2. Soit la tumeur est primitive: tumeur
épithéliale ou mélanique ou vasculaire
Soit secondaire= métastase cutanée
d’une tumeur profonde
3.
4. I- Tumeurs bénignes
1) Tumeurs mélanocytaires= naevus
1)
2)
3)
Rares à la naissance: naevus congénital
(possibilité de transformation en
mélanome)
Apparition dans l’enfance
Plusieurs formes cliniques: plans,
surélévés (naevus dermiques), halo
naevus
14. Sd Birt Hogg Dubbé
Fibrofolliculomes
prolifération circonscrite de collagène et de
fibroblastes autour des follicules pileux distordus à
partir desquels les cellules basaloïdes font
protusion dans le stroma fibromineux
Tricodiscomes
Kystes pulmonaires
Tumeurs rénales
Oncotytomes bénins, carcinome malin à cellules
chromophobes, à cellules claires
Gêne sur chromosome p 11.2
18. II- Tumeurs malignes primitives
1)
Tumeurs épithéliales: carcinomes
Carcinomes basocellulaires (CBC): les plus
fréquents (2/3 des carcinomes cutanés chez le
sujet immunocompétent) sont des tumeurs
d'évolution lente qui ne métastasent pour ainsi
dire jamais.
Carcinomes épidermoïdes (CE) : évolution locale
beaucoup plus agressive et peuvent métastaser.
Ils représentent 1/3 des carcinomes cutanés.
Carcinomes annexiels, issus des annexes
épithéliales, pilo-sébacées et sudorales, rares
(1%), mais agressifs et susceptibles de
métastaser.
19. LE CARCINOME BASOCELLULAIRE
I.
Facteurs favorisants:
I.
I.
II.
III.
Soleil
Radiations ionisantes
Arsenic chronique
Clinique
II.
I.
II.
III.
IV.
Papule translucide parcourue de télangiectasies
Parfois nodule
Forme pigmentée
pas d’atteinte des muqueuses
20. Le carcinome basocellulaire (CBC)
Généralités
Tumeur maligne la plus
fréquemment
diagnostiquée au
monde1,2
Exposition aux UVA:
une des causes
majeures du CBC
(entraine des altérations
répétées de l’ADN et
des mutations
génétiques1,3)
Localisations :
80 % tête et cou
15 % tronc
5 % membres supérieurs, inférieurs ou
autres sites
1. Rubin AI et al. N Engl J Med 2005;353:2262–9
2. Lear JT et al. J R Soc Med 1998;91:585–8
3. Caro I, Low JA. Clin Cancer Res 2010;16:3335–9
4. Walling HW et al. Cancer Metastasis Rev 2004;23:389–402
5. Lear JT et al. J R Soc Med 1998;91:585–8
41. II.
LE CARCINOME EPIDERMOIDE
Facteurs favorisants:
I.
les kératoses photo-induites (kératoses actiniques ou
solaires ou encore dite « séniles ») ;
les radiodermites ;
les cicatrices de brûlures et autres cicatrices ;
les plaies chroniques telles que les ulcères de jambes ;
le lichen scléreux génital, le lichen érosif buccal ;
certaines lésions muqueuses virales à PVH.
Traitements immunosuppresseurs: IMUREL, PROGRAF,
CELLCEPT, Biothérapies (anti TNF)
Clinique
I.
I.
II.
III.
Lésion croûteuse, jaunâtre, indurée avec ulcération
centrale
Elle peut parfois prendre un caractère végétant ou
bourgeonnant.
Atteinte des muqueuses
47. Traitement des lésions précancéreuses.
Recommandations 2011
Les moyens médicaux:
Cryothérapie
Électrocoagulation
Gel au diclofénac (SOLARAZE)
5 FU local (EFUDIX)
Imiquimod (ALDARA)
PDT: photosensibilisant ( ALA) + lumière rouge: destruction des cellules
dyskératosiques pat production d’une porphyrie
1 nouveauté
48.
49.
50.
51. Traitement des lésions précancéreuses.
Recommandations 2011
Notion de champ de cancérisation
Chirurgie: toujours possible mais fortement concurrencée.
Cryothérapie : rapide, peu coûteuse, accessible. Efficacité operateurdependante
Laser, curetage électrocoagulation sont des méthodes de destruction
possibles mais mal evaluées
Les crèmes 5-FU et imiquimod et la PDT : sont des méthodes efficaces, aux
effets secondaires locaux plus ou moins vifs mais en général tolérables.
Traitements de 1ere intention des KA multiples.
La crème 5-FU : a le meilleur rapport cout/efficacité - tolerance.
5-FU et imiquimod : leur efficacité est patient-dépendante.
La crème diclofenac: est bien tolerée mais semble moins efficace que les
précédents.
La PDT : coûteuse, non remboursable, peu accessible
Imiquimod : a utiliser prudemment si un traitement immunosuppresseur est
en cours (transplantes).
Nouveau traitement: PICATO sur 2 ou 3 jours
56. Traitement de la maladie de Bowen et
des carcinomes in situ
Lésion de petite taille: 2 options :
- exérèse avec controle anapath
- cryothérapie ≪ agressive ≫ (durée optimale de
congélation: 10, 20, 40 sec?), a 3 conditions :
- éviter de traiter les jambes et les zones à trophicité
précaire,
- vérification du diagnostic par biopsie
Si la chirurgie et la cryothérapie semblent difficiles (lésions
étendues ou multiples ou zones
cicatrisant mal) : chimiothérapie locale: 5-FU, PDT,
imiquimod à 2 conditions : vérification diagnostique par
biopsie préalable et surveillance après traitement.
68. II. Le merkelhome (carcinome neuro-
endocrine)
Facteurs favorisants:
I.
UV
Immunodépression: HIV, médicamenteuse
Merkel Cell Polyoma virus
Clinique
I.
I.
Nodule rouge, parcouru de télangiectasies
74. Mélanome:
Incidence triplée entre 1980 et 2005 et
a été estimée à
Incidence 7 à 9 nouveaux cas pour
100000 habitants
Plus
élévée dans l’ouest: 11,4
9 780 nouveaux cas en 2011 en France
Environ 1600 décès par an en France
75. Mélanome:
1)
Facteurs de risque
1)
2)
3)
4)
5)
Antécédent familial mélanome
Phototype clair (1,2)
Nombre de coups de soleil (80 % des
expositions solaires ont lieu avant l'âge de
dix-huit ans). 2009, le Centre International de
Recherche sur le Cancer a classé les UV
artificiels comme cancérigènes certains pour
l’homme
Nombreux naevi (plus de 20)
Naevus dysplasiques ou congénitaux
77. 3)
Formes anatomocliniques
mélanome superficiel extensif SSM, (60 à 70
% des cas) d'évolution initialement
horizontale, puis assez rapidement verticale ;
mélanome nodulaire (10 à 20 % des cas)
d'évolution très rapidement verticale
mélanome acral (2 à 10 % des cas) des paumes,
plantes. Au niveau des ongles il réalise une
bande longitudinale pigmentée d’au moins 5
mm de largeur ;
mélanome de Dubreuilh (5 à 10 % des cas) des
zones cutanées atrophiques dégradées par
des expositions solaires régulières pendant
des décennies (visage du sujet âgé) ;
mélanomes des muqueuses (tache noire plane).
103. Pronostic
Rapport de la commission d’orientation sur le cancer, DGS, Janvier 2003
Épaisseur
% de survie à 5 ans
< 0,76 mm
96
0,76 à 1,49
87
1,5 à 2,49
75
2,5 à 3,99
66
> 4 mm
47
106. Bilan d’extension initial
Examen clinique primordial
Dépistage
d’une extension locale
d’une atteinte ganglionnaire
d’un autre Mélanome
d’une Naevus dysplasique
Pas de marqueur biologique disponible
Intérêt de l’écho ganglionnaire et du
TEP
107. Prise en charge
chirurgicale
Exérèse initiale
Diagnostic de Mélanome
Calcul de l’indice de Breslow
Reprise d’une marge de sécurité
Standard: adaptée à l’épaisseur de la tumeur
Analyse du ganglion sentinelle
Option: dans certaines conditions
Curage ganglionnaire
Standard: si N+ clinique
Non recommandé si N0 clinique
108. Marges d’exérèse de la
tumeur initiale
Epaisseur (Breslow)
Marge recommandée
Mélanome in situ
0,5 cm
M. Dubreuilh non invasif 1 cm (0,5 cm si difficile)
Breslow: de 0
mm
mm
à 1 mm 1 cm
de 1,01 à 2
1-2 cm
de 2,01 à 4
2 cm
> 4 mm 2-3 cm
109. Prise en charge
chirurgicale
Exérèse initiale
Diagnostic de Mélanome
Calcul de l’indice de Breslow
Reprise d’une marge de sécurité
Standard: adaptée à l’épaisseur de la tumeur
Analyse du ganglion sentinelle
Option: dans certaines conditions
Curage ganglionnaire
Standard: si N+ clinique
Non recommandé si N0 clinique
110. Critères d’indication du
groupe français de
cancérologie cutanée
Critères d’inclusion
Indice de Breslow ≥
1,5mm ou diminué à
0,75mm en cas de signes
histologiques de
régression
Absence de ganglion
palpable
Accord du patient
Tumeurs de localisation
muqueuse ou oculaire
Métastases
Exérèse d’emblée
carcinologique du
Age ≥ 18 ans
Critères d’exclusion
mélanome
Femme enceinte
Refus du patient
111. Procédure
Premier temps
Exérèse simple du mélanome
Deuxième temps
Reprise chirurgicale des marges carcinologiques du
mélanome
Recherche et prélèvement du ganglion sentinelle
Délai minimum : 7-10 jours
Délai maximum : 2 mois
112. Repérage par lymphoscintigraphie
Injection de colloïde
En intra-dermique strict
aux 4 points cardinaux
de la tumeur ou de la
cicatrice
Scintigraphie
dynamique
Un cliché par minute
pendant 30 à 60 minutes
113. Lymphoscintigraphie statique
1 à 2 clichés
GS = foyer hyperfixant
et persistant
Localisation avec un
crayon cobalt 57
Repérage sur la peau
à l’aide d’un feutre
114. Procédure chirurgicale
Repérage du GS
Sonde de détection
gamma
Incision en regard du
site marqué au feutre
indélébile au niveau du
signal maximal
116. Mesure de l’activité ex vivo
Sonde de détection
gamma mise au
contact du
ganglion prélevé
Signal détecté
Ganglion prélevé =
GS
117. Mesure de l’activité résiduelle
in vivo
Sonde de
détection gamma
placée dans le
site où le GS a
été prélevé
Absence de
signal résiduel
118. Procédure histo-pathologique
Classiquement
Histologie standard
Coloration hématoxyline éosine
Immunohistochimie
HMB45, PS100, Mélana
Biologie moléculaire pour certains
RT-PCR : tyrosinase, MART-1
Place à déterminer
119. GS positif
Métastases fantômes
Cellules isolées dans le sinus périphérique du ganglion
Micrométastases
Quelques cellules fixées dans le parenchyme
ganglionnaire
Envahissement métastatique franc
Partiel, total, avec ou sans rupture capsulaire
120. Contraintes de la procédure
Anesthésie le plus souvent générale
DMS allongée
Complications
Hématome, lymphocèle, lymphangite, neurapraxie, infection
du site opératoire
Pas d’augmentation du risque de métastases en transit
Facteurs de risque : nombre de GS prélevés, habitude des
équipes, comorbidités
121. Intérêt pronostique
Intérêt pronostique du GS largement démontré, intégré
dans la classification AJCC depuis 2000
Considéré actuellement comme le meilleur facteur de
risque de récidive et de survie pour les patients
atteints d’un mélanome de stade I ou II AJCC
15,5 à 55% de récidives en cas de GS+
6,1 à 10% de récidives en cas de GS-
Création de groupes homogènes pour l’inclusion dans
des protocoles thérapeutiques
123. Conclusion
Technique séduisante
Morbidité faible pour les équipes entraînées
Marqueur pronostic le plus puissant pour les
mélanomes de stade I et II AJCC
Permet l’inclusion des mélanomes à haut risque dans
des protocoles de traitement adjuvant
Intérêt thérapeutique du curage précoce toujours à
évaluer
124. Prise en charge
chirurgicale
Exérèse initiale
Diagnostic de Mélanome
Calcul de l’indice de Breslow
Reprise d’une marge de sécurité
Standard: adaptée à l’épaisseur de la tumeur
Analyse du ganglion sentinelle
Option: dans certaines conditions
Curage ganglionnaire
Standard: si N+ clinique
Non recommandé si N0 clinique
129. Options:
Pas
de traitement adjuvant
Interféron alpha faible dose (patients N-)
Interféron alpha forte dose (patients N+)
Essais thérapeutiques
Non recommandés:
Levamisole,
BCG, Dacarbazine, perfusion
de membre isolé:
130.
131. Suivi des patients
Importance de
l’examen clinique
Nécessité de
l’éducation des
patients
Intérêt relatif des
explorations
paracliniques
Dépistage familial
132. Mélanome <1.5 mm : surveillance
clinique tous les 6 mois 10 ans puis 1
fois par an .
Mélanome >1,5 : surveillance tous les 3
mois, 5 ans, puis tous les 6 mois, 5 ans,
puis une fois par an
Le dépistage précoce est la clé du
pronostic
134. Mécanismes d’action et classification
Modification covalente de l’ADN: Alkylants
Moutardes à l’azote (cyclophosphamide, chlorambucil), NitrosoUrées
(Fotémustine, Carmustine), Organoplatines (Cisplatine), Triazènes
(Dacarbazine, temozolomide)
Induction ou stabilisation de coupures d’ADN: Intercalants
Inhibiteurs de la topoisomérase I, et II
Antibiotiques: Anthracyclines (doxorubicine ou adriamycine,
Daunorubicine), Bléomycine (scindant ADN), Non antibiotique: Etoposide
Action sur la biosynthèse de l’ADN: Antimétaboliques
Antagonistes: foliques ( Methotrexate ), puriques ( mercaptopurine ,
cladribine), pyrimidiques (5-FU ou fluorouracile), autre: fludarabine,
gemcitabine
Interaction avec la tubuline: poisons du fuseau
Inhibiteurs de la polymérisation de la tubuline ( Vinca-alcaloides:
Vincristine, vindésine, vinblastine), Etoposide, et de sa dépolymérisation
( taxoides: Docétaxel, Paclitaxel)
Autres cytotoxiques:
Asparaginase, Trétinoine…
135. Dacarbazine, DTIC, Déticène°
Fiche technique 1
Flacon poudre 100 mg. Reconstitution: 10
mg/ml (couleur incolore à jaune Pâle)
Conservation: 8h à T° ambiante, 24h entre +2
et +8°C
Dilution dans 50 à 500 ml (G5% ou autre…)
Administration par perfusion IV protégée de
la lumière sur 1/2h minimum
Posologie de 500 à 1250 mg/m² sur 1 à 5
jours
136. Dacarbazine:
Fiche technique -2
C. I.:
Grossesse, Allaitement et Hypersensibilité au
produit
Précautions d’emploi:
contrôle NFS, plaquettes, créatininémie,
transaminases, TP et INR sous anticoagulants
Extravasation: risque moyen (irritation)
Effets indésirables: Nadir J21
Vomissements: G3,
Hématologiques: G2,
Alopécie: G2
137. Fotémustine, Muphoran°:
Fiche technique
Ampoule de poudre de 208 mg,
reconstitution: 50mg/ml
Dilution dans 250 ml de G5%
Conservation: 8h à 25°C max., 72h à +4°
Administration par perfusion IV protégée de
la lumière++ sur 1h maximum.
Posologie: 100mg/m² J1,8,15 puis après 4-5
semaines tous les 21j.
138. Fotémustine:
Fiche technique-2
C. I.:
Grossesse, allaitement. Hypersensibilité au
produit.
Précautions d’emploi:
Contrôle NFS, plaquettes, bilan hépatique,TP et
INR sous anticoagulants
Perfuser à l’abri de la lumière
toxicité hématologique accrue par la Dépakine
• Effets indésirables: Nadir J30
Leuco-thrombopénie: G2-3
Digestifs: G1-2
Hépatiques: G1-2
Toxicité pulmonaire: rare
139. Temozolomide, TEMODAL°
• prise orale, cp à 5, 20, 100 et 250 mg
• bonne pénétration méningée
• 150 à 200 mg/m2 de J1 à J5
• Tous les 28 jours
• CI: idem Déticène
• EI:
Troubles digestifs
Toxicité hématologique
140. Cisplatine, CYSPLATYL°
• CI : idem et insuffisance rénale
• Doses: 100 mg/m2 J1 tous les 21 à 28 jours
• Précaution d’emploi : émétisant, hydratation
• Effets indésirables
Toxicité digestive, rénale
Hématologique
141. Réponses observées
• Etudes de phase III :
Réponses globales monochimiothérapie :
20 à 30%
• Étude multicentrique phase III comparant DTIC et
Foté en 1ère ligne
Taux de réponse totale:
F: 15,5% vs DTC: 7,2% (p = 0,053)
142. Les nouveautés: thérapie ciblée
• Ipilimumab: anticorps anti CTLA4 YERVOY en IV
Augmente la durée de survie
• Anti cKIT
• Vemurafenib: anti BRAF ZELBORAF per os
Supériorité par rapport à dacarbazine
• Anti MEK en étude
145. BRIM-3
Taux de réponse objective
(RECIST 1.1)
RC
RP
Taux de réponse
globale
Vemurafenib
0,9 %
47,5 %
48,4 %
Dacarbazine
0
5,5 %
5,5 %
p
0,001
Paul B. Chapman et al. NEJM juin 2011
Chapman PB et al. ASCO 2011 LBA4 actualisé
146. Indications thérapeutiques
• Doivent être discutées en Réunion de
Concertation Pluridisplinaire (R.C.P.)
• Indiquée au stade métastatique,
• pas d’indication adjuvante (après chirurgie)
147. Stratégies thérapeutiques
• Monochimiothérapie
Déticène ou Muphoran en première ligne.
Temodal ou Cisplatine en 2 ème , 3ème ligne
Si méta cérébrale : muphoran ou témodal
• Ligne maintenue tant qu’il n’y a pas
progression de la maladie,évaluation à 3
mois.
• Pas de supériorité des polychimiothérapies
sur les monochimiothérapies
• Amélioration grâce aux thérapies ciblées
• Prise en compte de la qualité de vie
148.
149.
150. • Mélanome <1.5 mm : surveillance
clinique tous les 6 mois 10 ans puis 1
fois par an .
• Mélanome >1,5 : surveillance tous les 3
mois, 5 ans, puis tous les 6 mois, 5 ans,
puis une fois par an
• Le dépistage précoce est la clé du
pronostic
152. Tumeurs vasculaires
Angiome plan mature
I.
I.
II.
Tâche rouge violacée présente à la
naissance
Peuvent parfois s’accompagner de
convulsions (Sd se Sturge Webber
Krabe: atteinte du V1)
153. II.
•
•
•
Angiome immature
Phase de croissance dans la petite
enfance
Puis disparition vers l’âge de 4-6 ans
Peut poser des problèmes en fonction
de la localisation: paupières, larynx++
Comme son nom le suggère, le CBC se développe dans la membrane basale de l’épiderme.
Le risque moyen pour un caucasien de développer un CBC durant sa vie = 30 % environ1,6 [6. Wong CSM et al. Br Med J 2003;327:794–8]
Le scanner ou l’IRM peuvent être utiles pour évaluer avec précision l’extension du CBC avancé
i
B-Raf Targeting Represents Rational Strategy Against Aberrant Signaling In Ras/Raf Pathway
B-Raf is a direct downstream target of oncogenes signaling through the Ras pathway
V600E mutation present only in tumor cells
Mutation changes the shape and form of the kinase to activated state
Using Plexxikon’s Scaffold-Based Drug DiscoveryTM platform, we designed R7204 to target this mutant
R7204 clearly interacts very differently compared to other known BRAF inhibitors
Since R7204 so selectively targets this mutation present only in tumor cells, the therapeutic window should be attractive
Pour le vemurafenib: 2 RC et 104 RP
Pour la dacarbazine: seulement des RP