5. Origine de ce concept de valeur (Bon et Mauvais) OU Intervention humaine arbitraire, un concept n’ayant aucune relation avec les faits de la réalité Fondé sur un fait métaphysique, une condition invariable de l’existence de l’homme
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8. Il existe plusieurs méthode de survie chez l’Homme Celle des etres rationnels qui utilisent la reflexion et effectue un travail productif. Celle des persones qui ne font qu’imiter les etres rationnels, il fuit leur responsabilité d’etre conscient Celle des personnes tentant de survivre au moyen de la force brute ou par la fraude. Ils n’existent qu’en détruisant les autres II.1.L’Homme ne peut survivre qu’en tant qu’Homme 1. La survie de L’Homme :
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11. III. Principe social fondamental de l’éthique objective. 1. Les émotions L’homme doit vivre pour son propre intérêt , sans toute fois oublier les autres. La survie de l’homme ne dépend pas la « vie » et la « mort » mais de ses émotions : Bonheur = réussite de la vie Souffrance Signal d’avertissement de la défaite et de la mort Les émotions favorisent le développement des valeurs de l’homme ou de ce qui le menace.
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13. 3. Les principes du gouvernement et de la société Un gouvernement a pour but moral la protection des droits de L’Homme : Protection de la violence physique Protéger son droit à la vie, à la liberté, à la propriété et à la poursuite de son propre bonheur • L’éthique objectiviste est le fondement moral du système politico-économique, en contradiction avec le capitalisme américain. • Capitalisme pur : non contrôlé ni réglementé, séparation de l’état et de l’économique Etat Eglise Système de l’avenir
14. CONCLUSION L’éthique objectiviste forme ce que l’on appelle la morale de la vie qui est en désaccord avec les trois écoles de la théorie éthique : la mystique, la sociale et la subjectivité. Ces trois dernières représentent nul autre que la morale de la mort. Comme le dit si bien John Galt aux moralistes : « Vous avez utilisé la crainte comme arme et apporté la mort à l’homme comme châtiment d’avoir rejeté votre morale. Nous lui offrons la vie comme récompense pour accepter la notre. » Ainsi, Ayn Rand montre à travers cet écrit une excellente approche de la pensée forte, singulière et redoutablement actuelle d’une des plus notables et influentes figures de la vie intellectuelle américaine du milieu du XXe siècle.