un Frère accueille un groupe de pèlerins

129. FGT avait écrit un livre pour aider à vivre le pèlerinage à Ars

130. FGT acquiert le monastère de Tamié (Savoie) en 1856
pour y établir une «trappe mitigée »

131. FGT a pu vivre à Tamié pendant quelques mois en 1856
son rêve de vie contemplative

132. Les Frères établissent également à Tamié un pensionnat

133. Des difficultés obligent le FGT à vendre Tamié en 1861

134. Un des passeports de FGT utilisé dans ses nombreux voyages

135. FGT fait un voyage à Rome en 1841

136. FGT est reçu par Grégoire XVI au palais du Quirinal

137. Il visite les basiliques de Rome …

138. … et les monuments de la Ville Eternelle

139. Le Pape Grégoire XVI lui accorde
l’approbation de l’Institut en 1841

140. Palais royal de Turin
En 1842, FGT se rend à Turin pour demander
la reconnaissance civile de l’Institut dans les Etats Sardes

141. Le roi Charles-Albert donne son autorisation
par des « Lettres Patentes » en 1842

142. La cathédrale de Turin
FGT se rend plusieurs autres fois à Turin
pour des démarches administratives

143. Il se rend à Paris pour demander la reconnaissance civile de l’Institut
et pour la fondation de plusieurs communautés.

144. Les Frères de la Sainte Famille commencent leurs
activités à la Paroisse de la Sainte Trinité en 1855

145. ND de la Garde à Marseille:
FGT passe à Marseille lors de ses deux voyages à Rome
et assiste à la consécration de la basilique en 1864

146. FGT demeure toujours en contact avec les moines de l’abbaye
d’Hautecombe (Savoie)

147. L’abbaye d’Hautecombe

148. FGT visite souvent les communautés et les établissements des Frères.

149. Il passe chaque année dans les écoles des Frères
et leur écrit de nombreuses lettres

150. Passages fréquents à Chambéry

151. Le château de Chambéry en 1860.
FGT salue, dans une lettre circulaire aux FSF, l’intégration
de la Savoie à la France.

152. La Haute-Savoie a compté avec un bon nombre d’écoles des FSF

153. Une fondation privée avait permis l’ouverture d’une école
à Massignieu, près de Belley

154. Les montagnes de la Savoie, témoins des nombreux voyages
de FGT dans la région

155. Montmélian: Les FSF dirigent plusieurs écoles dans la vallée de l’Isère

156. FGT avait conduit personnellement le jeune Fr. Amédée
pour l’ouverture de l’école de Saint-Jeoire

157. Saint-Laurent-sur-Sèvres:
FGT, accompagné de Fr. Amédée, visite plusieurs fois les Frères de Saint-
Gabriel en 1861

158. Saint-Laurent-sur-Sèvres:
Vers la fin de sa vie, il est question d’une fusion
avec les Frères de Saint-Gabriel

159. Les Frères de la Sainte-Famille ont servi
dans la Chapelle de Saint Martin à Tours

160. FGT écrit à plusieurs reprises la Règle des FSF
Le Nouveau Guide est sa dernière version

161. Le 25/08/1864, quelques mois avant sa mort,
FGT écrit son testament spirituel

162. FGT est mort le 24/11/1864.
Il a été inhumé dans l’ancien cimetière de Belley à la Bouvardière

163. Le tombeau des FSF a été transféré
au cimetière des Eplantaz de Belley en 1929

164. En 1959, Le tombeau de FGT est transféré
à la chapelle de la Maison Mère.

165. Le tombeau de FGT à la chapelle de la Maison Mère

166. En i982, ce tombeau trouve place à l’entrée
de la maison des Frères, rue de Savoie

167. Le 22/11/1998 on dépose FGT dans la chapelle
Sainte Anne à la cathédrale de Belley

168. Le tombeau de FGT dans la Chapelle
Sainte-Anne

169. Le 09/12/20/05 un nouveau caveau en ciment est construit pour accueillir
l’urne contenant les ossements de FGT

170. Le tombeau de FGT

171. Plaque tombale bénite par Mgr. Bagnard le 12/12/2005.

172. presentacion elaborada por el Hno. Teodoro Berzal 13/04/2
Le tombeau de FGT reste à Belley,
son charisme continue son chemin dans le monde