1. Quelle réalité aujourd’hui, la vision des Responsables d’Infrastructure & de Production IT CIO - 25 janvier 2011 [email_address] “ Cloud Computing ”
10. Attentes et usages envisagés Plutôt via un Cloud Privé C’est une priorité élevée Pour réduire les coûts
11. Localisation des données Restauration des données Sécurité des données Isolation des données Freins et inquiétudes
12.
13. Quelques exemples Vega Valeo . Le Cloud pour doter 30 000 utilisateurs des mêmes outils de collaboration et les faire mieux travailler ensemble. Points-clés : les standards, l’adoption, la collaboration internationale. Alstom Workplace. La migration de 72 000 boites aux lettres vers le Cloud pour résoudre l’obsolescence et réduire le TCO. Points-clés : facturation à l’utilisateur, sécurisation des données, résilience. Thales BoostAerospace. Ni privé ni public : communautaire. Un Cloud collaboratif pour l’industrie européenne de l’aérospatial et de la défense. Points-clés : sécurité, mutualisation, propagation des méthodes et pratiques. CA-CIB. Le Cloud pour transformer les datacenters en centres de mise à disposition à la demande. Points-clés : IaaS, virtualisation, résilience, offre de services modulaire et étendue.
15. Groupe « Cloud Computing » www.crip-asso.fr Livre Blanc : http://www.itiforums.com/accueil.php?navigation=lb [email_address] Twitter @patricksclouds M e r c i !
Hinweis der Redaktion
Distinction Cloud Prové / Cloud Computing en général >> cf résultats étude CRIP (clouds privés)
IaaS = L’offre de service recouvre la fourniture aux utilisateurs de capacités de traitement, de stockage, de bande passante, de réseaux, de serveurs virtuels et d’autres ressources de calcul. L’utilisateur a la possibilité de déployer et d'exécuter ses propres logiciels tels que des systèmes d'exploitation, des logiciels « commerciaux » et des applications propriétaires. L’utilisateur n’a aucun contrôle sur l'infrastructure sous-jacente du provider de Cloud mais il a le contrôle sur les systèmes d'exploitation, le stockage et les applications hébergées sur les serveurs virtuels. Différentes options peuvent enrichir les offres de services avec la possibilité pour les utilisateurs de choisir éventuellement certains des composants ou services (Firewall, Load-balancers, SGBD,…) Cette offre de service se veut comme une extension des ressources internes de l’entreprise. Elle offre la possibilité de les utiliser de façon élastique sans en avoir les contraintes et la nécessité de les acquérir et de les gérer.
degré de mutualisation et de sécurisation Fourniture de services de Clouds pour les clients « internes » de l’entité Could privé virtuel, managé, etc. Mix Cloud Privé (applis métiers, applis très critiques) et Clouds Publics (applis bureautique, support, etc.): ex Valéo, Total, Malakoff Mederic, …
A l’initiative du groupe de travail Cloud Computing, cette enquête a été réalisée début 2010 auprès de membres actifs du CRIP répartis dans quatre grands secteurs distincts : · Banques / Assurances · Industries et Services (hors services informatiques) / Grande distribution · Télécommunication · Secteurs publics / Ministères / Armée
Une distinction entre les différents modèles de Cloud a été proposée : 56% des répondants affecteraient ces réductions de coûts au modèle de Cloud privé, contre seulement 6% pour le Cloud public. Un nombre non négligeable de répondants ne se prononcent pas entre les différents modèles de Cloud pour l’aspect réduction des coûts. Aucun répondant ne considère néanmoins le Cloud public comme étant un facteur d’amélioration sur ces thèmes. La diminution des délais de mise en œuvre (Time to Market), la flexibilité et la scalabilité des ressources IT, l’optimisation des infrastructures IT, sont les facteurs les plus importants pour l’ensemble des répondants. Contre toute attente, l’amélioration de la gestion des pics et des diminutions de charge (notion d’élasticité des services), fonctionnalité intrinsèque du Cloud Computing, ne figure pas parmi les plus fortes attentes.
Les craintes concernant la sécurité des données arrivent en premier avec 88 % et les risques technologiques suivent à 80%.
Cloud Computing = une innovation « disruptive » déjà ancrée dans certains uages aujourd’hui >> innovation Business Model >> innovation Technique On est au début d’une mutation profonde de la façon d’acheter, produire et utiliser l’informatiques. Différents modèles émergent et appliquent plus ou moins le nouveau paragdigme du Cloud = l’informatique à la demande, moins chère, plus simple d’utilisation, plus riche de fonctionnalité A chaque acteur: utulisateur final, DSI, éditeurs, intégrateurs, infogéreurs, de se positionner sur ce modèle, au bénéfice de la société de l’information.